Auteur: Hadéshiei

Origine : gundam wing

Disclamer : eux comme je vous lavais dit la dernier fois Hiei ma joliment cuit les fesse et je n ais pas pu m assoire durent un long mois snif donc je me suis attaqué a Kurama je déconseille a tous les fan de vouloir adopté Kurama se dernier et plus piquant qu un cactus et mais bras se souvienne de la douleur en claire je suis toujours pas proprio ni de kurama ni des autre snif je re tourne me soigné

Genre : Heu…. Yaoi ça vous suffit ?

Couples : hum pour quoi pas une boulle de glace fraise Kurama coller à une boulle de vanille Hiei surmonté de crème fraîche Miami

Remarque : J'espère que vous allez aimer ;;

retrouvailles

Il faisait totalement noir dans la chambre de Hiei. Celui-ci était revenu de sa patrouille, il n'avait même pas pris le temps de faire son rapport à Mokuro.

Il était étendu sur le grand lit, la tête calée dans ses cousins il regardait le plafond fait de roche taillée. Seuls ses yeux rouges, grands ouverts, miroitaient dans cette obscurité totale. Ca faisait plus d'une semaine qu'il avait reçu la visite de Yusuké… Il n'avait toujours pas trouvé de réponse a cette question ni même le courage d'aller à nouveau retrouver ses amis dans le monde des humains.

Kurama ne pouvait pas l aimer, non pas lui…. Kurama… Le beau Yhoko Kurama… Cruel et si froid qui pouvait avoir qui il voulait… Pourquoi, le voudrait-il lui ?

Hiei avait essayé de ne plus penser à ça, ni a Kurama mais il avait découvert que c'était chose impossible : il ne comprenait pas ce besoin de penser à Kurama…

Il l'avait toujours fait mais ne s'était jamais rendu compte de l'ampleur que ça prenait.

Il avait toujours pensé qu'il pensait à Yusuké ou à Mokuro de la même façon mais, à y bien réfléchir, non. L'avis de Kurama lui importait plus que celui des autres et, quand il sentait Kurama en danger ou autre, il perdait tout son self contrôle. Pas comme quand Yusuké se battait… Pourtant, il savait que Kurama était fort et pouvait se défendre.

Hiei secoua la tête, grognant de rage.

Il se redressa violemment dans son lit, se prenant la tête dans les mains : il voulait extirper l'image de Kurama pour pouvoir dormir et sortir toutes ces questions, ne plus sentir cette drôle de chaleur accompagnée de vertiges qu'il avait quand il pensait à lui !

Un rayon de lumière vint le déranger : on ouvrait sa porte. Hiei attrapa son sabre qu'il ne gardait jamais loin de lui.

« Hiei »

Mokuro… Que lui voulait-elle encore ? Hiei rentra la lame dans son fourreau et resta assis sur son lit pendant que Mokuro pénétrait dans la chambre.

Il fallut quelques minutes à Mokuro pour que son oeil mécanique s'adapte à l obscurité de la pièce et repère les yeux brillants de Hiei.

Celui-ci semblait, comme à son habitude, excédée et de mauvaise humeur.

Elle s'approcha de lui et s'assit sur le bord du lit, redécouvrant le torse musclé de Hiei qu'elle avait déjà pu voir quand il était entré à son service et qu'elle l'avait soigné après son combat contre le chirurgien de l'enfer.

« Qu'est-ce que tu veux ? »

Lâcha Hiei sur le ton qui semblait toujours énervé et sur le point de crier.

« Tu n'es pas venu faire ton rapport… Ca fait deux jours, je commençais à m'inquiéter. »


"Bonjour, je m'appelle Mokuro. J'étais une des trois puissances de Makai avant le grand tournois. Aujourd'hui, je ne suis plus aussi forte qu'autrefois car j'ai appris la compassion et l'amour et je le dois à Hiei. Je ne le lui ai pas dit mes sentiments, de peur d'être repoussée et de le perdre à jamais. Je m'inquiète pour lui : depuis quelque temps, il semble soucieux et plus noir que jamais… Et s'il me quittait ! "


« C'est qu'il n'y avait rien à dire de plus que d'habitude ! »

Mokuro dévisageait Hiei : il semblait encore tracassé. Il avait le visage fermé, il était assis comme à son habitude : les jambes écartées les bras pendant entre celles-ci, dans une attitude désinvolte, le sabre posé à coté de lui, dans les draps froissés. On aurait dit qu'il s'était battu avec ceux-ci. Elle pouvait sentir son odeur dans toute la pièce. Hiei avait dû se débattre pour imprégner ses draps à un tel point qu'il embaumaient la chambre.

Ses yeux avaient d'ailleurs fait le tour de celle-ci. Elle était, comme Hiei, simple : pas de chichi, un lit une chaise où étaient déposés négligemment son écharpe et sa cape ainsi que sa chemisette noire.

Rien qui ne pouvait aider Mokuro à identifier le malaise de Hiei.

Elle revint sur Hiei qui semblait être reparti dans ses pensées, l'examinant pour trouver un indice une réponse. C'est là qu'elle remarqua que Hiei ne portait plus qu'une des perles…

« Tu as perdu une de tes perles. »

Hiei sursauta, ne réalisant pas tout de suite de quoi lui parlait Mokuro. Il renifla dédaigneusement.

« Non. »

« Ah tu t'es enfin décidé à la rendre à ta sœur ? »

« Non. »

Là, il était énervant : il allait lui dire ce qu'il en avait fait, oui ? Elle ne lâcherait pas le morceau : c'était le seul indice qu'elle avait !

« Alors, qu'est-ce que tu en as fait si tu ne l'as pas rendue à ta sœur ? »

Hiei en avait marre de cet interrogatoire : il voulait retrouver la paix et il avait compris qu'elle ne le lâcherais qu'avec une réponse… En quoi ça pouvait l'intéressé où était sa pierre !

« Ca c'est celle de ma sœur ! La mienne, je l'ai prêtée à Kurama… »

Mokuro sentit son cœur se serrer : Hiei avait prêté sa pierre… La chose la plus précieuse… Une chose qu'il avait cherchée si longtemps… Il l'avait prêtée à Kurama ! Etait-il si spécial pour lui, au point de lui confier ce bien si précieux !

Mokuro comparait cette pierre au cœur de Hiei depuis longtemps et de savoir qu'il l'avait confiée à Kurama la bouleversait réellement : comment devait-elle prendre ça ? Soit il aimait Kurama plus que tout… Soit elle s'était trompée et Hiei n'y tenait pas tant que ça… C'est ça : Hiei ne devait pas y tenir tant que ça !

« Bon t'as autre chose à me dire ? »

coupa Hiei d'un ton sec qui voulait dire « lâche-moi, je suis pas d'humeur ».

Mokuro, trop estomaqué pour parler, lui répondit que non d'un signe de tête.

Hiei savait que c'était le moment de se lancer et c'est ce qu'il fit au moment où la jeune femme s'apprêtait à sortir…

« Mokuro »

Elle se retourna, une lueur d'espoir et de joie qu'il la rappelle : au fond, s'il était là, c'est que Hiei ne tenait pas tant que ça à Kurama !

« Je vais aller quelques jours dans le monde des humains, je tenais à te prévenir. »

Elle venait de se faire un faux espoir et se fut le cœur gros et la larme prête à couler de son oeil qu'elle lui répondit.

« Pas de soucis ! »

Elle referma la porte, pouvant enfin laisser éclater sa peine.

Hiei se relaissa tomber sur l'oreiller : enfin seul, il allait pouvoir peut-être arriver à dormir ! En plus, il n'avait plus le choix : il avait prévenu Mokuro de son départ le lendemain alors il partirait !

Il prit la perle de sa sœur entre ses doigts et la regarda. Elle l'apaisait et il finit par s'endormir.

Au même moment, dans sa chambre, Kurama était penché sur son devoir de math. Tapotant son crayon sur le cahier, il n'arrivait pas à se concentrer. Ses grands yeux verts se miraient dans le cadre de la petit photo qui trônait au centre de son bureau. Dans un soupire, espérant comme la dernière fois : Hiei vindrait s'il percevait son appel… Kurama prononça son nom…

« Hiei »

Il abandonna son bureau pour s'approcher de la fenêtre ouverte, s'accoudant sur le rebord et cherchant dans les feuillages éclairés par le croissant de lune, la petite silhouette noire qu'il connaissait si bien. Il scrutait l'obscurité de ses yeux verts pleins d'espoir, de désir et d'amour. Sa main s'était portée à la petite perle bleue. Machinalement, il la serrait comme on serre un talisman et, chaque soir, c'était le même rituel : il priait la pierre de lui ramener l'air qui lui donnait la vie .

Au bout d'une heure, Kurama finit par regagner son lit, sombrant dans le monde des rêves qui était devenu son seul refuge depuis quelques temps…

Le jour perça et Kurama sentit la brise du matin venir frôlé sa joue. Il n'avait pas envie d'ouvrir les yeux, il faisait un si beau rêve… Il releva un peu la couverture sur sa joue, marmonnant.

La brise revint à nouveau le titiller. A moitié endormi mais bien obligé de se lever car cette brise avait décidé de l'ennuyer, Kurama s'extirpa de son cocon chaud et ferma la fenêtre, poussant un soupir pour mieux se rejeter dans ses draps chauds.

Kurama qui était presque replongé dans son rêve, se mit à réfléchir, inconsciemment sûrement : il était pourtant sûr d'avoir fermé cette purée de fenêtre… Il n'avait même pas remarqué deux yeux rouges qui suivaient sa progression, ni même la présence de Hiei qui, pourtant, était assis sur son bureau, les bras croisés sur son torse, attendant sagement que Kurama se réveille…

Kurama se redressa, droit comme un I, dans son lit : s'il avait fermé la fenêtre la veille, comment pouvait-elle être ouverte ce matin ! Il tourna sa tête d'un mouvement rapide, se sentant observé, faisant voler sa belle chevelure un peu emmêlée et ses yeux arrêtèrent de chercher quand… ils rencontrèrent ceux du petit youkai !

Kurama se frotta les yeux : il devait être mal réveillé, il rêvait que Hiei était assis sur son bureau, le dévisageant de ses magnifiques yeux rouges ….

« Pas trop tôt ! »

La réflexion cinglante de Hiei lui fit réaliser : non ce n'était pas un rêve, il était bien là, posé sur le bureau, comme un cadeau de Pâques. Kurama eu du mal à ne pas sauter hors du lit pour aller déballer ce cadeau…

« Tu te ramollis Kurama, tu m'as même pas senti entrer… »

Comment aurait-il pu le sentir : même s'il avait senti son aura, comme il rêvait de Hiei, il avait dû prendre ça pour un rêve encore en cours…

« J'étais trop fatigué ! Ca ne t'arrive jamais Hiei ? Et puis, qu'est-ce qui pourrait m'arriver ? »

« Te faire tuer par moi … »

« Tu ne me tuerais pas, j'en suis sûr… »

Hiei lui sourit un sourire noir, plein de sous-entendus et de menaces mais, étonnamment, Kurama prit ça comme une inclinaison… Sûrement dû à ce que l'amour rend aveugle, pensa-t-il.

« Tu es là depuis longtemps ? »

« Un certain temps. »

Kurama sortit de ses draps mais la pièce était toujours froide.

« Tu aurais pu fermer la fenêtre au moins… »

« Ca t'a réveillé. »

C'était bien Hiei ça : ça aurait été plus simple de le secouer ou de l'appeler… Non, il avait choisi la manière cruelle…

Hiei observa Kurama : il portait un pyjama rose à lignes jaunes… Pourquoi avait-il toujours des vêtements roses se demanda Hiei. Se rendant compte que la question était puérile et qu'il n'avait pas à penser à la tenue de Kurama, Hiei grogna.

« Quoi, ça va pas ? »

« Non. »

« Qu'est-ce qui ne va pas ? »

« Tu m'as fait perdre mon temps ! Je dois encore aller voir Yusuké et j'aimerais rentrer au Makai ! »

Kurama sentit son cœur se serrer : s'il était là pour repartir, comment allait-il pouvoir s'expliquer ? Il ne pourrait jamais se faire pardonner.

« Je vais t'accompagner, je dois aller chez lui justement… »

mentit Kurama. Pas question de le laisser filer : il comptait bien profiter de sa visite !

« Si tu veux mais dépêche-toi ! »

Kurama ouvrit sa penderie, sortant un jeans et un suit blanc. Kurama avait-il fait mentir Hiei : il n'y avait pas de rose pour une fois !

Kurama, dans son empressement, retira sa chemise de pyjama et son pantalon, ne pensant plus qu'à se dépêcher pour ne pas que Hiei parte sans lui, oubliant que celui-ci était là et pouvait le voir…

Hiei regardait Kurama faire, détaillant celui-ci aussi innocemment que possible : il ne se rendait même pas compte du mal qu'il pouvait y avoir à apprécier le corps de Kurama mais se rendait-il seulement compte qu'il l'appréciait ?

Il admirait la peau fine et ivoirienne de Kurama, les courbes gracieuses de son dos soulignées par ses mèches rouges qui ruisselaient comme une rivière… Son corps était fin et élancé mais musclé… Ce n'est que lorsque ses yeux atterrirent sur les fesses de Kurama que son esprit réalisa…

« Baka Sama ! »

pensa-t-il tout haut, faisant se retourner Kurama…

« Je me dépêche ! »

Hiei avait les joues un peu rougies.

« Oui, je t'attends dehors ! »

lança-t-il, sautant par la fenêtre.

Kurama frissonna : il avait réouvert cette fenêtre sans penser que Kurama était nu.

« Hiei, la …. »

Mais il était déjà parti… Kurama enfila très vite ses vêtements et ferma la fenêtre.

Il était grand temps qu'il apprenne à Hiei que lui n'était pas un démon de feu et qu'il ne supportait pas aussi bien que lui la morsure du froid.

Il descendit les marches quatre à quatre. La maison était vide. Il entra dans la cuisine et écrivit un mot .

« Cher Kasaan, je suis chez Yusuké, je rentre pour le souper. Bisous. Shuichi. »

Il attrapa un croissant pour lui et un pour Hiei et fonça vers la porte, le croissant en bouche, l'autre dans la main. Il sautilla sur un pied pour mettre sa chaussure puis sur l'autre pour la suivante et sortit aussi vite que possible rejoindre Hiei qui l'attendait en plein milieu du chemin.

« Je suis là… »

« Pfffff ! Pas trop tôt ! Si tu dormais habillé, ça serait mieux ! »

Kurama tendit le croisant à Hiei sans lui répondre. Celui-ci le renifla comme ci Kurama allait chercher à l'empoissonner…

L'odeur semblait bonne alors il se hasarda à le prendre. Il regarda Kurama qui croqua dans le sien, comme pour le rassurer.

« Mange, je vais pas t'empoissonner ! »

Hiei mordit dans le croisant. Se rendant compte que c'était vraiment bon, il l'enfonça dans sa bouche entièrement.

« Hé ! Tu vas t'étouffer ! »

Tu parles, pensa Kurama, voyant Hiei déglutir : il est pire qu'un boa ! Kurama sourit puis éclata de rire : ça faisait longtemps qu'il n'avait plus ri comme ça, il ne pouvait plus s'arrêter ! Hiei semblait mi choqué mi content : Kurama semblait mieux que la dernière fois.

Ce fut le rire de Kurama qui alerta Yuzuké qui était sur le pas de sa porte, prêt à partir car sa mère avait encore trop bu.

Il passa sa tête, découvrant un Kurama hilare et un Hiei impassible qui semblait faire celui qui ne le connaissait pas…

« Hiei, Kurama… Qu'est-ce qui le fait rire comme ça ? »

« Hum si je savais… »

oui lança Hiei, faussement choqué. En fait, Kurama lui donnait aussi envie de rire. Il se contrôlait difficilement…

« Kurama, pourquoi tu ris ? »

Celui-ci agita la main comme pour dire rien, rien mais il n aurait pas pu parler : son ventre lui faisait mal !

Hiei finit par lui aussi éclater de rire…

Yusuké et Kurama se regardèrent : c'était la première fois que Hiei éclatait de rire de bon cœur. Ses traits étaient détendus et ses yeux pétillaient de petites lueurs… Kurama fondait littéralement !

Hiei s'arrêta, dévisageant Yusuké et Kurama qui le dévoraient du regard.

Bah quoi ? »

Ce fut le fou-rire général qui ne fut interrompu que lorsque Hiei sentit Kuwabara approcher. Son visage redevint sévère.

Kurama et Yusuké se calmèrent et suivirent la direction du regard de Hiei et, au coin de la rue, apparut Kuwabara qui venait aussi rende visite à Yusuké.

« Eh ! Kuwabara ! »

« Pfffff ! Tu pouvais pas te taire ! Il nous aurait peut-être pas vus, aveugle comme il est ! »

Kuwabara qui les avait rejoint, salua Kurama et Yusuké mais, n'ayant pas loupé la réflexion de Hiei, lui lança comme bonjour :

« Tiens, il est revenu, le hérisson des enfers ! »

Hiei sentit ses cheveux se dresser encore plus sur la tête.

« Comment tu m'as appellé ! »

« Hérisson des enfers… »

Kurama se doutait que Hiei ne savait même pas ce qu'était une herisson, encore moins un hérisson, mais, sachant que ce qui sortait de la bouche de Kuwabara ne devait pas être romantique, il s'énervait…

La réaction ne fut pas longue à attendre : la banane de Kuwabara s'enflamma.

Celui-ci semblait danser, essayant d'éteindre l'incendie. Hiei, lui, riait… Pas le rire franc et beau qu'il venait d'avoir, non… un rire content de lui, celui du vainqueur…

Quand Kuwabara put éteindre l'incendie, il fallut toute l'habileté de Yusuké pour l'empêcher de coller une droite à Hiei qui ne bougeait pas d'un centimètre, provoquant le garçon.

Une fois les esprits calmés, Yusuké reprit plus calmement .

« Si on faisait un truc tous ensemble demain, pour fêter la visite de Hiei ? »

« Pfffff ! Comptez pas sur moi, je ne fêterai que son départ ! »

« De toute façon, tu n'étais pas invité, bêta ! »

« Quoi ! »

Avant que ça ne reparte de plus belle, Kurama, d'un ton calme et diplomate, avec un petit sourire à l'intention de Hiei, reprit.

Hiei resta un moment estomaqué : Kurama lui souriait ! A lui ! Il en perdait tout à fait le fil des insultes de Kuwabara !

« Oui, on pourrait aller au temple de maître Genkai et passer la soirée là… »

« Oui, on dormirait à la belle étoile ! C'est le week-end après tout et, moi, je serais pas mécontent de m'éloigner un peu de ma mère. »

Kuwabara qui venait de réaliser que Hiei ne l'écoutait plus et qu'en plus on parlait de maître Genkai - ce qui voulait dire Yukina - reporta toute son attention sur Yusuké.

« Ca c'est une idée : la nuit à la belle étoile avec dame Yukinaaaaaaaa ! »

Le nom de Yukina dans la bouche de Kuwabara hérissa encore Hiei qui quitta sa stupeur de tout à l'heure, reprenant ses esprits…

« Pff ! Sombre crétin ! »

« Toi, le pygmée, tu ne connais rien à la force de l'amour ! »

« Tu crois qu'elle t'aime ? Elle a juste pitié… »

Et c'était reparti entre les noms d'oiseaux et les incendies.

Yusuké se retourna vers Kurama.

« Sombre crétin ! Tu t'es déjà vu ? T'es comme un corbeau : tout le temps habillé de tes vieilles loques ! »

Kurama les regardait, souriant.

« Comment tu fais pour les supporter tous les deux ? »

« Moi, ce sont que des vêtement, je peux les retirer ! Toi, ton visage tu devras le porter toute ta vie ! »

Kurama aurait bien répondu qu'il trouvait Hiei mignon quand il s'emportait contre Kuwabara mais Yusuké n'aurait pas compris…

« Tu peux bien parler avec ta tignasse ! »

« Je ne les entends plus, c'est devenu comme une sorte de bourdonnement… »

Hiei enflamma à nouveau les cheveux de Kuwabara.

« On devrait peut-être intervenir avant qu'il n'y aie un mort ! »

Hiei riait encore et Kuwabara courrait autour d'eux trois…

« Aidez-moi, aidez-moi ! »

« Pathétique ! »

« Non, laisse-les : c'est leur façon bien à eux de se dire qu'ils sont heureux de se revoir… »