Avant d'attaquer ce nouveau chapitre, vous avez pu noter, chères lectrices, chers lecteurs. Que désormais les chapitres sont corrigés par l'excellente Cdwinwin. Voilà comment c'est arrivé.
lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
Cela faisait déjà plusieurs jours que le confinement m'empêchait de sortir. Bon en même temps tout est fermé au village, même le club en face, celui où les vieilles joues au loto et au Scrabble, il est fermé. Seule la vue sur les forêts de sapins pouvait me consoler. Je me retournais alors vers mon bureau où trônait fièrement ma machine à écrire, avec laquelle je venais de terminer la rédaction de mon dernier chapitre. J'attrapai alors un livre dans ma bibliothèque. Il s'agissait d'un ouvrage de Norbert Dragonneau intitulé
« Les Ragondins sont des extraterrestres (mais pas tous) »
Soudain on frappa au carreau de la fenêtre, et je m'empressai d'ouvrir. « Ah te voilà Pierrot » dis-je en laissant entrer mon corbeau dans mon salon. Ce dernier se contenta de croasser tandis que je le libérais du courrier qu'il portait.
Alors on a quoi ? De la pub. Le catalogue de l'outillage auvergnat, et une lettre ?! Je m'empressai d'ouvrir et de lire la missive.
Cher Rayan du Griffoul,
Je me permets de vous écrire ce courrier pour, dans un premier
temps, vous présenter mes hommages quant à vos écrits. En
effet, le confinement étant parti pour durer, j'ai voulu
rafraîchir mon esprit avec des nouvelles d'auteurs que je ne
connaissais pas encore. C'est là que j'ai fait connaissance
avec vos travaux. Vos chapitres me transportaient à chaque
fois un peu plus dans votre imaginaire ainsi que dans le monde
fabuleux de JRR TOLKIEN. Jusqu'ici, je n'ai pas trouvé de
fanfiction cross-over semblable aux vôtres.
Dans un deuxième temps, après avoir lu les 15 chapitres déjà
publiés, j'ai eu idée de cette correspondance. Ayant vu de-ci
de-là quelques coquilles, je propose de vous apporter mon aide
en vue de petites corrections. Je ne suis pas une experte loin
de là. Mais n'ayant pas assez d'imaginaire pour créer quelque
chose d'original, j'aimerais offrir un peu de mon temps afin
de fluidifier la lecture de vos œuvres.
En conclusion, j'appréhende votre réponse relative à cette
lettre, très intrusive j'en conviens. N'hésitez pas à me
fustiger si vous pensez que je vais trop loin ou au contraire
de m'accorder votre soutien pour ce projet de partenariat.
A très bientôt j'espère.
Cdwinwin (une correctrice qui s'ignore)
Immédiatement j'attrapa une feuille et un stylo, j'écrivit rapidement une réponse, et je la confiai à mon fidèle corbeau « Tiens mon grand, j'ai enfin trouvé une correctrice. »
Et voilà comment ça s'est passé. Et après cette intro assez longue, voici un chapitre assez long.
Chapitre 16 Tenir ses positions
Où on voit qu'après la bataille le repos est bien court
Après cette rude bataille, où chacun était passée près de la mort, il était temps de prendre du repos. D'après Gandalf, d'ici demain, ils devraient partir pour l'Isengard afin d'essayer de faire entendre raison à Saroumanne. Du coup, en attendant, tout le monde était invité à prendre du repos.
Boromir fut dirigé vers une chambre où il espérait enfin dormir. Mais il ne fut qu'à moitié surpris lorsqu'il vit que son lit était déjà occupé, il s'apprêtait à ressortir lorsqu'une voix lui murmura:
« C'est bon le lit est assez grand pour nous deux. »
« Je ne voudrais pas vous déranger » répondit Boromir
« C'est bon, je ne vais pas vous laisser dormir par terre. »
L'homme du Gondor céda. Il enleva sa cape, son manteau et ses bottes. Puis il s'allongea au côté de Bellatrix. Celle-ci se tourna vers lui.
« Excusez-moi d'y aller franchement, mais je crois que je ressens quelque chose pour vous . »
Boromir fut intrigué par ces paroles et demanda « Que ressentez-vous ? »
« Je ne sais pas. C'est quelque chose que je n'ai jamais ressenti avant. Et ça me fait peur. »
« De quoi avez-vous peur ? »
« J'ai peur parce que c'est quelque chose d'inconnu pour moi, et j'ai peur de souffrir. »
Boromir qui comprit, prit la main de Bellatrix et lui dit « Sachez que jamais je ne vous ferai souffrir »
Celle-ci s'approcha et colla ses lèvres sur celle du gondorien. Nullement surpris il accentua le baiser, puis caressa doucement le visage de la sorcière. Mais la fatigue les empêcha d'aller plus loin pour l'instant. Bellatrix s'endormit dans les bras de Boromir, en se disant « Alors c'est ça l'amour ? »
lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
Lorsque Draco ouvrit les yeux, il remarqua qu'il faisait sombre. Il lança un tempus et vit qu'il était cinq heures du matin. Il se leva sans bruit, par crainte de réveiller Hermione. Il s'habilla en silence, et sortit de la chambre. Il se sentait revigoré par le repos et décida de descendre vers la grande salle pour se restaurer.
Une fois sur place il constatait que sa tante était déjà présente. Elle discutait avec Aragorn et Gimli. Mais ce qui frappait Draco, c'est qu'il n'avait jamais vu sa tante si souriante.
« Ah Draco. Tu as bien dormi ? »
« Oui je suis en pleine forme. »
« A la bonne heure » répondit le nain. Tandis que Bellatrix mit une fiole dans la main de son neveu.
« Une potion fortifiante ? Mais je n'en ai pas besoin. »
« Pas de ça avec moi Draco. Je sais que tu as besoin de reprendre des forces. »
Le Serpentard céda à sa tante et avala la potion d'un trait.
« Mais dis-moi comment tu à fait pour préparer ça ? »
« Les ingrédients sont faciles à trouver. Et puis moi aussi je maîtrise « l'art subtile des potions » répondit elle.
Le blond comprit immédiatement à qui elle faisait référence.
« Mais toi tu n'es jamais devenue professeur de potion »
Draco repensa alors à Severus, son parrain. Malgré son caractère froid il avait été la principale figure paternelle du jeune homme. Peut-être plus que son propre père.
Un peu plus tard, Hermione se réveilla et alla rejoindre ses amis dans la grande salle. Puis ils furent rejoints par Boromir et Gandalf. Ce dernier annonça que le gros de l'armée qui avait survécu à la bataille, ainsi que les civiles, se dirigerait vers Edoras. Et que seule une petite « délégation » se rendrait en Isengard. Les membres de la communauté seraient présents ainsi que le roi et le prince du Rohan.
Ce n'est qu'à la mi-journée qu'ils se préparèrent pour le départ.
« Pensez-vous qu'il y'ait un risque à approcher de l'Isengard ? » demanda Hermione à Gandalf.
« Je pense que cette défaite a affaibli Saroumanne » répondit le magicien. « Et bien plus qu'il ne l'aurait escompté. Mais soyez quand même sur vos gardes. »
Avant de partir le roi tenu à remercier Haldir et les survivants du bataillon. Il leur demanda d'envoyer également un message de gratitude et d'amitié au seigneur et à la dame de la Lorien.
« Vous êtes sûr de ne pas vouloir rester, pour fêter notre victoire ? » demanda Eomer.
« Cela aurait été avec grand plaisir. » répondit Haldir. « Mais les ténèbres nous menacent et nous devrons bientôt nous battre pour défendre notre terre. »
En effet les elfes sentaient que l'ennemi s'apprêtait à lancer une offensive vers eux depuis Dol Guldur.
Après avoir fait leurs adieux, les elfes partirent vers le nord-est. Moins d'une heure aprés le roi et « sa délégation » se mirent en route vers l'Isengard. D'après Gandalf ils atteindraient leur destination demain dans la matinée. En sortant de la combe du gouffre, ils virent avec soulagement que les arbres s'en étaient retournée chez eux, leur permettant de passer sans crainte.
Leur chevauchée fut rapide. Une fois dans la plaine, ils prirent vers l'ouest en direction des gués de l'Isen. Le soleil commença à décliner, lorsqu'ils atteignirent les gués. Les hommes du Rohan avaient le cœur lourd car c'est là que le fils du roi était tombé.
Après avoir franchi la rivière, Gandalf annonça qu'ils s'arrêteraient ici pour la nuit. Le campement fut entouré de sortilèges de protection et de silence. Et l'ambiance fut sympathique et autour du feu de camp. Le roi Théoden raconta aux sorciers l'histoire de son ancêtre Eorl le Jeune, qui jadis descendit du nord à la tête de son armée pour porter secours aux Gondoriens, et qui pour les remerciaient leur offrit à lui et à son peuple le territoire qui était à présent le Rohan. Pour faire bonne mesure, Hermione leur raconta le conte des trois frères, une histoire qui les fascina tous.
llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
Le lendemain, la compagnie s'engagea dans la vallée de l'Isengard. Au loin, ils pouvaient distinguer une haute tour sombre. C'était Orthanc le repaire de Saroumanne. Alors qu'ils approchaient de leur but, ils traversèrent une forêt qui ressemblait à celle qui était apparue au pied du gouffre.
Alors qu'ils approchèrent de l'orée, ils entendirent des éclats de voix. Ils virent deux hobbits en train « pique-niquer » sur un mur.
Ces derniers les accueillirent en levant leurs chopes de bières. « Mes seigneurs ! Soyez les bienvenues en Isengard. »
Le fait de revoir les hobbits emplit de joie les membres de la communauté. Y'compris Gimli qui ne pouvait pas s'empêcher de ronchonner.
« Jeunes coquins. Vous vous rendez compte que nous avons traversé toute un pays pour vous sauver. Et on vous retrouve là à fumer et à festoyer.
« Nous sommes là sous les ordres de Sylvebarbe. Qui vient de reprendre le contrôle de l'Isengard. » dit Pippin
« Ah et bien pouvez-vous nous mener à lui ? » demanda Gandalf.
« Très bien » répondit Merry « Mais pour cela, pourriez-vous nous faire une place sur vos montures. Il y'a certains endroits où nous n'avons pas pied. »
Ils comprirent vite le sens de cette phrase. En effet l'Isengard était en ruine, comme si un raz-de-marée avait tout détruits. Leurs chevaux avaient de l'eau jusqu'en haut des pattes. Devant la tour se trouvaient ce qui ressemblaient à des arbres. Mais ils bougeaient, certains lancaient des pierres contre la tour. L'un d'eux s'approcha, il était immense et sa voix était caverneuse.
« Alors c'est ça un Ent ? » murmura Draco à Hermione.
« Maître Gandalf, je me réjouis de votre venue. » dit Sylvebarbe en accueillant ses visiteurs. « Le bois, la pierre, l'eau et les troncs, je peux en venir à bout. Mais il y'a un magicien à mater ici, enfermé dans sa tour. »
En effet, c'était le but de leur venue ici. Se confronter au magicien blanc.
« Soyez attentifs. Même vaincu Saroumanne reste dangereux. »
« Alors réglons lui son compte, et qu'on en finisse. » s'écria Gimli.
« Non ! Il nous le faut vivant. Il doit parler. »
« Montrez-vous » murmura Aragorn.
Soudain une voix sortit de nulle part s'écria:
« Vous avez mené de nombreuses guerres et tué nombre d'ennemi, roi Théoden. Et pourtant vous avez fait la paix ensuite. »
Tous levèrent la tête vers le sommet de la tour, et ils virent Saroumanne. Ils était vêtu d'une robe blanche et le ton de sa voix semblait faire penser à des remords. Mais dans ses yeux brillait une lueur de malveillance, une lueur que Bellatrix avait trop souvent vue.
« Ne pouvons-nous faire la paix ? » demanda-t-il au roi du Rohan.
Théoden était abasourdi par le culot du magicien et semblait prêts à exploser de colère.
« Oui, nous ferons la paix » cria-t-il. « Lorsque vous répondrez de l'embrasement de l'Ouestfolde et des enfants qui y'gisent sans vie. Nous ferons la paix, lorsque les vies des soldats, dont les corps furent dépecés devant les murs de fort le cor, alors qu'ils étaient déjà mort, seront vengés. Lorsque vous pendrez à un gibet, pour le plaisir de vos propres corbeaux. Là nous serons en paix. »
Des gibets et des corbeaux ? Vieux radoteur. » s'écria le magicien. Puis il sembla tourner son regard vers les trois sorciers.
« Alors c'est donc vous, les prétendus sorciers que Gandalf a embrigadés. Dites-moi que vous a t'il donné pour le suivre dans son entreprise ? Que vous a-t-il promis ? La clé d'Orthanc ? Ou peut-être même les clés de Barad-dûr ? Avec les neuf anneaux des hommes ? »
« Non mais vous croyez quoi ? Vieux débris. On n'est pas à vendre nous ! » éructa Bellatrix.
« Calme toi, il n'en vaut pas la peine. » lui murmura Boromir. Celle-ci se calma, et permit à Gandalf de reprendre la main.
« Saroumanne, votre trahison a déjà coûté de nombreuses vies. Et des milliers sont encore en péril. Mais vous pouvez les sauver, car vous étiez dans les secrets de l'ennemi. »
Le maître d'Orthanc afficha un sourire machiavélique.
« Alors se sont des renseignements que vous êtes venu chercher. J'en ai pour vous. » Il sortit alors de sa poche un orbe noir mais qui semblait être animée d'une flamme rouge.
« Quelque chose gronde en terre du milieu, quelque chose que vous avez omis de voir. Mais le grand œil l'a vu et maintenant il met à profit cet avantage. Il attaquera très bientôt. Vous allez tous mourir
Cette phrase fit frissonner de terreur les hobbits. Sans doute pensaient-ils à Frodon.
« Bientôt les ténèbres s'abattront sur les mondes et rien que vous puissiez faire ne l'empêchera. »
Hermione tiqua lorsqu'il parla « des mondes ». Il est vrai qu'avec les événements de ces derniers jours, elle en avait oublié son monde. Est-ce que Saroumanne voulait dire que Harry avait échoué face à Voldemort ?
Gimli vit le trouble de la sorcière, et voulut y'mettre fin.
« On en a assez entendu. Legolas tuez le, transpercez le d'une flèche. »
« Non » répliqua Gandalf. « Descendez Saroumanne, et vous aurez la vie sauve »
« Gardez votre clémence. Je n'en ai nul besoin. » répondit Saroumanne en envoyant une boule de feu.
Les sorciers n'eurent pas le temps de réagir à cela, mais heureusement Gandalf stoppa le projectile et s'écria « Saroumanne votre bâton est brisé. »
Et aussitôt, celui-ci vit son bâton exploser dans ces mains, le privant ainsi de ses pouvoirs. A ce moment-là quelqu'un d'autre s'approcha, et tout le monde put identifier l'ancien conseiller du roi. Celui-ci ressentit alors de la pitié pour lui.
« Grima, vous n'êtes pas obligé de le suivre. Vous n'avez pas toujours été ainsi, autrefois vous étiez un homme du Rohan. Descendez »
Mais avant qu'il ne puisse répondre, Saroumanne le repoussa brutalement.
« Saroumanne, dites-nous ce que vous savez » insista Gandalf.
« Rappelez vos gardes et je vous dirai où votre destin se décidera. »
Mais soudain, Grima poignarda Saroumanne. Ce dernier bascula dans le vide et s'empala sur le crochet d'une roue. Ainsi disparut Saroumanne le blanc.
Nullement impressionné par cela, Gandalf se tourna vers Théoden et Aragorn. « Faites passer le message à nos alliés, à tous les peuples de la terre du milieu qui sont encore libres. L'ennemi avance vers nous. Nous devons savoir où et quand il frappera. »
Les cibles de Sauron étaient multiples, la principale étant le Gondor. Il y'avait aussi les royaumes elfiques de la Lorien et de la Forêt Noire. Sans compter le royaume nain d'Erebor la montagne solitaire, au pied de laquelle se trouvait la ville de Dâle. Lequel de ses royaumes serait la cible de l'ennemi ? A moins qu'il décide de les frapper touts en même temps ?
Hermione se tourna vers Sylvebarbe. « Qu'allez-vous faire maintenant que Saroumanne n'est plus ? »
« Maintenant jeune magicienne, les arbres vont revenir peupler l'Isengard. Des jeunes arbres. »
Mais Pippin vit une lueur à travers l'eau au pied de la tour. Sans hésitation il se précipita pour ramasser la boule noire que Saroumanne avait eue en main. »
« Peregrïn Touque, donnez cela mon garçon » ordonna Gandalf
Le Hobbit s'exécuta et Gandalf emballa soigneusement l'orbe dans les plis de son manteau, comme s'il ne voulait pas être en contact avec elle.
Après avoir fait leurs adieux aux Ents et leur avoir fait promettre de surveiller la tour Les cavaliers repartirent vers Edoras. Au fond d'elle, Hermione pensa aux paroles de Saroumanne. Elle espérait que rien de grave n'était arrivés dans son monde. Draco qui semblait sentir son inquiétude lui murmura
« Ne t'en fait pas, Potter est trop malin pour échouer. » La Gryffondor espérait qu'il avait raison.
llllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
Et alors que le soleil brillait sur la vallée de l'Isen, loin de là, très loin même, la nuit avait enveloppée les landes écossaises. C'était une nuit sans lune, qui donnait au château de Poudlard un air lugubre. En même temps comment pouvait-il en être autrement ? Depuis que les Carrow faisaient régner la terreur, une chape de plomb était tombée sur l'école. Les élèves étaient devenus comme des ombres silencieuses.
Mais cette nuit-là dans une classe abandonnée, une jeune fille était en pleurs. Elle sursauta lorsque la porte s'ouvrit sur un jeune homme portant l'uniforme de Serpentard.
« Oh calmes toi princesse. C'est moi » La jeune fille se jeta immédiatement dans ses bras.
« Blaise ! Je croyais que tu ne viendrais pas »
Le Serpentard serra la jeune fille dans ses bras. « J'ai réussi à avoir ton message, mais j'ai dû attendre que les Carrow finissent leur ronde. Ton message disait que tu avais quelque chose d'important à me dire Ginny. »
La rousse ne savait pas comment annoncer cela à Blaise. Elle avait peur de sa réaction déjà qu'elle ne savait pas comment réagirait sa famille.
« Je crois que je suis enceinte »
Blaise avait l'impression que la foudre venait de tomber sur lui. Cela faisait six mois que lui et Ginny « se fréquentaient ». Au départ c'était juste sexuel, mais très vite le Serpentard avait ressenti autre chose pour elle. De l'attachement.
Ne sachant pas quoi faire Blaise s'approcha de Ginny et lui embrassa le front.
« Tu ne m'en veux pas ? » demanda la rousse
« Je ne sais pas comment ça à pu arriver, vu qu'on faisait attention. Mais non je ne t'en veux pas. Je ne pensai pas que ça m'arriverait si jeune. »
Ginny et Blaise restèrent toute la nuit ensemble dans cette classe, en espérant que ce cauchemar nommé Voldemort prendrait fin rapidement.
Et voila c'est sur ce moment d'amour que ce conclu ce long chapitres
Merci encore à Cdwinwin si vous recherchez une correctrice n'hésitez pas à lui envoyé un MP
Rendez vous trés pour le prochain chapitre et n'oubliez pas
RESTEZ CHEZ VOUS
Tchao à plus
