Titre: faiblesse
Auteur: rossignol-chan
Disclaimer: c'est une fanfiction donc, logiquement, puisque je suis une fan, rien ne m'appartient.
Raiting : K+ (je crois….)
Pairing : Havoc/Envy (demandez moi pas ou est-ce que j'ai trouvé ça, je ne le sais pas)
Note : C'est normal si il y a des choses qui ne coïncident pas avec l'histoire originale, je n'y ai pas fait trop trop attention.
Voilà, voilà, un chapitre de plus! Qui n'y croyait plus? P
Bah, au moins je l'ai posté, c'est déjà ça XD
Chapitre 4 :
J'entre chez moi, putain mais quelle soirée… C'était Envy ça?! J'ai encore peine à le croire… Comment un tueur pareil pourrait être comme ça?! Argh! Je comprendrai probablement jamais et puis, c'est pas comme si j'allais le revoir, je vais tout faire pour l'éviter. Mais il y a cette connerie de travail à deux balles que je dois faire, roh putain, je suis supposé faire quoi moi? Peut-être que je peux dire que je ne sais rien de ce qui s'est passé, mais que je suis certain que ce ne sont pas des homonculus, mais juste un tas de personne qui se sont entretués… Non, c'est pas crédible ça…
Pfff… Ça me donne mal à la tête tout ça, je m'assois sur un fauteuil et me sors une cigarette, peut-être que ça m'aidera à relaxer un coup… J'allume la télé, ça aussi, ça peut peut-être avoir du bon… En fait, sûrement pas, juste de voir un reportage imbécile sur rc6 me fait l'éteindre (rossignol-chan : non, non, il n'y a absolument pas de sous-entendus dans ce que je viens d'écrire… :).
Allez, je ne sais plus quoi faire, je dois me changer les idées sinon, je pourrai jamais me coucher dans cet état. Tiens, il y a une bouteille de brandy sur la table, ça, c'est certain que ça peut servir, je m'en sert un verre, deux, oh et puis trois.
Voilà, je commence à ressentir les biens faits de l'alcool (rossignol-chan : qui ne seront plus très bien demain). Je m'écrase un peu plus dans le fauteuil et ferme les yeux en prenant de grandes respirations. Je suis bien là, plus rien ne me tracasse.
Une image d'Envy me vient à l'esprit… Dieu que ce type est beau, mais il est si étrange, il a une apparence vraiment spécial et c'est ça qui le rend encore plus séduisant. J'ai l'impression que son corps est fait uniquement pour que quand il bouge, on ait l'impression que toute la sensualité du monde est regroupée en une seule personne. Sans parler des fringues qu'il porte…
Juste cette pensée m'excite, je passe une main sous mon t-shirt et elle glisse plus bas, défaisant mon pantalon, se glissant dans mon boxer… C'est fou ce que je dois avoir l'air con en ce moment : un verre d'alcool et une cigarette dans une main, mon membre dans l'autre, assouvissant mes besoins sexuels… Mais merde que ça fait du bien!
J'en oubli tout le monde qui m'entoure, tout ce qui s'est passé, tout ce qui se passera. La seule chose présente dans mon esprit, c'est Envy, juste Envy, Envy en train de rire sadiquement, Envy souriant comme le psychopathe qu'il est, Envy en train de me faire l'amour… Mais uniquement Envy.
Je ne pense à rien d'autre, même pas à ma résolution de tout faire pour l'éviter, même pas à comment je vais faire pour l'oublier.
Il n'y a plus rien, juste moi et lui.
Je m'endors ainsi, sans même m'être lavé, ma cigarette, maintenant complètement consumée et mon verre traînant par terre dans l'alcool renversé.
Xxxxx
Les rayons de soleil éblouissants qui passent à travers la fenêtre de mon salon me réveillent. J'ai un léger mal de tête, je suis encore fatigué et, pire encore, horriblement gluant à cause de la veille.
Je me lève et me dirige vers la salle de bain, une douche devrait règler mon problème.
Ce que je suis bien avec l'eau chaude qui me coule sur le corps…
Merde! Qu'est-ce que j'ai fait, c'était quoi cette journée hier??!! Ah… Je sens que mon mal de tête risque d'empirer.
Je sors de la douche, me prend une serviette et m'essuie, en la posant sur le comptoir, je me regarde dans le miroir… Que je suis, c'est débile de m'imaginer qu'Envy pourrait me trouver quoique ce soit alors qu'il est un dieu de la beauté et que moi je suis juste… ça. Et puis je suis encore plus bête de penser à ça, un homonculus ne pourrait jamais aimé un humain, déjà qu'ils n'ont pas l'air de trop s'aimer entre eux. M'enfin, il m'a dit qu'il aimait bien Lust, alors peut-être que…
NON! Jean Havoc, sort de ton délire là, t'es rendu encore plus con que tu ne le pensais!
Je sors de la salle de bain et vais vers ma chambre pour revêtir mon uniforme de soldat, je vais quand même aller travailler, c'est la moindre des choses.
En sortant de ma chambre, je passe dans le salon, ramasse le mégot de cigarette et le verre, je nettoierai le dégât demain, c'est que de l'alcool et des cendres, ça peut attendre et puis, l'Alcool se sera peut-être évaporé quand je reviendrai.
Je déjeune, me brosse les dents et pars pour Central.
Xxxxx
« Salut Havoc! » s'écrit Fury en me voyant. «Ça a l'air de mieux allé que la dernière fois. »
« Ouais… j'imagine… »
« Bon… peut-être pas… M'enfin, il y a Mustang qui voulait te voir dans son bureau dès que t'arrivait donc à ta place j'irais le voir. »
« Bien sur, tu sais c'est pourquoi? »
« Non, mais je te préviens, il a l'air furieux aujourd'hui. »
Je soupire, putain, un Roy en colère c'est définitivement pas ce dont j'avais besoin.
M'enfin, j'imagine que j'ai pas le choix donc je me dirige vers le bureau du colonel et frappe à la porte.
« QUOI?! » Me hurle une voix visiblement pas de bonne humeur.
« C'est moi, on m'a dit que tu voulais me voir. » lui dis-je, pas du tout impressionné par son ton d'animal ayant la rage.
« Entre! » fit-il, encore colérique, mais moins, beaucoup moins.
Donc j'entre et ce que j'ai sous les yeux me surprend : Mustang est là, arborant un air à la fois démoli et en rogne contre tout et rien.
« Je peux savoir ce qui t'arrive? » j'espère que ce que je viens de dire ne le mettra pas encore plus en colère.
« Non. » répond-il simplement.
Bon, j'ai l'impression que je vais passer un sale quart d'heure ici moi.
«Ça fait un bout qu'on a pas eu de tes nouvelles, » me dit-il « ce matin, on est allé faire un tour à la bâtisse et on a vu des corps, partout, t'étais au courant? »
je ne sais pas quoi répondre… Qu'est-ce que je dis? Si je dis que non, il va me dire que je ne sais pas faire mon travail, mais si je dis que oui, il va probablement me demander qui a fait ça… Merde, qu'est-ce que je répond?!
« Oui. »
« Bon et bien, tu sais probablement aussi que ce sont des yakusa qui sont morts, donc nous ne pensons pas que cette affaire ait un quelconque rapport avec des homonculus et nous ne comptons pas gaspiller quelqu'un de ton rang pour ça. »
J'en reviens, qu'est-ce qu'il est en train de me dire là?!
« Alors, » poursuit-il, « nous allons mettre des gens moins grader sur cette affaire, tu nous servira pour d'autres choses. C'est bien mieux quand tu es disponible n'importe quand, surtout lorsque qu'une crise survient. »
« Ah… Ok »
Il doit probablement se dire que j'ai l'air bête à ne répondre que ça, mais je n'y peux rien, je suis tout simplement surpris de ce qu'il vient de me dire…
Une idée vient de me passer par la tête, c'est peut-être idiot de lui demander ça, mais tanpis, je me lance :
« Dis, Roy… Désolé, j'oubliais… Dites, Mustang, tu en sais beaucoup sur les homonculus? »
« Quoi?! Mais c'est quoi le rapport… Enfin, oui quand même, pourquoi? »
« Juste comme ça, pour… pour ma culture personnelle, et tu… tu en as déjà rencontré? »
« Pourquoi tu bégayes, ça ne te ressemble pas… Mais bon, oui, oui j'en ai déjà rencontré. T'es bizarre avec tes questions toi… »
« Oh, tu sais, c'est pas grave, t'as pas l'air dans ton assiette, je demanderai à Fullmetal. »
« QUOI?! Qu'est-ce que tu lui veux à Ed?! C'est si important tes conneries d'homonculus?! »
Je suis bouche bée, mais qu'est-ce qui lui prend à lui?! Il frappe la table de son point et continue :
« Pourquoi tu veux autant en connaître sur les homonculus?! La seule chose que t'as à savoir c'est que ce sont des tueurs insensibles! C'est bien mieux que tu reste ignorant comme t'en as l'habitude pour le reste! »
Quoi?! Là, c'est trop!! Qu'est-ce qui lui prend de m'insulter comme ça!?
« EH! OH! Je te rappelle que contrairement à toi, je ne suis pas l'intelligent, le beau, le grand alchimiste de flamme! Mais je suis spécialisé dans des trucs dans lesquels tu te casserait le nez à la première mission, alors, arrête de m'insulter et puis quand t'auras appris à compter, tu verras que ça fait au moins 5 ans de plus que moi que t'es dans l'armée!!!!! »
Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais là c'en est trop, déjà que ces temps-ci je ne vais décidément pas bien, putain, qu'est-ce qui lui a pris de me faire chier aussi.
« Havoc, je t'ordonne de te calmer tout de suite, tu oublies que tu parles à un supérieur. »
« Et toi, t'oublies que tu parles à un ami! »
Il se tut un instant, ce qu'il peut m'énerver lui quand même!
« Oui, t'as raison, » me dit-il, « je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a pis. »
« Bah, moi non plus, je sais pas, mais une chose est sûre, pour quelqu'un qui dit ne jamais vouloir mélanger vie personnelle et professionnelle, tu viendras pas me dire que c'est le travail qui te met dans cet état, donc reprend toi donc. »
Le voilà qui se remet en colère :
« T'as pas fini?! Il ne se passe absolument rien dans ma vie qui puisse me mettre en colère, t'as jamais entendu parler de l'expression ''se lever du pied gauche''?! » Bah, voilà, c'est ça qui m'arrive, et ça uniquement! »
« Ouais et moi je suis le pape! »
je me lève et sors, je ne veux plus entendre parler de lui, c'est un con ce type, s'il veux être têtu et garder ses problèmes pour lui en ayant un sale caractère toute la journée, bah qu'il le fasse! Mais seul.
Xxxxx
Pfff… Quelles journées emmerdante, je suis content qu'elle soit enfin finie. Que de la paperasse pendant des heures c'est ce que j'appelle chiant.
Je peux enfin quitter.
À l'extérieur, il y a une petite brise, je croise les bras pour me protéger un peu de ce froid, j'en reviens pas à quel point je peux être frileux parfois.
Arrivé devant mon bloc appartement, je vérifie si je n'ai pas reçu de courrier. Rien.
Je monte chez moi et une fois entré, m'effondre sur mon lit, m'allume une cigarette et observe le plafond. Je rigole et murmure :
« C'est beaucoup plus intéressant que ce que je pensais un plafond. »
« Ah bon? »
Je me redresse surpris d'entendre la voix d'Envy.
Il est là, devant moi avec, encore une fois, son sourire moqueur d'épinglé au visage.
« Tiens, t'essaie de partir un feu dans ton propre appartement ou quoi? » me demande-t-il.
« Quoi?! »
Il regarde un point sur mon lit, et je tourne le regard vers les draps pour m'apercevoir que mon ma cigarette est tombée à cause de ma surprise et qu'elle est en train de noircir le draps :
« Merde! »
Je me mets à taper dessus pour l'éteindre, mais, bien que ça ait parfaitement fonctionné, c'est pas toujours intelligent de foutre sa main sur quelque chose de brûlant.
« Aïe! » m'écriai-je en enlevant prestement ma main.
Je me suis brûlé l'index de la main gauche maintenant, ce que je peux être intelligent des fois…
J'entend le rire moqueur d'Envy, il s'approche de moi, prend ma main et porte mon doigt à sa bouche pour le suçoter un peu. Je sens la chaleur de ses lèvres partout en moi. Encore une fois, je reste surpris, ça m'arrive trop souvent ces temps-ci, mais je ne peux rien y faire, tout est de la faute d'Envy.
Il lève les yeux vers moi, éloigne ma main de son visage tout en la gardant dans la sienne, et me demande :
« Tiens, c'est à cause de moi qu'on a pris une belle teinte rouge? »
Merde! Je m'éloigne vivement de lui et me lève.
« Qu…Qu'est-ce que tu fais ici? »
Il me regarde un moment, puis s'étend sur le dos, ses bras sous sa tête :
« Bah, j'Avais rien à faire, donc je me suis dit que je pourrais venir voir mon vieil ami, ça ne t'offusque pas quand même?! »
Mais voyons! Pourquoi serai-je…
« … offusqué qu'un tueur soit venu dans ma chambre et que je ne l'ais pas entendu entrer?! »
Oh non! Je ne m'étais pas rendu compte que j'ai dit ça à voix haute. Il éclate de rire puis souris d'un sourire très malsain et dit :
« Tu as raison, je suis un tueur, bien que je n'aime pas ce terme, tuer n'est pas un passe-temps pour moi tu sais, je n'ai pas le choix… »
Un éclat de folie traverse ses yeux et me fait reculer de quelques pas, il continue :
« …Même si j'avoue y prendre un réel plaisir la plus part du temps (rossignol-chan : oohhh il est trop chou Envy :3). D'ailleurs, je pourrais te tuer comme un rien en ce moment… »
Je m'éloigne jusqu'à sentir le mur contre mon dos, j'ai peur, horriblement peur, je sens que je tremble et que de la sueur froide commence à couler dans mon dos. Il se lève à son tour et me regarde droit dans le yeux.
« Mais ne t'inquiète pas, » me rassure-t-il, « parce que je ne le ferai pas. »
Je ne sais pas si je peux le croire, après tout, je ne le connais pas et disons que ce que j'ai entendu dire de lui, ne me dit rien de bon.
Il s'approche de moi et me reprend la main :
« Arrête de trembler, je te dis que je ne te ferai rien… »
Il a beau me dire ça, je ne peux pas me calmer, j'ai jamais eu aussi peur de ma vie.
« …Bon, j'imagine que nous ne pouvons rien y faire, allez, viens, t'es mieux de mettre quelque chose sur ta main. »
Il m'amène dans le salon et je m'assois sur le canapé, le plus loin de lui possible.
« Bon, t'as quelque chose à mettre dessus? » me demande-t-il.
« Euh… dans… dans la salle de bain, der…derrière le miroir… »
Pourquoi est-ce que j'ai répondu? Je ne le sais même pas… Je crois que je me détend un peu… Pas assez pour m'arrêter de trembler évidemment, mais c'est déjà bien d'être capable de se détendre quand on est dans le même appartement qu'un meurtrier…
Il revient avec une compresse et me la met sur la main, il s'assoie en indien à côté de moi et c'est alors que je vois une tâche de sang sur son short, mes yeux s'ouvre aussi grand que des balles de golf.
« T…tu… tu as du… s… sang sur la… eum… tuasdusangsurlacuisse… »
Il me regarde sans comprendre, puis il regarde ses jambes et dit :
« Oh! Ça… Oui, un connard qui était pas capable de faire gicler son sang ailleurs… » ronchonne-t-il.
Je retire tout de suite mes mains, et merde! Dire qu'en face de moi, j'ai un type qui parle de massacrer des gens comme si de rien n'était.
Il me regarde un moment, et sourit d'un sourire qui me fait clairement comprendre qu'il est en train de rire de moi :
« Tu n'as jamais tué quelqu'un c'est ça?! »
Je ne dis rien.
« Je vois, c'est surprenant, je veux dire, dans t'es dans l'armée après tout et quelqu'un de gradé en plus. »
« Et alors? C'est pas une raison pour tuer tout ce qu'on voit!!! »
Il semble sourire devant ma détermination, car il me dit :
« Ne t'inquiète pas, je n'ai jamais dit que c'était mal, c'est même assez mignon, mais bon, j'aime tuer et pas toi, et alors, tous les goûts sont dans la nature. »
Tous les goûts sont dans la nature… Elle est drôle celle-là… Putain, je me sens mal là, pourquoi il veut pas partir?! Je me lève et m'approche de l'armoire où je range mes bouteilles d'alcool :
« Tu veux boire quelque chose? »
« Non, merci. C'est une autre différence entre toi et moi, j'ai pas souvent soif ou faim… Les humains sont si faibles. »
Je me sers quand même un verre et me prend une cigarette. Je me retourne vers lui, il est maintenant assis à côté de l'accoudoir, le menton dans un main, une jambe allongée sur le fauteuil
Il est vraiment beau comme ça, d'autant plus que la lumière de la lune se reflète sur sa peau blanche et les reflets verts de ses cheveux n'en paraissent qu'encore plus merveilleux.
Je reste là à l'observer, il est vraiment magnifique, avec les vêtements qu'il porte, on voit parfaitement tout son corps, ses muscles saillants, mais pas trop, sa mâchoire parfaitement taillée. J'ai entendu dire que ce n'est pas sa vraie apparence, en tout cas, celle-ci est vraiment belle.
Son regard croise le mien et me ramène à la réalité, je baisse les yeux et je sens que je rougis.
Sans que je ne m'en rende compte, il se lève et s'approche de moi. Il me prend le menton et me force à le regarder, je me rend compte qu'il est plus grand que moi : je suis obligé de lever les yeux vers lui. Je sens son regard scrutateur sur mon visage et ça me met mal à l'aise.
« Tu es vraiment mignon quand tu rougis, » me dit-il.
Je rougis encore plus, c'est quoi cette histoire?!
« Mon œil, tu dis ça que pour te moquer de moi… »
« Évidemment que je me moque de toi, mais ça ne veut pas dire que je ne le pense pas. »
« Comment est-ce qu'un type sans émotions pourrait trouver quelque chose mignon alors? »
« Tu sais, je ne suis pas ''Envy'' pour rien, ce n'est pas la première fois que je trouve quelqu'un de beau ou de mignon. »
« Vraiment? »
Il rit et dit :
« Oui vraiment, sauf que d'habitude, ils se jettent dans mes bras dès le premier regard. »
HEIN!?
« Tu… Tu as déjà… fait… tu… tu sais, t'as déjà couché avec quelqu'un »
Il me regarde un moment en levant un sourcil puis éclate de rire, c'est la première fois qu'il rit autant. Qu'est-ce qu'il a à rire comme ça lui?! C'est normal d'être surpris qui aurait pensé qu'il pourrait trouvé quiconque attirant…
« Évidemment, qu'est-ce que tu croyais, j'ai des centaines d'années d'expérience de plus que toi dans à peu près tous les domaines de la vie. Même un homonculus a besoin de soulager ses envies parfois, après tout, on est le résultat des péchés des humains? »
C'est fou quand même qui aurait cru qu'Envy avait déjà baisé… Surpris, je murmure :
« Je me demande comment c'est de coucher avec un homonculus… »
Je plaque mes mains sur ma couche, qu'est-ce que j'ai fait, je suis con! Même si c'était inaudible, ce type a un ouïe trop fine, je suis certain qu'il a entendu.
J'ai raison puisqu'il me répond :
« Désolé, je ne peux pas t'aider sur ce fait, je n'ai jamais pris le temps d'attendre les impressions des autres avant de les tuer. Peut-être que t'as qu'à vérifier. »
Comment?! Il les a tous tué?! Je recule. Et en plus, il me dit qu'il les a tué et ensuite il me propose de faire l'amour… non, de coucher avec lui… Je ne suis qu'un objet pour assouvir ses désirs?! Est-ce qu'il compte me tuer?! J'ai peur.
« Je vais prendre ça pour un non, » annonce-t-il.
À ce moment, mon téléphone sonne, qu'est-ce que je fais?! Je réponds ou non?! Et si c'était urgent?!
Je regarde Envy avec un regard qui se veut suppliant. Il sourit, taquin et met un doigt sur ses lèvres.
Je prend décroche le combiné sans un mot :
« Havoc? Second-lieutenant Havoc?! JEAN! »
« Euh… oui, oui, désolé, qu'est-ce que je peux faire pour toi Roy? »
Putain, mais c'est pas le moment!
XXXXXXXXXXXXXXXXVerdict? Aimé? Pas aimé? Faites-le moi savoir par une petite review :
Je sais, je sais, là, à peu près tout le monde était OOC… Désolée
M'enfin, au moins j'ai fini un chapitre de plus, il était temps mdr, et vous savez quoi?! Je suis pleine d'inspiration là donc l'autre devrait venir d'ici une à deux semaines XD
