Disclaimer : perso pas à moi (J. K. Rowlings ), sauf histoire.

Auteur : Loufokagood

Rating M

Résumé : Le titre dit tout. Alors venez lire par vous-même.

Avertissement : Si vous êtes homophobe, veuillez passer votre chemin, merci.

N/A : Excusez la pauvre mortelle que je suis, pour vous avoir infliger toute ces faute d'orthographe.


A la sauce cendrillon.

Avion en partance pour N.Y.

- Père, suis-je obligé de venir avec vous ? J'ai une vie à Londres et tous me amis y son, alors pourquoi dois-je absolument venir avec vous au state.

- Je te les déjà expliqué Draco, nous y partons pour nous y installer définitivement, et….

- J e sais tout cela. Mais pourquoi suis-je obligé de venir ? J'ai 25 ans. Je suis en âge pour vivre à mes dépend, et financièrement, 100 générations de Malfoy peuvent subsister. Alors je ne voix pas où est le problème, père.

- Pfff…. Tu ne comprends pas Draco. Tu es la seule famille qui me reste depuis la mort de ta mère, cela fait maintenant 10 ans. C'est moi qui me suis occupé de toi, c'est normal que je veuille t'avoir auprès de moi.Tu es mon fils et je suis ton père….

- …..

- De plus. J'y ais affaire avec le directeur général d'une grande firme « The Griffondor compagnie ». Il veut que je devienne son associé et c'est lui qui ma demandé de t'emmener pour qu'il te présente son fils.Si tout se passe bien, on restera à New York pour un long moment.

- Je comprends. En faite, je ne suis là que, parce que l' on te l'a demandé….

- TAIS-TOI ! Je t'ais déjà donné ma raison, alors tu la boucle. De toute les façon, je suis ton père, tu me dois obéissance.

- Mais….

- La ferme Draco ! Tu m'énerves, et puis il est tard. Couche toi !

Darco se renfrogna, honte de cet fais réprimander en public. Il s'assis confortablement dans son siège tout en jetant des regard noir aux passagers qui c'étaient retournés pour assister à la scène. Et il parti dans ses réflexions.

- Oui, mais pourquoi a-t-il choisi des nobles de Londres. Il aurait pu prendre des milliardaires de N.Y.Il y en a des milliers là bas.

- Mr Dursley fait honneur à son sang. C'est un anglais de souche, il ne voit comme associés, que des gens de son espèce, lui, et que nous sommes la deuxième plus grande fortune d'Angleterre devant la reine, bien entendu. Ce n'est pas comme les anciens propriétaire, les Potter. Ils disaient « que l'on n'a pas besoin d'être anglais pour faire un bon cake ». Tu comprends ce qu'ils ont voulus dire par la Draco. Mais malheureusement, ils ont eu une fin atroce. Cela avait fait grand bruit dans le monde de la finance et celui de la presse. C'étaient l'une des plus grande fortune d'Angleterre, à vrai dire, la première, et puis, ils sont parties aux Etats Uni avec leur fils âgé de seulement, 2 mois et demi. Les Potter ont été retrouvé assassiné dans leurs luxueux appartements gisants dans une marre de sang, et seul leur fils âgé de 5 ans à l'époque, a été retrouvé baignant dans son propre sang. Les journaux parlaient d'une vraie boucherie. Les corps étaient mutilés, ils étaient méconnaissables. C'est leur femme de Ménage qui les a découverts. Quelque mois plus tard, on apprenait le rétablissement du fils Potter. Il a été placé dans une famille d'adoption, et à l'heur qu'il est, c'est l'enfant le plus riche au monde.

- On t-il attrapé leur meurtrier ?

- Non, 20 ans après, l'affaire n'a toujours pas été résolue. Maintenant, tais toi et dort, le voyage sera long.

Draco fixait le siège devant lui et se demandait qu'était devenu cet enfant. Tout en fermant ses yeux, il se promit qu'à son arrivé à N.Y, il se renseignerait sur le fils Potter et que peut-être ça l'aiderait à passer le temps.

DHDHDHDHDHDHDH

Assis sur le canapé de son appartement, Harry regardait son amant endormit sur ses genoux. Seamus, son amant, travaillait dans le même immeuble que lui. Ils étaient Techniciens de surface (homme de ménage) Seamus travaillait à l'étage d'en dessous. C'était l'employé d'une entreprise de nettoyage affilier à cette même compagnie. Harry se remémorait leur première rencontre dans l'ascenseur, lui à l'intérieur et l'autre à l'extérieur. D'un regard tacite, ils sûr, qu'ils se rencontreraient tous les soir dans cette ascenseur. Cela faisait maintenant, 6 mois qu'ils se voyaient régulièrement, mais depuis quelques jours leur relation stagnait et il n'en pouvait plus, il devait lui parler mais ne savait pas comment aborder le sujet.

Harry regarda à sa montre, 11h30, il était temps de préparer le déjeuné. Il essaya de se lever sans réveiller Seamus mais envient, celui-ci, lui fit un grand sourire et se leva pour lui déposer un doux baiser, puis il prit la direction de la salle de bain. A son retour, Harry était assis sur un des fauteuils du salon avec une expression soucieuse sur le visage.

- Harry, que se passe t-il ?

- Rein. Il faut que l'on parle.

Seamus se figa à cette phrase. Il savait que cela allait arriver. Depuis quelque jour, il avait remarqué le changement d'attitude d'Harry. Il paraissait distant, et quand il faisait l'amour, c'était devenu mécanique, plus d'émotion, plus de sentiment, Harry était comme effacé, ce n'était que du sexe. Il espérait se tromper, qu'Harry redeviendrais luis même, mais rien y fît, et désormais, il redoutait les mots qui allait sortir de la bouche de son amant.

- De quoi veux tu me parler ?

- Ce n'est pas facile à dire. Tu es quelqu'un de bien Seamus, l'amant que tout homme et femme aimeraient avoir. Tu es attentionné, tu aimes rendre service aux autre, tu es passionné, au petit soin avec moi, et niveau sexe, tu es divin. Te rappel tu de notre première soirée et de celles qui suivirent….Seamus se rappelait. Un soir, n'y tenant plus, Harry et lui, c'étaient rendu dans un coin sombre d'une ruelle, et se livraient à une étreinte passionnelle. Quand, tu coin de l'œil, ils furent attirés par un mouvement, quelqu'un se dirigeait vers eux sûrement attiré par les bruits qu'ils faisaient. Plus l'inconnue avançait, plus leur excitations grandissaient, les cou de rein se faisaient de plus en plus rapide, provocant des râles de plaisir et des gémissements difficile à contenir, et l'inconnu avançait, avançait encore plus ne se doutant pas de ce qui l'attendait, et plus il s'approchait, plus les bruits devenaient sourd, comme étouffé. De leur côtés, les cou de rien se faisait frénétique, et n'y tenant plus, se mirent à gémir, crier, râler, oublient l'inconnu à côté d'eux, qui, quand a lui était parti à toute jambe, se rendant compte de ce qui était entrain de ce produire. Le plaisir à son paroxysme, ils finirent par se libérer s'embrassant avec ferveur. C'était la nuit la plus extraordinaire qu'il avait passée…. C'était intense, mais cela ne peut plus durée Seamus, je sens comme un vide en moi et je n'arrive plus à le combler. Tu n'y es pour rien, cela vient de moi, mais avec toi ça ne suffit plus, tu me comprends…..

- En faite, tu veux me quitter, c'est ça. Une colère grandissante en lui.

- Oui…Non….Je ne sais plus, c'est confus la haut. J'aimerais juste que tu comprennes Seamus et que, tu ne m'en veuille pas.

- Que je ne t'en veuille pas ! QUE JE NE T'EN VEUILLE PAS ! MAIS JE T'EN VEUX DEJA HARRY, tu ne le vois pas. Mais comme tu la sous-entendu, il faudrait mieux que l'on arrête ici, c'est ce que tu veux ! C'EST-CE QUE TU VEUX, HARRY!

- Oui…..mais….

- LA FERME ! Ferme la…..adieu….Harry. Des larme coulants sur ses joues, et il partit en claquant la porte de l'appartement.

Harry était déstabilisé par ce qui venait de se passer. Il fixait toujours la porte par laquelle son ex-amant venait de passer, quand son téléphone se mit à sonner.

- Allo !

- Salut, Harry ! Comment tu vas depuis hier ?

- Ah. Salut Ron.

- Ca n'a pas l'ère d'aller. Qu'est ce qui c'est passé ?

- J'ai rompu avec Seamus, il n'y a pas 2 secondes.

- Je suis désolé, moi qui pensait t'inviter à déjeuner, mais si je peu faire quel….

- Non, non. Va pour le déjeuné.

- T'es sûr, parce que, j'avais invité quelques amis, quand même.

- Je t'assure que tout va bien. A quelle heur et où ?

- 12h30, dans le petit café près du vendeur de sucrerie, « Les Trois Ballet », et c'est pas trop loin de la compagnie, alors à tout à l'heur.

- Ok. A plus.

- Ok…. Tu es sûr que tout va bien ? Sinon, je peu….

- Ouiiiii, Ron ! Mille et un fois, oui.

- Ok, ok, à plus.

- Ciao.

Il regarda sa montre, 12h05. Il me reste 10 minutes pour me préparer, heureusement que ce n'est qu'à 15 minutes de chez moi. Bon, allé ? Un bon bain bien chaud, pour se requinquer.

40 minutes plus tard, Harry se tenait devant la porte du petit café en retard comme à son habitude. Il fallait que je m'endorme dans cette foutue baignoire. Bien, c'est moi qui est décidé de venir, plus moyen de faire marche arrière. Il ouvre la porte, cherche Ron, et le retrouve assit au font de la salle avec quelques un de leurs amis.

A suivre


Cette ff n'était pas prévu en chapitre, mais comme elle n'avançait pas, j'ai décidé de la publier, comma ça, c'est sûr qu'elle arrivera à terme.

J'ai changé l'orthographe des « Trois Balais » expret.