Disclaimer : perso pas à moi (J. K. Rowlings ), sauf histoire.

Auteur : Loufokagood

Rating M

N/A : Excusez la pauvre mortelle que je suis, pour vous avoir infliger toute ces faute d'orthographe.

Je voudrais m'excuser pour tous ceux et celle qui on essayé de m'envoyer des reviews. J'avais oublié d'activer l'autorisation pour les reviews anonymes, désolé. Je remercie Littlemischief pour me l'avoir rappelé. (o-)

A la sauce cendrillon.

Chapitre 2 :

- Fiouuuu ! J'espère que tout se passera bien avec ce Dursley, parce que, je ne ferais pas un tel voyage une deuxième fois, dit Draco tout en s'affalant sur le sofa

- Oui, mais en attendant, dégage moi le passage, j'ai besoin d'atteindre un des fauteuils, il n'y a pas que toi d'éreinté ici.

- Fait le toi-même, tu ne vois pas que je suis about de force là.

- Et puis quoi encore ! bouge moi ces valises delà, et pendant que tu y es, emporte les miennes dans ma chambre, non mais.

Draco se leva de son moelleux sofa, en pestant contre un père indigne faisant travailler son fils à l'agonie.

- Bourreau,….

- Quoi ?

- Heuu…je disais juste que c'était du boulot.

- A bon ! J'avais cru entendre autre chose.

De retour au salon, Draco constata que son père avait pris sa place sur le sofa. L'ingrat, il ne voulait que ma place, mon moelleux petit sofa, Snif..snif. Tout en relevent la tête, le père de Draco lui dit qu'il avait quartier libre toute l'après midi.

- Draco, tu as l'après midi de libre, mon rendez-vous avec Mr Dursley n'aura lieu que demain, alors en profite pour faire un tour, mais ne rentre pas trop tard.

- Oui, père.

Tout en regardant sa montre. 11h30, deux à trois heurs de sommeil, et je serait d'aplomb pour partir en vadrouille, mais tout d'abord, une bonne douche. Deux heurs trente plus tard, Draco était debout devant son miroir, s'observant de la tête au pied. J'espère que sa ne fait pas trop pété de tune, je ne veux pas attirer l'attention et surtout pas celle de greluche. Oui, venez vous accrocher à mon bras, je suis plein osasse. Petite conne. Décidant qu'il était prêt, il se dirigea vers le salon et constata que son père n'était plus sur le sofa. Il droit sûrement être dans sa chambre. Il prit son passe et sortit de l'appartement.

DMHPDMHPDMHPDMHP

- Salut, Ron !

- Aaah ! Salut, Harry ! Comment vas tu ?

- Tout va pour le mieux du monde. Je me remets petit à petit de ma rupture avec Seamus.

- Cela fait une semaine maintenant, que vous n'êtes plus ensemble. Mais, c'est toi qui as voulu de cette rupture d'après tes dires, alors pourquoi tu déprimes ?

- Tu vois, même si, c'est moi qui les suggéré, ça fait mal. Seamus était quelqu'un d'exceptionnel, et maintenant, je ne sais pas si, j'ai pris la bonne décision, c'est pour cette raison que je déprime. Et au travaille n'en parlons pas, à chaque fois que je l'aperçoit, je me cris mentalement dessus, pour ne pas aller le voir afin de reprendre notre relation.

- Moi, je pense que tu as fais le bon choix. Si, tu as remarqué que cette relation ne te menait nul part, alors, tu as pris la bonne décision ; laisse le temps au temps, et ça coulera tout seul. Peut-être même, qu'en sortant d'ici, tu rencontreras le prince charment, qui sais.

- Oui, mais….

- Il n'y a pas de mais qui tienne, soit patient et ça te passera. Et en parlant de travail, tu a entendu, que le futur associé de ton oncle arrive demain.

- Ne m'en parle pas ! Mon oncle ma bassiné tout un mois avec ça, « Nous avons quelqu'un de très important qui droit venir de Londres très prochainement. D'ici là, je ne veux pas voir une seul trace de poussière, tout doit être impeccable pour son arrivé, et bla, bal … » dit Harry avec une expression dédaigneuse sur le visage Je lui foutrais bien mon poing sur son groin.

- Pourquoi, tu ne les envois pas balader ? Ils n'ont plus aucun doit sur toi.

- J'ai mes raisons. Ron n'insista pas et changea de sujet.

- Il parait que l'homme le plus fortuné d'Angleterre.

- Nan !

- Ouep. Même devant la reine elle-même. Il est dans l'import/export. Il a aussi une dizaine de restaurant, une compagnie de bus,et j'en passe.

- Ouais, un gars pété de tune qui vient se la jouer à N.Y. Je hais tous ces snobes qui pète plus haut que leur cul. La preuve, regarde ma famille, il n'y a pas un jour où ils n'essayent pas de me rabaisser, me cracher à la figure un tas d'insulte, me faisant passer pour une vulgaire merde.

- Enfin ta soi disante famille. Ce son des cons finis, ils ont toujours été con et resteront, les plus gros con et emmerdeur congénital qui existent.

- Bref. Tout ça pour te dire que, je m'en branle complètement des gens riches.

- Bon, ces pas que je m'ennuis, mais, je suis à la bour, cela fait une heur que j'aurait du reprendre le travail.

- Quel heur est il ?

- 13h00. A plus, Harry !

-Ok, bye.

Harry décida de rester un moment à siroter sa bière à l'ombre d'un parasol, quand il fut interrompu par des cris.

- Au voleur ! Arrêté se type.

N'écoutant que son courage, il intercepta le voleur et le plaqua au sol. Il fut bientôt rejoint par le propriétaire de la sacoche.

- Merci de m'avoir aidé, mille fois merci.

- Mais de rien. Et il partit, laissant le jeune homme à sa vérification.

DMHPDMHPDMHPDMHP

Bonne visite ! Bonne visite ! Je t-en ficherais des bonnes visites, moi. Espèce de réceptionniste à la con, avec son sourire à la con. Je lui demande, s'il connaît des coins intéressants, et il me tend des brochures, mais ça ne va pas chez lui. Il me prend pour ces stupides touristes, ce n'est pas comme si, je n'étais jamais venu à N.Y. Cela fait 10 ans que je n'y ai pas mis les pieds, depuis la mort de ma mère. Elle adorait cette ville, surtout Central Park. J'irais peut-être faire un tour tout à l'heur, mais tout abord, je vais me restaurer, voyons si ces brochures me servent à quelque chose.

Pendant qu'il cherchait sur le plan un bon resto, il se fit voler sa sacoche. Après avoir parcouru bon nombre de kilomètre, Draco était à bout de souffle. Il n'avait cessé de crier, mais personne ne c'étaient interposé. Quelque mètre plus loin, son voleur se faisait intercepter et plaquer au sol.

- Merci de m'avoir aidé, mille fois merci. Il récupère sa sacoche et vérifie si rien ne manque.

- Mais de rien. Et il partit laissant Draco seul à ses vérifications.

- Puis je vous…. Tiens où est il !? Moi qui voulait l'inviter à boire pour le remercier, tant pis, j'irais la boire seul. Ce petit café m'a l'air parfait.

A suivre.

La suite prendra un peut de temps pour arriver. Le temps de remettre de l'ordre dans mes idées.