Merci pour vos reviews!

Allez Alpheratz9 encore 2 petits chapitres et tu sauras tout Promis, parole de petite sadique qui aime bien faire durer le suspense!

Sophieat un peu de patience aussi, par contre je crois qu'il va falloir partager (Carson je veux dire! lol!)

Isajackson voilà la suite que tu attends mais je sais pas si tu ne vas pas trouver ça un peu court!

Ils sortirent tous de la salle. Elisabeth se dirigea vers la salle de contrôle afin de contacter l'équipe d'exploration, John retourna à l'infirmerie accompagné de Carson et de Rodney. Teyla et Ronon partirent s'entraîner.

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Durant leur trajet jusqu'à l'infirmerie, Rodney remarqua le teint blême du médecin. Il n'avait jamais été confronté à une pareille situation et Rodney se doutait que son ami ne devait pas aller bien. John remarqua également son état.

- Ne vous inquiétez pas Carson, tout ira très bien.

- C'est facile de dire ça, mais ce n'est pas vous qui êtes pourchassé par les géniis.

- Pour une fois non, répondit Rodney.

- Excusez-moi, fit l'écossais, mais apprendre ça m'a rendu bizarre. Je ne pensais pas qu'un jour je serai dans cette situation.

- Ne vous excusez pas, je comprends ce que vous ressentez.

- Merci Rodney. Mais pourquoi les géniis agissent ainsi ? Nous nous sommes quittés en bons termes la dernière fois, s'ils ont un problème, ils n'avaient qu'à demander.

- J'ai bien peur qu'ils soient plus compliqués que ça, répondit John. Je crois que nous nous sommes peut être trompé sur Ladon. Il n'est peut être pas aussi différent que Cowen.

Ils arrivèrent enfin à l'infirmerie. Carson aida John à s'installer dans son lit, puis il le laissa seul avec Rodney.

- Ca va aller Colonel ?

- Oui ça va, je m'inquiète pour Carson même si je sais qu'ici il ne craint rien.

- Oui moi aussi. Il n'y a pas de meilleur endroit où il pourrait être plus en sécurité.

John bailla et s'installa plus confortablement dans son lit.

- Bon je vous laisse, vous devez être fatigué. Vous n'avez besoin de rien ?

John fit signe que non et Rodney sortit. Il se sentait coupable de voir le Colonel dans ce lit, c'était de sa faute, se devrait être à lui d'être là. Avant de partir il décida d'aller voir Carson. Il avança vers son bureau dont la porte était restée ouverte, quand il entra, l'écossais avait les coudes sur son bureau et la tête dans ses mains. Rodney toussota pour l'avertir de sa présence.

- Ah Rodney, quelque chose ne va pas ?

- Si, je venais juste voir comment vous vous sentez.

- Pour quelqu'un menacé d'enlèvement, je vais bien, répondit-il en essayant de prendre un air léger.

- Vous savez que vous pouvez compter sur moi si ça ne va pas.

- Oui merci.

Rodney partit alors en direction de son laboratoire. Il se faisait du souci pour son ami mais il savait qu'il ne risquait rien en restant sur la cité.

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Pendant ce temps Elisabeth recevait dans son bureau le sergent Harwell de l'équipe SGA2, l'équipe qu'elle avait fait rappeler après l'annonce du Colonel Sheppard. Le sergent lui expliquait qu'à ce moment-là, ils étaient en train de négocier pour une importante quantité d'une sorte de pomme de terre. Cela intéressait beaucoup la diplomate mais il avait fallu interrompre les négociations. Le sergent venait donc lui faire son rapport.

- Le chef du village s'est proposé de venir finir les négociations ici.

- Vraiment ?

- Oui, ce n'est pas un peuple très civilisé, cela a du lui demander beaucoup d'efforts mais les enjeux sont importants pour eux. Ils ont vraiment besoin de l'aide médicale que nous leur proposons. Ils seraient prêt à tous pour que nous acceptions de commercer avec eux.

- Très bien. Quand sont-ils disposés à venir ?

- Nous leur avons laissé une radio en leur expliquant comment cela fonctionnait. Nous n'avons plus qu'à les contacter.

- Dans ce cas, ne perdons pas de temps.

Elisabeth, suivi du sergent, se rendit dans la salle de contrôle. Elle avança vers le technicien.

- Tapez l'adresse de la planète du sergent Harwell.

Le technicien tapa l'adresse, le vortex s'ouvrit. Elisabeth prit contact avec le chef du village. Elle lui proposa une rencontre le lendemain que celui-ci accepta sans problème. Il viendrait avec une délégation de 7 personnes. Elisabeth trouvait que cela faisait beaucoup mais elle accepta quand même.

Vooooilààààà!