Salut les petits lous comment ca va ? bon ben je vous remercie tous pour vos commentaires. On arrive tous doucement à la fin de cette fic le prochain chapitre est le dernier.

Oh en passant voici l'adresse de mon skyblog ou vous trouverez mes fond d'écran vu que les hébergeur gratuit il n'y a pas assez d'espace pour mettre tous mes fond.

http/petitraziel. voila bonne visite n'hésitez pas a laissez des commentaires et bonne lecture aussi

chapitre 19

Sakura s'était levée tôt ce matin n'ayant pas réussit à dormir. Trop angoissée par la confrontation qui me manquerait d'avoir lieu entre elle et sasuké. Quand on parlait du loup on en voyait le bout de queue, sasuké entra dans la cuisine vêtu d'un pantalon de pyjama noir torse nu.(hum sexy quoi de quoi vous rendre toute choses dés le matin lol) où sakura était attablée et prenait son petit déjeuner.

- salut dit sakura intimidée par la tenue de son « mari » plus beau que jamais.( c'est sur ca lol)

- Hn 'lut répondit sasuké (toujours aussi sociale celui- là on dirait moi au réveille lol je suis pareil sasu :on s'en fout moi : mais ta gueule si j'ai envie de raconter ma vie. Pfff ! sasu : continue d'écrire auteur débile moi : ta gueule ou je te fais crever. Sasu : tu peux pas tu m'aime de trop moi : le pire c'est que c'est vrai ; ; sasu : -- !)

Sasuké se servit une tasse de café noire (comme de par hasard) et s'installa à côté de sakura.

- Sakura écoute..

- J'ai préparé des tartines grillées, tu en veux ? demanda-t-elle précipitamment.

- Sakura…

- Tu prends du beurre avec tes tartines ?

- Sakura, tu voudrais bien me..

- De la confiture peut-être ?

- Sakura cria-t-il.

La jeune femme qui s'affairait autour de la table s'arrêta net et regarda sasuké une lueur craintive dans le regard.

- Excuse -moi, je ne voulais pas crier mais tu ne me laissais pas parler. Asseyais- toi stp, nous devons parler.

- Et parler de quoi, sasuké ? Il n'y a rien à dire.

- Sakura asseyais- toi et écoute ce que j'ai à dire, stp.

Sakura se ré -installa en face de sa tasse de thé.

- Bien, d'abord sakura je tiens à te présenter mes excuses pour hier. Je n'aurais pas dû te parler de cette manière. Mais je voudrais mettre les choses aux claires. Je ne t'interdis pas de sortir, je te demande juste de me prévenir quand tu sors et de me dire où tu te rends. C'est la moindre des choses. A partir de maintenant, tu es sous ma responsabilité.

- Tu parles de moi comme si j'étais un enfant. Je suis une adulte, sasuké !

- Sakura, tu es ma femme et je m'en voudrais beaucoup si il t'arrivait quelques choses.

- Non, sasuké ! C'est si il arrivait quelques choses aux bébés que tu t'en voudrais.

- Les deux sont lier, sakura !

- Merci de souligner le faite que sans eux je ne représente rien à tes yeux, sasuké.

- Je n'ai pas dis cela sakura.

- Oh ! Et qu'essaye tu de me dire, sasuké ?

- Que je tiens un minimum à toi, sakura.

- Oh ! mais quelle générosité le grand sasuké uchiwa tiens un « minimum à moi » ! que c'est gentil ! dois-je me mettre à côté du canapé au quel tu tiens un « minimum », lui aussi ou avec ta télévision peut-être ?

- Sakura, tu sais très bien que ce n'est pas ce que je voulais dire !

- Non, sasuké ! justement ! je ne te comprends pas ! (rah les filles ne comprendrons jamais les garçons et vis versa ; si quelqu'un y arrive faite moi signe ). Je ne t'ai jamais compris et j'en ai plus qu'assez de ces discussions.

- Sakura, chaque fois que je veux te parler tu coupes court à nos discussions.

- Normale ce ne sont pas des discussions mais des disputes.

- Justement sakura, je voudrais retrouver notre relation d'avant ! nous étions amis. Essayons au moins de le redevenir.

- Sasuké, nous sommes marié. Tu as déjà vu un mari et une femme se conduire en ami dans leur vie conjugale ? (moi, oui dans des romans !lol). » je veux un mari qui n'aime que moi ! Et non un ami ! »

- Mais qu'espérais-tu de notre mariage ?

« Un mari qui m'aime pour la vie (comme dans les feux de l'amour lool non aller j'arrête de déconner) qui me respecterait et qui ne verrait que moi. Non pas un ami qui ne me toucherais pas et qui dés le matin quitterait le lit conjugale pour retrouver sa maîtresse. Qui quand il en aurait marre de cette situation me laisserait sur le côté ou me jetterais ! Je veux que tu m'aimes ! Non pas comme une amie mais comme ta femme ! »

- Je ne sais pas sasuké ! je ne sais plus ! (ben je vais vous dire moi non plus j'ai un trou-- !)

Juste à ce moment précis de la conversation, la sonnette de la porte retentit. ( sasu : encor on est pas sensé être en lune de miel nous ? moi : ta gueule je fais ce que je veux. sasu : tsss).sakura sursauta et sasuké grogna fâcher que quelqu'un interrompe « encor « leur conversation. Il se dirigeât vers la porte pour aller ouvrir. Celle-ci s'ouvrit sur un jeune homme d'âge moyen blond aux yeux vert clair. Il était habillé d'un costume gris sombre avec une mallette à la main apparemment assez lourde. Il détailla sasuké du regard. Et demanda :

- sasuké uchiwa, je présume ? vous ressembler beaucoup à votre père ! Mais lui quand je le rencontre il est habiller. Dit - il avec humour.

- Je viens de me levé marmonna celui-ci gêné d'être surpris dans cette tenue.

- Bien, je me présente Mikael Rafferty mais votre père m'appelle mike. Normalement sara a dû vous prévenir de ma venue. Sasuké qui perturber par le départ précipité de sa femme n'avait pas vraiment prêté attention au propos de la belle.

- Hum, oui vaguement.

- Je vois répondit celui-ci. Et bien, je vais attendre que vous alliez vous préparez pour que nous puissions discuté de l'affaire tranquillement. Je vais vous attendre dans le salon.

- Hn. J'ai quelque chose à régler avant monsieur … euh… mike.

- Appelez-moi juste mike. Nous allons travailler pas mal de temps ensemble puisque vous reprenez la succession de votre père. J'en entendu dire que vous vous étions marier ! toutes mes félicitations dit-il.

- Il y a 2 jours. Je suis en lune de miel.

- Oh, veillez m'excusé mais votre père ne m'avait pas prévenu. Si j'avais su. J'aurai attendu.

- Non, ce n'est pas grave si c'est important ma femme n'y verra aucun inconvénient. » de toute façon, vu la situation, je pense qu'elle en sera même soulagée pensa-t-il tristement ! ». Installez-vous, je vais me préparez.

Puis il se dirigeât vers la cuisine pour prévenir sakura de cette visite. La jeune femme se trouvait en face de levier occupé à faire la vaisselle.

- on a un lave vaisselle sakura ! fît remarquer sasuké d'une voix posée mais qui fît quand même sursauté sakura.