Auteur : Meï
Genre : Général
Rating : K+
Disclamer : Tous les personnages de cette fiction m'appartiennent même si certains noms ressemblent à des personnages connus.
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CHAPITRE XXI) La vérité à la maison
Riku : C'est mon…
Un bruit dans l'escalier m'empêchât de finir ma phrase. Tomoé descendait.
Tomoé : C'est quoi tout ce bordel ? Pas moyen de dormir tranquille dans cette baraque. Pourquoi vous faites ces têtes ?
Caroline a couru se réfugier dans ses bras.
Tomoé : C'est bon Line, je n'ai rien…
Caroline : Je veux lui dire !
Elle la regarder d'un air soupçonneux puis est aller s'assoire pour s'allumer une cigarette.
Tomoé : Pourquoi pas…
Yukari : Moé !
Tomoé : Quoi ? Je ne vois pas comment on va faire pour lui cacher pendant 3ans ?
Aïri : C'est vrai… On n'y avait pas pensé…
Caroline : Et puis elle nous a dit comment elle avait su…
Yukari : Okay… J'espère que tu ne prendras pas peur en apprenant la vérité…
Aïri : Le mieux serait de lui montrer.
Tomoé : Ouais !
Elles se sont levées et se sont mise face à moi. Je ne savais pas ce qu'elles allaient faire, ni de quoi elles parlaient, mais j'avais compris que c'était quelque chose de grave et d'important.
Ce fut Caroline la première. Son nez s'aplatit jusqu'à devenir deux petites fentes, ses pupilles des traits, sa peau se recouvra d'écailles et elle rapetissait à vu d'œil. Elle était devenu un serpent.
Puis se fut Aïri. Ses yeux reflétaient la lumière, ses ongles manucurés devinrent des griffes acérés, ses cheveux se raccourcirent et un pelage roux apparut sur son corps. Elle était un chat.
Yukari se prépara. Sa mâchoire et son nez se transformèrent en bec, ses bras s'allongèrent, ses pieds devinrent des serres et des plumes la recouvraient. S'était un faucon.
Tomoé continuer de fumer. Aucune transformation animale pour elle. Elle leva doucement sa main pour soulever la mèche de cheveux qui le cacher une partit du visage. Elle ne cachait pas son œil droit pour le style, mais car il était robotisé, s'était une sorte de caméra rouge. Elle se retourna et souleva son t-shirt. Des sortes de câbles sortaient de sa colonne vertébrale.
Je ne savais pas comment réagir, ni se que je devais dire.
Riku : Je…
Ma tête était complètement vide. C'est alors que quelqu'un frappa à la porte. Aussi vite qu'elles s'étaient transformées, les filles redevinrent elles même et Yukari alla ouvrir. C'était une des voisines, l'une de celle avec qui je m'étais disputée à la fête.
Fille : -lut.
Tomoé : Qu'est ce que tu veux ?
Fille : Je peux entrer ?
Yukari : Pourquoi ?
Fille : J'aurais des questions à vous poser.
Aïri : Qu'est ce que tu veux ?
Fille : Bon… Mes amies et moi on aurait voulu savoir comment vous avez put être aussi égoïste.
Caroline : Qu'est ce qu'on a fait ?
Fille : Vous avez pris les hommes qui nous intéressaient !
Toutes : Quoi ?
Fille : Les mecs d'en face, on les avait vu les première et vous nous les avez pris.
Aïri : Il n'y avait pas vos noms dessus.
Riku : Oh mais je me souviens de toi. T'as toujours pas compris que c'est pas par ce que vous avez des vus sur des mecs qu vous les aurais !
Je lui ai claqué la porte au nez et j'ai demandé aux filles de retourner au salon. Moi aussi j'avais des choses à dire. Enfin… Surtout à montrer… Elles se sont assises sur les canapés. J'ai enlevée mon t-shirt et j'ai fermé les yeux. De grandes ailes de démons, formé uniquement de lumière sombre sortirent de mon dos. Tomoé laissa tomber sa cigarette, Yukari, Caroline et Aïri ont poussée un petit cri.
Qui aurais crus que nous aurions toutes les 5 un si lourd secret. Et maintenant, plus que jamais, nous étions liées par ce secret.
Mais ailes ont disparue et j'ai remis mon t-shirt. Personne ne parlé. Je me suis assise sur le fauteuil restant. On se regardait, l'une parés l'autre. Caroline s'est levé et sans le vouloir à marché sur la télécommande. La télé s'alluma sur une chaîne de dessins animés. On a éclatées de rire. Nous venions toutes de découvrir quelque chose, mais ce n'était rien. Nous étions toujours les mêmes, Caroline était la petite gamine, Aïri la dragueuse invétérée, Yukari l'intello de première, Tomoé la grosse buveuse et fumeuse et moi… Moi j'étais toujours moi.
On avait passé l'après midi à jouer au poker. On avait essayé de faire à manger mais au bout de la 4ème tentative pour faire des pâtes qui étaient toujours ratée, nous avions commandé des pizzas et louer des films.
On avait finit par s'endormir au salon, toute sur le plus grand des canapés.