Hey!
Vous vous souvenez de moi?! Si c'est non : je comprend vu le retard que j'ai! Je suis désolée! Je n'ai aucune excuse et je ne vais même pas essayer de me justifier!
Voila le chapitre 3!
J'espère qu'il vous plaira!
Comme toujours je suis désolée pour les fautes
Et merlin ne m'appartiens toujours pas.
Bonne lecture!
. . .
Chapitre 3 :
Merlin marchait sans but dans la foret. Enfin si : il avait un but : Avalon et son lac sombre et mystérieux. Mais il donnait vraiment l'impression d'être une âme errante sans but ni horizon, errant entre les arbres tel une ombres qui se faufilait et disparaissait dans la nuit. Autour de lui le silence et le calme mortel de la foret donnait une atmosphère digne des meilleurs comptes de sorcellerie et autres créatures mystiques. Il venait de quitter la ville. Derrière lui les grandes tours du château semblait le surveiller de loin. Mais merlin ne leur accordait aucune attention ni à elles ni à son entourage, se contentant d'avancer du mieux qu'il le pouvait. La foret bien que belle, était un vrais parcours d'obstacle. Et il n'avait pas besoin de ses jambes maladroites pour trébucher avec son état.
Malgré la foret et sa magie qui circulait dans toute les formes de vie présente ici, merlin était encore dans un état déplorable, et ça n'allait pas en s'arrangeant…
Mais merlin tenait bon et se focalisait sur son but.
Sa magie pulsait dans son corps, bien que ce ne soit pas de façon visible, et donnait toute l'aide que Merlin avait besoin pour atteindre Avalon durant se trajet. Mais c'était fatiguant, tellement fatiguant.
Dieux merci les arbres donnaient aussi de très bon appuis pour circuler dans la foret. Merlin en avait besoin. La moindre branche, le moindre tronc d'arbre, l'aidait à avancer.
Le chemin était long et fastidieux à pied, mais il n'avait pas le choix puisque il serait tomber de la selle si il était aller à cheval, et peut être même que ses mains n'auraient pas pu tenir ses rênes.
Merlin détestait son état, car c'était des faiblesses dans son rôle au côté D'Arthur. mais il n'y pouvait rien c'était ainsi. Merlin avait bien essayé bien des fois de comprendre pourquoi et comment ça lui arrivait. Ce n'était pas courant comme symptôme. Et comme Gaius lui avait dit, les peu de victime de la paranoïa du sommeil, se guérissait en quelque temps sans plus jamais avoir de représailles. Mais pas merlin ! non merlin ne pourrait jamais avoir un truc normal qui lui arrive dans sa vie ! non, pas moyen !...
Enfin merlin était habitué, depuis le temps…
Peut importe, l'heure n'était plus à chercher comment cet chose était arrivée, mais de faire avec la fatigue du moment.
Même si merlin avait une idée sur la question… Une idée que Gaius semblait partager :
En effet lorsque merlin ne se sentait pas assez en sécurité pour se mettre au repos dans la plus grande faiblesse qu'était le sommeil, il ne dormait pas tout simplement. Trop peur pour s'affaiblir et se mettre en danger. Trop peur pour se rendre vulnérable…
Et pourtant lorsque merlin avait comprit cela : il avait essayé de se mettre en sécurité, de dormir protéger. Si on peut dire ainsi, car Camelote n'était en soit pas un endroit très protégé pour son espèce. Même si Arthur avait fait des progrès dans se domaine. Mais enfin se sujet est pour une autre histoire…
Mais il avait eu la confirmation de ses doutes lorsque Freya l'avait invité en son sain. Là, merlin s'était senti protégé. Il savait que si il s'endormait ici, il serait en sécurité Freya le protégerait, même si il était vulnérable, et même si on essayait de l'attaquer, Freya le protégerait !
Et c'était ainsi qu'il avait enfin pu dormir car il savait que Freya était là : il pouvait sentir sa présence, même dans son sommeil. Il pouvait sentir la prison aqueuse qui lui apparaissait plutôt comme une barrière protectrice que personne ne pourrait franchir a part Freya. Et il avait en Freya la plus total des confiance. Là ou d'autre aurait profité de ses faiblesses, Freya, qui était pour temps la seule en à avoir la possibilité, ne le prendrait pas en traître.
Et c'était ça le problème. Toute les personnes proche de merlin, même si Merlin mettrait sans hésiter sa vie entre leurs mains, avait perdu cette confiance. C'était ironique, car il n'hésiterait jamais à s'en remettre aux chevaliers ou bien au roi, pire à Gaius ! Mais son inconscient, lui était complètement paniqué…
Il avait confiance en eux, mais son inconscient ne se trouvait pas assez en sécurité à son goût.
En même temps depuis quand être au côté d'Arthur était un gage de protection ?! Sérieusement ?!
Enfin dieux merci, il y avait eu cette solution ! Mais ni Freya ni merlin avait comprit pourquoi et par quel miracle ça c'était produit mais ils en étaient tout les deux reconnaissant. Cela leur avait permit de pouvoir être un peu ensemble. Même si c'était à la fois très généreux et très sadique de la part du destin : car oui : Freya pouvait se manifester dans se monde, mais ils n'avaient pas le droit de se voir. Des que merlin s'endormait Freya pouvait quitter l'autre monde, mais des qu'il se réveillait, elle devait aussi tôt repartir. Au fond ils devaient se contenter de la présence de l'autre. Mais rien que pour ça ils étaient tellement reconnaissant. Certain couple n'aurait jamais su se contenter de ça. Mais pour ce couple particulier qui n'avait jamais eu la vie commune qu'ils méritaient, c'était beaucoup !
La triple déesse dans sa générosité avait un peu adouci leur vie. Ou peut être était-ce la seule solution pour que merlin reste en vie, après tout il avait un destin a accomplir et si il n'avait trouvé cette solution Merlin serait mort tout ou tard. Soit de sommeil soit d'imprudence….
Merlin ne saurait dire si c'était de la générosité ou juste un moyen de garder un destin important sur le bon chemin… Mais il s'en fichait.
Il avait bien d'autre chose à faire que deviner les pensées de la triple déesse. Et sincèrement il n'était même pas actuellement en possibilité de réfléchir. Il s'octroyait toute ses pensées et ses réflexion que lorsque il était en bon états…
Pour l'heure, un pas devant l'autre, doucement, sans tomber, et sans s'endormir…
Arthur soupira :
Ce n'était pas aussi amusant qu'ils l'avaient prédis, et espérer. En faite s'en était même barbant…
Sérieusement pourquoi n'avait-il pas prit un cheval comme lord d'autre disparition, Arthur savait que merlin prenait des fois un cheval pour disparaître, alors pourquoi pas maintenant ! C'était ennuyeux et long ! d'autant plus qu'ils devaient rester dans son angle mort et assez longtemps pour pas se faire démasquer par le serviteur, bien que à mon avis merlin n'était pas en état de pourvoir démasquer quoi que se soi, mais Arthur ne le savait pas. Et donc oui ils étaient obligés d'aller doucement,car eux avait un cheval, ce qui était encore plus long et ennuyant.
Gauvain soupira pour la énième fois, tout en chuchotant.
« Pourquoi la foret, de tout les endroits ou il pouvait allez, la foret et de nuit en plus… » se plaignis le chevalier.
« Chut Gauvain, tu vas nous faire repérer » répondis Léon à voix basse. Gauvain soupira encor une fois.
« Et donc pourquoi on fait ça, déjà ? » demanda le chevalier, lassé . Au loin la forme encapuchonner de merlin se faisait voir.
Arthur soupira encore une fois :
« Je veux savoir ou il va et pourquoi il disparaît tout le temps » expliqua le roi en chuchotant.
« Qui n'a pas envie de savoir ça ? » plaisenta Elyan avec un sourire en arrêtant son cheval, comme tout le monde car merlin c'était arrêté contre un arbre quelques secondes.
« Je suis d'accord sur ça, mais pourquoi maintenant. Il y aurait eu d'autre occasion avec la réputation de notre petit serviteur » se plaignis encore Gauvain, l'air renfrogné.
« Chut Gauvain ! » fit Arthur en levant la main car merlin n'avait toujours pas bouger et le roi craignait qu'il les avait repéré. Mais ils étaient loin du comte : De leur point de vu, les chevaliers ne pouvaient pas voir ni comprendre ; mais merlin était essoufflé et se reposait deux secondes pour reprendre son énergie.
Les chevalier et le roi retenaient leur souffle, attendant que merlin face quoi que se soit, et parmi les options, ils s'attendait à ce que merlin se retourne et leur lance un regard noir pour s'occuper de sa vie privée. Mais il n'en fut rien et merlin repartit doucement. Les chevaliers, si il ne s'en plaignirent pas, ne s'étonnèrent pas encore de se fait. Gauvain n'était pas vraiment le plus discret des hommes ; d'ailleurs Arthur était près a parié que si ils se faisaient repéré : ce serait à deux cent pourcent de sa faute…
Tous se remirent en route discrètement. Scrutant la forme de merlin qui marchait doucement.
Un temps passa ou l'aventure était fastidieuse, d'un côté comme de l'autre… Pour merlin c'était normal mais pour les chevaliers c'étaient parce que merlin était lent : ils devaient toujours s'arrêter pour le laisser prendre de l'avance. C'est limite si ils seraient plus efficace en descendant de cheval…
Mais mine de rien et malgré le rythme lent , merlin arrivait, par je ne sais quel miracle, a avancé et faire passer les kilomètres…
La nuit était totale maintenant mais ils voyait bien ou ils allaient grâce à la lune plaine ou quasi qui écalerait la foret de sa lumière argentée…
Les feuilles du sol fessait un bon tapis pour masquer le bruit des sabots, et puis ce n'était pas comme si ils fessaient le ramdam qu'ils fessaient en galopant, avec leur rythme actuel…
Mais Léon commençait a froncé les sourcils alors qu'il regardait merlin devant eux contourné un gros chêne au racine tel des agrainer disparate. Il n'était pas le seul, les autres aussi commençaient a trouvé une chose étrange dans cet aventure…
Merlin était lent. Trop lent… Etles chevaliers commencèrent a trouvé cela louche. Parmi tant d'autres choses… La liste n'était plus a commencé. ..
« Arthur… » prévenu Léon. Mais les chevalier s'interrompirent voyant qu'ils avaient en faite parler tout en même temps, avec se même ton de préoccupation. Le roi les regarda en clignotant des yeux alors que eux même eurent un sourire à leur maladresse.
« Vas y Léon, je suis sur qu'on a la même idée sur la question » fit Perceval. Léon hocha la tête et regarda le roi.
« Arthur, tu ne trouve pas que c'est étrange , merlin n'a pas l'air d'être dans son état normal. Je veux dire, oui il peut être lent si il veut voyager lentement… Mais là ce n'est plus normal…Iil est bien trop lent… » expliqua Léon les autres hochèrent la tête à l'unisson, confirmant leur soupçon. Arthur regarda son serviteur.
« J'avais des doutes moi aussi, mais vous confirmer cela… » fit le roi en réfléchissant sur le pourquoi du comment. Perceval réfléchis ;
« Peut être est-il blessé » proposa le géant.
« Du à ce matin c'est possible. » résonna Elyan. Gauvain fronça les sourcil.
« Non sinon il boiterait . La, il ne boite pas, il a juste l'air… Lent…Comme une personne âgée ou… » protesta le chevalier le roi hocha la tête.
« En effet… » fit simplement le roi, des émotions qu'il n'aimait pas était en trin de frayer un passage dans son cœur.
« Mais alors pourquoi » demanda Léon. Personne ne su donner de réponse, bien qu'il aurait aimer en donner… Le silence se fit et il repartir. Car oui ils c'étaient encore arrêté…
Merlin n'avait aucune conscience des cinq hommes qui l'épiaient. Et continuait son chemin du mieux qu'il le pouvait… Il avait tellement envie de s'arrêté. De juste s'arrêter et se laisser mourir entre les racines d'un arbre, tellement il était au bout du rouleau. Il avait envie d'abandonné…
Son corps protestait, il avait mal. Son esprit protestait , il avait mal. Son âme meurtrit protestait elle aussi. Et pour ne pas changer : elle aussi avait mal !
Qui, dans de pareil condition n'aurait pas eu envie d'abandonner ?
Mais non merlin ne pouvait pas. Il n'en avait pas le droit. Pour Arthur, il ne devait pas laisser tomber. Il ne devait pas abandonner. Arthur avait besoin de lui, qu'il le veuille ou non et qu'il l'accepte ou non. Et ça merlin en était conscient. Donc quant il passa devant une mousse verte particulièrement attirante pour se laisser choir : Il résista et continua son chemin…
Il ne pouvait pas…
Freya le ferait se reposer alors il pourrait rejoindre Arthur et être à ces côtés. Pour repartir dans un cycle sans fin et monotone… Mais il devait y aller. Ce n'était plus très loin ! enfin… Tout est relatif.
Merlin avait à peu près calculé que si il continuât comme ça il arriverait au matin…
Le groupe, inconscient de la destination, se contentait de suivre merlin qui semblait ne pas se laisser distraire par un croisement ou une interception. Merlin savait ou il allait, ça se voyait. Et rien sur la route semblait le détourner de son but. Merlin marchait droit devant, coupant a travers la foret : tout droit devant lui comme un mur d'enceinte dressé devant une armée. Mais en moins solide. Bien moins solide….
Le silence c'était fait au sain des chevaliers ils n'avaient rien trouvé à redire pour l'instant. Mais si personne ne disait rien, ils se doutaient bien à pressant que ce n'était pas pour y rencontrer une jeune fille qui merlin allait dans les bois. Quoi que techniquement Freya était une jeune fille… Mais pas dans le but ou eux l'imaginait. Ça allait être bien moins gai et amusant…
Les questions affluaient de plus en plus dans leur esprit
« Dite, est ce que je suis le seul qui a remarqué que merlin s'appuis sur tout ce qu'il trouve ? » demanda Gauvain au bout d'un temps. Les autres hochèrent la tête en silence…
« On a écarté la possibilité de la blessure, sinon ça aurait expliquer pourquoi » répondit Elyan.
« C'est vrais mais je ne sais pas pourquoi» fit Gauvain. Les autres ne purent rien dire et continuèrent le chemin. Il se passa bien une heure avant qu'un événement trouble la monotonie des lieux. Ils étaient encore dans la foret, mais les chevaliers avaient décidé de descendre de cheval car de toute façon Merlin marchait trop lentement pour eux. Alors ils le suivaient en tenant la bride de leur chevaux respectif mais d'un coup un fracas monstre se fit entendre dans la nuit silencieuse. Aussi tôt les chevaliers se retournèrent pour voir leur camarade étalé par terre.
« Gauvain!» fit le roi en chuchotant désespéré et inquiet. Le chevalier leva sa main pour montrer qu'il allait bien. Alors que le groupe regarda Merlin avec anxiété.
"Désoler ... J'ai prit une racine dans les pieds » s'excusa Gauvain en chuchotant alors que le groupe avait retenu leur respiration en attendant la catastrophe, car de toute façon ils ne pouvaient plus se cacher maintenant... Gauvain se releva et fronça les sourcils lui aussi. Merlin avait continué son chemin comme si de rien était et n'avait même pas retourner la tête. Le groupe resta étonné et troublé... Merlin ne les avait même pas entendu et pourtant ils avaient fait du bruit ...
« Mais...» commença Elyan
« Comment s'est possible qu'il n'est même pas réagit... » remarqua Perceval ne comprenant rien. Le groupe réfléchis un peu alors que Merlin continuait d'avancer.
Puis soudain Léon grimaça
« Dite, je viens d'avoir une pensée vraiment pas joyeuse qui pourrait expliquer certaines choses... » fit le chevalier et les autres le regardèrent étonnés et désireux qu'il partage ses pensées.
Léon soupira, priant pour ne pas avoir raison
« Et si il était ensorcelé ...» annonça t-il et le silence se fit. Aucun n'osait imaginer cela et pourtant plus ils réfléchissaient et plus cela prenait sens.
« C'est pas si idiot que ça... Si il n'est pas lui même sa pourrait expliquer pourquoi il n'a pas réagis au bruit... Et pourquoi il ère comme ça sans but...» résonna Elyan alors que Arthur regardait son serviteur au loin avec peine. Il ne savait que dire ni penser mais le pire c'est que ça pouvait être vrais.
« Si c'est vraiment le cas... Alors nous avons bien fait de le suivre...« fit Perceval et Gauvain ajouta
« nous verrons bien pour l'instant suivons le et nous verrons en conséquence. On ne peut rien affirmer pour l'instant... »
« Oui...» fit le roi, la voix vide de émotions. Il ne pouvait pas le croire : son petit Merlin innocent, ensorcelé... Ou il ne voulait pas le croire... Son esprit se refusait à toute approche du sujet. Trop terrifié de se qu'il pourrait éventuellement dire.
Les chevaliers continuèrent de suivre Merlin, l'atmosphère plus lourde que jamais. Le cœur aussi...
Ils avaient décidé de garder la même Tactique. Le suivre de loin en attendant tout mouvement inhabituel pour intervenir. ..
Arthur était dans ses pensées. Son petit serviteur innocent, son ami très cher, était ensorcelé... Non il n'arrivait pas à se résoudre a pensé cela, et pourtant...
La raison parlait fort mais Arthur parvenait encore à la faire taire. Il voulait attendre d'avoir une preuve irréfutable pour se laisser penser comme cela... Son cœur désespérait et il avait peur. bien qu'il ne l'admettrait jamais...
Mais une chose était sur, quoi que Merlin avait comme ennui, Il se bâterait pour lui. Et même si il devait avoir à faire à la magie pour ça!
Au bout d'en y temps les chevaliers purent voire la lumière se lever et leur étonnement se mêla à leur bâillement
« Cela fait une nuit entière que nous marchons... » fit signaler Perceval alors que Gauvain bayait
« Ca on a remarqué...» se plaignis t-il épuisé, Léon fit doucement alors que Merlin était toujours en vue
« Au moins on peu voir ou on vas maintenant, et on risque pas de se pendre des racines » fit il avec reproche. Gauvain de défendu immédiatement
" Hey! C'est pas de ma faute si la foret n'est pas plate comme la cour du château» protesta le chevalier, ses compagnons rigolèrent légèrement. Mais d'un coup Elyan, qui était en trin de regarder les alentours avec la lumière retrouver du matin, fit
« Je sais où il va!" s'exclama -il et les autres s'étonnèrent avant d'être pendu à ses lèvres pour l'explication.
« J'ai souvent prit cette route lors de mes patrouilles...Y a un lac tout près, juste derrière le tournant» expliqua t-il en montrant le dit tournant qu'ils voyaient un peu plus loin ou était merlin et Gauvain s'exclama son tour
« Oh tu veux dire le lac d'Avalon! Moi aussi je passe par la de temps en temps! Ce lac m'a toujours foutu les jetons ! Il y règne une énergie bizarre... » fit Gauvain et Arthur fronça les sourcils alors que Elyan hochait la tête bien d'accord.
« Comment ça une énergie bizarre?» demanda le roi et Gauvain expliqua
« Ouais c'est très étrange, le lac en lui même est plus profond qu'un puits sans fond et en même temps les nuages s'y reflète comme dans un miroirs, si on le regarde trop c'est hypnotisant on pourrait avoir envie d'y rentrer sans aucune raison! Mais plus que ça :son atmosphère est étrange...C'est calme et lourd à la fois comme si l'air était surcharger de... » commença t- il et il se tut alors qu'il allait au bout de ses réfléxctions dans sa tête. Mais pas la peine, le roi avait compris
« De magie!» s'exclama le roi avec hantise alors que les chevaliers réalisèrent les choses, puis ils se tournèrent vers merlin qui s'y dirigeait inexorablement...
Arthur se remit en selle, aillant toute les preuves qu'il voulait maintenant et les chevaliers en firent de même avant de partir au galop à la suite de Merlin.
Lancer au galop, les chevaux comblèrent vite les dizaines de mêtres qui se trouvait entre eux et Merlin.
Mais trop tard : les chevaliers virent avec effroi le lac se refléter devent Merlin. Pire encore Merlin s'avençait toujours vers lui, hypnotisé comme l'avait prédis Gauvain.
Arthur poussa son cheval plus vite. Le cœur effondré et paniqué à la vue de Merlin qui retirait doucement sa cape en la laissant tomber devant l'eau du lac avant de mettre le premier pied dans celui ci.
Mais pire encore !
Les chevaliers et le roi virent une silhouette sous la surface de l'eau apparaître: une femme au regard dorer et impatient. Elle attendait clairement sa proie. Pres à surgir et à le traîner vers les profondeurs, telle la diablesse qu'elle était, Selon le point de vue du roi et de chevaliers, bien sur : Cette femme n'était que démon et magie. Et Merlin courait droit dans son piège, hypnotisé par son sortilège...
Les chevaliers n'étaient qu'a quelques mètres de Merlin, mais déjà celui-ci avait de l'eau jusque au genoux et levait les bras telle une offrande au lac...
Arthur voyant cela poussa un cri, espérant sortir son serviteur de sa torpeur
« MERLIN! » cria le roi désespéré. Le serviteur se retourna au son mais déjà ses yeux ne voyait plus le monde devant lui. Son cerveau ne comprit pas se qui se passait et merlin se laissa tomber en arrière dans l'eau du lac, les bras en étoile, les yeux fermé, provocant des éclaboussures autour de lui alors que l'eau se fermait tel un piège sur son corps
« Non!» hurla Arthur.
Mais à la seconde ou Merlin toucha l'eau : la fameuse silhouette se releva de celle ci, glorieuse et belle, les pans de sa belle robe trainait sur la surface de l'eau sur le quel elle se tenait, comme par miracle. elle n'était même pas mouillée, on n'aurait jamais pu deviner qu'elle venait littéralement de sortir de l'eau...
Mais les chevaliers n'avaient pas ça en tête, ils n'avaient même pas regarder la femme en détails, obnubilé par merlin qu'il fallait sauver ! Ils sautèrent de cheval à peine ceux ci arrêté, armes en main et se préparèrent au combat
« Rend moi mon serviteur SORCIÈRE!» tonna Arthur, Excalibur en main alors qu'il courait vers le lac, près a frappé, les chevaliers après lui!
La sorcière, Freya en faite :mais ça ils l'ignorait regarda les chevaliers devant elle, le regard brillant de force et de détermination, à la limite du féroce; et leva les bras pour assigner une violente vague de magie qui repoussa les chevaliers et le roi loin de son précieux et merveilleux Merlin...
Elle l'avait attendu toute la nuit sachant qu'il allaitvenir. Elle l'avait sentit. Et elle n'allait pas laisser un roi et quelque chevaliers gâcher tout les effort de son bien-aimé pour se reposer. Furent-ils le roi Arthur lui même et ses chevaliers de la table ronde!
Merlin comptait sur elle et elle avait bien l'intention de le défendre comme il se doit!
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Et voila! N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé!
J' éssayerait d'être moins longue pour le prochain chapitre, encore dessolée!
Bye bye
