Killpdt : AHEMM j'ai oubliéé un truc suuuuuuuuuuuuuuuper important AAAAAAAAGH..

J'me reprends BEYBLADE NE M'appartient PAAAAAAAAAAAAAAAS .. c'est triiiiiste

-Kaï : et après qu'est ce que ça nous fait ?

- Rei : Rien.. absolument rien, on est toujours torturés alors tu peux l'enlever cette remarque.

Comment t'es méchantt bon vé arrêter de te faire fréquenter par Kaï parce que ça ne va plus du tout !

Rei et Kaï : PLACE à l'HIStOirE !

Disclaimers : ……………………..plus rien……………………………………………………

Et mercii 1000000000 fois à Gakuto Mukahi de m'avoir reviewé ( une review avec ton contenu en vaut plus de 1000 )

Chapitre 5 : Dehors. Tant de choses à comprendre

Dehors. Lieu Public. Dehors. Beaucoup de bruits, beaucoup de sons, tous différents, des sons inconnus surtout. Dehors. Vie Publique. Beaucoup de choses sans nom pour lui, qui se balade, qui se bouscule, qui s'accroche, qui font du bruit, qui se ratatine, qui se suive, qui se touche, qui se choque et s'entrechoque…

Dehors, des immeubles neufs, flamboyants et ultra moderne construisent la métropole, autant de couleur que de bâtiments, beaucoup restaient sombres certes mais le soleil était présent pour les mettre en valeur.

Ce soleil. Ces lumières qui se réfléchissaient beaucoup plus colorés que leur support ces lumières artificielles il y en avait beaucoup, de différentes matières, métallisés, de néons, brillantes, flash antes, continue, instantanées, changeante, similaire, ce qu'elle disait des messages, des informations, des textes, des slogans, des logos, beaucoup de choses, trop de choses.

Dehors. Il se sentait mal, déjà petit, mais là soumis.

Dehors, jour de soleil, jour de congé, jour férié, jour de Monde.

Du monde, que de monde, trop de monde. Au loin, dans les rues, à l'horizon, aux fenêtres, à droite, dans les bâtiments, à gauche, se baladant, se suivant, en file indienne, courant, sautant, des petits, des grands, des sérieux, des fâchées, avec des lunettes, chauves, près de lui, qui le bouscule, le pousse, se font des croche-pattes, s'amuse, des bulles de chewing-gum, se battent, font leur lacets, claquent des talons, des va-et-vient, bâillent, des rouquins, traînent, flânent, roulent des yeux, rient, se moquent, avec des tresses, des chapeaux, un ballon qui s'envole, des pleurs de bébé en poussette, un coiffé rétro, des jupettes, discutent, s'occupent, dialoguent, au téléphone, entre eux, dans ces choses qui roulent, sur des bancs, lui tirent les cheveux, imposant, gros, grossier, s'engueulant, s'embrassent, se trémoussent, provocants, s'enlaçant, rentrant dans ses bâtiments, gravant des escaliers, des graffitis sur des murs, glissant sur des rampes, des barres, enjôleur, taquinant…

Trop de monde, que de monde.

Mais tous oui sans exception, tous avaient jeté un coup d'œil sur lui, lancer un murmure, un rire, un souffle, un regard méprisant, dédaigneux sur… lui

Moi. Mais qu'est ce que je leur ai fait ?

Question stupide ? Non. Inutile. Oui

Il se cogna ou plutôt se fit attraper par une forte musculature et sa tête atterrit sur un thorax… 2 pectoraux. Peur ?.. Il se poussa mais non deux fortes mains lui prit ses poignets et lorsqu'il releva la tête, il rencontra ses yeux, ses uniques yeux de velours carminés.

« Un peu plus et on te perdait »

(AN : me demandait si je cassais là………XD………. J'aurais pu mais naaaa !)

Cette voix, malgré le nombre de gens, de bruits sur cet espace, cette seule voix qui atterrit dans ses oreilles, se distingua des autres.

Il sentit la main de cet adolescent lui prend fermement la sienne et se fit entraîner dans la foule, par ce lien solide presque indestructible. Il se sentit mieux, toujours étouffé mais cette fois ses sens s'apaisèrent et il pus alors sentir, sentir cette fois ces sensations, ses sensations qui concernaient son corps à part cette main douce qui avaient enveloppé la sienne ses yeux fermés, il pouvait alors sentir le Soleil lui caresser chaleureusement la peau, sentir une brise de mi-matinée jouer avec sa tête. Et enfin autre chose, dur, grain, non percé par des micros -trous, gris et chaud avec le soleil et le nombre de chaleur corporelle qui sont passés dessus. Dessus, sur se sol. Sol de bitume.

Killpdt : C'était court hein ? bon alors et bé faut se baser sur le point de vue de… 'l'inconnu' OK.

Objection : ……………………………………

Rei : Quand est ce que je parle ?

Objection refusée…

Kaï :…………. Franchement tu dépéris de plus en plus. Trop nul ta fic pas assez d'actions et p-

MERDEEEEEEEEEEEEEEUUH

Rei : en plus t'es grossière imagine y a des go-

Bon laissez tombé vos ridicules objections on passe à la suite.. pour l'action.. j'ai jamais dit qu'il n'y en aurai pas juste que chaque choses en son temps na !

Rei et Kaï : . '''