Chevalier Mystique en Ligne
Coucou voila le premier chapitre. En ce moment cette histoire est ma nouvelle obsession donc j'ai du mal à traduire mes autres histoires. Après mes obsessions viennent et repartent donc les autres viendront. J'espère que vous aimerez ce chapitre autant que j'ai aimé le traduire. A plus et n'hésitez pas à laisser un commentaire en partant.
Chapitre 1
6 Novembre 2022 – Salle Setagaya, Tokyo
Harry se réveilla quand l'un de ses ravisseurs frappa à sa porte. Regardant l'horloge, il vit qu'il était environ huit heure du matin alors qu'il se leva du futon où il avait dormi. S'étirant lentement il se dirigea vers la commode où il gardait ses lunettes et les mit sur son nez avant de s'emparer de ses vêtement pour la journée. Il avait quelques minutes avant que l'un de ses ravisseurs entre et ne l'escorte pour un bain et ensuite manger. C'était une routine qu'il réalisait depuis les dernières semaines, après être arrivé au Japon, mais d'être escorté par un des ses ravisseurs, c'était ainsi depuis le premier jour. Alors qu'ils lui donnaient une illusion d'intimité pour les choses tels que les bains et dormir, il savait très bien que même à ces moment-là ils le surveillaient discrètement.
Cela ne lui prit pas longtemps pour se rendre compte que d'essayer de s'échapper, spécialement vu qu'ils étaient en possession de sa baguette, était une perte de temps et d'effort. Ils avaient même utilisés de la magie et des potions pour le garder sous contrôle lors de leurs voyages, entrant légalement dans les divers pays et avec les documents appropriés. Il pouvait légitimement répondre que dans l'espace de deux mois, il avait « vu » neuf pays différents sur trois continents en raison de la route qu'ils ont pris, et ce légalement, autre que le fait qu'il était un compagnon de voyage rétif au groupe avec qui il avait voyagé. Son passeport avait les tampons pour le prouver, même si il se demandait comment ils avaient réussis à en avoir un légitime en une période de temps aussi courte, et avoir une photo relativement récente pour avoir dessus.
Il aurait pu jurer avoir vu la famille Weasley à un moment quand ils se sont arrêtés en Egypte, mais ses ravisseurs l'ont fait bouger rapidement et bientôt il se trouvait en route plus loin vers l'Est avant de pouvoir le confirmer, ou faire quoi que ce soit d'autre si c'était eux qu'il avait vu.
Un autre coup résonna. « Tu es décent là dedans, gamin ? » Une voix de femme demanda.
« Et si je ne l'étais pas, Ms Carlisle ? » il répliqua.
La femme ouvrit la porte et entra. « Alors j'aurai eu le droit à un spectacle, » elle répondit, amusée. « Pas que tu ai grand-chose à montrer pour le moment. En tout cas, temps de te laver. »
Harry rougit et plaça ses vêtement dans le panier avec ses fournitures pour le bain. « J'ai seulement treize ans. » Il lui dit. « N'est-ce pas un peu jeune pour vous ? »
Sa seule réponse fut un ricanement alors que la femme lui fit signe de passer devant elle. Sortant de la pièce, il se dirigea immédiatement vers la salle de bain pour s'occuper de ses affaires matinales.
Une heure plus tard il s'assit à la table basse, un kotatsu si il se rappelait correctement, dans la salle à manger et observa la nourriture disponible. C'était simple, de la soupe au miso, un œuf frit sur du riz, et ces haricots fermentés qu'il préférerait ne pas manger, avec du lait pour faire passer. Il vit aussi une paire de pomme disponible. Tout compte fait, pas trop différent de ce qu'il avait consommé au long de ces dernières semaines.
Soupirant, il commença à manger, prenant son temps dans le, certes inutile, espoir de déranger tout emploi du temps qu'ils pourraient avoir mis en place à son encontre aujourd'hui. Sachant qu'ils avaient passé la dernière semaine à lui enfoncer dans le cerveau la langue japonaise dans son cerveau à l'aide de la magie, en même temps que de le remettre à niveau sur les ordinateurs moldus et cet appareil appelé le Nerve Gear, et enfoncer dans son crâne l'histoire officielle du pourquoi il était au Japon, il s'attendait à à peu près la même chose.
Ms Carlisle, semblant lire son esprit lui fit un sourire amusé. « Prends to temps, gamin, » elle lui dit. « Il n'y a pas grand-chose à faire pour nous aujourd'hui. »
Harry fit une pause dans son repas pour la regarder curieusement. « Est trop de penser que vous me laissez finalement partir, ou au moins me rendre ma baguette ? » Il lui demanda.
Elle renifla. « On ne fait pas cela. » elle répondit joyeusement. « Aujourd'hui on revérifie les calibrations de ton Nerve Gear et te mettons dans SAO la seconde où il devient disponible.
Harry rougit en entendant les mots 'calibrations'. Ils avaient insisté pour les faire de façon plutôt approfondie la première fois, et Ms Carlisle adorait le taquiner à ce sujet, disant u'il allait rendre une fille heureuse dans le futur. Il réalisa alors ce qu'elle avait dit après. « Donc c'est aujourd'hui ? »
« En effet, Mr Potter, » une voix d'homme vint depuis la porte.
Harry se tourna vers l'homme qui avait mené le groupe qui l'avait capturé et lui lança un semi sincère regard renfrogné. « Et bonjour à vous, Mr Wainwright. » Il fit amèrement.
Mr Wainwright se contenta de hocher la tête. « Bonjour à vous aussi, Mr Potter. » Il répondit comme si Harry était poli. C'était une routine que les deux avaient depuis deux semaine après son enlèvement. Harry le saluait d'un air renfrogné, et l'homme répondait comme si de rien n'était, gardant toujours une façade professionnelle et polie.
Après la fin du repas, Harry empila tous ses plats ensemble et les prit jusqu'à la cuisine. Les plaçant dans le lavabo pour qu'ils soit lavés plus tard, il se tourna et retourna dans la salle à manger. S'asseyant devant le kotatsu, il regarda alors que Ms Carlisle servait du thé à tout le monde et plaçait une tasse en face de lui.
« Maintenant, Mr Potter, » fit Mr Wainwright. « Comme Ms Carlisle vous l'a dit, Sword Art Online devient disponible cette après-midi.. Nous vérifierons une nouvelle fois les calibrations, feront quelques examens, et alors vous passerez le reste de la journée dans Sword Art Online. Nous vous déconnecteront vers sept heure pour le dîner, et vous serez soit permis de retourner dans le jeu, faire autre chose, ou aller au lit. Avez-vous des questions ? »
Harry secoua la tête. « Non, » il répondit. « Sachant que vous m'avez préparé pour cela depuis les quelques semaines auparavant, je devrais tout aussi bien voir qu'est-ce que tout ceci est. » Il fronça les sourcils. « Quand même, vous avez été loin , juste pour m'amener ici, et tout cela pour ça. »
Richard donna un mince sourire. « Notre client le voulait, et j'admettrais que je suis, moi aussi, curieux à propos de cela. »
Harry renifla. « Je trouve ça bizarre que votre client paye attention au monde moldu, sans parler de garder le niveau avec les développements technologiques. »
« Vous seriez surpris, Mr Potter devant le nombre de personnes dans le monde magique qui paye attention au développements du monde moldu, incluant les développements dans le milieu technologique. Mr Waiwright répondit facilement. « Ces développements peuvent parfois mener à des opportunités. » Il sourit à nouveau. « Aussi, je n'ai aucun doute que vous êtes vous aussi intéressé. »
Harry acquiesça, reconnaissant à contrecœur la vérité dans ces mots. Tout cela ressemblait à un effort compliqué pour le garder hors du chemin, et pour le garder trop occupé pour essayer de retourner en Angleterre. En même temps, cela serait une pause dans l'ennui que c'était d'avoir à apprendre un nouveau langage, mais aussi comment utiliser la technologie.
La magie l'avait peut-être aider pour le premier, même si cela lui avait donner assez de mal de tête pour utiliser tout le stock de potion anti maux de crane de Madame Pomfresh. Cela l'avait amener au point où il pouvait parler la langue suffisamment bien pour son âge, si pas assez pour le lire aussi bien. Il se débrouillait avec les hiraganas et les katakanas, mais les kanji lui posaient problème.
Cependant, la magie ne fit rien pour le second, principalement car ses ravisseurs avait seulement une connaissance limitée de la technologie. Ils savait ce qu'était un ordinateur et internet, et comment l'utiliser jusqu'à un certain niveau, Ms Carlisle plus que Mr Wainwright. Néanmoins, étant eux aussi utilisateurs de magie, ils n'avaient pas grand utilité de la technologie moldu à moins que ce soit nécessaire, plus parce qu'ils avaient des alternatives parfaitement utilisables qu'ils avaient l'habitude d'utiliser. Sachant que le Nerve Gear était une nouvelle technologie, ils apprenaient à ses côtés.
Tout de même, il allait être dans Sword Art Online cette après-midi, et après tout ce qu'il avait traversé, cela vaudrait mieux valoir le coup. Il espérait juste que rien ne viendrait tout gâcher.
Ce serait juste sa chance.
Aincrad, 1er Étage, Ville du Départ
Harry ouvrit ses yeux et regarda ce qui sera son entourage pour le futur, ou du moins les prochaines heures après que son avatar ait finit de se matérialiser. « Whoa, » il fit. « C'est supposé être un jeu ? » Il regarda autour de lui stupéfait et vit des personnes de tout âge, même si la plupart semblent être en fin d'adolescence ou début de la vingtaine, et un nombre surprenant de filles. Avec le peu qui connaissait des jeux, il était à peu près certain qu'un bon nombre d'entre elles étaient en fait des garçons Pourquoi jouaient-ils à un jeu qui simule la réalité en temps que quelqu'un du sexe opposé, il pouvait deviner, mais il n'avait aucune inclination de toucher à ce chaudron quand il pouvait customiser son apparence.
Il avait choisi un physique qui était raisonnablement proche du sien, même cheveux et couleur d'yeux, mais un petit peu plus grand, avec un peu plus de muscle, mis toujours proche de son apparence. Cela voulait aussi dire qu'il n'aura pas de problème pour s'ajuster. Le peu d'expérience qu'il avait eu des calibrages du Nerve Gear et l'utilisation d'un petit peu du software fourni, l'a fait réalisé que le plus proche de qui tu étais vraiment, tout du moins au niveau du type de corps et taille, le plus facilement les choses se passaient.
Il prit un autre regard sur son entourage et décida de faire un tour de la ville. Il n'avait aucune idée de ce qu'il devait faire maintenant, autre que apprendre à jouer à ce jeu, mais une petite exploration de la ville ne fera pas de mal, non plus. De cette façon il saura où les choses se trouvaient.
Il fit apparaître le menu, la position de la main demandé et le geste ayant été clairement expliqué dans le manuel qu'il avait été forcé de lire, et l'a parcouru. Il amena son menu de statuts, inventaire, et même la carte plusieurs fois pour qu'il se souvienne de comment le faire plus tard. Après avoir joué avec le menu pendant quelques minutes de plus, il le renvoya et s'aventura dans la ville.
C'était environ une heure plus tard quand il rentra dans quelqu'un, ou pour être plus précis elle lui rentra dedans. Une seconde il regardait autour de lui, et la suivante, il se trouvait sur le sol. Autre que de sentir quelque chose, ce n'était pas douloureux, donc il pouvait rayer la douleur comme n'étant, heureusement, pas une part du jeu. Cela lui coupa quand même le souffle.
Il regarda qui lui était rentré dedans et remarqua que c'était une fille qui semblait un petit peu étourdie, comme si elle ne s'attendait pas à rentrer dans quelqu'un dans le sens littéral. Il l'observa, notant ses traits, ou tout du moins les traits qu'elle avait choisie d'avoir dans le jeu. Elle avait opté pour un avatar qui était légèrement plus petite que lui dans le monde réel, avec des cheveux modérément blonds attaché en deux couettes, et des yeux violets. Ajoutant la chemise blanche, la jupe marron, une simple armure par dessus et ce qui ressemblait à une dague, c'était plutôt mignon.
« Désolé pour ça, » il dit en guise d'excuse. « Je ne payais pas attention. » Il se remit debout et tendit sa main pour l'aider à se relever.
Elle battit des paupières et devint rouge d'embarras avant de lui permettre de l'aider à se remettre sur pied. « Oh, mmm, ce n'est rien, vraiment. » Elle répondit timidement.
« Quand même, je m'excuse, Miss- »
« Kei- Silica, » elle répondit, se corrigeant quand elle avait faillit lui répondre avec probablement ce qui était son vrai nom. « Je m'appelle Silica. »
Il sourit. « Et bien alors, Miss Silica, appelles-moi Hadrian, ou si tu le souhaite Harry. »Il avait choisi ce pseudo pour pouvoir utiliser le sien comme un diminutif, décidant que de devoir se rappeler d'un nom complètement différent du sien serait plus problématique que ce que cela vaudrait. Cela et il pourrait probablement les convaincre d'utiliser 'Harry', sans dévoiler que c'était son nom actuel.
« Ok, Hadrian. » Elle s'agita un peu. « Heu, puis-je demander ce que tu faisais ? »
Harry haussa les épaules. « Je faisais simplement le tour de la ville, décidant de voir où tout se trouvait avant d'aller dehors pour combattre quelques monstres. » Il mit la main sur l'épée simple de son avatar. « Je pensais apprendre à me servir de cela. »
« Oh, » elle répondit. « Et bien, puis-je t'accompagner autour de la ville, tout du moins ? C'est plus grand que ce que je pensais. » Elle bougea un peu. « Mais l'idée de combattre des monstres est un petit peu effrayante. »
Il rit un petit peu à l'idée d'être effrayé de combattre des monstres, même si il pouvait comprendre son point de vue. Il a vu, et dans quelques cas combattu, quelques choses qui existaient dans le monde réel, et aller contre ces choses avait été effrayant. Il le savait, vu à quel point il était terrifié quand il avait été confronté aux acromentules, ou combattre le basilic. Tout ici n'étaient peut-être pas réel, mais il y avait une différence entre voir quelque chose vous charger sur un écran, et le voir actuellement en train de vous charger.
C'était peut-être un monde virtuel, mais les premières fois seront probablement surprenante pour certains, comme ils verront ces choses de près et personnel.
Les joues de Silica se gonflèrent d'irritation. « Ce n'est pas marrant ! » Elle dit en frappant du pied.
Harry sourit simplement. « Désolé, » il s'excusa. « Je ne riait pas de toi. » Il se tourna et la regarda. Pourquoi pas ? Il pensa pour soi-même. « Donc, tu veux te promener en ville un petit peu ? » il lui demanda.
Silica sourit et hocha la tête.
Les deux passeront quelques heures agréables explorant la Ville du Début, depuis le Palace de Fer Noir qui se trouvait au centre de la ville, jusqu'aux quelques marchés, où ils parcoururent les marchandises. Harry pensa que de l'appeler une ville était un peu trompeur c'était plus proche en taille d'une petite ville Les magasin reflétaient certainement cela dans la variétés de biens disponibles, ce qui allait de pas cher jusqu'à modérément cher. Alors que quelques uns des équipements disponibles semblaient intrigant, les prix étaient hors de ce qu'il pouvait raisonnablement se permettre et avoir toujours suffisamment de col, la monnaie dans SAO, pour d'autres choses, comme des potions et autres. Sachant qu'on leur donnait une allocation de départ de 2500 col, et l'arma la moins cher ou pièce d'armure qui serait visiblement meilleur que ce avec quoi ils commençaient coûtait environ 2400 col, il décida qu'il était mieux de se retenir pour le moment.
Mais Harry avait insisté pour acquérir plus de potions de santé quand ils s'arrêtèrent devant un stand les vendant pour moins que le prix dans quelques uns des autres magasins Quand Silica lui demanda pourquoi, il répondit simplement, « Et bien, j'ai bien dit que j'allais aller hors de la ville. Si tu ne viens pas, tu n'as pas besoin, mais prends-en quand même quelques unes au cas où. D'ailleurs, elles sont les mêmes que celles que l'on peut avoir à un autre magasin, mais elles sont vendus moins cher ici. » Il montra qu'elles étaient vendu à 90 col, au lieu des 120 col que d'autres magasin demandaient. Regardant autour, il vit un étal vendant de la nourriture. « En tout cas, que dirais-tu d'un goûter ? »
Silica cligna des yeux. « Ils vendent de la nourriture ici ? » Harry pointa l'étal qu'il avait remarqué. « D'accord. »
LA paire se dirigea vers l'étal et parcoururent ce qui était en vente. Apparemment ils vendaient une variété de pains pour un coût relativement bas, l'objet le plus cher de la carte coûtait 50col. Harry lut attentivement les pains disponibles avant de commander un pain noir et du thé pour faire passer, alors que Silica choisie un pain sucré et du jus.
Mordant dans le pain, il médita la saveur. Si il devait la comparer, le goût était similaire à celui du pain de seigle, si pas exactement la même chose. Le thé qu'il buvait pour faire passer était légèrement plus amer que ceux tout les thés Anglais, mais n'était pas vraiment comme ceux du Japon qu'il buvait depuis les dernières semaines. Si il devait jauger les goûts, il dirait qu'ils étaient proche, si pas exactement le même, comme si il manquait quelque chose. Il semblait que le monde virtuelle ne pouvait pas dupliquer complètement les sensations de la réalité.
« Oh ! » Silica s'exclama, sa nourriture intouché, même si il remarqua qu'elle avait finie sa boisson. « Il est presque l'heure pour moi de me déconnecter et de me préparer pour le dîner. » Elle donna à Harry un regard d'excuse. « Désolé, mais je dois y aller, et j'ai encore des devoirs à terminer. »
Harry regarda l'heure et lu 17h22, ce qui le surpris un petit peu. « Huh, je suis ici depuis environ quatre heures moi-même. » Il dit. « Je sais que j'ai un couple d'heures avant d'avoir à me déconnecter, mais maintenant serait aussi bon qu'un autre aussi. » Il lui sourit. « Tu veux t'arrêter pour aujourd'hui ? »
Elle acquiesça, un petit peu à regret. « Ouais, J'imagine que nous devrions. » Elle allait ouvrit son menu pour se déconnecter quand elle eut une idée. « Attends, peut-être qu'on pourrait s'ajouter dans notre Liste d'Amis. »
Harry leva un sourcil. « Liste d'Amis ? »
Silica hocha la tête. « Ouais ! » elle s'exclama. « Je l'ai lu pendant que j'attendais la sortie du jeu. Cela permet au joueurs de rester en contact et savoir si d'autres qu'ils connaissent sont en ligne quand tu l'es toi-même. »
Harry cligna des yeux. Il n'y avait pas pensé. Il ne savait pas pour combien de temps encore il resterai au Japon avant que Dumbledore le traque enfin, mais il allait passer beaucoup de temps dans le jeu pour le future proche. Avoir quelque avec qui jouer, même si ce n'était que quelques fois, serait sympa.
Il sourit. « Bien sûre, » il répondit. Il ouvrit son menu et réalisa qu'il ne se rappelait pas exactement ce qu'il devait faire. « Mmm, comment fait-on cela ? » Il demanda légèrement embarrassé. « Je ne pense pas l'avoir vu quand j'ai fait mes recherches sur le jeu. Ou trouvé quand je jouais avec le menu plus tôt. »
Silica pouffa et suivi le processus, expliquant ce qu'elle faisait. Peu de temps après, Harry vit un message disant qu'elle voulait l'ajouter comme ami. Appuyant sur le bouton acceptant, il traversa alors son menu et vit qu'elle avait déjà été ajouté à sa liste. Il retourna son regard vers elle et remarqua qu'elle avait une expression confuse sur son visage alors qu'elle regardait son menu.
« Silica ? » Harry demanda.
Elle le regarda. « Mm, Hadrian, pourrais-tu vérifier et voir si tu à le bouton de déconnexion ? »
Confus, il retourna à son menu et chercha. « Ça ne peut pas être correct. » Il dit simplement, la regardant alors qu'il eut soudain un sentiment de malaise.
Le bouton de déconnexion manquait.
Il entendit, absent, la cloche sonner la demi-heure avant qu'ils ne soient engloutis par une lumière.
Aincrad, 1er Étage – Place en face du Palace de Fer Noir
Harry cligna des yeux pour faire passer les points blanc dans ses yeux alors que l'effet de la téléportation forcée se dissipaient et regarda autour. Il pouvait voir des douzaines si ce n'était des centaines de joueurs regardant autour plein de confusion. Ses yeux s'élargirent tandis qu'il cherchait Silica, qui était proche de lui quand on les avait téléporté. La voyant, il se dirige rapidement vers elle.
« Silica, tu vas bien ? » il demanda.
Elle se tourna et le regarda soupirant de soulagement. « Hadrian, que se passe-t-il ? » elle demanda nerveusement.
Il fronça les sourcils. « Je ne sais pas, » il répondit. « Une seconde nous étions au marché du côté nord, et maintenant nous sommes ici. » Il pouvait déjà voir quelques joueurs qui commençaient à être nerveux. Attrapant la main de Silica, il fit son chemin vers le bord de la foule et commença à se diriger vers les bords du fond de celle-ci. Il était tenté d'utiliser l'une des sorties pour partir, mais il remarqua un couple de personnes stoppés par une sorte de barrière alors qu'ils essayaient de faire de même, les gardant dans la place.
Il lâcha la main de Silica après qu'il furent derrière la majorité de la foule. Il remarqua un homme au cheveux et aux yeux apparemment noirs qui semblait avoir calmé son compagnon, un homme avec des cheveu rose de toute les choses possibles. Il décida de prendre sa chance et d'approcher les deux, Silica le suivant non loin de là. « Une idée de ce qui se passe ? » Il demanda à l'homme au cheveux noirs.
L'homme secoua sa tête négativement et était su le point de répondre quand un son vint du dessus. Regardant en haut, ils virent un hexagone avec les mots « Annonce du Système » écrits dessus, avant que la forme ne se multiplie et recouvre tout le ciel, le colorant en rouge. « Je pense que nous sommes sur le point de le découvrir. » L'homme fit simplement.
Quand il vit le ciel apparemment commençant à saigner et le « sang » converger vers une place pour prendre la forme d'une figure dans un manteau rouge, Harry sentit un nœud se former dans son estomac. Il sentit aussi Silica le toucher et un regard rapide vers elle lui montra que sa nervosité commençait à se changer en peur. Il plaça une main sur son épaule et espéra que cela la calmerai pendant que la figure parla.
« Attention joueurs, » dit la figure. « Je suis Akihiko Kayaba et je vous souhaite la bienvenu dans mon monde. »
« Son monde ? » Harry se demanda distraitement tandis qu'il se rappelais de qui était exactement responsable du développement du Nerve Gear et de Sword Art Online.
« Peut-être avez-vous tous remarqué que l'option pour se déconnecter n'est plus dans votre menu. » La figure continua. « Ce n'est pas un bug ou un défaut. Je répète, ce n'est pas un bug ou un défaut. C'est une fonctionnalité voulue de Sword Art Online, et vous ne pouvez pas être déconnecter de force non plus. »
« Si quelqu'un essaye de retirer ou d'éteindre le Nerve Gear, il émettra une micro-onde puissante, détruisant votre cerveau et mettant un terme à votre vie. J'avais envoyé un avertissement mais, hélas, les amis et la famille de plusieurs joueurs l'ont ignorés. » Plusieurs écrans apparurent de nul part, tous semblaient montrer différentes actualités. « A cause de cela, deux cent treize joueurs ne font plus partie de Aincrad, ou du monde réel. »
Deux cent treize personnes sont mortes ? Pensa Harry choqué. Impossible.
« Comme vous pouvez le voir, de nouvelles organisations dans tout le Japon et dans le monde rapportent cela, incluant les morts. Donc, vous pouvez assumer que le Nerve Gear étant retirer est maintenant un risque minime. Avant de vous inquiéter pour vos corps, vos familles, amis, et le gouvernement si nécessaire ont été prévenus. Ils ont deux semaines pour faire des arrangement pour vos soins, et pendant ce temps, la fenêtre pour être déconnecter a été élargi pour faciliter cela.
« J'espère que vous allez vous détendre et essayer de compléter le jeu, mais je veux que vous vous rappeliez tous cela : il n'existe plus de façon pour ressusciter les joueurs. Si vos HP tombent à zéro, vous mourrez dans à la fois le jeu et le monde réel. Il n'y a qu'une façon pour s'échapper, battre le jeu Vous êtes actuellement au premier étage de Aincrad. Si vous battez le boss de l'étage, vous pouvez avancer au prochain étage. Atteignez le centième étage et battez le boss final, et vous compléterez le jeu. Finalement, j'ai ajouter un petit cadeau dans votre inventaire. S'il-vous-plaît regardez. »
Harry ouvrit son menu, presque comme si son corps le faisait automatiquement, et trouva l'objet. « Un miroir ? » Il demanda. De façon absente, il appuya sur le nomet le sorti. Regardant dedans, il ne vit pas le visage de son avatar, mais le sien. Il fut brièvement aveuglé alors que son corps fut engouffré dans la lumière. Clignant les yeux pour effacer les points, une nouvelle fois il regarda autour et vit que tout ceux proche de lui avaient changés en apparence, comme il l'avait probablement fait…
« Hadrian ? » il entendit Silica demander.
Il regarda et vit une fille avec des cheveux brun et des yeux marron rougeâtre, portant les mêmes vêtements et armure que Silica avait. « Silica, est-ce que c'est toi ? » elle hocha la tête.
Il entendit plus d'une exclamation de surprise, beaucoup d'entre elles dans les lignes de « T'es pas une fille ?! » Il renifla d'amusement en entendant cela, trouvant un peu d'humour sinistre dans la situation.
« Que se passe-t-il ? » Silica demanda.
L'homme au cheveux noir, maintenant un garçon légèrement plus âgé que Harry, les regarda et retourna son regard vers Kayaba.
« Je pense qu'il est sur le point de nous le dire. » il dit.
« Vous êtes probablement tous en train de vous demander cela maintenant, » Kayaba dit. « Pourquoi ? Pourquoi Akihiko Kayaba, le développeur du Nerve Gear et le créateur de Sword Art Online fait-il cela ? Je vais vous le dire. »
« J'ai créé ceci pour avoir un monde que j'ai créé appelé mien un monde, dans lequel je peux intervenir. Avec le Nerve Gear et Sword Art Online, j'ai accomplis ceci. Comme je l'ai dis plus tôt, si vous voulez partir, vous devez battre le jeu. » La figure de Kayaba commença à se dissiper en fumée. « Cela conclus le tutoriel de Sword Art Online. Je vous souhaite bonne chance dans efforts. Adieu. » La silhouette de Kayaba disparaissant et le ciel rouge retournant au bleu qu'il avait été avant cela.
« Non, » Silica murmura, un ton paniqué entrant dans sa voix. « Ça, ça ne peux pas arriver. »
Harry attrapa rapidement son épaule et la serra gentiment. « Silica, allons-y, » il dit en la guidant hors de la place tandis qu'il commençait à voir des personnes paniquer Il avait vu la peur se propager comme un incendie dans une foule auparavant, et il doutait que la panique soit différente.
Les deux continuèrent jusqu'à ce qu'ils atteignent une allée. Harry remarqua qu'ils n'étaient pas seuls, le garçon au cheveu noirs et l'homme d'avant étaient là eu aussi. Vu qu'ils semblaient discuter de quelque chose, il les laissa faire et dirigea son attention vers Silica.
« Silica, » il dit gentiment. « Silica, regarde-moi. » Il réalisa rapidement qu'elle ne lui payait pas attention, bredouillant simplement à elle-même que la situation dans laquelle ils se trouvaient ne pouvait pas arriver. Il essaya d'attirer son attention à deux autre reprises avant qu'elle enregistre qu'il essayait d'avoir son attention. Ses yeux étaient toujours plein de peur quand elle le regarda, mais sa panique commençait à disparaître.
« Hadrian, sommes-nous réellement piégé ici ? » elle demanda. « Est-ce que tout ce qu'il a dit est vrai ? Si nous mourons ici, nous mourons pour de vrai ? »
Harry considéra lui dire que Kayaba mentait, cet homme jouait simplement un horrible tour sur eux tous. Après tout, il ne savait pas si ce que l'homme disais était vrai. Cependant il ne savait aussi pas si ça ne l'était pas.
« Je ne sais pas, » il dit honnêtement. « Il pourrait l'avoir fait, et cela semble possible. » Il savait que ce n'était pas les mots que Silica voulait entendre, mais il n'allait pas non plus lui mentir. Il n'en savait pas assez sur la technologie et comment elle marchait, mais cela semblait possible, en considérant ses connaissances limitées sur ce sujet.
Slica ferma les yeux et couri vers lui, enterrant son visage dans sa poitrine. « Je veux être de retour à Nérima, » dit-elle en commençant à pleurer. « Je veux ma mère et mon père. Je veux que ce ne soit qu'un cauchemar. Je veux rentrer à la maison. »
Harry baissa le regard maladroitement en réalisant qu'il avait maintenant une fille pleurant dans ses bras. Il ne savait pas quoi faire et regarda frénétiquement autour pour voir si quelqu'un avait une idée de ce qu'il devrait faire. Bon sang, je voudrais bien qu'Hermione soit là. Il pensa. Elle saurait quoi faire. Il n'y avait personne d'autre autour, excepté pour…
« Hey, vous allez bien tout les deux ? » une voix d'homme demanda.
Il tourna la tête et reagarda l'homme qui avait posé la question. Selon le physique, c'était le gars qui avait des cheveux rose, mais maintenant brun. Il ne voyait pas l'autre personne. Il haussa les épaules et baissa les yeux vers Silica qui pleurait toujours. « Que penses-tu ? » Il demanda sarcastique.
L'homme grimaça. « Ah, ouais, désolé pour ça. » Il dit en s'excusant.
Harry haussa les épaules. »Ce n'est pas ta faute. « Il regarda derrière l'homme. « Où est ton ami ? »
« Il est parti devant. » L'homme répondit. « Il est un bêta testeur et sais quoi faire. » Il sourit. « Il m'a appris quelques trucs jusqu'à ce que tout ceci arrive. Il a offert de me prendre avec lui, mais mes amis son probablement toujours à la place. »
Harry acquiesça. « Tu ne peux pas juste les laisser derrière. »
L'homme hocha la tête, « C'est clair. »
« Bien. Je demanderai bien si je pouvais me joindre à toi j'ai besoin d'apprendre à combattre. Mais je pense qu'elle a besoin de quelqu'un pour garder un œil sur elle. » Il regarda Silica. « Elle ne le prend pas très bien. »
L'homme fit un geste de tête affirmatif. « Ouais, je peux voir ça. Que vas-tu faire ? »
Harry haussa les épaules. « Trouver une place pour rester pour le moment, j'imagine. » Il répondit. « De toute façon il se fait tard. » Il ouvrit son menu et sorti la carte. « Voyons voir, » il dit en la regardant. « Si je me souviens bien, l'image d'un lit veut dire un endroit pour dormir. » Il regarda où lui et Silica se trouvaient. « Si nous sommes ici, alors l'endroit le plus proche est trois bloques à l'est et un bloque au nord. Elle sert même de la nourriture, il semble. » Il ferma la carte et regarda l'homme. « Je pense que j'ai trouvé un endroit, donc je la conduit là-bas. »
L'homme sourit approuvant. « Bonne idée, » il dit. 'Je vais récupérer mes amis. Où est l'endroit que t'as trouvé ? Cela ne fera probablement pas de mal d'avoir un endroit où dormir pour quelques jours.
Harry le lui dit.
« Merci. Au fait, je m'appelle Klein, et toi ? »
« Hadrian, mais appelles-moi Harry si tu veux. »
Monde Réel – Salle Setagaya, Tokyo
Richard Wainwright bu lentement son thé et regarda ses plans pour la semaine prochaine alors que Carlisle surveillait Harry. Alors le travail d'enlever le garçon et le prendre au Japon ne passait pas bien avec lui, sa famille était sous contrat pour cela. Il admettait qu'ils n'était pas au-dessus de ce genre d'acte, d'habitude quand ils étaient engagés pour supprimer quelqu'un de quelque part et les placer « sous protection », ou pour faire chanter quelqu'un, mais ils l'avaient fait pour des raisons bien plus sinistre dans le passé, si ce n'est depuis des générations.
Ils avaient arrêté de faire cela a^près avoir mit un terme à une guerre criminelle brutale qui avait anéanti trois clans magiques et avait réduit les deux autres, incluant les Wainwirght, à juste une poignée de membres deux siècles plus tôt. Depuis cela, ils avaient tournés leurs efforts pour garder le monde souterrain magique sous une forme d'ordre, ou tout du moins autant que cela était possible, tout en flirtant avec la fine ligne du légal et du criminel. Ils avaient aussi définis leur position sur aller après des enfants : ils ne les blesseront pas intentionnellement.
Même le préjudice non intentionnel, spécialement si il était fatal, résulterait par le responsable étant sévèrement puni à moins qu'il puis prouver de façon concluante que le préjudice était hors de leur contrôle. Il avait vu l'un de ces incidents et l'homme responsable ne marchera plus jamais. Ils ne faisaient aucune distinction du si vous étiez un membre de la famille, ou simplement un membre de l'organisation de ce côté-là.
Si ce n'avait été pour la famille qui avait une dette d'honneur envers la famille Malfoy, chose qu'ils prenaient très au sérieux, il n'aurait jamais considérer prendre la requête. Il y avait trop de façons que cela pourrait tourner de mal en pis et que le garçon soit blessé. Il fallait quand même admettre, le défi de le faire, sachant qu'ils avaient peu de temps pour le faire, et devoir le faire sans qu'Albus Dumbledore ne le remarque, fut l'un qu'il apprécia.
Comme c'était, si Dumbledore les traquait, ils ne se battront pas, et donneront juste le garçon. Ils connaissaient la réputation de l'homme, et ils savaient qu'il pouvait prouver daans un combat qu'il ne l'avait pas volé. Cela ne l'arrêtera pas pour dire à l'homme, en long, juste quelles erreurs il avait fait avec la sécurité du garçon, par contre.
Combattre Dumbledore était une défaite d'avance de toute façon. Il y en avait quelques uns dans la famille qui pourrait le faire avec une chance de victoire, mais Richard savait très bien que, bien que capable lui-même, il n'était pas l'un d'entre eux.
Il alluma distrait la télévision et regarda alors qu'un bulletin d'information urgent interrompit un programme. Cela lui prit une seconde pour réaliser sur quoi c'était avant que son visage ne palisse. Il allait se ruer vers là où Ms Carlisle et Harry se trouvaient quand l'annonceur lança la prochaine bombe.
« Je répète, » l'homme à la télé dit. « N'essayez pas de retirer le Nerve Gear de quelqu'un. Nous avons reçu une information qu'approximativement deu cent personnes sont mortes à cause de cela. Si vous connaissez quelqu'un qui a un Nerve Gear et qu'ils l'utilisent pour jouer à Sword Art Online, contactez les autorités ou l'hôpital le plus proche pour que la personne puisse être transporté. »
Il se leva alors que le message était répété et se dirigea vers la pièce où Harry était gardé. Ms Carlisle. Il remarqua qu'elle avait les nouvelles sur un ordinateur tandis qu'elle leva les yeux vers lui, son visage aussi pale que le sien.
« Je vois que tu le sais déjà, » il dit simplement. « Bien. Surveille-le pour l'instant, j'ai plusieurs appels à passer avant qu'on ne l'emmène à l'hôpital. » Il sentit les barrières qu'il avait installé pour détecté quiconque avec de la magie qui s'approchait suffisamment près pour la déclencher. « Et il semble que nous avons aussi un visiteur. » Il soupira. « Bien sur » dit-il résigné.
« Comme si j'avais besoin de cette merde maintenant. » il grommela dans sa barbe en, se dirigeant vers l'entrée.
Dehors
Albus Dumbledore sentit les barrières s'activer alors qu'il les passa et hocha la tête. Ceux qui avaient Harry n'étaient pas des idiots,et la présence du périmètre subtil de barrière le confirmait. Si ce n'était pour le fait qu'il avait déterminé quel groupe était derrière la disparition de Harry, iml aurait été inquiet pour l'avertissement.
Cela avait prit trois mois à Albus Dumbledore pour traquer où Harry avait été pris, et un autre mois avant qu'il n'ait le temps, et passa par les canaux appropriés, pour s'occuper de cela lui-même. Il n'avait pas confiance dans le Ministère pour ne pas faire capoter ceci. Encore plus avec Cornelius Fudge comme Ministre et ses suspicions de l'implication de Lucius Malfoy dans cela.
Cornelius était un administrateur compétent, si ce n'est facilement pliable et manipulé. Tout de moins quand il n'y avait pas une quelconque crise son traitement de l'évasion de Sirius Black de Azkaban était un parfait exemple du manque de ces capacité à gérer une crise. La réaction de l'homme quand Albus l'avait informé de la disparition de Harry, même si il semblait aller bien, n'avait pas aidé. Cornelius avait paniqué et était plus que disposé à porter le blâme sur Black pour cela. Cependant, avec la période, et les vu de Sirius Black continuèrent, c'était improbable. De plus, les méthodes des kidnappeurs avaient été trop professionnels et trop propre.
Lucius avait les moyens pour engager un tel groupe, et après l'incident de la Chambre des Secvrets, une raison pour le faire. Cependant, Lucius étant Lucius, il n'y avait aucune preuve pour appuyer cette hypothèse.
C'était deux semaines après l'incident, quand ses enquêtes auprès de Né-Moldu et Cracmols qui avaient entrés le service civil moldu qu'il avait fait sur un pressentiment, avait porter ses fruits. Un Wainwright avait été en Angleterre à ce moment et avait apparemment poussé la paperasse pour que un passeport soit créé pour Harry avec une rapidité inhabituelle. L'homme avait aussi quitté l'Angleterre le même jour où Harry avait disparu.
Une omission possible de la part du Wainwright, mais une compréhensible. Le Ministère de la Magie n'était pas connu pour ses interactions et sa coopération avec le gouvernement moldu plus que le minimum demandé par la loi. Là encore, les Wainswright pouvaient aussi ne pas avoir pensé à effacer ces traces, sachant que les traces moldu sont de plus en plus non physique.
De toute façon, c'était sans importance. Il était dans Tokyo, et approchant l'endroit où Harry était. Il avait renoncé à ses robes habituelles pour un costume simple, et quelques sortilèges rapide pour faire croire que sa barbe était plus courte et plus proprement coiffée afin de ne pas être trop remarquable.
Alors qu'il approchait d'où Harry se trouvait, il vit la porte s'ouvrir et un homme simplement attendre à l'entrée. Il y avait une posture légèrement méfiante et résigné, mais il n'y avait rien qui montrait que l'homme allait poser problème. Alors qu'il approchait l'entrée ouverte, l'homme le regarda et hocha la tête.
« Professeur Dumbledore, entrez s'il-vous-plaît. » dit l'homme.
Albus secoua la tête. « Puis-je au moins avoir le nom de l'homme qui m'invite ? » il demanda agréablement.
« Wainwrright. » l'homme dit simplement.
Albus hocha la tête et entra alors que l'homme fit un pas de côté. Il garda ses sens en alerte pendant que l'homme fermait la porte, les instincts qui l'avait bien servi au long de sa vie le laissant savoir où l'homme se trouvait et qu'il ne faisait aucun geste menaçant.
Il ne s'attendait pas à ce que l'homme en fasse. Si l'homme avait voulut, ou même attendait, un combat, il ne l'aurait pas invité à entrer. Les Wainwright observaient et respectaient beaucoup des vieilles traditions, et l'une d'elles était de ne ma commencer un combat quand on invite quelqu'un sans dû cause.
« Professeur, » Mr Wainwright dit. « Je sais pourquoi vous êtes ici, et sincèrement suhaite que vous soyez arrivé ce matin. »
Albus leva un sourcil. « Que voulez-vous dire ? »
L'homme soupira. « Nos plans étaient de vous donner Mr Potter, ou l'un de vos représentants si vous veniez. Cependant, une complication est apparue. »
« Quelle sorte de complication ? » Albus demanda.
« La sorte qui est hors du contrôle de quiconque, et cela veux dire que nous ne pouvons pas vous le donner. »
Albus combattit la forte envie de sortir sa baguette. « Vous feriez mieux de m'expliquer le pourquoi vous ne pouvez pas, Mr Wainwright. » Il dit à l'homme froidement.
« C'est mon intention, Professeur Dumbledore, » l'homme répondit. Il procéda ensuite d'expliquer la situation, sur le Nerve Gear, Sword Art Online, et ce que le créatuer des deux avait fait, et que approximativement deux cent personnes étaient mortes quand ceux autour d'eu avaient essayé de retirer le Nerve Gear.
Alors que l'homme expliquait, Albus commença à ressentir son âge en réalisant la situation. Mr Wainwright avait raison quand il disait que, si il était arrivé quelques heures plus tôt au plus tard, cela ne serait pas arrivé. Néanmoins, son emploi du temps chargé, le besoin d'entrer au Japon légalement et proprement, et la différence d'heure entre l'Ecosse et le Japon, l'aviat rendu incommode.
« Professeur Dumbledore, » fit l'homme. « Voulez vous le voir ? Nous ne l'avons pas encore transféré à l'hôpital, quelque chose que j'allais faire après avoir passé quelques appels. »
« S'il-vous-plaît. » répondit Albus, voulant confirmer les choses de ses propres yeux.
« Très bien. » Mr Wainwright le conduisit à la pièce où Harry se trouvait. Albus remarqua la femme travaillant sur un appareil moldu, un ordinateur portable si il se souvenait bien.
« Patron, » elle dit se tournant ver lui. « Je pense que j'ai quelque chose. Aussi, qui est le vieil homme ? »
Mr Wainwright sourit. « Ms Carlisle, permet-moi de te présenter le Professeur Albus Dumbledore. Il a apparemment décider de s'occuper de la récupération de Mr Potter lui-même. »
Ms Carlisle grimaça à cela. « Vous lui avez expliqué la situation ? »
« En effet, Ms Carlisle. » Albus dit avec un calme qu'il ne ressentait pas réellement. Il baissa ses yeux vers Harry et vit la machine moldu sur sa tête. Mr Wainwright avait au moins dit la vérité sur cela, pas qu'il s'attendait à un mensonge de sa part. « Vous avez dit quelque chose ? » Il demanda.
Ms Carlisle s'égaya. « Oh, oui, » elle fit excité. Nous ne pouvons pas le faire sortir, mais j'ai euune idée et lié le portable avec un cable Ethernet. Comme le hardware est encore neuf, il n'y a pas vraiment de façon déjà prête d'enregistrer ce qui s'y passe, donc ils l'ont installé pour que cela puisse être mis en place depuis un ordinateur. » Elle leur montra. « Au moins on peut voir ce qui se passe. Cela ne semble pas venir de ses yeux, mais d'un point de vu de dessus son épaule. »
Albus regarda l'écran, voyant ce que Harry voyait comme si il regardait par dessus son épaule. Ce n'était pas grand-chose, juste Harry tirant une chaise pour qu'une fille s'asseye maintenant, mais c'était quelque chose. « Remarquable. » il dit.
Ms Carlisle hocha la tête. « J'allais vérifier et voir si nous pouvions bouger le point de vue autour pour avoir une meilleur vue après. »
Mr Wainwright sourit. « Excellent travail, Ms Carlisle. Faites cela, et assurez-vous de le documenter. Quand nous noutifierons les autorités, nous les laisserons savoir à propos de cela. Je ne sais pas combien de temps cela prendra à Kayaba pour fermer cette option, mais jusqu'à ce moment, ou si il le fait, il existe un moyen pour nous de voir ce qu'il se passe. » Il considéra quelque chose. « Avons-nous le son ? »
Ms Carlisle acquiesça. « Je l'ai coupé pour le moment, mais oui. Je le remonterai dans peu de temps pour qu'on puisse entendre ce qu'il dit. »
Mr Wainwright hocha la tête. « Excellent. » Il regarda Albus. « N'hésitez pas à rester ici Professeur, mais je dois passer des appels . Le premier est au patriarche de la famille pour que je lui explique la situation. » Il soupira. « Je vais attraper l'Enfer pour ceci. »
Le sourire d'Albus était froid. « J'espère que vous ne m'en voudrez pas de ne pas être sympathique pour votre situation. » Sachant ce qu'il savait du patriarche actuel des Waiwright, « attraper l'Enfer » était un terme bien faible, mais il n'était pas assez grossier pour le mentionner.
Mr Wainwright renifla. « Je ne m'y attendais pas, » il répondit en sortant de la pièce.
Albus tourna son attention vers l'écran, montrant ce qu'Harry faisait. De ce qu'il pouvait voir, la fille pleurait et Harry essayait de la rassurer. Tandis que Carlisle remettait le son, il réalisa qu'il ne pouvait pas comprendre ce que Harry disait, même si il était plutôt évident quel langue il utilisait.
« Comment lui avez-vous appris le Japonais aussi rapidement ? » il demanda curieusement.
« Nous l'avons fait en utilisant de la magie. » Ms Carlisle répondit. « Cela vous donne un mal de tête horrible, mais cela vous permet de devenir compétent dans le langage en deux semaines. »
« Ah, je crois que je connais cette méthode, » Albus dit. Si c'était ce qu'il pensait que c'était, alors avoir un mal de tête était un réaction légère. La plupart serait couché pour le reste de la journée, mais Harry s'était montré résilient dans le passé.
« Huh, il a décidé de trouver un endroit où se cloîtrer pour quelques jours, plutôt que de se dépêcher. » Ms Carlisle nota. « Pas une mauvaise idée. » elle rit. « Il proposait à la fille, Silica selon ce qu'il l'appelait, de payer pour sa chambre pour la nuit. Il semble tenir le coup plutôt bien, toutes choses considérées. »
Albus sourit. « Harry a tendance a mettre le bien-être des autres avant le sien, et il s'est montré calme en temps de crise auparavant. » Il dit. Il regarda alors que le point de vue bougea légèrement. « Donc, vous pouvez le bouger, je vois. » Il dit et se tourna vers la femme.
« Ms Carlisle hocha la tête. « Oui, » elle répondit en notant sur papier ce qu'elle avait fait. Elle regarda Albus. « Vous voulez continuer à regarder pour le moment ? »
Albus regarda l'écran et de retour vers Ms Carlisle. « Je devrais aussi bien, au moins jusqu'à ce que des arrangement soient fait pour les soins de Harry. » Ses yeux se durcirent. « Je vais vouloir être là, pour savoir où il sera soigné. Je vais aussi prendre sa baguette et ses affaires personnelles, aussi. » Son ton ne permettait aucun argument, et Ms Carlisle n'était pas enclin à le lui disputer de toute façon.
Elle n'était pas idiote.
