Hey!
Voila le deuxième chapitre! Désolé de l'attente
Merci pour tout les commentaires et les favoris et les alertes. Cela me fait très plaisir.
Merlin ne m'appartiens pas, ni aucun des personnages...
Désoler pour les fautes. Je sais qu'il en reste même si je vérifie mais je fait au mieux que je peu.
Bonne lecture!
. . .
Merlin marchait dans le château , il était distrait et château-branlant. Dieux merci il était dans un couloir désert, ça lui avait permit de laisser tomber son sourire qui l'épuisait. Il l'épuisait bien plus que d'habitude. Merlin fronça les sourcils en s' appuyant contre un poteau qui traînait là, sa vision se troublait et des vertiges le prenait… Son état était bien plus pire que ce qu'il avait penser au préalable. Les corvées dans l'armurerie l'avait épuiser, le métal froid avait glacer ses mains, les heures a frotter avait tirer la moindre parcelle d'énergie qui lui restait.
A se train la…
Mais à peine eu t'il penser cela qu'il se sentit glisser, ses jambes n'avait plus aucune force, et elles le laissèrent tomber, craquant enfin après tant de maltraitance.
Merlin ne pu rien faire si ce n'est se prendre le sol ridiculement dure à plusieurs endroits bien douloureux comme le bassin, une épaule et enfin la tête.
Le démoniste eu les yeux qui se fermèrent du choc et de la fatigue puis la noirceur le prit.
Merlin resta immobile dans le couloir désert, inconscient.
Personne ne passa, et personne ne le trouva…
Gaius soupira de son côté. Il se trouvait en plein conseil avec le roi, qui était relativement de mauvaise humeur. Ce n'était un secret pour personne dans la pièce. Et chacun essayait de ne pas irriter leur souverain plus que nécessaire. La raison leur était aussi bien connu : le serviteur de leur roi ne s'était pas présenté pour le préparer au conseil de cette après midi et cela avait agacer Arthur au point ou son inquiétude précédente avait été remplacer par l'agacement, oubliant totalement qu'il se posait précédemment des questions sur le bien être de son domestique. Mais personne n'avait vu le démoniste de l'après midi, Arthur avait pour temps demander à tout le monde si il avait vu son crétin de serviteur inutile, pour reprendre ses mots exacte. Mais personne n'avait de nouvelle.
Gaius lui avait été inquiet en comprenant que merlin n'avait pas été vu depuis un temps assez long.
Gaius appréhendait le pire, mais il ne dit rien au roi, voulant d'abord vérifier par lui-même si c'était critique. Mais pour se faire il du attendre la fin du conseil.
« Gaius, mon vieil ami, vous allez bien ? » lui demanda son voisin de table et ami, Geoffrey de Monmouth, en se penchant sur lui. Gaius lui donna un sourire
« Oui, juste un patient qui m' inquiète un peu, j'irai le voir après le conseil » répondit Gaius, ce qui n'était pas un mensonge, Merlin était son patient. Le bibliothécaire hocha la tête avant de se concentrer sur le roi et la reine qui trônait au bout de la table entourer de leurs fidèles chevaliers.
Gaius ne pu que attendre mais il fut vite récompenser et Arthur congédia tout le monde. Gaius se leva avec une rapidité qu'il ne se connessait plus et s'apprêta a partir, mais Arthur l'appela.
« Gaius ! » fit le roi, le médecin se retourna et regarda le roi en essayant de ne pas parètre impoli et pressé
« Sire ? » demanda le médecin. Arthur vu qu'il était pressé alors il fut direct
« Si tu voit ce crétin de merlin, envoi le moi ! » fit Arthur et Gaius hocha la tête avant de se détourner, pressé et impatient. Arthur regarda son médecin avec curiosité avant de levez les épaules ne comprenant pas son empressement. Guenièvre lui donna aussi un regard signifiant qu'elle ne savait pas…
Gaius força son squelette vieux et douloureux à marcher au plus vite qu'il pouvait, tout en maudissant merlin.
« Je te jure, si je te trouve, merlin, ça a intérêt à valoir la peine que je bouge mes vieux os pour toi. Dieux, je vais le coincer dans son déguisement de vieillard pour qu'il comprenne ce que ça fait de devoir courir dans tout les sens avec un squelette de mon age ! » Ragea le médecin mais il était inquiet au fond de lui. Il regarda encore dans un couloir avec désespoir, mais non: aucune trace de merlin.
« Mais où est-tu ? » se demanda Gaius, de plus en plus inquiet. Puis il réfléchis à quel couloir aurait pu prendre Merlin, « ça aurait été plus facile si quelqu'un avait pu le trouver, mais bien sur, il a prit un couloir ou personne ne passe… » fit Gaius avant d'avoir une révélation soudaine
« Mais bien sur, il a du prendre des couloirs peu fréquenté pour que les autres ne le voient pas si fatiguer... » Fit Gaius avant de partir vers d'autre couloir. Ce ne fut que au bout de cinq minutes que Gaius s'alarma en voyant une forme molle au sol, bien vite il s'approcha avant de reconnaître son pupille bien aimer.
« Merlin, dieux ! » fit Gaius en s'agenouillant a côté de lui. Gaius le retourna et l'ausculta. A part une bonne bosse sur la tête et des bleus plus que probable sur l'épaule et le bassin, il semblait aller bien. Enfin sur le plant physique... On voyait clairement que Merlin n'allait pas bien.
« Merlin, Merlin » fit Gaius en le secouant pour le réveiller de son inconscience.
Après quelque effort merlin bougea et ouvrit des yeux lassé, fatigué et troublé.
« Merlin dieux merci » fit Gaius et Merlin se releva en regardant au alentour.
« Gaius…Que…Que c'est t'il passer » fit Merlin et Gaius s'énerva
« J'aimerai te le demander ! Je t'avait dit que tu était trop fatigué ! Dieux ! Va la voir Merlin je t'en prit pour mon vieux cœur, je ne pourrait pas toujours te chercher dans le château tout entier. Sais tu à quel point il est grand ! » fit le médecin, avec la pression et l'angoisse qui redescendait. Merlin, conscient d'avoir inquiéter son mentor, s'excusa en baissant les yeux.
« Désoler Gaius. Je vais aller la voir cette nuit… » fit merlin les yeux vagues . Gaius soupira et les deux restèrent en silence un moment. Gaius se leva
« Aller viens, il faut que je traite cette vilaine bosse » fit Gaius Merlin se leva, mais manqua de tituber. Gaius lui prêtât assistance pour qu'il puisse s' appuyer un peu.
Les deux finirent par traverser le château, ils ne croisèrent pas grand monde, mais au quel cas Merlin se redressait et faisait au mieux qu'il pouvait pour être naturel.
Ce n'est que après avoir traiter ses blessures que Gaius se permit de soupirer. Devant lui merlin piquait du nez, menaçant de tomber de la chaise à tout instant.
« Merlin mon garçon,il faut vraiment que tu aille la voir, tu ne tien plus, regarde toi, tu es épuisé. La prochaine foi cela pourrait être pire. Tu a eu de la chance de ne pas tomber dans un escalier ou avec un objet tranchant » fit Gaius en le sermonnant, Merlin hocha la tête trop épuiser pour parler trop épuiser pour réfléchir, trop épuiser pour continuer à rester assis, trop épuiser pour rester éveillé. Mais Merlin savait que peut importe à quel point ses yeux se fermèrent, il ne s'endormirait pas.
« Oui, je vais y aller Gaius » fit Merlin.
« Voudrait tu que je t'accompagne ? Tu es trop fatigué pour faire le trajet à pied et certainement pas à cheval. » fit Gaius. Merlin secoua la tête
« Non ça va aller, je vais tenir jusqu'a à Avalon, j'irai à pied, ce sera-plus long mais comme tu la dit je ne pourrait même pas monter en selle » fit Merlin avec les yeux lourds et fatigués. Gaius hocha la tête
«Est tu sur que c'est bien prudent d'y aller seul ? Tu es vraiment faible » fit Gaius, Merlin hocha la tête
« Oui ne t'inquiète pas, il me reste assez de magie pour me laisser guider jusqu'au lac, et la foret me rend déjà plus en forme tu le sais, je suis plus à l'aise entourer d'arbre, l'énergie de la foret m'aidera… » fit Merlin, Gaius hocha la tête
« Bien si tu pense que ca va aller alors tant mieux. » fit le médecin Merlin hocha la tête.
« J' irait à la tomber de la nuit… Mais je doit d'abord donner son repas à Arthur et… L'aider pour le conseil… » fit merlin en réalisant qu'il n'était absolument plus temps pour le conseil, ce qui voulait dire qu'il avait un Arthur en colère sur le dos… Gaius lui donna un regard comme il sais les faire
« Le conseil est terminer depuis deux heures Merlin… » fit Gaius et Merlin regarda une fenêtre pour voir le soleil, s'assurant qu'il était bien si tard… Mais malheureusement, oui : il était si tard… Merlin soupira
« Arthur va me tuer… » fit simplement le domestique en s' affaissant. Gaius soupira
« J'en est peur, il n'a pas cesser d'être de mauvaise humeur de tout le conseil… Tu devrais aller t'excuser avant qu'il décide d'avancer l'heure de ta mort, il semblait vraiment contrarier. Par ailleurs il ma demander de t'envoyer à lui des que je te voyait. » fit le médecin et Merlin soupira encore une fois en se levant en faisant de son mieux pour ne pas tituber. Mais il du comme même se rattraper de justesse à la table car ses genoux ne coopérèrent pas du tout avec lui. Gaius se précipita également pour stabiliser Merlin qui n'avait aucun muscles qui voulait répondre.
« Merlin, dieux c'est plus grave à chaques secondes. Oublie ça, tu doit garder tes forces pour ce soir » fit le médecin et Merlin hocha la tête en cherchant sa chaise avec épuisement.
« Mais Arthur… » commença Merlin
« Je m'en occupe, je vais aller lui dire que tu n'es pas en mesure de remplir tes fonctions pour le reste de l'après midi. Que tu es trop fatigué » fit Gaius, près à partir.
Merlin s'alarma, bien que ses réactions étaient lentes et pâteuses, ne s'accordant pas du tout avec son empressement
« Ne lui dit pas, Gaius si il' te plais, dit lui autre chose mais pas que je ne vais pas bien, il ne comprendrait pas » fit Merlin. Gaius soupira en regardant son fils adoptif
« Merlin tu sais que tu ne pourra pas toujours lui cacher il va bien le savoir un jour ou un autre…mais puisque tu y tien tellement, d'accort, je dirait autre chose… Comme un coup de froid, ça ira comme excuse je pense » fit le Médecin. Merlin hocha la tête
« Oui, il ne suspectera rien, je pense, pas comme ci ça allait l' inquiéter d'ailleurs » fit merlin doucement en piquant du nez sur sa chaise. Gaius soupira mais pas pour la même raison que précédemment : Malgré le temps passer ensemble, qui commençait à être long, Merlin et Arthur n'avaient jamais été clair sur se point… Merlin pensait toujours qu'il n'avait aucune place dans le cœur d'Arthur.
« En attendant, repose toi au mieux que tu peux, tu aura besoin de toute tes forces se soir. Il te reste deux ou trois heure avant que le soleil tombe » fit Gaius. Merlin hocha la tête, sachant que de toute façon, malgré ses efforts,c'était en vain : il n'arrivera pas a dormir.
Gaius soupira en sortant, son cœur faisait mal à voir merlin comme ça. Le maquillage était peut être encore intacte, mais son comportement ne cachait rien lui. Merlin était un mollusque mou en se moment, aucun muscles de son corps ne souhaitait le porter et le soutenir. Son corps était au bout du rouleau. Il ne tiendrait pas longtemps. C'était déjà un miracle qu'il est tenu jusque la. Mais le moindre effort demandait une énergie considérable…
Secouant légèrement la tête, Gaius se demanda pourquoi merlin en était arrivé la. Et comment en était il arriver la ? Pourquoi la vie, le destin, le sort, appeler ça comme vous le voulez, ne lui avait accorder aucune pitié ? Pourquoi devait t'il toujours donner tout de son être jusque au malsain pour autrui ? Pourquoi un tel destin, un tel fardeau, sur des épaules si frêle qui ne demandait qu'a souffler un peu ? Lui qui n'avait jamais rien demander à personne, mais qui malgré se chemin tout tracer, continuait de faire de son mieux et même plus. Lui qui sacrifiait tellement pour son destin, pour son roi,… Pour Arthur… Lui qui donnait tout de lui-même, n'obtenait rien en retour si ce n'est que la fatigue, la tristesse, la désillusion, et la peine.
Le destin était bien injuste… Mais que pouvait faire Gaius pour cela, il n'était qu'un médecin qui avait déjà vécu une très grande partie de sa vie….
Gaius soupira en fermant la porte. Il voulait le dire à Arthur, voulait lui dire combien Merlin était en train de s'autodétruire… Mais il ne pouvait pas, il avait promit à Merlin qui ne lui dirait pas, il tiendrai sa promesse. Pour l'amour de Merlin.
Il ne fallut pas longtemps au médecin pour aller aux appartements du roi.
Une fois la bas, il frappa tranquillement, attendant la réponse de leur souverain. Celui ci lui donna l'autorisation de rentrer immédiatement.
Gaius le fit et mit une expression neutre àsouhait.
« Gaius, que puis-je pour vous » fit aussi tôt Arthur en voyant son visiteur le roi était à son bureau et faisait de la paperasse.
« Sire, je suis juste venu vous dire que Merlin ne pourra pas assurer ses services aujourd'hui » commença Gaius. Arthur fronça les sourcil.
« Pourquoi ? Cet idiot est t'il tellement saoul qu'il ne peut même plus tenir debout !? » fit le roi avec sarcasmes et colère. Gaius soupira
« En effet il ne tien plus debout, mais pas pour les même raison. Je suis celui qui lui a interdit de quitter son lit sire. » fit Gaius. Arthur fronça les sourcils voyant le sérieux de son médecin.
« Qu'y a-t-il ? » fit Arthur et Gaius répondit avec un parfait mensonge
« Merlin a attraper un coup de froid sévère, et je craint que si je le traite pas tout de suite, dans deux jours tout le château éternuera en cœur… Nous devrions éviter cela avec Morgane dans les parages. Aussi ridicule que cela puisse être, une telle faiblesse serait à prendre au sérieux » fit Gaius,Arthur hocha la tête comprenant.
« Oui bien sur nous ne voulons pas affaiblir notre armée, bien faite ce qu'il faut pour le traiter comme il faut : il doit pouvoir me servir des qu'il le pourra » fit Arthur, Gaius hocha la tête en s'inclinant légèrement :
« Bien sur, je ferrait de mon mieux » fit le médecin avant de vouloir partir, mais Arthur se rappela de quelque chose soudainement.
« Ha Gaius ! Penser vous que les symptômes puisse produire un manque de réaction ? Lorsque nous nous entraînions se matin merlin ne bougeait pas, et il s'est blesser. » fit le roi, Gaius eu les yeux qui s'ouvrirent grand comme des soucoupes :
« Mon dieux, vous avez fait quoi ?» fit le médecin, outrer et inquiet. Mais comprenant aussi pourquoi l'état de Merlin c'était dégradé aussi vite ! Un entraînement dans ses conditions ! Mais c'est de la folie ! Voyant que son roi le regardait, Gaius reprit doucement en masquant son outrance comme il pouvait mais il avait envie de dire ses vérités au roi:
« Ca explique beaucoup de choses, sire... Mais enfin on ne fait pas un entraînement lorsque on est malade ! » fit Gaius en colère. Arthur vu la préoccupation de Gaius et fit, pour sa défense :
« Je ne savait pas qu'il était malade ! Sinon, je ne l'aurait jamais fait faire un entraînement » fit le roi. Gaius se calma et reconnu que le roi avait raison
« En effet c'est vrais excuser moi sire. Mais je viens de comprendre pourquoi l'état de merlin c'est détériorer si vite. Je pensait qu'il pourrait aisément passer outre , Les symptômes qui étaient passager et faible on du se renforcer avec un entraînement de la sorte et l'entraînement a du l'affaiblir et le virus a du profiter de sa faiblesse pour s'installer… » fit Gaius, Arthur hocha la tête
« Ce n'est rien, c'est la faute de cet abruti pour ne rien m'avoir dit ! » fit le roi. Gaius hocha la tête
« Vous vouliez autre chose, sire » fit Gaius. Arthur secoua la tête
« Non rien Gaius… Il me semble que vous avez un accouchement potentiel ce soir. Je voulais parler de quelque chose en cercle priver que je n'ai pas évoquer au conseil, mais je doute que vous pourrez être la. Je chargerait Guenièvre de vous redonner toute les informations ultérieurement » fit le roi en réfléchissant,Gaius hocha la tête
« Bien sire » fit l'homme âgé avant de sortir.
Arthur soupira en s'affalant dans son siège. La culpabilité se fraya un petit chemin a travers quelques fissures minuscule de son cœur…
Gaius retourna à ses appartements. Il était en colère contre Merlin pour lui avoir cacher ce détail. Et contre Arthur pour ne pas lui avoir fait pare de l'incident, cela aurait pu être grave.
Aussi lorsque le médecin ouvrit la porte avec un peu plus de vigueur que d'habitude, il trouva Merlin assis par terre contre le mur avec un livre, l'air fatiguer et éreinter. Mais le médecin vu bien à la lueur dans les yeux de Merlin qu'il n'avait pas réussi a fermer les yeux, alors il avait opter pour une activité la moins possible énergique. Mais Gaius doutait que Merlin soit même en mesure de lire en se moment, il devait se contenter de regarder les images qui se trouvait à l'intérieur.
Mais le médecin ne se lessa pas perturber par l'expression fatiguer de Merlin pour lui faire des reproche.
« Quand contait tu me dire que tu avait été a l'entraînement ce matin! Merlin je t'avait dit pas d'activité physique ! » fit le médecin, Merlin releva un peu la tête pour regarder son médecin, et père adoptif
« Que voulait tu que je face, quand Arthur a décidé quelque chose, c'est dure d'y échapper » fit Merlin comme si ça excusait tout. Gaius ferma la porte
« Peut être, en effet, mais il n'empêche que tu aurait du me le dire, venir me voir : Arthur ma dit qu'il y avait eu un accident ! Je t'avait bien dit que tu ne tiendrait pas, la prochaine fois Merlin cela pourrait être pire ! Personne ne devrais approcher de près ou de loin un objet tranchant dans ton état ! » fit Gaius inquiet et en colère. Merlin lui donna une petite mine désolée et coupable, mais Gaius finit par soupirer, voyant bien que Merlin n'était pas en état d'avoir une dispute. Mais le sorcier trouva tout de même la force de poser une question
« Qu'as-tu dit à Arthur ? » demanda Merlin avec inquiétude… Gaius s'essaya à côté de Merlin sur une chaise
« …Rien de vrais ! Mais j'aurai du crois moi!... » fit le médecin et Merlin soupira de soulagement. « Je lui est simplement dit que tu avait un coup de froid et que je t'avait interdis de sortir de ton lit de peur de contaminer tout le château… De cette façon nous pourrons aisaimant cacher ton absence, si cela dure plusieurs jour, ce qui j'en suis sur sera le cas vu comment tu es fatiguer. » fit le médecin. Merlin hocha la tête. Gaius ne dit rien un temps alors que Merlin se léssait complétement reposer sur le mur, sans force. Au bout d'un temps le médecin parla, alors qu'il regardait Merlin
« Tu n'as pas pu dormir ? » fit le médecin mais ce n'était pas vraiment une question. Merlin hocha la tête lentement, les yeux sur le sol…
« J'ai voulut aller à ma chambre, mais je me suis retrouver étaler par terre sans que je ne puisse faire quelque chose. Je n'arrivait même plus à me relever alors J'ai essayer de me reposer là, mais mon esprit n'a jamais voulut se mettre au repos. J'ai beau essayer Gaius, j'essaye de me détendre, mais mon esprit paranoïaque ne veut tout simplement pas me laisser être en paix. J'essaye de fermer les yeux, mais même dans le noir complait, mon esprit vagabonde à des milles de là, me troublant et me fatiguant… » fit Merlin doucement la fatigue et la lassitude, ainsi que le désespoir se faisait entendre dans sa vois… Gaius soupira, il aurait tellement aimer l'aider. Mais même les somnifères n'y faisait rien. Merlin s'endormait comme une masse dans ses conditions. Mais comme il l'avait dit lui-même, le noir ne le coupait pas de ses inquiétudes. Et si son corps au repos se reposait, l'esprit de Merlin angoissait, stressait et résistait à toute sorte de repos inconscient. Même dans le sommeil il ne se reposait pas, rendant son sommeille absolument pas bénéfique.
Depuis Gaius n'avait plus essayer de lui donner des somnifères, car il savait que ça n'avait pas d'effet.
C'est donc triste que Gaius regardait son pupille bien aimer. Il regarda le livre que tenait son garçon sur ses genoux.
« Les astres et les symboliques ? » fit Gaius avec un ossement de sourcils.
« Hum… J'ai prit le premier qui venait sans que je doivent bouger... » expliqua Merlin, fatigué… Gaius se leva et prit un autre livre qui traînait sur la table au loin.
« Tien mon garçon, lui te plaira mieux… Essaye de te détendre avant se soir » fit Gaius Merlin lui fit un pale sourire de remerciement et prit le livre. En effet le thème l'intéresserait déjà plus que le précédent…
« Merci Gaius » fit Merlin en le feuilletant tranquillement, ne cherchant pas à se fatiguer…
« De rien Merlin, profite un peu des heures qui te reste… » fit Gaius tranquillement, se tournant vers ses potions pour s'occuper avant de préparer ce qu'il aurait besoin pour se soir. En effet Arthur avait raison : un accouchement était pour se soir au demain au plus tard, la lady Tremanile était enceinte et l'accouchement était imminent. A vrais dire Gaius était préparer depuis le matin à voir un messager entrer avec fracas en lui disant que l'enfant allait arrivé et que sa présence était requise…
Les deux restèrent comme ça, en silence calme, un temps. Rien ne semblait troubler la paix. Merlin ne récupérait pas, mais il ne s'épuisait pas, et c'était déjà ça. A vrais dire s'il n'était pas aussi fatiguer, il en aurait carrément profiter. Ce n'était pas tout les jours qu'il pouvait rien faire et juste se détendre avec un bon bouquin…
Malgré la fatigue le temps passa et bientôt le soleil déclina. Merlin releva la tête alors qu'il voyait Gaius allumer les bougies de la pièce. Merlin soupira en regardant la nuit tomber à travers la fenêtre: il était temps…
Avec un peu d'aide de la part de Gaius, Merlin finit par se relever et entreprit de se diriger vers la cour. Il était fatiguer mais avait juste assez récupéré pour marcher un peu. Il espérait qu'il atteindrait la foret, une fois la bas ça ira mieux car la nature lui donnera de la force et de l'énergie. Merlin avait constater cela il y a quelque mois. La foret lui apportait un bien être et une force étonnante. Mais entre la foret et l'atelier de Gaius. Il y avait tout le château à traverser, la cour, et la ville… Sans compter le fait qu'il ne fallait pas rencontrer un des chevaliers ou pire, Arthur ! Merlin n'avait pas la force de continuer à sourire , il n'avait plus la force de parler avec qui que se soit. C'est donc dans le silence que Gaius lui donna un regard tendre lui souhaitant bonne chance. Merlin hocha la tête, reconnaissant que Gaius le comprenne et fasse ce qu'il pouvait pour ne pas le fatiguer d'avantage. Par chance, en plus de la nuit qui naissait, c'était une heure ou tout le monde était à l'intérieur. Il y avait donc relativement peut de monde dehors et merlin bénissa cela…
Le serviteur se fréya un chemin dans la cour sombre, une cape sur les épaules longeant le mur pour ne pas tomber en profitant de tout les appuis que son parcourt pouvait lui donner.
D'ici peut de temps il pourrait enfin dormir. Merlin eu un soupir de soulagement à la pensée d'un repos bien mériter. A la pensée des bras réconfortant de Freya. A la pensée de la présence réconfortante et protectrice de l'esprit d'Avalon. A la pensée de pouvoir enfin se reposer et dormir sans que son esprit de parano ne se mette à galoper...
Mais fallait t'il encore y arriver…
Arthur, de son coter, avait passer une après midi relativement normal… Non en faite, non ! Pas du tout ! Sa journée n'avait pas été normale du tout ! Merlin n'avait pas été à ses coter de la journée, George avait été attribuer a le remplacer pour ses taches, donc il avait George sur les épaules toute la journée. Ce n'est pas que Arthur n'appréciait pas George, il était un serviteur exemplaire, mais ce n'était pas Merlin. Et Merlin lui avait manquer. Enfin il ne le dirait pas à voix haute, bien sur, mais au fond de lui si Arthur était honnête avec lui-même, ce qui n'était pas le cas souvent, merlin lui avait manquer.
Sans compter qu'il c'était inquiéter pour son serviteur. Malgré sa journée bien charger, il n'avait pas pu s'en empêcher, des que son esprit était libre de ses obligations de roi, de s'inquiéter pour son serviteur. Certes ce n'était qu'un rhume pénible et qui c'était empirer, mais Arthur n'avait tout simplement pas pour habitude d'être seul… Merlin était à ses côtés depuis si longtemps maintenant que des qu'il n'était pas la, cela pouvait entraîner de l'inquiétude.
Mais essayant de mettre de côté ses pensées sur Merlin, Arthur avait tenu à tenir la réunion de ce soir c'est donc sans surprise que ses quatres chevaliers proches entrèrent un à un dans ses appartements. Guenièvre était déjà là attendant patiemment sur la table avec quelque papiers de reine.
Les chevaliers, après avoir saluer correctement leurs souverains, s'installèrent confortablement dans la salle. Léon et Perceval s'assirent à côté de Arthur, tendis que Elyan prit la place à côté de sa sœur. Seul Gauvain préféra rester debout à regarder la fenêtre, grignotant une pomme qu'il avait prise dans la corbeille de sa majesté !
« Bien, merci d'être venu, je voulait avoir vos avis sur des sujets plus délicat avec vous que je n'est pas exposer dans le conseil. Gaius ne pourra pas se joindre à nous malheureusement mais nous lui retransmirons plus tard » commença Arthur les autres hochèrent la tête. Mais Gauvain regarda la salle, il y avait une autre personne qui manquait leur réunion habituel.
« Merlin n'est toujours pas la ? » demanda Gauvain étonner les autres s'étonnèrent aussi et regardèrent la pièce vide de monde. Arthur soupira
« En effet, Gaius est venu dans l'après midi me dire qu'il était malade et qu'il ne pourrait pas quitter son lit » fit le roi, les autres s'étonnèrent
« Il est malade ? » demanda Perceval.
« Oui un coup de froid sévères, d'après Gaius » fit le roi les autres froncèrent les sourcils, avalant moins bien l'excuse que leur roi
«Un coup de froid… C'est inhabituel » fit Elyan en réfléchissant.
« En effet il est plutôt tenace d'habitude contre les virus. Après tout il passe un temps fou dehors avec nous lord des missions et ne tombe jamais malade… » fit remarquer Léon. Arthur hocha la tête
« En effet…. Mais Gaius a dit que ça n'aurait pas du être important mais merlin c'est affaibli d'un coup et le virus la gagner… » répliqua Arthur. Les chevaliers hochèrent la tête.
« ça a du sens,en effet… » fit Gauvain doucement repensant au matin même…
« Il n'y a qu'a prier pour qu'il soit rétablie au plus vite » fit la reine doucement. le roi soupira
« En effet. bien et si nous commencions » fit le roi t les autre hochèrent la tête.
De longue minutee passèrent, Arthur parlait, et les autres débâtaient sur la meileur option. La reine rajoutait ses impressione sur tel ou tel sujet…
Au final se fut une réunion normal malgré leur deux absents qui se faisaient un peu remarquer après tout ils avaient toujours fait ce type de réunion secrète au complet…
Ce n'est que au bout d'une heure que Arthur sonna George pour qu'il puisse allumer les bougies de sa chambre. La nuit tombait mais ils n'avaient pas finit leur réunion. Les chevaliers regardèrent le serviteur inconnu déambuler dans la pièce avec des courbettes respectueuses et des flatteries envers les deux majestés, tendis que il allumait toute les bougies. C'était un spectacle très inhabituel, et c'est la que tous remarquèrent a quel point Merlin était une partit importante de leur vie.
« Merci George tu peut disposer » fit le roi, une fois que la pièce fut illuminer. Le serviteur s'inclina bien bas avant de sortir rapidement. La aussi c'était nouveau si Merlin s'inclinait, ce qui était très rare, c'était un petit hochement de tête vite fait. Et Merlin ne se dépêchait jamais de quitter une pièce comme tout serviteur devrais le faire…
Après un instant de blanc ou la porte se referma derrière George, Gauvain fit enfin :
« Ok…C'était gênant… » fit le chevalier et les autres pouffèrent de rire
« En effet, dieux merci merlin ne fait pas ça » fit Elyan en rigolant à son tour, même Arthur eu un sourire.
« Oui, vous imaginez un merlin aussi lèche-bottes que cela !? » fit Léon avec un sourire. Les autres eurent une expression de dégoût et stupeur.
« Ho non, mon dieux ce serait horrible ! Il faut quelqu'un sur cette terre pour tenir tête à la princesse et qui d'autre que merlin y arrive » fit Gauvain avec un sourire. Arthur leur donna une expression blaser mais même la reine donna un petit sourire d'amusement…
« Je dois admettre, qu'il n'a pas tort Arthur » fit la reine avec un sourire aimable. Arthur se renfrogna un peu en bougonnant dans sa barbe.
« C'est ça continuez d'enfoncer le couteau… » fit le roi… Perceval soupira , calmant ses rires
« Enfin… Il faut admettre que George est d'une souplesse incroyable… » fit remarquer le géant. Elyan rigola
« Gauvain essaye de t'incliner aussi bas, on verra comment vont tes reins après ça » fit le chevalier en riant Gauvain prit une expression défensif.
« Tu plaisante ! Mon dos se briserait en deux avant même que j'ai pu commencer à me baisser!» fit le chevalier. Le groupe rigola légèrement, puis Arthur reprit son sérieux.
« Bien, retournons aux affères de l'état : Je disait donc que les barrières du sud mérite plus de patrouille » fit le roi et les chevaliers se reconcentrèrent aussi. Gauvain écoutât mais resta à regarder la cour de la fenêtre ou il était appuyer. C'était une habitude qu'ils avaient prise inconsciemment. Un chevalier restait toujours debout pour regarder aux alentour pour voir si il se passait quelque chose qu'ils ne pouvaient pas voir si ils parlaient, comme une attaque… Mais il écoutait comme même avec attention les dires du roi et des autres. Ce soir c'était Gauvain…
« En, effet, trop d'incidents on eu lieux… » fit Léon mais Gauvain n'écoutait pas, car il avait froncer les sourcils en regardant la cour du château…
« Princesse… » fit Gauvain doucement regardant toujours la cour.
« Sans compter que les bandits sont toujours dans la foret… » rajoutât Elyan, n'ayant pas entendu leur compatriote.
« Princesse ! » fit Gauvain avec plus d'insistance. Le roi fronça les sourcils
« Quoi » fit Arthur fâcher d'avoir été interrompu. Gauvain montra la cour sans regarder les autres…
« Je trouve que pour une personne qui doit rester au lit sans bouger, merlin se déplace plutôt bien… » fit le chevalier. Les autres fronçèrent les sourcils et le roi se leva
« Quoi » fit le roi en fronçant les sourcils en s'approchant de sa fenêtre.
« Je vient de le voir dans la cour » fit Gauvain les autres aussi se levèrent
« Mais Gaius lui a dit de ne pas bouger » fit la reine ne comprenant pas.
« Ouai, et bien il bouge… » fit Gauvain toujours en regardant la fenêtre en contrebas les autres se firent une place a ses côtés pour voir leur ami.
« Cet idiot doit espérer s'échapper pour aller a la taverne. » fit le roi avec un soupire mécontent. Les autres ne dirent rien en regardant leur ami dans la cour…
« C'est étrange… Sans compter le faite qu'il est malade et ne devrait pas bouger, il sort en plaine nuit… » fit Perceval
« …Avec une cape. Vous avez déjà vu Merlin avec une cape ? » fit remarquer Elyan. Les autres froncèrent les sourcil alors que Merlin continuait d'avancer dans la cour, lentement.
« Il a l'air de vouloir sortir de l'enceinte de la citadelle » fit Léon pensif. Les autres ne purent que être d'accort
Un silence passa ou le groupe regarda Merlin, ils pouvaient le voir mais pas en détail car il était en hauteur et la cape de Merlin cachait une bonne partie de son corps, c'était comme une ombre… Gauvain fronça encore les sourcils en faisant une remarque
« …Pourquoi il longe les murs, je veux dire il aurait pu couper par le centre de la cour.» fit remarquer le chevalier. Arthur réfléchissa
« Je ne sais pas… Mais il y a une patrouille qui arrive » fit remarquer le roi les autres déplacèrent leurs regards et en effet une patrouille nocturne s'avançait en direction de Merlin… Mais à la surprise des personnes présente dans la chambre. Merlin se fonda dans le mur, terrer dans l'ombre, parfaitement conscient de la patrouille. Les autres ne surent que dirent.
« Mais... » fit Guenievre ne comprenant pas ce qui venait de se passer.
« Merlin viens clairement d'éviter une patrouille pour pas qu'ils le voient, j'ai pas rêver ? » fit Elyan.
« Dite… Sortir en plein milieux de la nuit, une cape, éviter les patrouilles, quitter la ville… Cela ressemble très fort à… » commença Gauvain
« A un fugitive » finit Léon . Tout le monde resta interdis quelque seconde, c'était de Merlin qu'il parlait…
« Mais enfin pourquoi devrait-il agir comme un fugitif c'est pas comme si il etait rechercher ou quoi que se soit » fit Guenièvre ne comprenant pas… Les autres non plus mais Arthur eu une révélation
« Ou peut être qu'il veut simplement ne pas se faire repérer » fit le roi puis il se redressa. « On va le suivre » fit le roi et les chevaliers le regardèrent avec incompréhension. Arthur expliqua donc
« J'ai toujours voulut savoir ou il allait lorsque il disparaissait comme ça. Nous avons une chance de voir enfin ou mon idiot de serviteur passe ses nuits. Malade ou pas malade… » fit Arthur avec un sourire ravie. Les chevaliers hochèrent la tête.
« On est avec vous ! » fit Léon lui aussi un peu curieux. Les absences de merlin était connu dans tout le royaume ou presque. C'est vrais que tout le monde se demandait ce qu'il faisait de son temps libre. Quoi que c'était pas vraiment un temps libre puisque c'était surtout sur son temps de travail que merlin disparesait…
« A votre avis on a combien de chance pour tomber sur un rendez vous secret avec une fille ? » fit Gauvain avec un sourire bien décider à démasquer son meilleur ami. Les autres rigolèrent
« Arrête je t'en prit c'est Merlin, il est incapable de sortir avec une fille » fit le roi alors qu'il prenait sa cape. « Guenièvre tu reste là, au cas ou Gaius aurait finit son accouchement et chercherait à nous rejoindre pour la réunion » fit le roi, la reine hocha la tête.
« Bien sur, soyez prudent » fit-elle avant que les chevaliers sortent, le sourire aux lèvres.
. . .
Et voila!
J'espère que ça vous a plus! N' hésiter pas a me dire ce que vous en avez penser.
Bye bye!
