Bonjour chers lecteurs/lectrices !
Voici le chapitre 6 ! J'espère qu'il vous plaira !
Attention long chapitre comprenant du lemon ! Il sera encadré pour les personnes sensibles qui voudraient éviter de le lire, dès qu'il est affiché (!-! Le lemon commence ici !), vous pouvez passer au chapitre suivant, ça sera un chapitre plutôt court pour vous, je m'en excuse
Merci à vous et bonne lecture !
POV Kakyoin
Jotaro se lève, défait ses ceintures et ouvre son pantalon avant de le baisser, un peu gêné. Je remarque les deux blessures qu'il m'a rapporté ainsi qu'une petite érection qui semble pointer le bout de son nez, mais je passe outre et je fais semblant de n'avoir rien remarqué. Je suis un garçon, je sais que ça peut être gênant de bander alors qu'on ne le désire pas vraiment.
Je m'accroupis devant lui pour m'occuper de la première blessure sur son tibia. Il semble beaucoup plus réactif quand cela touche à ses jambes, sûrement le fait qu'il n'a pas l'habitude d'être blessé là. Une fois que celle-ci est pansée, je m'occupe de la deuxième sur sa cuisse, une zone aussi sensible. Je peux voir à son visage cramoisi qu'il a du mal à se calmer en bas, le pauvre, ça doit être gênant et ça sera pire si je fais un commentaire pour le détendre à ce sujet.
Je soupire alors que je finis de soigner sa dernière blessure.
"- Voilà, tu es réparé, Jotaro ! Une bonne nuit de sommeil et demain tu pourras gambader où tu veux !
Je lui offre un sourire doux, alors qu'il m'attrape le poignet et me tire vers lui, me faisant monter à califourchon sur ses jambes. Je me mets à rougir très fort, regardant Jotaro avec incompréhension.
- Qu'est-ce qu'il y a, Jotaro ?
- Est-ce que je peux avoir un baiser comme remerciements de ta part pour t'avoir débarrasser de ce manieur de Stand ?
- Qu- Quoi ?! Euh… je ne sais pas.. je.. euh…
Il me sourit, m'attirant un peu plus contre lui, je fais attention de ne pas m'appuyer sur lui, il va se faire mal cet idiot dans ces idées débiles.
- Allez, Kakyoin… juste un. Demain, tu ne seras plus elle et j'aurais perdu cette chance. Juste une fois.
- Jotaro… Ce n'est pas correct… je suis ton ami avec un corps de fille. Est-ce que tu ne trouves pas ça dégoûtant ?
- Non, parce que tu me plais sous cette forme… j'ai envie de t'embrasser même si ce n'est pas correct…
Je rougis un peu plus à sa déclaration, plus que troublante pour moi… Je baisse la tête et Jotaro vient caler sa tête dans mon cou.
- Je sais que tu as une très mauvaise image de moi mais j'aimerais te montrer que je peux être quelqu'un de bien quand je le veux.
- Je n'ai pas de mauvaise image de toi, Jotaro. Je n'en ai jamais eu."
Comment pourrais-je t'expliquer que tu es tout ce dont j'ai toujours rêvé ? C'est presque ridicule d'en parler… Je rougis alors qu'il me colle un peu plus, pourquoi est-il aussi mignon tout à coup ? Mon entrejambe vient s'appuyer contre son érection, je détourne le regard.
"- Jotaro… Pourquoi je t'attire autant ?
- Je ne sais pas vraiment moi-même… Il y a quelque chose chez toi que je n'avais pas vu avant, et ça m'attire énormément. J'ai envie de te connaître mieux et qu'on se rapproche.
- Moi aussi, j'aimerais mieux te connaître Jotaro, tu le voudrais vraiment ?
- Oui, bien sûr."
Il relève son visage vers le mien, il me regarde intensément, j'adore la couleur de ses yeux. Il rapproche doucement ses lèvres des miennes, me lançant un regard interrogateur. J'acquiesce calmement avant qu'il ne pose ses lèvres sur les miennes, le baiser est tendre contrairement à celui qu'il m'a donné ce matin même. Tant de choses se sont passées en une seule journée, je n'ai plus l'impression d'être la même personne. Jotaro enroule ses bras autour de ma taille et agrippe mon chemisier.
Il coupe court au baiser avant de reprendre sa respiration et il reprend sa place contre mes lèvres. C'est tellement plus agréable, je passe timidement une main dans ses cheveux, alors qu'il appuie sa main contre mon bassin pour coller nos intimités à travers le tissu. Une vague de chaleur remonte le long de mon corps, mes joues me brûlent. Je sépare mes lèvres des siennes le temps de respirer un peu, il attaque directement mon cou de baisers.
"- Jotaro…
- Oui ?
Il redresse la tête dans ma direction, calant son menton entre mes seins. C'est qu'il profite le petit.
- Est-ce que tu veux qu'on le fasse ?
- Hein ? Euh... Tu voudrais ?
Je suis tellement gênée, j'espère que ça ne se voit pas trop.
- Oui, j'imagine, je n'aurai plus ce corps demain. Je suis assez curieuse de savoir ce qu'une fille ressent dans ce genre de moment ? Enfin si tu ne veux pas, je comprends…
- Bien sûr ! J'en ai plus qu'envie ! Je veux le faire avec toi !
Il me fait un grand sourire de béta heureux, qu'est-ce qu'il peut être mignon quand il veut.
- Parfait."
(!-! Le lemon commence ici !) (La suite au chapitre suivant)
Je lui souris en retour avant que ses mains ne se délogent de ma taille pour venir se poser sur ma poitrine et titiller à travers le tissu mes tétons. Je gémis de surprise, alors qu'il empoigne bien mes seins et joue avec, essayant de me teaser un maximum. Je retire ce que j'ai dit ! C'est un vilain garçon ! Il me soulève d'une main et me jette sur le lit. Moi qui le croyais blessé, je me suis bien fait avoir. Il vient se mettre au-dessus de moi, ses blessures n'ont plus l'air de l'inquiéter mais moi, elles continuent de m'inquiéter.
"Jotaro, tes plaies, elles vont se rouvrir si tu bouges trop. Fais attention."
Je l'entends murmurer son petit "Yare yare" qu'il aime tant, avant de déboutonner mon chemisier. Je ferme les yeux, je ne veux pas le voir quand je suis gênée comme ça. Il passe ses mains sur mon ventre, je frissonne, elles sont un peu plus froides que ce que je croyais. Je le sens poser ses lèvres sur mon estomac et se promener sur tout mon ventre, ce qui me chatouille et je me mets à rire. Il remonte doucement vers mon buste, venant embrasser mon soutien-gorge dans l'espace entre mes deux seins. Ses mains glissèrent rapidement dans mon dos pour dégrafer mon sous-vêtement, je souris doucement en sentant qu'il s'énerve un peu dessus.
Je glisse mes mains pour rejoindre les siennes et je l'aide légèrement. J'ai eu du mal à l'agrafer, alors ça ne doit pas être simple de le dégrafer. Il finit par y arriver et me débarrasse rapidement de ce sous-vêtement, ma poitrine redevient lourde et encombrante. Jotaro s'empresse de les prendre à pleine main et de jouer avec. Quel enfant ! Pourquoi je trouve ça mignon ? Je passe une main dans ses cheveux alors qu'il prend en bouche l'un de mes tétons, je gémis et agrippe une mèche de ses cheveux. Je ne savais pas que ça pouvait faire ressentir ce genre de chose, je me sens toute bizarre.
"Jotaro... Doucement... C'est sensible !"
Je le vois sourire avant qu'il ne se mette à mordiller mon téton. Quel petit diable ! Je gémis un peu plus fort, je me mords la lèvre, Polnareff va nous entendre. C'est tellement gênant... Mes jambes tremblent, son intimité qui durcit au-dessus de la mienne me donne envie. J'ai tellement chaud...
Il lâche mon sein, me regardant avec un air de prédateur, j'ai vraiment l'impression qu'il va me dévorer. Il vient frotter son intimité contre la mienne, écartant un peu plus mes cuisses.
"- J'ai tellement envie de plus...
- Moi aussi...
- Je te prépare un peu et on y va ?
- Non, vas-y directement."
Qu'est-ce que je raconte, moi ? J'en ai envie, j'ai envie de savoir, j'ai envie qu'il soit à moi. Juste une nuit.
Il défait doucement mon pantalon et me l'enlève. C'est ma seule chance, demain je ne serai plus attirante à ses yeux. Il tire doucement sur ma culotte, il semble gêné. Il est vraiment mignon avec ses joues rouges, je passe une main sur sa joue et son attention se reporte sur mon visage. Il n'a pas l'air à l'aise, je vais l'aider. Je guide sa main pour retirer ma culotte alors que nos yeux ne se lâchent plus.
Il s'approche et vient m'embrasser, ses lèvres sont si douces et chaudes. C'est tellement agréable, j'aime tellement ses lèvres. Je sens une de ses mains se glisser entre mes cuisses, je frissonne.
"Je sais que tu m'as dit que tu étais pressée et que tu n'avais pas besoin de préparation. Mais je suis un peu imposant et je n'ai pas envie que tu aies mal, alors si tu me permets, je te prépare vite."
Je rougis en fermant les yeux, alors que je sens un de ses doigts entrer en moi. C'est étrange, un frisson me parcourt à nouveau. Il bouge doucement en moi, c'est tellement bizarre et agréable à la fois.
"Regarde-moi."
J'ouvre les yeux et je tombe sur les pupilles de Jotaro. Il est tellement beau, je pousse un petit gémissement quand je sens un deuxième doigt entrer en moi. C'est plus gros, ça frotte plus, je me cache dans le cou de Jotaro. Sa main libre vient se glisser dans le bas de mon dos, collant mon buste au sien, il est tellement chaud et il sent bon. J'enroule mes bras autour de son cou, mes doigts se baladent dans sa nuque et dans ses cheveux.
Je me sens bizarre juste avec ses doigts en moi, j'ai peur du résultat quand il rentrera avec son sexe. Je rougis, j'espère que ce sera aussi voire même plus. J'ai tellement envie que ce soit génial, c'est notre seule nuit. Je veux en profiter.
Il retire doucement ses doigts de moi, m'arrachant un petit gémissement.
"Je reviens tout de suite avec du plus lourd, Madame, ne vous inquiétez pas~"
Je rigole doucement alors qu'il s'éloigne un peu pour pouvoir retirer son caleçon tranquillement. J'en profite pour le mater, il est tellement beau. Il est juste à moi.
Il me rejoint et revient me coller, cherchant mes caresses dans ses cheveux. Trop mignon, il m'attrape les hanches et m'aide à me redresser.
"Ça te dérange si je te laisse te mettre dessus, j'ai peur d'aller trop fort dès le début."
Je hoche la tête, il s'assied en tailleur et je viens m'asseoir sur ses cuisses. D'ici son sexe a l'air vraiment énorme, est-ce que c'est parce que je suis habitué à voir le mien qui est beaucoup plus petit ? Je me redresse un peu plus, me positionnant sur le haut de son membre. Jotaro me caresse doucement le bas du dos pour me détendre, son regard est doux. Je me penche pour l'embrasser et commencer à descendre sur lui. Je serre les dents en me sentant m'écarter à ce point. Je ne savais pas que ça pouvait s'écarter autant, Jotaro me serre contre lui en grognant.
"- Kakyoin...
- Jo... Jo..."
Je gémis alors que je finis ma descente, j'ai réussi, il est en moi. Je le regarde en souriant et il vient m'embrasser. J'aime tellement ses baisers, j'en veux encore...
"- Je prends la relève, d'accord ?
- D'accord..."
Je le regarde sourire, il est magnifique quand il sourit. Je veux le voir sourire plus souvent. Il m'agrippe les hanches et me fait basculer en arrière, reprenant l'ascendant sur moi. Je m'installe confortablement sur le lit, sous le regard de Jotaro, je rougis un peu.
"- Tu peux y aller, je crois que je suis prête...
- D'accord, je commence doucement."
Il attrape mes cuisses et commence à faire quelques mouvements de va et viens assez court en moi. La sensation me fait frissonner, c'est tellement agréable, je n'aurai jamais cru qu'un jour, je le ferai avec lui. Ses mouvements s'accélèrent petit à petit, me donnant encore plus de sensations.
Je gémis doucement, c'est tellement bon et il reste tendre avec moi, alors le désir brûle dans son regard. Il a envie de plus mais il n'y ira pas plus loin si je ne le pousse pas un peu. Je souris, avant de passer mes mains dans ses cheveux et d'enrouler mes jambes autour de sa taille. Le mouvement suivant me donne plus de sensation et je pousse un petit gémissement. Jotaro grogne, j'espère que ça lui plait aussi.
Ses mains descendent sur ma taille pour me soulever un peu plus, ce qui amplifie le plaisir de chaque coup de bassin qu'il me porte. Je n'arrive plus à retenir mes gémissements. Pourquoi est-ce si bon ? Pourquoi est-ce si bon de le faire avec la personne que l'on aime ?
"- Jotaro~ ! Aaah~ Je... Je ne vais pas tenir longtemps...
- Moi non plus, je ne pourrais pas me retenir... Est-ce que ça va si je... hmm... finis dedans ?
- Ouii~ Aaanh~"
Il m'offre un beau sourire avant d'accélérer une dernière fois, mon corps ne répondait plus. Il n'a pas l'habitude d'être surchargé en plaisir et sensation, je ne fais plus que gémir et le regarder prendre du plaisir avec moi, avec mon corps de fille...
Je dois en profiter, c'est la dernière fois qu'on le fera. Je ne veux pas l'oublier, je me redresse pour supprimer l'espace se trouvant entre nos lèvres. Je les scelle d'un baiser, une larme coule.
Ma seule nuit avec lui, je ne l'oublierai pas.
