Coucou à tous c'est pas le père Noël mais voici pour cette période de fêtes trés particulières un nouveau chapitre et saché que le prochain arrivera trés rapidement (et que entre temps il y'aura un point final pour "Le Fantassin et la reine") mais maintenant voici...
Chapitre 19 Le siège de Minas-Tirith
Où on voit qu'on y'est enfin. La Grande bataille de notre temps
Cela faisait trois jours que les deux cavaliers avaient quitté Edoras, l'aube venait à peine de se lever. Boromir apprit à Bellatrix et à Pippin qu'ils se trouvaient dans la région de l'Anorien.
Mais soudain Bellatrix vit quelque chose devant elle, et ressentit le même émerveillement que la première fois qu'elle avait vu Poudlard. Sous la lumière du soleil levant se dressait fièrement sur les derniers contreforts orientaux des montagnes blanches. La haute et blanche cité de Minas-Tirith.
Sans prendre le temps de la contempler plus longtemps, les deux chevaux et leurs cavaliers atteignirent rapidement la grande porte. Les gardes en poste leur demandèrent de s'arrêter, avant de reconnaitre Boromir. « Nous sommes pressés » dit-il « Je dois voir mon père très rapidement. » Comprenant qu'il y'avait urgence, les gardes s'écartèrent. Parcourant « à fond de cinquième » les rues de la ville les cavaliers, traversèrent les différents niveaux de la ville. Les gens s'écartèrent de leur chemin, mais la plupart saluèrent joyeusement Boromir. Les maisons, les monuments et les murs de la ville étaient bâties en pierre blanche. Parvenu au dernier niveau les cavaliers laissèrent leur montures aux écuries. Ils arrivèrent sur une plate-forme engazonnée au bout de la laquelle se trouvait une immense tour. La tour d'Ecthelion, le siège de la royauté du Gondor.
Devant la porte se trouvait une fontaine et un arbre mort.
« C'est l'arbre ? » demanda Pippin qui reconnut le lieu de sa vision dans le palantir.
« Oui » répondit Boromir « L'arbre blanc du Gondor. L'arbre du roi. »
« Quoi ? Ton père est roi du Gondor et tu ne m'as rien dit ? » s'écria Bellatrix.
« Pas vraiment » répondit Boromir. « Mon père est l'intendant, le gardien du trône, si tu préfères. » Puis il se tourna vers Pippin. « Mon père est quelqu'un de très fier et d'orgueilleux. Il vaudrait mieux que vous ne mentionnez pas Aragron. »
« Et ne parler pas de Frodon et de l'anneau. » repris Gandalf. « En fait il serait préférable que vous ne parliez pas du tout Peregrin Touque. »
Ils poussèrent les lourdes portes de la tour et pénétrèrent dans une longue salle blanche bordée de colonnes de couleur gris sombre. Au bout de cette longue pièce se trouvait un trône blanc et un autre plus petit, sur lequel se trouvait un homme au visage noble, entouré de longues mèches grises.
« Père ! » s'écria Boromir, en s'avançant vers lui.
« Boromir ?! Tu es vivant mon fils. » s'écria l'intendant avant d'enlacer son fils. « On m'a dit que tu étais tombé. »
« Salut à vous, Denethor fils d'Echthelion. Seigneur et intendant du Gondor. Je suis venu vous apporter nouvelles et conseils en ces heures troubles. » salua Gandalf.
Denethor salua rapidement le magicien avant de se tourner vers son fils.
As-tu apporté l'arme de notre ennemi ? »
Boromir se souvenais que son père lui avait demandé de ramener l'anneau au Gondor, pour pouvoir l'utiliser contre Sauron. Lorsqu'il était arrivé à Fondcombe son objectif était de ramener l'anneau à son père. Mais depuis il avait traversé beaucoup d'épreuves qui lui ont fait comprendre son erreur.
« Non je ne'ai pas emmené ici » dit Boromir qui pour la première fois défiait son père.
« Et pour quelle raison ? » demanda un Denethor qui ne pouvait pas croire que son fils n'a pas réussi.
« La raison est simple. Cet anneau n'a qu'un seul maître. On ne peut pas le contrôler. Il a failli me conduire à la mort. »
L'intendant ne pouvait croire ce qu'il entendait. Pour lui l'anneau était la seule chance de pouvoir vaincre Sauron. Et maintenant cet espoir s'était envolé.
« C'est vous qui lui avez mis cette idée dans la tête. » s'écria Denethor à Gandalf. « Et vous qui êtes-vous ? » demanda-t-il à Bellatrix.
« Père ! Je vous demanderais de faire preuve de respect envers Bellatrix. Je lui dois la vie. Sans elle je ne serais pas là. »
Avant que Denethor ne puisse répondre, Gandalf reprit la parole. « Nous avons des choses plus urgentes à régler. La guerre est imminente, l'ennemi s'apprête à frapper. En tant que seigneur du Gondor, vous devez défendre cette cité. Où sont les armées du Gondor ? »
« Vous croyez que je suis restée inactif ? J'ai fait lever quatre mille hommes dans l'Anorien et le Lebennin, et deux milles cavaliers de Dol Amroth. J'ai plus de huit milles hommes dans cette cité. »
« Cela ne suffira pas. Vous n'êtes pas seul. Allumez les feux d'alarme. »
Le regard de Bellatrix fut alors attiré par une tapisserie sur laquelle figuré des blasons. Parmi eux elle vit un blason qui lui était très familier.
« A présent je dois m'entretenir avec mon fils, et les capitaines de mon armée. » dit Denethor. C'était juste une façon polie de les mettre dehors.
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Le reste de la journée passa rapidement pour Bellatrix qui profita pour faire le tour de la ville. Elle sentait quelque chose, comme si sa magie se renforçait dans cette cité. Elle fit part de sa réflexion le soir même à Gandalf. Celui-ci parut intrigué.
« Cela vous est-il déjà arrivé ? » demanda le magicien.
« Uniquement, quand je me trouvais dans la demeure familiale des Black. Mais cela fait presque vingt ans que je n'y ai pas mis les pieds. »
« Vous pensez que cela à un rapport avec la magie de votre famille ? »
« Je ne sais pas. Mais ce que je sais c'est que j'ai vu le blason de ma famille dans la grande salle. »
« Vous êtes sûr ? »
« Je sais reconnaître le blason des Black. Un corbeau gris sur fond vert. »
Gandalf ne savait pas quoi penser de tout ceci. Il faudra tirer les choses au clair, mais d'abord ils y'avaient des choses plus importantes à régler.
Denethor avait attribué une maison pour les trois « invités » Bellatrix et Gandalf se trouvaient sur le balcon. La nuit était tombée. Devant eux se dressait les bas niveaux de la ville puis en face la plaine du Pellenor et la vallée de l'Anduin. Et au delà de l'Ithilien, telle une muraille se dressait les Monts de l'Ombre, et au-dessus on pouvait voir les nuages rouges et les éclairs produits par la montagne du destin.
« C'est tellement calme » dit Pippin qui venait de les rejoindre.
« Oui c'est ce qu'on appelle le calme avant la tempête » répondit Gandalf.
« Reste-t-il un espoir, pour Frodon et Sam ? » demanda le Hobbit.
« Il n'y a guère d'espoir. Sauf un espoir de fou. » dit simplement Gandalf.
Bellatrix avait le regard perdu vers l'horizon. Elle tripotait son pendentif, le cadeau que lui avait donné Galadriel.
« Quelles sont les forces de l'ennemi ? » demanda Bellatrix.
« Ses forces sont très nombreuses. Pas seulement des Orques, mais aussi des hommes. Des légions d'Orientaux et de Haradrims venus du sud. Ils répondront tous à l'appelle du Mordor. Le coup le plus dur sera porté ici. »
« Vous en êtes certain ? »
« C'est le seul endroit où une armée peut franchir l'Anduin. Ils ne peuvent le franchir en amont en raison des marécages ni en aval en raison de la largeur du fleuve. S'il est pris et que la garnison d'Osgiliath tombe la dernière défense de cette cité aura disparu.
« Mais nous avons le magicien blanc, et une sorcière avec nous. Ce n'est pas rien » dit le Hobbit.
Gandalf garda le silence, ce qui n'était pas bon signe. « Sauron ne nous a pas dévoilé son serviteur le plus redoutable. Celui qui mènera les armées du Mordor à la guerre. Celui dont on dit qu'aucun homme vivant ne peut le tuer. »
« Qui est-ce ? » demanda Bellatrix.
« Le roi sorcier d'Angmar. Vous l'avez déjà rencontré Pippin. C'est lui qui a poignardé Frodon au Mont Venteux. »
Bellatrix frissonna en entendant cela. Aragron lui avait parlé de ces spectres de l'anneau.
A ce moment précis, un puissant grondement fut entendu depuis le Mordor. Et l'instant d'après une puissante colonne de lumière verdâtre s'éleva des montagnes. Selon Gandalf, l'heure était venue.
Touts les habitants de la cité furent terrifiés par cette vision. Denethor comprit qu'il n'avait plus le choix. « Faites allumer les feux d'alarme. »
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Le lendemain Bellatrix voulut en profiter pour retrouver Boromir, et lui parler de ce qu'elle avait vu. Elle le retrouva alors qu'il se dirigeait vers les écuries.
« Boromir, où vas-tu ? »
« Mon père m'envoie à la tête d'un bataillon, pour renforcer Osgiliath. »
« Et tu comptais partir comme ça ? Sans me le dire ? »
« Je suis désolé. Mais je dois aller aider mon frère. »
Ne laissant pas le choix à l'homme. Bellatrix suivi le bataillon jusqu'aux écuries, et enfourcha l'une des montures qui s'y trouvaient. En passant les portes de la cité de Minas-Tirith, Boromir se rapprocha de Bellatrix.
« Tu tiens vraiment à nous accompagner ? »
« Bien sûr. A moins que ton frère aie l'intention d'être aussi chaleureux avec moi que ton père. »
Boromir qui n'était plus surpris par l'ironie de la sorcière ne put s'empêcher de sourire. « Non ne t'en fait pas, Faramir ressemble très peu à notre père. C'est ce qui lui a toujours reproché. »
Lorsque les cavaliers, furent à mi-chemin de leur trajet, un cri perçant transperça l'air. Tous les hommes hurlèrent de peur.
« Les Nazguls sont ici. » s'écria Boromir. En face d'eux, les hommes qui composaient la garnison d'Osgiliath courait vers eux. A leurs trousses des créatures immondes qui ressemblaient à des serpents croisés avec des vautours. Ces abominations n'étaient que les montures des spectres de l'anneaux. Face à eux, Bellatrix ressentait la même aura maléfique que face aux détraqueurs. Mais elle ne céda pas à la peur, elle se concentra sur ses souvenirs les plus agréables, qui étaient aussi les plus récents. Ces moments avec Boromir, le temps avec Draco et Hermione depuis qu'ils été arrivés en terre du milieu. Elle s'avança alors vers les Nazguls avant de crier.
Expecto Patronum
Le sortilège fut propulsé sur les Nazguls et prit la forme d'un immense corbeau qui repoussa les créatures. Cela permis aux hommes d'Osghilath de se replier. Mais malheureusement ce sortilège lui prenait beaucoup d'énergie, heureusement elle fut secondée par Gandalf qui brandit son bâton qui émit une puissante lumière blanche qui repoussa définitivement les Nazguls.
L'armée du Gondor se replia en bon ordre vers Minas-Tirith. Une fois tout le monde à l'abri derrière les remparts, Bellatrix fut abordé par un jeune homme aux cheveux châtain clair et aux yeux gris.
« Vous nous avez sauvés la vie. Mais comment avez-vous fait ? »
Mais il fut coupé par une voix qui s'écrit « Eh bas les pattes, elle est déjà prise. »
Bellatrix se retourna et vis Boromir se jeter dans les bras du jeune homme. « Bellatrix, je te présente mon frère Faramir. Mon frère voici Bellatrix Black, sans elle je ne serais pas présent ici aujourd'hui. »
« Vous êtes une magicienne, comme Gandalf ? »
« Sans la barbe. » répondit Bellatrix, alors que le magicien blanc s'avança vers eux.
« Il semble que les armées du Mordor soient sorties de leur repère. »
« Ils ont pris le fleuve, et la rive ouest. Nous n'avons pas pu les repousser. » répondit Faramir dont le regard fut attiré par Pippin.
« Ce n'est pas le premier semi-homme qui croise votre chemin n'est pas ? » demanda Gandalf.
« Non en effet. »
Pippin afficha alors un franc sourire. « Vous avez vu Frodon et Sam ? »
« Quand les as tu vus ? » demanda Boromir à son frère.
« Il y'a deux jours, en Ithilien. Ils ont emprunté la route de la vallée de Morgul. »
« Et le passage du col de Cirith Ungol ? » demanda Gandalf.
Bellatrix n'était pas rassuré par tout ça. Elle comprenait un peu les mots elfiques, grâce à Arwen. Et elle savait donc que Ungol signifiait Araignée.
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Les armées du Mordor, étaient trop nombreuses pour tenter une attaque de front, les défenseurs de Minas-Tirith prirent donc la décision de rester derrière les remparts et d'attendre l'arrivée de l'armée du Rohan.
Bellatrix fit le tour des remparts, et posa des runes de protection à certains endroits. Au moins, ses cours à Poudlard serviraient à quelque chose. Elle eut quand même le temps de s'entretenir avec Boromir
« Tu es sûr que c'est ton blason que tu as vu. C'est quand même étrange franchement, j'ignore comment c'est possible. Nous n'avons jamais eu de famille sorcière ici, il faudra essayer de regarder dans les archives. »
Mais la situation devenait grave. En effet au bout de deux jours, les armées du Mordor étaient arrivés au pied des remparts de Minas-Tirith. Les soldats du Gondor n'avaient rien pu faire pour s'opposer à leur avancée mais ils étaient déterminés à se battre pour sauver leur pays.
Les armées du Condor avaient déployées leurs archers sur les remparts, ils avaient également mis en place des trébuchets, pour répliquer aux catapultes que l'armée du Mordor avait déployé en face d'eux.
Pour minimiser les pertes. Les femmes et les enfants furent mis à l'abri. Tous les habitants du premier cercle furent évacués. Faramir mena une compagnie d'archers sur le rempart sud. Gandalf, lui, se trouvait en compagnie de Boromir et de Bellatrix sur le rempart près de la porte. Même Pippin avait tenu à prendre les armes. Grâce à un sortilège de Bellatrix, le hobbit disposait d'une armure à sa taille.
« Il est temps de motiver tes troupes. » dit Bellatrix à Boromir, qui grâce à un Sonorus put être audible par touts les hommes de la cité. »
« Soldats. Hommes du Gondor. Je sais ce que certains d'entre vous pensent. Nous ne sommes pas assez nombreux pour faire face aux ténèbres. Mais si nous sommes ici c'est pour défendre cette cité. Cette cité qui est debout depuis trois milles ans, et qu'il nous incombe aujourd'hui de défendre de la destruction. C'est le Gondor tout entier, et le monde des hommes que vous devez défendre. Et nous la défendrons, car nous avons une arme que ne possède pas notre ennemi. Et cette arme c'est notre détermination et notre refus de voir notre monde sombrer dans les ténèbres sans combattre. »
Une immense clameur s'éleva des soldats du Gondor. Ils étaient prêts à se battre.
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Les orques commencèrent à armer les catapultes, qui balancèrent de lourdes pierres sur les remparts de Minas-Tirith, mais ce dernier était fait d'une pierre solide, la même qui constituait la tour d'Orthanc, et que l'on ne pouvait vaincre ni par le feu ni par la Pierre. En revanche, ils firent de gros dégâts sur les premiers cercles de la cité qui heureusement avaient été évacués.
La riposte ne se fit pas attendre et les trébucher furent mises à rude épreuve et firent de grands dégâts au sein des lignes de l'armée de Morgul. Ne pouvant franchir les remparts, les orques décidèrent de les escalader au moyen de Tours de siège qui étaient poussés par des trolls. Les archers malheureusement ne pouvait rien faire contre ces tours qui étaient recouvert d'un blindage qui repoussait leurs flèches. Et pour ne rien arrangé les Nazguls plongèrent en piquet sur les défenseurs de la cité, Et les emplissaient de terreur, mais avec la motivation de Gandalf, de Boromir, et même de Bellatrix les Gondoriens ne cédèrent pas et repoussèrent les orques qui débarquaient des tours de siège.
Bellatrix utilisait à la fois sa baguette et sa dague et ne fit aucun quartier. Elle utilisa la magie du sang pour lancer un Feudeymon sur deux tours de sièges, qui flambèrent comme des torches.
Face à ces échecs, les armées du Mordor décidèrent de frapper le point le plus faible de la protection de la ville à savoir sa porte. Ainsi un bataillon d'Orques se rua vers celle-ci armé d'un bélier. Malheureusement pour eux la porte était faite dans le fer et le bois. Elle n'était pas comme celle du gouffre de Helm, et le bélier paraissaient bien dérisoires face à sa solidité. De plus les assaillants, devaient faire face aux tirs de flèches venues du haut de la porte. A tel point qu'au bout d'une heure à peine un grand tas de cadavres se dressait devant la porte de Minas-Thrith sans que celles-ci ne soit fragilisée.
C'est alors que l'ennemi décida d'utiliser son arme la plus meurtrière. Un grand bélier nommé Grund, un bélier tellement immense qu'il devait être manœuvré par une dizaine de trolls il avait été nommé ainsi en l'honneur du marteau de Morgoth, le noir ennemi. Le seul avantage c'est qu'il était tellement immense qu'il fallut des heures pour l'amener et pour l'installer devant la porte ce qui laissa du temps au défenseur en particulier à Bellatrix.
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Alors que la nuit était tombée (en même temps depuis deux jours avec l'obscurité ambiante on avait du mal à faire la différence.) La majorité des troupes s'avança vers la porte, tandis que le bélier commençait à frapper.
« Vous êtes des soldats du Gondor » cria Gandalf aux soldats « Peu importe ce qui entrera par cette porte, vous tiendrez vos positions. »
Mais le magicien fut plus qu'étonné, de trouver parmi les défenseurs. L'intendant Denethor l'épée à la main et prêt à en découdre.
Mais personne ne voyait Bellatrix se glisser, sur le rempart au-dessus de la porte. Il fallait se débarrasser de ce bélier, et pour ça une seule solution qui consistait à combiné la magie de sang et le Feudeymon. Il fallait aussi utiliser les runes de protection pour protéger la porte des flammes.
Bellatrix ferma les yeux et se concentra. Elle sortit sa dague, s'entailla la main et murmura. « Si la magie des Black est présente en ces lieux ? Qu'elle m'aide à protéger cette cité et à repousser mes ennemis. »
Bellatrix sentit alors sa magie réagir, elle lança alors un puissant Feudeymon qui prit la forme d'un immense serpent. Celui-ci englouti le bélier et tout ce qui ce trouvait autour. En quelques minutes, la tête de loup fut réduite en cendres, et les orques et les trolls qui s'y trouvaient furent incinérés.
La partie semblait gagné. Malheureusement, une silhouette noire émergea des flammes. C'était le roi sorcier en personne qui s'avança vers la porte, et un cri stridant sorti de la sa bouche. Tous se bouchèrent les oreilles, Bellatrix croyait que sa tête allait exploser. Quand cela s'arrêta, la porte se fissura et céda. A cheval sur sa monture, le roi sorcier d'Angmar franchit les portes de Minas-Thrith, alors que aucun ennemi n'avait jamais reussi à le faire. Face à lui, Gandalf se tenait sur Gripoil, bizarrement le cheval ne semblait ressentir aucune peur.
« Retournez à l'abîme. Plongez dans le néant qui vous attends, vous et votre maitre. » s'écria Gandalf. »
Les hommes reculèrent devant la peur d'inspirait le Nazgul.
« Ne reconnais-tu pas la mort, quand elle se présente devant toi, vieil homme. »
Le spectre dégaina son épée et une terrible aura de magie noire s'accumula autour de celle-ci. L'instant d'après, le sortilège qui été dirigé sur les soldats fut contré à la dernière seconde.
Bellatrix se dressa devant le roi sorcier. Elle ressentait de la peur mais elle avait dissimulé sous son masque de froideur, comme on lui avait enseigné depuis qu'elle était enfant.
« Pauvre folle, crois-tu pouvoir me vaincre. » ricana le roi sorcier, en laçant un puissant sortilège sur la sorcière qui répliqua de la même façon. La puissance des deux magies fit reculer tout le monde. Bellatrix se concentra de toutes ses forces, mais en vain. Elle était épuisé par ces précédents efforts, et le Nazgul était plus fort qu'elle. C'est alors que son pendentif prit une couleur violette, et que son sortilège devient si puissant qu'il repoussa le roi sorcier.
Mais Bellatrix n'eut pas le temps de profiter de cette victoire. Elle tomba lourdement sur le sol, et sombra dans l'inconscient, à côté d'elle gisait sa baguette qui avait été brisé par le surplus de magie.
La dernière chose qu'elle entendit fut le son lointain des cors du Rohan.
Voila comment s'achève cette première partie de la bataille
La suite arrivera d'ici les jours prochain (je déconne pas)
Je vous souhaite à toutes et à tous un Joyeux Noël
Tchao à plus
