Titre : Saving Connor: Sauver Connor

Auteur : Lightning on the Wave

Traductrices : Crazy-Snape, Saara, Ange de Crystal, Kameya

Bêta lectrice du chapitre 1 : Lexy-kun

Bêta lectrice pour les autres chapitres: Phaine

Correcteur : Harry Griffondor

État de la fic anglaise : Terminé( 22)

État de la fic française : 1; Traduit : 8,10; En cours : 9,11,12,18,19;

Chapitre traduit par : Ange de cristal

Paradise Of readers

espère que vous allez aimé cette nouvelle histoire.

Nous espérons que vous serez nombreux à la lire et à la reviewver

La fic est traduite par quatre merveilleuses traductrices :

Crazysnape, Chaola, Ange de cristal et Kameya.

Bien sûr, pour un si grand projet,

nous espérons que d'autres personnes se proposeront

pour nous aider, donc si une personne veux nous proposer son aide,

qu'elle nous le dise dans une review's.

Chapitre Deux : Rencontres cordiales et autres.

« Maintenant, Connor, sois gentil avec tes professeurs. As-tu Godric ? Bien. Garde le dans sa cage pour l'instant et au moins jusqu'à ce que vous soyez a Poudlard. James, il n'emportera pas la cape d'invisibilité avec lui. Si, je t'ai vu la sortir de ta poche. Remet la à sa place tout de suite. Il n'a pas besoin d'elle pour sa première année. »

Harry traînait derrière ses parents tandis qu'ils escortaient Connor jusqu'à la voie 9 ¾, souriant de ce qu'il entendait. Normalement sa mère n'était pas si bruyante, mais normalement elle avait Connor à la maison où elle pouvait garder un œil sur lui - ou alors elle avait Harry, Sirius ou Remus pour le surveiller - et où elle pouvait sortir instantanément sa baguette magique si une personne susceptible d'être un mangemort approchait. Dans la cacophonie de King's Cross, rempli d'autant de moldus que de sorciers, il y avait beaucoup plus d'opportunités pour quelqu'un de s'approcher et de viser Connor.

Harry n'était pas aussi inquiet. Il avait essayé quelques uns de ses sorts favoris avec sa nouvelle baguette magique quand il l'acheta, et à son grand soulagement, ils fonctionnaient encore mieux avec celle-ci qu'avec sa baguette d'entraînement. Il pensait même qu'il pourrait avoir confiance en sa chouette blanche, Hedwige, pour guetter un danger s'ils approchaient. Elle était, maintenant, assise dans sa cage au sommet de son chariot à bagages, regardant dans plusieurs directions avec de brillants yeux dorés. Elle semblait plus alerte que Godric, l'aigle-hibou noir de Connor, qui d'ailleurs était assis les yeux clos ou allongeant le cou pour regarder des gens que Harry savait innocents à la seule vue de leurs visages.

« Harry. »

Harry releva la tête, alarmé. Ils avaient presque atteint le mur magique qui permettait de passer de la station à la voie, et il n'avait pas remarqué que sa mère avait disparue pour marcher a côté de lui. Bien sûr, elle n'était pas automatiquement considérée comme une menace, comme Sirius ou Remus. Harry prit la décision d'être plus prudent. Toute personne serait automatiquement considérée comme une menace dans le train.

« Oui, maman ? » murmura-t-il.

Lily hésita un long moment, on aurait pu croire qu'elle pensait à lui donner le flot de conseils dont elle avait assommé Connor. Harry attendit patiemment. Elle allait seulement dire une chose, et il savait quoi. Mais, en même temps, il avait besoin de l'entendre. C'était la confirmation de son but, de sa loyauté et de sa position dans le monde.

« Prends soin de ton frère », dit finalement Lily, et le nœud raide dans l'estomac de Harry se détendit.

« Bien sur, maman » répondit-il.

La main de Lily balaya sa frange, caressant la cicatrice que Harry savait une réplique maladroite, imparfaite de celle de son jumeau causée, elle, par un sort.

« Tu es l'éclair du coup de tonnerre », murmura-t-elle, « tu frappes fort et vite, et tu ne laisses personne derrière. Connor est le cœur. Protège son innocence, Harry. Assure-toi qu'il reste pur et inviolé à la fin de tout. Le directeur Dumbledore dit que Connor aura la force que le Lord Noir ignore. C'est sa capacité d'aimer. Mais s'il doit grandir trop vite, il va la perdre. »

Elle s'abaissa et embrassa la cicatrice de Harry.

« Assures-toi qu'il reste un enfant, juste pour encore un peu de temps. »

« Je le ferrai, maman. » Harry força les mots à sortir de sa gorge. Elle ne lui avait jamais rien dit de tel. C'était la cicatrice de Connor qui avait de l'importance, la cicatrice de Connor qui le marqua de mort et de gloire. En pensant à cela, il était une partie de ce dont son frère faisait partie, même pour un instant…

Lily le regarda comme si elle voulait rajouter quelque chose, mais Connor lui cria : « Harry, allez ! Le train va bientôt partir ».

Harry et Lily échangèrent un sourire. Connor était innocemment excité d'aller à Poudlard, et peut-être anticipait-il, juste un peu, ce qu'on ferrait du garçon-qui-a-survécu. Il le voyait comme un grand changement dans la vie qu'il avait vécu jusqu'ici, comme si tout allait changer et que rien ne serrait plus comme avant d'une certaine manière, Harry le pensait aussi. Connor lancera de véritables sorts maintenant et beaucoup plus souvent qu'il ne le faisait à la maison. Il devrait commencer à grandir, perdant ainsi son innocence, apprenant à aimer non seulement ses parents, Harry, Sirius et Remus mais tout le monde magique, qu'il devra protéger un jour.

Harry était content, qu'en comparaison, sa vie soit si simple. Sa responsabilité étant ce qu'elle avait toujours été : protéger Connor.

Harry toucha une dernière fois la main de sa mère, puis se retourna et marcha au travers de la barrière, sur le quai. Hedwige hulula faiblement à ce moment, comme si elle était impressionnée par la taille et le bruit du train. Harry garda un œil sur son frère pendant qu'ils embarquaient, mais Connor, par chance, choisit un compartiment vide. Harry se glissa derrière lui.

Ils ne ressemblaient pas à des jumeaux en fait, Harry pensa de manière absente, cette ancienne réflexion revint a lui en voyant son frère dans un environnement complètement différent. Connor avait des cheveux noirs, mais moins en bataille que ceux d'Harry, de telle manière à ce que sa cicatrice ne soit qu'à moitié visible, seule la plus basse courbe du cœur se voyait. Il avait les yeux noisette de James, et le manque de nécessité de lunette de Lily, et d'autres traits du physique de James.

Même cela peut-être un avantage, pensa Harry alors qu'il s'asseyait en face de son frère. Il n'y a aucune chance qu'un mangemort nous confondent, bien sûr, mais ils peuvent également ne pas penser que je suis son frère.

« N'es tu pas excité ? » lui demanda Connor.

Harry sourit. « Bien sûr que je le suis », dit il. « Mais le mieux c'est de te regarder sauter comme une chocogrenouille. »

« Je ne saute pas », dit Connor, en sautant.

« Si, tu sautes. »

« Non. »

« Si. »

« Non. »

Ils continuèrent, savourant la dispute puérile - que leur parent leur aurait crié d'arrêter au bout de deux minutes. Ils s'engueulaient depuis probablement dix minutes quand la porte du compartiment s'ouvra. Harry se tourna pour être face à elle, s'assurant que son expression fut agréable et accueillante, comme le sourire innocent de Connor. Sa main tenait sa baguette, mais ça ne se voyait pas dans les grandes poches de sa robe d'école, qu'il portait déjà, et personne d'autre n'avait à le savoir.

Le garçon dans l'ouverture de la porte papillonna des yeux un moment, comme s'il ne s'attendait pas à les voir. Puis il s'avança. Harry étudia sa chevelure rousse et ses vêtements usés, s'ils étaient propres, et puis il lâcha doucement sa main de sa baguette. Le garçon était très certainement un Weasley, et toute cette famille était loyale à Dumbledore et se rangeait du côté de l'Ordre du Phénix La mère actuelle avait même perdu tout lien de parenté avec Voldemort. Harry pouvait faire confiance à ce garçon pour ne pas blesser Connor, au moins jusqu'à ce qu'il prouve le contraire.

« 'lut, » dit le garçon, et il s'assit en face de Connor, à côté de Harry. « J'ai entendu dire que Connor Potter était dans ce compartiment. C'est toi ? »

Connor sourit de toutes ses dents et releva la frange pour que le garçon puisse voir la cicatrice en forme de cœur. Le Weasley sourcilla et resta figé dans une expression de respect, puis il tendit la main, tout souriant. « Mon nom est Ron Weasley. C'est magnifique de te rencontrer. Tu connais mes parents ? Je pense qu'ils connaissent les tiens. M'man a proposé de venir vous rendre visite une fois, et papa a dit que c'était interdit, mais… »

Harry se rassit et laissa la discussion s'enclencher, regardant de ses yeux mi-clos son frère qui répondait, il était gêné au début, puis il prit confiance comme il voyait à quel point sa présence fascinait Ron. Connor n'avait jamais rencontré d'enfants de son âge, autant que Harry n'en avait rencontré. C'était vraiment trop dangereux pour les autres de leur rendre visite, du moins tant que Voldemort avait des chances de revenir. C'était une des nombreuses raisons pour lesquelles Harry était content qu'ils aillent à Poudlard maintenant. Connor aura beaucoup d'amis. Tous ne seraient pas des enfants de mangemort assignés à l'espionner, mais Harry était disposé à croire que beaucoup d'entre eux le seraient, spécialement s'ils venaient de Serpentard.

La porte du compartiment s'ouvrit brusquement une deuxième fois, et un autre garçon se tint dans l'embrasure de la porte. Harry se figea. Ce sorcier avait les cheveux blonds et l'expression d'ennui très travaillée des Sangs-Purs, deux autres sorciers à ses côtés comme des elfes de maison. Il jeta un regard à Weasley et renifla, et la main de Harry glissa jusqu'à sa baguette.

« Tu es le garçon-qui-à-survécu », dit-il à Connor. « N'est-ce pas. » Son ton, une voix fatiguée et traînante qui était trop visiblement forcée, ne formula pas une question.

Connor acquiesça, ses épaules se raidirent. Harry donna à son frère 10 pour l'observation. Il ne savait pas encore qui était-ce, même s'il avait quelques doutes, et Connor, qui fut à l'abris du monde extérieur, n'appréciait pas ce garçon par principe. Un bon signe d'un cœur innocent.

« Mon nom est Draco Malefoy », dit le garçon, il avança, main tendue comme s'il s'attendait à ce que Connor la lui serre.

Harry se tenait debout, préparé à lancer un sortilège. Lucius Malefoy avait une haute place dans le cercle de Voldemort, et ensuite il s'échappa d'Azkaban avec la plus légère des excuses. De tous les élèves présents à Poudlard cette année, son fils était celui que Harry considérait le plus apte à essayer et à réussir à tuer Connor.

Malefoy lui lança un regard singulier, et ria. « Et qui est-ce ? » Demanda-t-il. « Quelqu'un d'autre te faisant la cour, Potter, comme le Weasley ? »

C'est ça, pensa Harry, alors qu'il voyait un feu familier s'allumer dans les yeux de son frère, Il vient juste de perdre sa chance.

« C'est mon frère Harry » dit Connor, lui aussi debout. Il était vraiment plus petit qu'il ne le paraissait, puis il fixa Malefoy dans les yeux, l'homme qu'il deviendrait était visible. Harry arrêta presque de respirer d'admiration. Si Connor devait perdre un peu de son innocence aujourd'hui il le ferait pour une bonne cause. « Et lui c'est Ron Weasley, mon ami. Tu ne le seras jamais, alors arrête d'insulter meilleurs que toi. »

Malefoy se figea un moment, ses pupilles se dilatèrent. Harry le scruta, se demandant pourquoi cela.

Puis il comprit. Il semblait que Malefoy était innocent à sa manière. Il était entré dans le compartiment comme il l'aurait probablement fait n'importe où, se pavanant et parlant de sa voix traînante, il s'attendait à ce que Connor l'accepte comme n'importe qui l'aurait accepté. Les Malefoy avaient élevé leur fils entouré d'autres Sangs-Purs, qui ont parfaitement bien intégré, grâce à leurs parents, qu'il fallait respecter les riches et les puissants – hors les Malefoy étaient les deux. Pourquoi le garçon-qui-à-survécu serait-il différent de ce qu'étaient les enfants que Draco avait toujours connu ?

Harry soupira, pris de pitié pour ce garçon, il retira alors sa main de sa baguette. Là, il entendit Connor ricaner.

« Pas que je veuille de toi comme ami », dit-il, « tu as un nom horrible. »

« Connor ! » Cria Harry, choqué. Défendre les innocents était une chose. Lâcher une insulte en était une toute autre. Les Sangs-Purs faisaient, eux aussi, partie de la communauté sorcière, et Connor devrait être au-dessus du genre de revanche au quelle Harry s'attendait de le part de quelqu'un comme Draco. La blessure était encore visible sue le visage de Malefoy ; il était trop choqué pour la cacher. Connor aurait pu atténuer un peu la piquante réprimande avec les bons mots, et il était sur le bon chemin pour se faire un nouvel et valeureux allié. Mais ceux-ci n'étaient définitivement pas les bons mots, tout ce qu'ils firent c'est faire éclater de rire Ron.

Malefoy se redressa, les deux sorciers à ses côtés le regardèrent attendant des ordres. Mais celui-ci fusilla simplement Connor du regard, il ajouta : « j'aurais du m'attendre à ce que quelqu'un qui ait une sang de bourbe pour mère ne manifeste aucune bonne manière », et il sortit.

Connor poussa des cris et Ron le consola, « C'est vicieux, mec, ce qu'il a dit a propos de ta mère… »

Harry sortit du compartiment, à la poursuite de Malefoy. Ce qu'il avait dit était dur, mais Connor l'avait provoqué. Harry, lui, connaissait les règles de la courtoisie sorcière, son père et Sirius tout deux Sangs-Purs, les lui avait apprisses.

§§§§§§

Draco frottait son front pendant qu'il marchait. Il avait attrapé un mal de tête en moins de cinq secondes, être à l'intérieure de ce compartiment en présence d'un sorcier si puissant. La magie de Potter fredonnait et chantait autour de lui, et remplissait l'air ambiant d'une fiable vibration retentissante que Draco, comme tout Malefoy proprement entraîné, pouvait sentir. Ca lui faisait mal au crâne. Draco réfléchissait et il arriva à la conclusion qu'il devrait dresser des barrières plus solides quand il arriverait à Poudlard. Il aurait du le faire de toute façon, avec tant de sorciers aux alentours, mais il blâmait Potter pour lui avoir refilé un mal de tête pareil si tôt.

« Malefoy. »

Draco regarda par-dessus son épaule, puis il se figea. Derrière lui se tenait l'autre sorcier, celui que Potter déclara comme son frère. Il avait été si silencieux que Draco l'avait à peine remarqué, et l'avait inclus dans l'insulte lancée à Weasley presque par habitude. Il avait des cheveux noirs encore plus en bataille que ceux de Potter, et des yeux verts derrière d'horribles lunettes.

Et il faisait chanter l'air autour de lui.

Les yeux de Draco rétrécirent, et se rétrécirent encore. « Est-ce que c'est une sorte de mauvaise blague ? » Grogna-t-il, reculant d'un pas – Harry était son nom. Il n'aurait pas utilisé ce genre de langage, mais il détestait être insulté ou mené en bateau. Son père aurait compris. « C'est toi le garçon-qui-à-survécu, n'est-ce pas ? »

Harry cligna plusieurs fois des yeux « Quoi ? » mais il n'était pas aussi étonné que ce qu'il prétendait être. Autour de lui sa magie se changea en une pointe de flèche aiguisée ciblée droit sur Draco.

Draco grinça des dents. « Tu es le garçon-qui-à-survécu » dit-il. « Pas l'autre. Tu pensais que j'allais trouver cela marrant et que j'allais revenir à toi à genou ? Un Malefoy ne s'agenouille pas. »

« Même pas pour le mage noir ? » murmura Harry. Les yeux étincelant d'un faible amusement.

Au summum de sa colère, Draco essaya de se retourner, mais Potter l'attrapa par le bras. Vincent et Grégory s'avancèrent, mais s'arrêtèrent quand Draco secoua la tête négativement. Draco se tenait fixement, attendant un sort qu'il ne saurait pas parer, il le savait.

Donc, bien sûr, il fut complètement surpris lorsque Harry passa une main sur son front, remontant assez sa frange pour que Draco puisse voir que la cicatrice de Harry était un éclair, pas un cœur, et murmura : « Au nom de Merlin, je te demande de me pardonner pour mes propos injustes et précipités ainsi que mon frère pour les siens. Je ne sais pas si tu accepteras mes excuses, mais je te demande : une trêve entre nous et de la neutralité pour les années à venir. »

Draco se figea à nouveau. Il avait passé un temps considérable à ça aujourd'hui. Mais tous les mots étaient justes, et le visage de Potter était sérieux quand il les prononça, ses yeux rencontrant doucement ceux de Draco. Il n'avait, bien entendu, pas arrêté cette retentissant et impossible puissance, compactée et suivie d'une obédience parfaite, qui continuait de donner à Draco un mal de crâne, mais peut-être n'en avait-il pas besoin.

Ce Potter connaissait les courtoisies de Sangs-Purs. Ce Potter était venu les offrir à Draco. Ce Potter avait lâché son bras dès que la cérémonie fut terminée, et avait reculé à une certaine distance, sa magie tourbillonnant en différents types de sons timides, prêt à l'attaque mais pas aussi équilibrée qu'elle ne l'était auparavant – la meilleure chose à faire, étant donné que Draco n'avait pas encore répondu.

Et que si ce Potter, dont la pure magie fredonnait, n'était pas la source majeure de la magie ressentie dans le compartiment, Draco mangerait sa propre main.

Mais il n'était pas le garçon-qui-a-survécu.

Draco avait deux choix à ce moment : il pouvait continuer de penser qu'il avait été baladé, et partir avec un air d'indignation justifiée, ou il pouvait accepter ce qu'il lui a été offert, et voir ce qui se passera. Peut-être Connor Potter était-il plus puissant que Harry, si puissant que Draco ne le sentirait même pas ?

Ou peut-être Harry qui, après tout ne pouvait pas ressentir sa propre force, et ne savait rien de l'aura qu'il engendrait, et qui avait des puits encore plus cachés, ceux où il n'y avait rien a voir avec les sorts.

Draco savait ce qu'il préférerait être la vérité, mais il allait au moins prendre ce qu'il lui était offert et voir qui allait se passer.

Il frappa son cœur avec son poing, s'inclina, puis il tendit la main. Harry soupira de soulagement quand il l'eut prise.

« Merci », dit-il, et il s'inclina en retour, puis il retourna dans son compartiment sans essayer de se justifier. C'était également extrêmement indiqué, pensa Draco en le regardant partir avec une haine sans nom maintenant. Il devrait envoyer une lettre à son père quand il arriverait à l'école. Il se demandait ce que Lucius en ferait.

« Pourquoi cela arrive-t-il ? » chuchota Vincent. Sa voix était teintée de terreur. Il ne pouvait pas sentir Harry, mais il savait que Draco n'accepterait pas des excuses de n'importe qui.

« Je ne sais pas », dit Draco. « Pas encore. Mais je vais vous dire une chose… »

« Oui ? » demanda Grégory.

Draco sourit à la porte du compartiment maintenant fermée. « Il y aura un Potter à Serpentard. »

À suivre