Mouagnagnagnaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah
Ahem.. retour à stature normal..
Chapitre 3 : …….. Musique qui berce l'appétit.
Une douce lueur parcourait le hall latéral gauche de l'institut. Cette lueur c'est la renaissance du Soleil qui l'envoyait lentement doucement comme pour ne pas réveiller les occupants. Tous ?...
Il descendit furtivement, nonchalant puis il vit une pièce…
Encore une que je découvre.
Normal, il n'y était arrivé que depuis 3 jours. Cette pièce était grande ouverte, les lourdes portes encadraient une large entrée.
Atmosphère douce. Silence.
Mais lui, il les entendit toujours, constamment, en parcourant pieds nus les halls de l'Ecole, à chaque dalle, serait ce des Echos ? Le vent caressant les feuilles ; Non… quelque chose d'autres. Il le sentit à chaque dalle traversée, les murs qu'ils longeaient le laissaient blessé, heurté, brisé… Ces murmures… Toujours remis à rallonge, renouvelés de temps en temps, ces murmures. Tant qu'ils seraient ici, ils remplaceront la Solitude.
Il leva les yeux. Quelle pièce immense…
Des machines ?
Il y avait des chevalets en métal.
La pièce peut-être 150m2, lumineuse du fait d'une large vitre et des murs jaunes paille, le plafond délicieux et velouté… oeuvres frescales le décorait.
Il s'avança et après avoir scanné visuellement il s'aperçut quelque chose qui tenait sur quatre pieds sombres presque noir à 1 degré de rouge. Il s'avança vers 'ça'. Il était maintenant plus que quelques centimètres mais pouvait aisément le toucher.
Qu'est ce que c'est ?
Pourtant il sentit l'avoir déjà vu…
Où ? Oui, où ?... non c'est impossible… j'ai oublié ça c'est sur…
En dessous de cette chose suspendu sur 4 pieds un tabouret de la même couleur. Il le tira vers lui et s'assit. Avec précaution ultime, il caressa non moins que ça effleura de ces doigts la chose. C'était comme ça. Une énorme boîte le couvercle aussi immense que la boîte, une multitude de corde, et face au jeune adolescent une autre boîte longue de la longueur de l'ensemble de la chose. Boîte parce qu'une main suspendu à celle-ci il sentit un couvercle.
Que faire ?
D'accord le fait de pouvoir être expulsé de l'Ecole n'est pas un des plus mauvais choix…mais et oui c'est ce naturel curieux qui le poussera néanmoins à franchir l'ignorance et il leva doucement avec beaucoup de délicatesse le couvercle et…
Une multitude de touches blanches alternant avec des touches noires, les blanches étant plus larges et plus plates que les noires, toutes rattachées les unes avec les autres.
Ça y est enfin.. le nom de ça je me souviens plus mais je sais que ça fait du bruit. Quelque chose de doux comme de la pluie oui des gouttes de pluies qui tombent sur différentes matières… c'est doux…
Mais ces murmures qui le suivent eux aussi le sont différemment comme…
Le jeune adolescent de sa peau claire de neige toucha de ses doigts fins ces touches et comme si les connaissant déjà il joua un air mais cet air là ce n'était pas jouer non. Ce qu'il faisait était de raconter une émotion, un état d'esprit celui qui était présent depuis un certain temps déjà.
Do grave : tristesse
Do…do do do … bémol : une coulée argentée.
Do, do, do : monotonie.
Bémol si : douleur.
Do, do, do : chaque jour qui passe
Do, do, ré, do, do, ré… do, ré.. : un abysse de ténèbres
Do, ré grave…… do, ré grave, bémol : un jour je sais que je voudrais y remonter.
Deux élèves, plus exactement un l'air bien énervé s'avança rapidement vers l'escalier qui mène à la salle de Musique. Grâce à Dieu rejoint de suite par un autre plus raisonnable.
« Oliver ! un de ces quatre je lui f'rai sa peau à celui la !
- T'excites ! Regardes il est là ! »
En effet, Oliver s'était assis sur la 3e marche en commençant du bas. Accoudé aux genoux, les mains soutenant sa tête et les yeux fermés, il écoutait.
« Merde.. rien à foutre ! c'est le matin et.-
- Ferme là un peu ! »
Non l'ado n'était plus fâché mais surpris, il venait le Roi de l'Insociabilité, parler et défendre… qui ?
Les 3 élèves s'avancèrent jusqu'à la porte de la Pièce.
Choc. Surprise. Attendrissement.
Un temps : un espace de quelques secondes. Ce temps celui du rêve et
Mi, mi, do aiguë, mi, mi, fa, fa sol… sol, fa, fa… mi, mi : un nouveau jour se lève, une nouvelle page de tournée, ce rêve peut être un jour comblée.
Do, do, do : monotonie.
Premier temps : encore.. ce même air toujours présent
Deuxième temps : mi, mi, fa, sol, mi, fa, sol : que de question
Même air : 1er temps + 2e temps : seul il se les pose ?
Mi, mi, mi bémol, mi, fa sol bémol…
Cette personne ; c'était non plus impossible mais encore incroyable. Il n'y avait que ses cheveux d'ombres attachés au milieu par une longue cordelette grise que les 3 autres le virent. Toujours aussi étrange comme l'air qui s'émanait de cette boîte à musique qui d'ailleurs à la déception d'Oliver s'était arrêté. On aurait presque dit qu'il s'était évanoui dans l'air.
Ces murmures sont devenus des regards maintenant. Il les sentit si proches. Si transperçant. Bien que leur sentiment était beaucoup moins violent, ils restaient toujours dans ce même état d'esprit, celui de le mettre, lui dans la marge de l'étrange, l'inconnu, 'l'autre'. Le point d'interrogation, celui à qui on a oublié de mettre une définition.
Moi ?
Mais en ce moment c'était un du trio qui s'était avancé, il avait placé une main sur son épaule.
Alors il me touche quand même
L'idée de 'vitrine se brisa. Un rayon traversa la vitre. Oliver se trouva en contre-jour, il montra le clavier et le pointa lui du doigt. Il obéit.
Do, do, do…do, do, do… : monotonie : 1er temps
Mi fa sol bémol… mi fa sol bémol
Mi fa sol bémol
Do, do, do… do, do, do/
Solo la si, sol la si… sol la si, si la si do aiguë : une information, pourrais tu m'écouter ? Voudras tu m'écouter ?
Si la sol / si la sol/ si la sol… J'aimerais te montrer dans quelle couleur baigne mon cœur.
Do do do ré… do do do ré
Sisi la si la sol
Do do do ré … do do do ré… do do do ré
Do aiguëdo, si la sol
Sol sol si la do
Tu vois j'aimerais te le dire mais je n'y arrive plus peut être me comprendras tu ?
Hélas la seul chose que mon corps fais mon esprit ne prend que peur…
Et pour tant c'est ce la qu'il veut : pleure…
Il laissa ses doigts glisser le long du clavier jusqu'à les poser sur ses genoux qui tremblaient, la tête baissée tournée ver le vide. Des larmes coulaient, sur ses joues qui s'étaient échauffés à causes de l'émotion, maintenant devenu rouge. Les deux élèves qui étaient restés à l'arrière s'avancèrent et 'encerclèrent' l'adolescent toujours sans nom. Le plus grand des trois qui était en face de lui s'accroupit et passa une main pour effacer les larmes. Sans bouger, l'adolescent sans nom leva simplement les yeux. Puis le russe aux yeux de braise se releva brusquement. Effrayé, il trembla cligna des yeux en tournant la tête vers le bas.
« Bon les gars, j'vous laisse mon horloge biologique m'appelle à la cafete !
- Brian, s'exclama le français. »
Après un soupir des deux autres, l'ado aux yeux et cheveux d'améthyste s'en alla.
La pièce fut embaumée d'un silence presque d'or. Sans communication…
Alors le russe au regard de glace eut une idée et s'adressa à son camarade de classe.
« Pourquoi tu ne nous joue pas l'air du Printemps ?
-… »
Un temps celui de la compréhension.
Le russe glissa en dessous de celle de l'étranger et l'enveloppa, puis gentiment l'entraîna près de lui. De l'autre coté l'adolescent aux cheveux d'ombres, sursauta et à petits pas timides rejoignit son 'tuteur'. Oliver prit sa place et joua un air…
L'inconnu se sentit bizarre, cet air là… pour son cœur, c'est quelque chose d'agréable qui y naviguait comme un brin de soleil. Oui le soleil du matin, celui qui vous réveille, qui vous accueille chaleureusement, serait ce lui le soleil. Un fils du Soleil ?
L'adolescent fixa le pianiste aux cheveux flore et aux yeux océans l'air…
Quels sont ces mots qui ne méritaient certainement pas d'être oublié
Cet air l'accompagnait à merveille… il lui allait tellement bien…Des murmures, les revoilà, oui ils approchaient même. Il sentit encore des frissons parcourir son corps, ses membres, il mit en alerte ses sens qui comme s'ils étaient en danger, s'affolaient. Puis tout d'un coup, il sentit quelque chose, non il entendit quelque chose, il reconnut ce timbre : de marbre, mais pas n'importe lequel, celui-ci résonnait dans sa tête comme un esprit angélique qui de ses ailes chassent les mauvaises ondes.
« Viens. »
Il sentit sa main chaude serrer doucement la sienne et ce garçon aux yeux de velours carminé le poussa dans sa direction. Il obéit. Comme il a toujours fait, toujours su le faire, parce qu'on l'avait obligé à le faire sous peine de punition. Il sentit son cœur battre, battre très fort dans son thorax, puis un pincement, ce couloir traversé ce matin étaient maintenant occupé par quelques élèves. Ces élèves, il ne les vit pas. Non, il avait baissé la tête, les yeux rivés sur le sol. Et puis il n'avait pas eu besoin de ses yeux pour comprendre leur centre d'intérêts. Ces murmures. Ils leurs appartenaient. C'étaient leurs murmures, qu'il avait empêché de dormir ces trois nuits passées ici…
« Kaï, tu feras quoi c'matin ? »
Le pianiste aux yeux océans commença à tartiner sa tranche de pain de mie en attendant la réponse.
« Sais pas. »
Rude, elle lui parut aussi rêche que les murs de son premier institut. Mais pourtant il sentit agréablement sa présence à ses côtés. Néanmoins, les murmures les retenaient dans un monde d'angoisse et de rejet, encore plus proche que cet adolescent aux yeux de feu.
« Tiens. »
Il sentit qu'on le tapotait à son bras, il retourna vivement sa tête en cette direction. Le pianiste lui présenta la tartine et la posa en prenant bien soin de retourna la main de l'inconnu.
« Bon appétit »
Cette chose, rugueuse, d'accord. Mais une jolie matière translucide rose carminée attirait son attention. Alors il se mit à faire visuellement et discrètement le tour de la table et s'aperçut d'une chose.
Alors il faut la manger !
Ces murmures, ils les comprenaient.
Mmm… c'est agréable.
Le goût de cette chose dans la bouche qu'il mastiquait, elle fondait dans la bouche, les différentes textures se mélangeaient entre elles, la 1ère bouchée, il la caressa avec la langue, il y avait 3 couches de goût différent. Puis il passa le morceau vers sa mâchoire dentaire.
C'est doux. Ça ne fait pas mal. Ça ne fait pas vomir.
Il se sentit bien quand le résultat gustatif descendit et commença son parcours digestif. Mais ces murmures…
« T'as vu ? l'es bizaaarre !
- … Oué, j'avoue 3h pour une tartine grave le mec ! »
Frustré.
« T'as vu ces dents ?
- oué.. on dirait un monstre. »
Blessé.
« Ouais, regardes ses yeux jaunes… »
Heurté.
« Il fait peur tu crois pas ?
- Ouaiiis, il est dégueuuu… en plus on sait même pas si c'est une fille ou un garçon.
- T'imagines c'est les deux !
- Bêêêêêêk ! Arrêtes tu vas me faire vomir…
- C'est un hermaphrodite, c'est un hermaphrodite, c'est un-
- Arrêtes Ian… »
Meurtris
Son ventre en réclamait, mais son esprit ferma les yeux ; Sa tartine il n'en était qu'à la moitié. Ces murmures… C'est eux qui étaient bizarre.
« Il a pas faim ? C'est triste tout de même vu comme il est maigre, il n'a pas dû manger beaucoup.
- Un point »
Ses yeux océans même s'il ne les voyaient pas il les sentit fixer encore.
« Ben t'en veux pas ? »
Il n'osa pas le regarder. Alors il ressentit ce tapotement à son épaule, il leva la tête sans la tourner et vit dans son champ visuel une main lui pointé sa tartine. Cette main avança la tartine vers lui. Puis tout d'un coup, un mouvement brusque et pataud plongea vers sa proie ! Effrayé il trembla de tous ses membres et ferma très fort ses yeux.
« Takao c'est pas à toi !
- ben et alors, il en veut pas et moi siiii, s'écria t'il en ouvrant une large bouche.
- Takao, y a vraiment que toi pour faire ça, soupira Oliver
- aaaa-… Eh ! mais »
Ses yeux de braises oui de braise exactement comme du feu qui vous enveloppe et ne vous laisse aucune issue.
Il .. me fait peur maintenant et pour tant…
« Casse toi !
-Psss… depuis quand il me casse les pieds pour une tartine lui ? »
J'ai peur, l'ais-je inciter à faire quelque chose qu'il n'avaient pas envie de faire… et pourtant.
« Mange ! »
Un ordre. C'est trop tard pour reculer. Alors c'est ce qu'il fit, il se sentit si mal à ce moment là. Il le sentit si distant, presque comme 'eux' et pourtant…
Yahooo ze chapitre est troop descriptif, qu'en dîtes vous ?
Nan j'laisse pas les autres causer ..moi pas contente on a dû faire quinze reprise pour que je puisse puiser toute l'essence des mouvements des sentiments
Les beybladeurs : rrrreeeennnppiichhhhh…..
Ah ouaiiiiiiiiiis j'ai oublié de vous dire que les phrases en italique c'est l'inconnu qui parleeeuh.. on sait jamais que vous ne le sachiez pas ou que vous n'avez pas compris
En fait.. ptêt que vous savez qui sait gnignigniiiiih..ptêt pas…. remihihihihihihihiiii
XDXDXDXDXD
