Eh bien ça y'est aprés une pause d'un mois et demi, je suis de retour pour entamer le deuxiéme tiers de cette histoire qui correspond... Oui au deux tours merci de suivre. Allez on est parti

Edit 12/04/2020 Chapitre corrigé par Cdwinwin

Chapitre 10 Marathon dans la plaine

Ou on voit que sans être un sportif de haut niveau on arrive quand même à tenir le coup.

Les plateaux de l'Eymn Muill étaient déserts. Il n'y avait pas de villages, pas de paysans (en même il avait plus de cailloux que de terre arable.) Bref pas âme qui vive. Juste un étrange groupe de sept personnes qui parcourait le plateau au pas de course. Depuis un jour et demi ils étaient à la poursuite des Uruks et tous remerciaient Hermione pour son sortilège de « pieds légers » qui permettait d'atténuer leur fatigue.

Le soleil était haut dans le ciel, et ils couraient depuis l'aube. Ils firent une halte pour reprendre leur souffle et manger un morceau de Lembas. Aragorn semblait perplexe. Il ignorait quel était l'avance des Uruks, car ils ne s'étaient surement pas arrêtés pour la nuit. Il décida de mettre à profit ses talents de rôdeur, il s'agenouilla et mit sa tête contre un rocher.

« Qu'est qu'il fait ? » demanda Bellatrix.

« Il écoute les bruits de la terre » répondit Legolas « Cela nous dira si les Orques sont proches ».

Bellatrix leva un sourcil « chacun ses méthodes » dit-elle.

Le rôdeur se releva brusquement « Ils ont forcés leur allure. Ils ont surement flairé notre présence. »

Toute la troupe repartit illico,y'compris Gimli qui avait du mal à suivre. Ils étaient certains d'approcher de leur but.

Au bout d'un moment le plateau sur lequel il se trouvait se terminait par des pentes douces qui débouchait sur une vaste plaine qui s'étendait à perte de vue. C'est à peine s'ils pouvaient distinguer les monts brumeux.

« Le Rohan. Le pays des seigneurs des chevaux » dit Aragorn « Quelque chose de maléfique est à l'œuvre ici. Une force semble donner des ailes à ces créatures, et se dresse contre nous ». Puis grâce à sa vision développée, Legolas put voir que les Orques se dirigeaient vers le nord-ouest, vers L'Isengard. Il fallait les rattraper avant qu'ils n'atteignent la forteresse de Saroumanne.

Alors qu'ils descendaient la pente qui menait à la plaine, Aragorn s'arrêta brusquement et se pencha pour ramasser quelque chose. C'était une broche en forme de feuille.

« Ce n'est pas sans raison que tombent les feuilles de la Lorien » dit-il.

Boromir qui se trouvait à côté de lui, compris lui aussi que les Hobbits leur avaient laissé un indice. « Ils sont surement en vie » dit-il

« Et ils ont moins d'un jour d'avance » répondit Aragorn en accélérant sa course, tandis que Gimli finissait sa descende en dégringolade.

« Plus vite Gimli, nous gagnons du terrain » lança Legolas.

« Les longues courses m'épuisent » couina le fils de Durin « Nous les nains nous sommes des sprinteurs redoutables. SUR LES COURTES DISTANCES.

La petite équipe continua sa course jusqu'à ce que l'obscurité les empêches d'aller plus loin. Même avec l'aide des Lumos ils avaient peur de dévier de leur piste. La nuit fut courte car ils repartirent dès l'aube.

Durant toute la journée, ils continuèrent de progresser au pas de course. Et ce, malgré l'endurance dont faisait preuve les orques, comme si les fouets de leur maître étaient à leur trousse. Mais aucun des sept coureurs n'avait l'intention d'abandonner, Hermione était prête à attaquer l'Isengard et à défier Saroumanne pour sauver les Hobbits.

Après une brève nuit de repos, les « coureurs » repartirent avant l'aube. Mais Legolas se retourna vers l'est. « Un soleil rouge se lève, beaucoup de sang a dû couler cette nuit. » Tous espérèrent que ce n'était pas celui de leurs amis.

Quelques heures plus tard, alors qu'ils se trouvaient au sommet d'une butte, Aragorn tourna la tête vers la gauche puis il fit signe à ses compagnons de se mettre à couvert. Bien leur en avait pris car une minute plus tard, une centaine de cavaliers passèrent à quelques mètres d'eux. Ils ne portaient pas d'armure mais ils étaient armés de longues lances. Lorsqu'ils les eurent tous dépassés, Aragorn sorti de sa cachette et leur cria:

« Cavaliers du Rohan. Quelles nouvelles avez-vous des hommes de la Marche. »

Immédiatement les cavaliers firent demi-tour, encerclèrent rapidement le petit groupe et les mirent en joue avec leurs lances. « Pas très pacifique tout ça » murmura Draco.

Celui qui semblait être le chef de cette cavalerie s'avança vers eux.

« Que font un elfe, un nain, deux femmes et trois hommes sur ces terres ? Répondez. »

« Donnez-moi votre nom, monteur de chevaux, et je vous donnerai le mien. » Répondit Gimli qui ne se laissait pas démonter.

Le cavalier mit pied à terre et s'apprêta à répliquer lorsque Boromir s'interposa.

« Allons voyons restons courtois. Même si dans mon souvenir le Rohan faisait un meilleur accueil aux étrangers, surtout de votre part prince Eomer.

Le cavalier fut arrêté net par cette phrase. Il ôta alors son casque révélant de longs cheveux châtain clair.

« Seigneur Boromir » s'écria t'il « Je ne vous avais pas reconnu. » Les deux hommes s'étreignirent comme s'ils se connaissaient depuis longtemps.

« Je suis ravi de vous revoir » dit Boromir puis se tournant vers ses compagnons « Ces gens là sont mes amis. Voici Aragorn fils d'Arathorn, Gimli fils de Glôin d'Erebor, Legolas fils de Thranduil de la Foret noire. Et voilà Bellatrix, Hermione et Draco des sorciers du nord. Et ils sont dignes de confiance. »

Eomer fut surpris, il ne s'était jamais imaginé que des sorciers pouvaient ressembler à autre chose qu'a de vieux mages. Puis Boromir reprit la parole.

« Je vous présente Eomer, fils d'Eoumund troisième maréchal de la Marche et neveu du roi Théoden. »

Une ombre passa sur le visage du cavalier. « Les choses ont changé depuis votre passage ici. Aujourd'hui mon oncle Théoden ne reconnait plus ses amis de ses ennemis, si même les siens.

« Qu'est-il arrivé au roi ? » demanda Aragorn.

« Saroumanne » répondit Eomer « Il a empoisonné l'esprit de mon oncle et a revendiqué la suzeraineté de ces terres. Moi et mes cavaliers nous sommes loyales au Rohan, et pour cette raison nous avons été bannis.

« C'est injuste » s'écria Hermione.

« C'est malheureusement le cas demoiselle. Mais dites-moi que faites-vous ici ? »

« Nous sommes à la poursuite d'un groupe d'Uruk Kai, qui a fait prisonniers deux de nos amis » répondit Aragorn.

« Nous avons attaqués cette troupes cette nuit. Nous les avons massacrés jusqu'au dernier. »

« Mais il y'avait deux hobbits parmi eux, les avez-vous vus ? » S'écria Gimli

« Ils sont petits, de la taille d'un enfant » précisa Boromir.

« Nous ne les avons pas vus, nous avons empilé les cadavres et les avons brûlés à l'orée de la forêt. »

Eomer siffla et quatre chevaux s'avancèrent vers lui « Ils se nomment Hasufel, Arod, Bribal, et Rinold. Puissent-ils vous apporter meilleure fortune qu'a leur ancien maître » Puis il se remit en selle, salua une dernière fois et repartit en tête de ces cavaliers vers le nord.

Sans perdre un instant, ils se mirent en selle. Aragorn monta Arod, Legolas chevaucha Hasufel avec Gimli, Boromir et Bellatrix étaient sur Rinold, tandis que Draco et Hermione cavalèrent sur Bribal.

Une fois arrivés à l'orée du bois, ils virent un tas de cadavres brûlés avec juste à côté une tête d'orque plantée sur une lance. Immédiatement ils retournèrent le charnier pour trouver une trace de leurs amis. Ils commencèrent à perdre espoir lorsque Aragorn vit des traces sur le sol.

« Venez voir, les hobbits étaient allongés ici. Ils ont rampé et ont réussi à se détacher. » Suivant les traces ils arrivèrent devant les immenses arbres de la forêt de Fangorn.

« Quelle folie les à pousser là-dedans » lança Gimli

« Je n'en sais rien mais il n'y a qu'une façon de la savoir » répondit Hermione qui entra dans les bois, bientôt suivi de ses compagnons.

Je suis trés content de vous retrouver pour la suite (je vous avais dit que je n'abandonnerais pas) le prochain chapitre arrive trés vite. Et je vous annonce qu'une deuxième FF arrivera trés vite (elle sera centré sur "le Hoobit")

Oubliez pas la petite review

Tchao à plus