Salut a tous oui je sais je n'ai pas éditer de chapitre ce week end dsl mon pc a été monopoliser par mon père bon alors tous d'habord je remercie toute les personnes qui n'ont laisser des comms et celle qui continue à la ma fic aussibien évidement car je constate qu'elle a été vue 5425 je suis trpo contente alors voilà je ne vous retiens pas plus longtemps bonne lecture et à la semaine prochaine plus que 2 chapitre et ensuite on commencera la prochaine fic
Chapitre18
Sasuké qui après avoir vider le coffre et avoir monter les valises dans la chambre, se dirigeât vers le salon où sakura admirait la vue. Elle ne prît pas la peine de se retourner pour lui demander :
- Comment se fait –il que vous aillez autant de maison ? Je croyais que ton père était entraîneur de judo et possédait son dojo c'est tous.
- Ah la base oui ! mais il s'est vite rendu compte que cela ne lui suffirait pas pour pouvoir élevé toute sa famille a lors il s'est lancer dans l'immobilier. Maintenant il est la tête d'une grande entreprise. L'éventail asiatique tu connais ?
- Bien sûr qui ne connais pas c'est les meilleurs magasins immobiliers on trouve de tous à tous les prix ! Alors c'est ton père qui a créé cette chaîne de magasin ?
- Oui.
- Ah…… Et itachi va en hériter ?
- Non, moi. Dit-il durement.
- Mais pourquoi ?
- Mon frère ne veut pas prendre la succession. Et comme mon père ne peut rien lui refuser c'est à moi d'assumer le reste.
- Ah bon dit-elle en se remettant à contempler le paysage. ' je comprend mieux pourquoi sara devait se marier à sasuké. Sara étant la fille d'un entrepreneur. Il construit les bâtiments et les décores avec les mobiliers de son beau-fils à bas prix. Hnf je vois. De plus, sasuké y gagne à tous les plans il aura ensuite l'entreprise de beau-papa ainsi qu'une belle poupée barbie. Mais manque de chance, je suis arrivée.' Sakura toujours plongée dans ses pensées n'entendit pas Sasuké déclaré :
- Je vais prendre une douche il fait crevant de chaud.
- Hn ! (vraiment Sasuké tu déteint sur elle grave lool).
Sakura qui mourrait littéralement de chaud se dirigeât vers la cuisine pour se servir un verre de thé glacer avec des glaçons. (Très important les glaçons). Elle s'installa sur le canapé ses jambes repliées et la tête renverser sur le divan. Elle avait trop chaud. Il faisait au moins 35°. Elle prît un glaçon de son verre et le posa sur le haut de son cou en poussant un soupir d'aise. ' Dieu ! Que cela fait du bien !' Elle le fît glisser jusqu'au bas de son cou puis descendît jusqu'au bord de son décolleter. Pour ensuite recommencer la même opération plusieurs fois.
Sasuké sortit de la salle de bain les cheveux mouillés et le torse parsemer de petite goutte d'eau un essuie poser sur ces épaules. Il portait (rien du tout lol mais non je divague je divague mais kes k se serait bien Hein ? les filles lol) un pantalon noir. (Dommage ; ;). Il faisait vraiment très chaud. (Moi aussi j'ai chaud mais pour d'autre raison Sasuké sans rien ouahhhh lol je m'égare. Sasu : tu fais peur surtout. Moi : tais –toi ou je te saute dessus).On était en mi-juillet et pourtant il faisait une chaleur étonnante pour la saison. Atteignant parfois jusqu'à 40°.
Il décidât d'aller se chercher un soda. Et s'arrêta devant le spectacle qui s'offrait à lui. Sakura se passant un glaçons dans le cou. La tête renversée en arrière, les yeux mi-clos. ' Dieu qu'elle était sexy'. (Hum la magie du glaçon ). Sasuké suivit du regard le chemin d'une goutte qui s'était formée par le contact de la peau brûlante de sakura contre le glaçon. Elle partait de la base de son cou suivant la forme de celui-ci. Glissant paresseusement contre sa peau de pêche pour se perdre par la suite dans le creux de ses seins.
Sasuké poussa un soupir rauque. Sakura en l'entendant se retourna vers sasuké. Il la regarda intensément (vous savez ce regard qui vous faîtes fondre comme neige au soleil les filles ?). Sakura soupira son prénom. Il s'approchât d'elle lentement. Et suivît de son doigt le chemin emprunter par la goutte il y a quelque instant. Pour ensuite terminer sa course au bord du décolleter ; Il le glissa sous la bretelle de son t-shirt.
- Sasuké…
Il n'en pouvait plus. Il se penchât vers elle pour l'embrasser quand soudain (et oui faut que je casse l'ambiance) la sonnet de la porte d'entrée sonna.
- Et merde ! grogna-t-il.
Mais ne bougea pas pour autant. (Tu n'étonne) Il continua de pencher sa tête pour capturer les lèvres de sa femme. Quand la sonnette retentit cette fois avec insistance.
- Je vais ouvrir déclara froidement sakura qui se levait déjà.
' J'étriperais moi –même l'imbécile qui a oser nous déranger. Bordel j'y été presque.'( et c'est pas drôle si c'est pas retarder ! non ?)
Sakura se dirigeât vers la porte.
' Merci mon Dieu d'avoir envoyer cette personne. Encor un peu et je retombais dans le panneau'
Elle ouvrit la porte. Mais en voyant la personne se trouvant en face d'elle, elle n'était plus aussi sûr d'avoir envie de remercie le seigneur pour cette visite. Sara moulée dans une robe rouge carmin avec décolleter plongeant entra dans le hall sans se faire inviter.
- où est sasuké ?
- Bonjour à toi aussi. Je vais bien merci.
- Oh bien tant mieux pour toi. Où est sasuké ?
- Pourquoi ? Tu as quelque chose à dire à MON mari ?
- Oui !
- Et bien dis-le moi et je ferais passer le message.
- Cela ne te regarde pas.
- Je vois répondît sakura suspicieuse.
- Je ne crois pas. Non !
- SASUKE cria sakura. TON COLIS EST ARRIVER dit-elle sarcastiquement en regardant sara. Sasuké entra dans le hall mais ne vit pas tous de suite sara
- Un colis ? Mais je n'ai rien commander dit-il puis son regard se posa sur sara.
- Ta femme a un humour assez spécial.
- En effet oui dit-il en posant son regard glacial sur sakura.
- Hum chéri, ne consomme pas ta friandise trop vite dit sakura tout aussi froidement. Je vais te laisser le temps de la savourer à ta guise. Je pars faire un petit tour.
Et avant que sasuké n'aie pu faire le moindre geste sakura était déjà partie.
Sakura passa le reste de sa journée à faire les magasins dans la ville la plus proche. Elle revient à la villa tard le soir après avoir pris son dîner seul dans un restaurant de la ville. Elle avait espérer que sara serait partie pour quand elle serait rentrée et que sasuké fatiguer se coucher. Peine perdue. Quand elle pénétra dans le hall au lumière éteinte après avoir silencieusement introduit la clef dans la serrure et refermer soigneusement la porte. Une voix vibrante retentît dans le hall silencieux et sombre.
- C'est à cette heure – ci que tu rentres ? Elle était base mais on sentait de la colère contenue.
- Je n'ai pas de compte à te rendre sasuké.
- Tu es ma femme. Et je crois, avoir le droit de savoir où tu vas et quand tu comptes rentrer !
- Hé bien tu as mal cru. Ecoute sasuké, je n'ai pas envie de me disputer avec toi maintenant. Il est tard, je suis fatiguée, j'ai mal au pied et j'ai une migraine atroce. Alors stp en reparlera demain.
- Hum. Bien allons nous coucher. Sasuké pris la main de sakura pour la conduire vers leurs chambres.
- Mais qu'est-ce que tu fais ?
- Hé bien ! je t'emmène dans notre chambre.
- Non !
- Comment cela non ?
- Je ne dormirais pas avec toi, sasuké !
- Quoi ? Mais sakura, on en avait déjà discuter et je me suis pourtant montrer claire. Je croyais quel on était d'accord.
- Encor une fois tu as mal cru
- Sakura stp arrête de discuter et allons-nous coucher.
- Oui, je vais aller me coucher dans la chambre d'à côté seule, sasuké.
- Sakura soupira-t-il.
- Quoi ? dit-elle avec un air de défit.
- Rien, bonne nuit. Sur ce, il tourna les talons pour regagner sa chambre.
- Oui, bonne nuit sasuké murmura sakura.
' hé merde ! je ne comprend rien. A un moment, elle me regarde avec des yeux brullants de désir pour moi. Et l'instant d'après, elle fait comme si il ne s'était rien passer et me regarde comme si j'étais un monstre. Dire qu'avant on s'entendait si bien ! Je veux retrouver ma douce sakura. Celle qui riait tous le temps ! pensa-t-il tristement. Je ne veux plus de cette fille froide et cynique. Le seule moment où je retrouve la vrai sakura c'est quand je lui fais l'amour.
Comment retrouver notre ancienne amitié ? se demanda-t-il.
Peut-être en lui laissant plus de liberté ? hn laissons faire les choses pensa-t-il.
Voila voila lachez des comm bis bis a la semaine prochaine.
