Coucou, me revoilà pour un tout nouveau chapitre.
Je remercie tout d'abord celles qui ont pris le temps de laissé un commentaire. J'espère que vous et les autres apprécier celui-ci.
Bonne lecture
Disclamer: je ne possède aucun droit sur les personnages de la série
Chapitre 6 : Questionnement
Il est bientôt 19h20, Damon attend patiemment l'arrivée de sa belle. L'inquiétude commence à se lire sur son visage. Bonnie a déjà vingt minutes de retard. Son absence n'a pas atteint l'état d'alerte qu'ils ont eux-mêmes choisit dès la troisième semaine de leur road-trip. Elle n'est pas en retard de cinquante minutes, alors il tente de gardes ses tendances homicides sous une cloche en commençant à remplir une casserole d'eau et la mettre sur la plaque à gaz. Il continue tout en surveillant l'heure à sortir l'oignon, le beurre, le guanciale, la pancetta, le beurre et l'huile d'olive ainsi que le panko. Il se déplace d'un pas lourd vers les poêles et en sort deux. Son esprit est fumant, quand il les place sur les plaques à induction, le besoin de prendre de ses nouvelles se fait pressant. En plus la musique qui provient du bar ne l'aide pas à entendre s'il y a une âme qui se rapproche de la cuisine. Il détend son cou, ressort son laminoir et un peu de farine. Et lentement, il commence à détendre la pâte à tagliatelle. A la troisième opération où il a ajouté de la farine, plie encore la pâte en trois, ensuite la passe au laminoir, une porte se fait entendre et laisse apparaître une Bonnie essoufflée;
-« Je suis vraiment désolée, Sal » dit-elle en retirant d'abord son sac puis sa veste. Elle s'avance vers lui et l'entour de ses bras sa taille. Elle fait des petites cercles sur son torse puis descend ses mains le long de ses bras pour le caresser « J'ai été retenu, Tyler et Ric peuvent se montrer très bavards » son bisou sur son épaule le fait pivoté et la regarder « Tu me pardonnes ? » il se dégage un peu plus l'embrasse une fois sur le front et finit par ses lèvres un plus longuement,
-« Excuses accepté » elle sourit toute rayonnante, sur la pointe des pieds, elle lui embrasse la pointe de son nez
-« Merci » il la retient là où elle est, contre lui et prend contrôle de leur câlin « Mmmh, je continuerai ceci si mon estomac et mes papilles ne rêveraient pas depuis ce matin de tes pâtes à la Carbonara »
-« Je reviens sur ce que j'ai dit, tes excuses ne sont plus valables. »
-« Heu non, on ne revient pas sur une parole donnée » il la regarde reculer. Il aime savoir qu'elle connaisse cette immense cuisine comme elle connaît la leur. Elle attrape une bouteille de vin et deux verres à pied. Lui de son côté, il termine de confectionner leur tagliatelle. Alors qu'il roule la longue et fine pâte, il l'observe revenir avec l'apéritif : leur verre de vin rouge bien rempli dans une main, dans l'autre, elle tient une corbeille de forccacia. Il plante ses yeux dans les siens sachant pertinemment qu'il a une bonne maîtrise de ses gestes. Il accepte le petit morceau de pain italien souriant de sa petite attention « Je commence par quoi. » Bonnie demande posant la corbeille sur la table
-« Allume la plaque sous les poêles puis ajoute un peu de beurre dans l'une et un filet d'huile dans l'autre »
-« Oui chef » Damon secoue la tête et termine de tailler ses pâtes. Il regarde rapidement l'état de l'eau. Il est question de 10 bonnes minutes pour que l'eau soit bouillante. Il se rapproche de sa sorcière, l'embrasse puis attrape sa main et dépose un bisou.
-« Ils ne t'ont pas mise en danger, hein ? »
-« Non, Tyler est venu m'annoncer que les autopsies se feront sous peu et m'a passé quelques photos. On a une piste à explorée et parler de Caroline. »
-« Et Rick ? »
-« Rick a regardé les aterfacts et discuté avec moi de la menace et de la boutique. »
-« Mais ce n'est pas lui qui t'a coincé. »
-« Yep » elle le laisse guider ses gestes pour la première moitié de l'oignon. Elle aime la sensation de sa peau tiède sur ses mains encore plus son souffle entre couper de ses petites astuces sur dans son oreille. Il lâche sa main et la laisse continuer.
-« Tu te débrouilles comme un chef » il s'occupe doucement du guanciale qu'il coupe en fine tranche « Met l'oignon dans la poêle d'huile et versée la chapelure japonaise dans le beurre fondue. Tu dois laisser le panko prendre de la couleur. Ensuite, tu vas mettre le guanciale avec l'oignon et l'huile d'olive »
-« Et toi ? Qu'est-ce que fait monsieur Cuistot ? »
-« Plonger les tagliatelles dans l'eau et te regarder t'écouter me donnent la raison qu'avait ce sac à puces de te retenir de moi durant 20 minutes » Elle soupire et retourne à ses cuissons.
-« Ty est venu deux fois à la boutique pour me parler de Caroline qui est devenue insupportable à cause de la dispute qu'on a eu. Il veut que je fasse aussi des efforts. Alors j'ai cédé quelques points. »
-« Tu n'as pas.»
-« Je sais, mais il est si malheureux alors je vais reprendre doucement les horaires que Caroline à la salle de sport. Elle va m'aider à l'installation de la fête et avec les paquets cadeau de remerciement que je donnerai aux amis de la Gymboree de Jax à la fin de l'anniversaire »
-« Il y a quelque chose d'autre… »
-« Oui » elle vient de retirer le panko et le renverser dans un récipient propre « On va faire un brunch en famille, Tyler, Stefan, Caroline, les Saltzmann et nous. Et faire cette chose mensuelle » Damon surpris s'adosse un peu plus au plan de travail après un léger coup d'œil sur les pâtes,
-« Jo viendra ? »
-« Je t'ai dit que je tente de ne pas laisser ces choses-là m'atteindre alors c'est quoi la suite. »
-« Je vais ajoutes les pâtes et ensuite les œufs et en attendant va prendre de la crème. On va arrêter à temps la cuisson des œufs avant que ça fasse de l'omelette. »
-« Tu es sexy quand tu donnes des ordres. »
-« Alors uniquement, pour toi. » dit-il en capturant ses lèvres,
-« Je sais « elle s'éloigne et le smack « Et toi ta journée ? » elle attrape la crème et revient la verser dans la poêle dans le mélange oignon guanciale pâte et les œufs tout en le regardant remuer,
-« Comme d'habitude, Stefan a fait une pause et venu aider en cuisine. Oh une femme en demande d'attention m'a demandé un selfie ou quelques choses du genre avant de se dégonfler »
-« Vantard… » elle le frappe gentiment l'épaule puis appuie son menton sur lui « Elle succombe parce que le vampirisme te rend plus charismatique, magnétique, électrique dans le corps d'un éternel dangereux et sexy homme de 25 ans »
-« 24 »
-« D'accord 24, mais elles n'ont pas conscience à quel point tu peux être un effroyable kisseur, un terrible danseur, un mauvais chanteur. J'allais oublier ton humour à couper au couteau, tout le monde ne supporterait pas» Il la coupe fermant sa bouche avec la sienne tout en éteignant le rond de gaz et la plaque à induction. Ils sentent le sourire de l'un de l'autre sur chacune de leurs morsures voraces.
-« Alors j'embrasse mal ? »
-« Si mal que je dois faire ton éducation maintenant » son sourire s'élargir
-« Mmmh alors apprends moi Bossy » le baiser s'intensifie alors que le ventre de la sorcière gronde « Allez Bellezza » dit-il en l'éloignant de lui. « Attrapes la bouteille, nos verres et le pain. Je monte le reste au bureau.»
-« D'accord, » elle quitte au ralenti la pièce et s'arrête à la porte « Mais ne me fait pas trop patienter mon estomac, il va le prendre comme de la maltraitance » il mord les lèvres,
-« Allez, fil »
Il l'entend rire ensuite ses pas rapides quand elle grimpe dans les escaliers, juste à une vitesse moins vite que Damon utilise pour dressée les assiettes. Arrivée dans le bureau, elle allume la lumière et s'installe au petit salon qu'il a créé. Au moment où elle prend une gorgée de vin, elle voit des notes détaillés du petit buffet qu'il fera pour les trois ans de Jax : des feuilletées Italien, des bruschetta, une grande assiette de jambons et de fromages, des grissini avec du jambon cru, un trio de sandwich foccaccia, des chips, une fontaine au chocolat, des popcakes, cupcakes et pour finir un gâteau surprise remplie de bonbons.
Tellement fascinée par le plan de son vampire, elle ne sent pas l'entrée de Damon, même le tintement des assiettes sur la table ne la perturbe pas.
-« Alors tu l'aimes ? » entend-t-elle au creux de son oreille. Elle chasse une larme en tressaillant un tout petit peu de leur proximité. Elle se tourne et lui sourit.
-« Beaucoup… Merci, merci » s'exprime Bonnie en l'embrassant partout sur son visage avec effusion. Il s'étonne encore de la facilité qu'elle a à montrer ses émotions. Il ne pense pas qu'il soit un jour habitué aux réactions si émotives de sa sorcière à son égard. Dans 20 ans, il perdra encore son souffle à cause du vert intense de ses yeux et la chaleur de son corps quand elle est autour de lui ou pour ces gestes envers elle et leur fils que ce soit bon ou mauvais. Bien et mal l'éclat dans son regard, la malice sur ses lèvres, il sait qu'elle est heureuse. Contente qu'il embrasse son rôle de papa et s'implique ce qui touche de près ou de loin à leur progéniture. Il la connaît. Elle lui a longuement parlé de Rudy Hopkins de ses rapports qu'elle avait avec lui. Elle est sans aucun doute reconnaissante parce qu'elle veut offrir une enfance, un cadre avec un papa et une maman fort et solide qu'elle n'a pas eu. Et il le fait pour leur enfant, car il veut la même chose, offrir ce que lui aussi il n'a pas eut. Les années lui ont montré que c'est naturelle, si facile d'avoir cette vie, ce rôle et de vivre aux côtés de ces êtres humains formidable.
-« Merde » il pousse un gémissement sous les petits picotements provoqués par ses doigts au travers de sa chemise. Pour l'instant, il s'en fiche de comment, elle est arrivée par se coller à lui ainsi. Il est bien trop préoccupé à observer son effet sur elle. Maintenant, il veut savourer sa chaleur qui enveloppe son cœur tiède et à demi-vivant puis apprécier la vue de sa vitesse nouvellement acquise à cause de leur lien. Il aime la voir diriger leur moment ; Il ne manque pas une seconde lorsqu'elle enroule ses jambes autour de torse pour l'entraîner à l'endroit où son popotin a chauffé précédemment pour lui. Damon âme définitivement son côté bossy et dominatrice. Alors il la laisse être au sommet et se rasseoir à cheval. Il profite de la plaquer contre son torse et d'embrasser sa mâchoire pour rendre sa tache un plus difficile. Il l'entend rire se tortiller en la menaçant qu'il devra probablement payer une fortune pour détacher son tapis blanc. Cette menace le fait arrêter ses douces morsures et promit de la laisse tranquille. Il fait sa mea-culpa en l'aidant à s'asseoir à l'amazone sur lui tandis qu'elle tient leurs verres. Bien assit, elle lui tendit le sien.
-« Tchin » les yeux dans les yeux, ils boivent quelques gorgées de vin rouge. Elle l'arrête avant qu'il le termine pour le déposer à côté du sien.
-« N'abusons pas des bonnes choses Sal. Il y aura toujours assez de place pour un couple de verres, mais pas pour les plats de pâtes. »
-« Parle pour toi. En ce qui me concerne, je ne suis jamais rassasié de bonnes choses comme les petites boules gorgées de feu et de pouvoir » murmure entre chaque bisou sur la joue et la commissure des lèvres de Bonnie. Elle capture ses lèvres,
-« Heure de pâtes »
-« Heure de pâtes » répète Damon son front nouvellement posé contre sa joue, ses mouvements lui font lever la tête. Il pose à temps son menton sur son épaule pour la voir récupérer une assiette et une fourchette et faire la meilleure démonstration qu'elle est fait à enrouler les tagliatelles avec un peu de panko et de pancetta et du guanciale. Elle se tourne après avec la fourchette vers lui et le fait manger la première bouchée.
Ce repas a pris une tournure différente avec Bonnie aux commandes. Elle le rend ponctué de rires de taquinerie et de câlin. Ils sont en train de passer un si agréable moment qu'ils en oublient leur mauvais pressentiment de la journée. Le couple surnaturel se préoccupe plus à cet instant qui aura la dernière fourchette du second plat de carbonara.
-« Tu ne peux pas avoir les deux Shorty. Sois la dernière fourchette ou le dernier verre de vin »
-« Je sais, mais je passe mon tour pour les dernières gouttes de vin. Je termine ce plat et ensuite, j' obtiendrai une autre bouteille. »
-« Allez, il doit avoir un fond de pâte en bas »
-« Nah, je veux celui-ci et tu sais que je déteste le fond de bouteille, ils ont un goût amer »
-« Alors » il s'avance vers elle lentement « On a un gros problème Shorty, tu me dois une bouchée. »
-« Tu n'étais pas assez rapide » Elle le taquine en se dandinant. Il l'a rejoint à vitesse vampire.
-« Et là, je le suis ? » Elle rigole et s'échappe de ses mains mais pas pour longtemps , il la soutient très proche de lui contre le mur sombre « Rapide pour une autre sorcière toutefois trop lente contre un vampire »
-« Je me suis laissée attrapée »
-« Ah oui »
-« Mmmh pour te montrer ça » elle ouvre grand la bouche et tirer avec ses dents les pâtes de la fourchette « C'est délicieux » le nargue-t-elle la bouche pleine de manière séduisante
-« ça tombe bien, les pâtes manquent un peu de couleur rouge » dit-il en lui prenant sa tête en coupe et lui perfore ses lèvres avant d'engloutir ses lèvres. Bonnie expire de contentement, il entrouvrit alors sa langue et aspire une tagliatelle. Bonnie tousse et mime son faux écœurement
-« Beurk »
-« Pourtant le meilleur repas que j'ai depuis 3 jours. Ton sang rend tout meilleur.»
-« Vraiment tout ? »
-« Laisse-moi réfléchir » il lève les yeux en l'air puis revient vers elle et lentement, il l'entraîne dans une danse sans musique entrecoupée de baiser long et profond « Presque tout, mais rien n'est comparable à notre connexion » elle frémit de partout à tous ces mots, son souffle aux contactes de leur peau,
-« C'est… c'est une bonne réponse » il entrelace ses doigts aux siens quand elle a levé les mains. Ensemble, ils écrasent leur poitrine l'une contre l'autre. La danse a bien commencé jusqu'à ce qu'il rende leur marche nuptiale en quelque chose de comique. Elle rit, se marre de ses pitreries qu'il l'entraîne de faire. Après un couple de pirouettes et un dernier porté renversé ; ils s'embrassent langoureusement la tête en bas.
-« Je ne veux pas que ça s'arrête. »
-« Il y a des échantillons du gâteau et des fraises enrobées de chocolat qui attendent plus que nous. »
-« Alors pour le deuxième round » suggère Bonnie « J'ai deux à trois suggestions à te soumettre. »
-« Tu penses que tu le pourras ? » il la soulève dans les airs et la fait entourer ses jambes autour de lui,
-« Et toi ? »
-« Pas sure »
-« Alors on pourrais avoir beaucoup de chips et du champagnes et des boissons pour bébé »
-« Noté, maintenant passons sur mon bureau. Tu vas réciter tout ce que tu veux que je te fasse en Italien »
-« Après » elle le regarde amoureusement tout en resserrant ses bras autour de son cou « Après, c'est à mon tour »
-« Bien »
-« Traitée » soupire-t-elle alors qu'il l'abaisse sur la table « Baciami ogni parte del mio corpo che ti spogli « Il s'applique doucement à déboutonné son chemisier et à embraser par la tiédeur de ses lèvres sa peau à chacun à ses baisers. Elle se cambre et expire « é cosi bello, Papi, continua »
Il le fait avec plaisir surtout quand il s'approche de ses seins devenu plus pleins après sa grossesse puis entre ses cuisses. Il grogne en luttant contre son instinct d'aller plus haut et plus profond. Des anciens souvenirs envahissent sa tête. Il a détesté la voir terrifier et la sentir se tétaniser quand il avait sa tête entre ses jambes pour commencer à la manger, elle l'a étranglé avec ses jambes. Il lui a fallu des heures pour qu'elle le laisse s'approcher et des jours entiers pour qu'elle lui parle. Il ne veut plus être la source de ses peurs. Alors il souffle et presses ses lèvres un peu plus longuement à l'intérieur de ses cuisses trois fois avant de ses relevés et de la supplanter avec son corps.
Elle efface sa larme et caresse ses cheveux.
-« Bientôt Papi. Je te le promets » elle l'embrasse sa main et la glisse en elle. Il tente de l'arrêter, il sent son malaise mais elle continue. Bonnie se soulève et l'embrasse « Bientôt » elle le guide à la stimuler bien qu'il lui faut peu de lui pour la mouiller. Damon n'en pouvant plus de la voir supporte bien plus qu'elle ne le peut, retire sa main et se couche sur elle,
-« Je prends le relais, Bonnie. Tu… Tu es forte, mais ne refais plus jamais ça Petit Oiseau. Tu me rends déjà fou avec moins que ça. »
-« Papi » protestes Bonnie le souffle coupée par sa poussée fluide et sec en elle sans la déchirer « Papi »
-« Chut, prend plaisir » il s'enfonce encore plus en elle. Ils font l'amour les yeux dans les yeux.
Pendant que d'autres arrivent sans la moindre difficulté à bien profiter de leur nuit jusqu'au levé du soleil, d'autres échouent lamentablement. Stefan est l'une de ces personnes. Pourtant, sa soirée a très bien commencé avec Rebecca. Après leur longue session de rattrapage et leur petite virée à la recherche d'une proie distrayante pour la blonde autour d'un verre et de plusieurs parties de billard puis il a bu allègrement d'elle. Ils ont lentement laissé leur désir de sang les entraîner à danser sous les draps. Le vampire était à deux doigts d'être comblé si aux alentours de deux heures du matin un rien ne l'irrite. D'abord, c'était sa couverture puis sa blonde qui lui donne trop chaux. Puis sa gorge ses veines ont été à la fois sèche et douloureux. Ces derniers symptômes ont obtenu son dernier nerf alors le voilà assis devant la porte de son garage en train de descendre la septième bouteille de bière. Il ne sait plus trop d'où vient cet inconfort en plein milieu de la nuit d'une envie de boire insoutenable ou à cause de son esprit tortueux ?
Une gorgée ensuite deux et puis trois sa dernière bière est terminée. Il est peut-être temps qu'il arrête de se voiler la face, sa soif est naturelle, car se nourrir d'un vampire même s'il vient juste d'étancher sa faim du liquide rouge n'est pas nutritionnel pour un vampire. En vérité, il ne doit cette nuit blanche qu'à lui-même. Il aurait dû garder ses pensées pour lui au PUB alors ni Damon et ni Elena l'empêcheraient de fermer les yeux. S'il n'avait pas pousser Damon à aider ce misérable serveur ainsi qu'à aller rencontrer la mystérieuse fan jamais il ne l'aurait pas fait marcher proche d'un enclos de serpents. Stefan ne sentirait pas impliquer danser et leur histoire pas tout à fait terminée. Mais s'il ne l'avait pas fait, Stefan n'aurait vu l'ombre d'Elena fuir le PUB. Il aimerait se rassurer et se dire que parfois les choses ne semblent pas exactement telles qu'elles paraissent. Cependant, ici elles sonnent comme telles. Tous lui semblent plus clairement. La gêne qu'il percevait au son de sa voix, son rire forcée ainsi que toutes ses excusent stupides qu'elle lui offrait pour faire taire ses interrogations et raccourcir leur conversation téléphonique. Elena tentait peut-être aussi lui éviter d'entendre quelque chose, car le son de sa voix était différent à chaque fois que l'hôtesse aéroportuaire de le haut-parleur récitait ses réclames. Elle volait assurément pour Mystic-falls, car elle n'a aucun problème à jongler avec les scènes Lemon et les aventures surnaturelles. Pourquoi lui mentir ? Pourquoi se cache-t-elle de tout le monde qui se soucie d'elle ? Ni Alaric ni Caroline n'ont eu de ses nouvelles ces quatre derniers jours. Cela n'a aucun sens si ses intentions en venant ici ne sont que bonnes.
-« Bordel de baise » injure Stefan avant de jeter la bouteille. Rebecca montre son minois dans l'encadrement de la porte. Elle ne manque pas les rebonds que la bouteille fait avant de se briser en un million de morceaux. La blonde fait un pas en arrière et retourne à l'extérieur puis revient avec deux poches de sang.
Stefan tourne sa tête vers elle quand elle s'assoit à ses côtés,
-« Prends en une, tu auras l'autre uniquement après avoir terminé celle-ci.»
-« Merci » Rebecca le regarde déchirer la proche d'un coup de crocs
-« Mais est-ce que je dois vraiment l'accepter ? Peut-être que je suis la personne qui te donne toutes ses rides entre les yeux. Même si je te trouve avec ridiculement sexy. » Stefan fronce les sourcils « Ok, je t'ai entendu lorsque tu as dit « Ce qu'elle fout là ? » d'ailleurs, je ne le sais pas moi-même, mais tu es de loin le seul homme de ma vie qui ne me considère pas comme une petite fille capricieuse à surveiller en permanence à cause de mon tempérament de merde. Je me suis toujours bien amuser en ta compagnie. Tu me comprends, on a toujours voulu la même chose. »
-« Bex tu n'es pas cette fille » le soulagement se lit sur son visage,
-« Bien, celle-ci, tu la mérites vraiment » il se précipite pour en savourer chaque goutte doucement alors qu'il accepte son coup d'épaule « Bonne récupération en fait »
-« Je t'ai réveillé ? »
-« Non, tu ne pensais pas si fort et je doute que tu veuilles en parler alors écoutes ceci parce que je veux profiter de mes dernière 24 heures avec toi »
-« Yep, ma poche de sang et moi t'écoutons »
-« Peu importe. J'ai appris à lire en toi durant nos années décadentes. Et je sais reconnaître toutes tes expressions. Il fut un temps la raison de certaines étaient Damon, Katherine ensuite Damon ou Elena ou les deux. Je t'aime et c'est parce que je me soucie de toi que je me dois de te dire qu'importe — Qu'importe la personne que tu désires sauver ou garantir son bonheur quelles que soient tes motivations qui se cachent dessous, garde à l'esprit que chacun doit porter sa croix. Chacun a son destin en main. Arrête de les couver de te sentir obliger de te sentir responsable, de les guider ou de t'effacer car tu es redevable. Tu dois vraiment trouver le juste-milieu, car tu es encore tes propres démons à combattre, ta vie à mener. » Elle rapproche sa main de son visage et caresse sa joue, ses cheveux. Elle se penche pour l'embrasse sur les lèvres et finit par se lever. « Reviens te coucher quand tu te sentiras mieux »
-« Attend » il la retient juste assez longtemps pour lui voler un baiser parce qu'il n'a pas eu la chance de l'approfondir. Elle lui retourne « Je t'aime aussi » Elle roule les yeux,
-« Ne le dis pas trop fort où ça va devenir gênant » il acquiesce avec le sourire aux lèvres et la regarde s'évanouir dans les entrailles du garage. Puis les minutes défilent et les mots commencent à prendre deux sens différents dans sa tête. Mais, il ne veut pas y penser ni à leur relation ni en ce qui concerne son ex et son frère. Il prend une pause dans son martelage de coups de pieds, s'essuie les yeux, cela ne fonctionne pas. Après trois gifles violentes autos infligées, il peut sans doute avoir des pensées cohérentes. Dans tous les cas Bex à raison, il ne doit pas indéfiniment s'en vouloir pour avoir forcé Damon à compléter sa transition ainsi que tous les choix qu'il a pu faire qui en découlent. Il doit faire la paix avec ce passé et laisser Damon faire ses propres erreurs sauf que c'est dur. Ça sera dur uniquement veiller au loin sur lui, de ne pas se mêler de ses histoires. Toutefois, il ne démordrait pas de découvrir ce que manigances Elena, ensuite, il envisagera le reste. Les Salvatore avant tout est le nouveau nerf de la guerre de Stefan Salvatore.
La météo est peu comme nos humeurs, parfois, il fait bon, humide, trop sec, chaud, frais ou froid. La plupart du temps les êtres humains ne sont pas satisfait alors dans leur esprit, c'est souvent gris et brumeux. Certain tente de lutter pour obtenir un climat plus chaleureux et aussi bon qu'avant dans leur quotidien et leur entourage. Ils sont prêts à opérer quelque changement, Rick veut le faire en parlant pour la cinquième fois à Jo ; Bonnie en décrochant l'appel matinal de Caroline ; Elena en décidant de donner de ses nouvelles à la famille Saltzmann en enregistrant une vidéo sous un faux fond bleue nuageux, quelques messages audio à Caroline, mais aucun à Stefan.
Tandis que Caroline est très excitée pour les moments qu'elle passera avec Bonnie et Jax ainsi qu'au nombre d'autopsies qu'elles vont assister aujourd'hui … Alaric ;
Le professeur d'histoire regarde sa petite femme terminer les coiffures de leurs petits monstres. Il connaît déjà la stratégie pour éluder la discussion. Elle l'a utilisé ces trois derniers jours. Marre de cette sensation de déjà vu, il déroge aux réglés de la maison,
-« Les filles, allez finir vos bols de céréales dans le salon et allumer la télé.
-« Yay » Jo éloigne ses lèvres de sa tasse fumante, regarde ses jumelles se lever de table soulevant leur bol et laissent derrière elles de gouttes de lait ainsi que des céréales tout mou. Elle boit enfin sa première gorgée interrompue et le regarde.
-« Ta décision, ta corvée » puis se retourne et dépose sa tasse sur la table. Elle se plonge à nouveau dans la consultation de ses mails sur son téléphone.
-« Bien, le ménage ne me fait pas peur, mais la colère et l'indifférence de ma femme » dit-il en finissant par une grimace « Pas trop » Josette soupire
-« Nous sommes Bon » elle le regarde avec un soupçon de tendresse « Je suis juste débordée avec les consultations, les interventions, les internes et les filles qui ont beaucoup d'énergie. Il y a »
-« Continue » l'incite Rick tandis qu'il profite qu'elle est baissé ses défenses pour se rapprocher d'elle et de croiser ses bras derrière son dos pour la réconforter.
-« Ne pas avoir des nouvelles d'Elena — C'est comme si je suis une mère d'une adulte partie à l'université. Inquiète de ne pas avoir été informé de la planification de ses projets. On ne connaît pas si elle est partie du Canada ou non. Je ne suis pas émotionnellement prête à parler d'un stupide repas avec des personnes qui ont trouvé normale de ne pas se soucier des sentiments d'Elena — Je ne peux pas faire semblant d'accepter ou de fermer les yeux comme toi »
-« WoW » Il travaille encore sur son dos, ses caresses sont plus douces et plus lentes « Calmes-toi. Je pensais qu'on avait une compréhension »
-« Je le fais » dit-elle en posant une à une ses mains sur les joues de son mari « Mais ici, tu me demandes trop. Je t'aime pour ta capacité à comprendre, à t'adapter et à te remettre en question, toutefois, ça, c'est au dessus de miennes. Ils sont tes amis, bien. Tu arriveras à accepter tout ce qui est pour tout le monde est insensé — bizarre et grotesque. Ok, mais pas moi »
Rick recule.
-« Tu fais comme si j'ai toujours été d'accord avec Damon datant avec Bonnie. J'ai été un connard traitant de Bonnie de profiteuse, de mauvais amie, d'une femme envieuse hypocrite et sans cœur. Je pensais tout comme toi que Damon et Elena étaient parfait l'un pour l'autre. Je suis le premier à voir les effets qu'ils ont eus l'un sur l'autre et une ne sont pas que positifs. Bonnie et Damon sont en bonne santé ensemble. Damon a avec Bonnie la relation la plus saine qu'il n'a jamais eue. Je roule pour ça. Je roule pour voir Bonnie profiter de sa jeunesse et de sa vie. »
-« Rick, tu confonds tout »
-« Non, chérie, je me suis bagarré avec Damon pour ne pas avoir assez attendu Elena, de l'avoir comparé à Katherine. Je pensais qu'il voulait faire souffrir Elena ou qu'il aime simplement les personnes brisées qui sont dans un tournant de leur vie. L'amour ne doit pas être rationnel. Le fait que j'étais un vampire ne t'a pas arrêter de me fréquenter »
-« Quand tu es comme ça, on ne peut pas parler »
-« Je suis comment ? Explique-moi »
-« En colère et obtus — Tu pars en croisade. Tu joues au bon flic et distribues des mauvais points parce que tu penses avoir raison. Sauf — que tu as tord. Peu importe leur raison de faire ce qu'ils ont fait, c'est impardonnable et dégoûtant. Ils n'ont pas pensé à Elena surtout Bonnie. Elle, qui se souciait de tout, est devenue une tricheuse, une personne égoïste accumulant de putains de mauvaises décisions mettant en danger le groupe, NOS FILLES ! »
-« Chérie » cette fois si c'est elle qui recule à un de ses gestes d'affections « Écoutes ; je comprends. Je le fais vraiment. Je me souvins comme si c'était hier la famille Saint John, l'Armory se sont pris à elles pour l'atteindre. Je mentirai si ces moments n'ont pas nourri ma colère seulement d'autres les ont remplacés »
-« Rick »elle secoue la tête « stop »
-« Non » il arrive à la neutraliser et pose son front contre le sien et la regarde tout en exerçant avec ses pouces une douce pression circulaire contre les joues de Jo « Tu dois te souvenir comme moi de tout ce qu'elle a fait pour elles. Rappel-toi de l'aide qu'elle a fourni aux jumelles. Remémore-toi de comment Bonnie nous a aidé à comprendre et à contrôler leur capacité de siphonner de la magie. Elle a été aussi une grande aide à définir leur petit cadeau, leur créer leur propre talisman — Bébé comprends qu'elle a été un bon professeur, un bon soutien quand nos connaissances et nos capacités ont été limité concernant nos filles »
-« La valeur des gens ne se limite pas à calculer le nombre de bonnes et mauvaises actions. Je ne peux pas oublier ce qu'elle a fait aux membres de ma famille et à Elena. Ses 18 mois dans le monde de prison avec Kai ou ces petits sacrifices ne vont pas atténuer, excuser même oublié son hypocrisie et son égoïsme. »
-« Les filles et Jax ne devraient pas pâtir de ton inimitié pour Bonnie. Crois-le ou non les enfants en souffre, le groupe moi et Bonnie »
Elle se libère encore plus de lui et laisse un grand espace entre eux
-« Ne mens pas » le menace-t-elle le doigt pointé vers lui
-« C'est vrai, je me souviens encore comme si c'était hier lorsqu'elle m'a demandé de te remercié, car tu étais l'une des personnes à ne pas la forcer à dire ce qui lui était arrivé. Elle te sera éternellement reconnaissante d'être toi, ce que tu représente. Tu est la preuve vivante qu'on peut survire à Kai » Jo baisse la tête et rit en larme, rit de colère colère.
-« Eh bien, elle m'a fait regretter le soutien émotionnel que je lui ai apporté. Et je ne peux pas faire autrement »
-« Tu te trompes sur Bonnie, Jo »
-« Peut-être » elle renifle et tapote sur ses joues mouillées « Alors laisse-moi le bénéfice du doute comme je vais le faire en accordant juste un dîner »
-« Merci » Bip bip le vibreur du téléphone de Jo la détourne de ses lèvres. Ses lèvres qui sont arrêter de s'étirer de manière enjouée depuis le début de leur conversation ne font maintenant que cela « qui est-ce ? »
-« Lena, je vais écouter sa vidéo pendant que tu vas surveiller les filles »
-« Embrasse la pour moi » une piqûre rapide sur ses livres la voix d'Elena résonne déjà dans la cuisine « oK et pense à me l'a renvoyer »
-« Bien sure » Alaric la regarde juste avant de s'éclipser. Il ne manque pas son éclat de rire, ses mouvements de recules pour s'installer plus confortablement contre le comptoir. Il baisse la tête, se poser à coté d'une jumelle et embrasse chacune de leur couronne en pensant qu'il a gagné une manche.
-« Alisha, Alisha calmes-toi » Bonnie soupire en sortant sa tête du placard et regarde sa fichue liste de course. Elle soupire une seconde fois, la mains essuyant son front. La sorcière se demande quand elle arrivera à terminer cette putain de liste. Les trente dernières minutes n'ayant rien donne misé-à-part de nombreux symboles, de lettres, dessins incompréhensibles qui noient les noms de quelques broutilles a acheter dû au nombreux allée et venue dans les armoires et le garde manger auto infligé. Heureusement qu'elle a lui. Damon l'aide à faire une pause et se ressentir. Ses mains autour de ses hanches et ses paires de lèvres sur sa joue la sauvent littéralement d'un court-circuit électrique. Sa douceur et son bonjour lui sont réconfortants et vitaux pour lui rappeler de relâcher la pression de si bon matin.
-« Mmmh qu'est-ce que je ferai sans toi, D ? » Damon rit
-« Visiblement, rien » plaisante en regardant la dite liste « Jette celle-ci, j'en ai commencé une hier. Tu dois juste la compléter avec tes bordels hygiéniques et médicaux » Bonnie fronce les sourcils. Elle tente de couvrir son téléphone d'une main en vain. Alisha persiste,
-« c'est vraiment urgent Bonnie. »
-« Bird, écoute la gentille Alisha, hein. »
-« Ok » expire la sorcière levant les yeux au plafond « Quelles sont les urgences ? »
-« La première notre fournisseur d'herbe est en rogne. Il ne comprend pas le bon de commande que tu lui as faxé »
-« J'ai dû avoir gardé l'original dans le bureau. Fax-lui de nouveau »
-« Le problème est que je n'y comprends rien moi-même. Il y a plein de symbole des chiffres, des lettres… Il faut que tu l'appelles ou ailles t'excuser, car il pense qu'on le rend pour un imbécile »
-« Ok » dit-elle en balayant le problème rapidement, mais ce n'est pas le cas de Damon. Les sourcils froncés se rapprochent d'elle et ramasse la blague de liste. Elle secoue la tête parce qu'il commence à s'inquiéter pour rien, ce n'est pas un truc de sorcière : tout ce charabia ne veut rien dire « Alors » elle s'éclaircit la voix « Le seconde problème »
-« Ta gynécologue a encore appelé, ici, parce qu'elle n'a pas réussit à te joindre sur ton téléphone. Dès que tu as le temps rappelle-la »
-« Ok, merci, j'arrive au plus vite » Bonnie raccroche « Hey qu'est-ce que tu rajoutes » demande-t-elle en se rapprochant de lui alors qu'il écrit sur la liste sur la table
-« Préservatif » Bonnie sourit de sa plaisanterie
-« Non, idiot ! Tu as épelé le mot céréale. Je me demande qui est le gamin ici, Jax ou toi. Tu manges plus de ces merdes sucrés que lui »
-« Tu devrais essayer ça rend aimable et moins coincée »
-« Tout pour toi »
-« Il ne faudrait pas » il fermer ses lèvres autour des siennes et amorce un bon et long baiser alors que Jax marche sur eux
-« Beurk, une chambre papito » Damon grogne de regret. Il essaye comme même de garder l'arôme de Bonnie dans sa bouche en se léchant les lèvres
-« Surveille ton langage mini moi sinon je continuerai à remplir la demande d'abandon d'enfant »
-« Mommy » les lèvres tremblantes de son fils et ses yeux tous pleins d'expressions de peur la fait pincer Damon
-« Aïe »
-« Ne l'écoutes pas, ton père raconte souvent des âneries. Tu es trop beau intelligent et important pour nous, bébé » Jax tourne sa tête vers son père et le regarde s'enfiler sa deuxième cuillère de céréales
-« Ta mère a toujours raison, mais elle devrait appeler son docteur sinon le prochain direct case adoption » Jax hausse les épaules n'ayant pas tout compris et s'asseoir à côté de lui
-« Peu importe, je vais préparer ton lunch et dans quinze minutes, on va être partie. On prendra ton petit-déjeuner sur la route. Ça te va ? » Jax opine de la tête
-« En attendant, bonhomme »Jax lève la tête vers lui « va regarder la télé » Damon attend qu'il soit complètement attentif à la télé pour donner un coup de main à Bonnie, lui attrape le reste pour faire le fameux sandwich mayonnaise, pancetta, crudités et poulet pané. Ensuite, il lui coupe un peu de crudité carotte et concombre à manger cru. Il se tourne, la regarde sortir un paquet de chips et une brique de jus et de lait
-« Bon, tu es sure que tout ira bien aujourd'hui ? »
-« Yeah, promis, je prendrais un rendez-vous avec mon médecin ou sinon je demanderai si elle peut me faire une ordonnance pour la pilule »
-« Oh » il arrête ce qu'il est en train de faire et s'arrête derrière elle « Je ne me soucies pas de ça, même si je suis très ennuyé par le port du préservatif. J'aime te sentir tout du long. On s'adaptera comme toujours. Ce qui m'inquiète c'est toi. Tu m'as l'air soucieuse et éparpillée. »
-« Je le suis » elle lui fait face « Et, je vais me ressaisir » elle l'embrasse « Promis. »
-« Ça fonctionne pour l'instant »
-« Merci » elle lui frotte l'épaule et lui emboîte le geste.
Ils terminent ensemble de faire le déjeuner de leur fils avec quelques plaisanteries. Ils poursuivent leur temps de qualité même sur leur porche de leur villa malgré que Damon soit dérangé par un picotement derrière sa tête. Au lieu de se retourner sur cette impression d'être une proie, il profite de la sienne ,sa compagne, tandis qu'un regard de biche a les yeux qui brûlent, brûlé, heurté par ce qu'ils dégagent.
Elena.
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