Perspectives depuis l'Extérieur
21 Juin 2023 – Angleterre, à bord du Poudlard Express
Hermione regardait pensivement par la fenêtre. Elle ne voyait pas le paysage passer tandis que le train continuait sa route vers la station de King's Cross. Ce qu'elle avait vu la veille avait été un choc déplaisant pour elle, pour tout le monde vraiment.
Ils avaient pensé que ce serait plus dans le genre d'une simple confrontation et un argument, peut-être quelques coups échangés. Au lieu de cela, ils avaient regardé alors que Harry combattait en duel Lind d'une façon qui montrait clairement qu'il pouvait le terminer quand il le voulait, mais ne le faisait pas. C'était comme si il ne le prenait pas sérieusement. Non, comme si il ne le prenait que aussi sérieusement qu'il le devait pour éviter de tuer Lind.
Non, c'était ce qui était arrivé juste après quand Harry avait décidé que le combat était terminé qui l'ennuyait. Harry avait été si concentré sur la confrontation en face de lui qu'iln, et par extension eux, n'avait pas remarqué les deux joueurs tendant une embuscade à Silica. Quand Silica avait crié, tout le monde remarqua ce qui se passait.
Le moment où l'un d'eux bougea pour attaquer Silica une nouvelle fois, l'intention meurtrière derrière le geste était visible pour tous, Harry agit.
Un moment, il était trop loin pour y arriver à temps, l'instant suivant, il séparait le bras du joueur et sa tête de son corps. La pur brutalité de l'acte, et le fait que Harry avait tué quelqu'un si rapidement et froidement… tout les spectateurs furent stupéfié et silencieux.
Le combat qui suivit, et les associés de ce joueur qui sortirent de leur cachette, fut aussi confus qu'il fut violent. Ils l'avaient tous visé lui, Silica, et Lind avec l'intention de tuer, et Harry répondit de la même manière. Il n'y avait rien du Harry qu'ils connaissaient présent à cet instant, seulement quelqu'un qui bougeait et combattait avec une détermination sombre et létale.
Chaque coups délivrés étaient donnés avec un seul but. De faire à ses adversaires ce qu'ils voulaient lui faire en premier. Il avait tué trois personnes de plus dans ce combat, et le nombre d'attaquants qu'il avait envoyé voler, leur corps allant dans une direction, un bras ou une jambe allant dans une autre… et bien… elle avait perdu le compte.
Cela ne l'aurait pas surprise si certains s'étaient juste soignés avec un objet avant de retourner au combat, seulement pour avoir la même chose leur arriver encore, et encore, et encore.
Ça… ça n'était pas le Harry Potter qu'elle, n'importe qui vraiment, connaissait. Ce n'était pas le garçon timide avec qui elle était devenu amie, celui qui n'aimait pas sa célébrité. Ce n'était pas l'étudient un peu indifférent qui en faisait juste assez pour passer ses classes, était fou de Quidditch et de vol, et semblait avoir une insouciance totale pour sa propre sécurité qui le rendait si stéréo-typiquement un Gryffondor. Dans d'autres mots, le Harry qui avait disparu, celui qu'ils avaient regardés dans SAO.
Jusqu'à hier.
Le Harry qu'elle avait vu dans cet enregistrement, celui qui avait combattu avec une furie si froide et mortelle, était aussi différent du Harry qu'elle connaissait qu'il pouvait l'être, tout en étant le même. Comme si il était capable d'activer et désactiver cet aspect de lui-même. Ou, peut-être, il l'avait toujours eut, mais l'avait gardé fermement pour lui-même.
Dès que le combat se termina et qu'il vit qu'ils étaient relativement en sécurité, il alla jeter un œil sur l'état des autres, s'assurant qu'ils allaient bien, aidant Silica à se reprendre après qu'elle est craquée, et d'une manière ou d'une autre résoudre les choses avec Lind, qui avait survécu à tout cela, après.
Mais elle pouvait le dire maintenant, il changeait. Et elle ne savait pas quoi en penser. Le fait que Ron n'était absolument pas surpris quand elle lui en avait parlé la laissait également perplexe.
« Tu ne l'a pas vu sortir de la Chambre avec plus de son sang sur lui que ce qui est bon, et portant une épée avec laquelle il avait tué un basilic, » il lui dit simplement. « Même comme ça, tu aurais du réaliser qu'une fois que les baguettes sont sorties et que les sorts sont jetés, il ne recule ou hésite jamais, il combat. Nous savons que l'incident avec la Pierre lui a donné des cauchemars pendant des mois, et bien qu'il n'est jamais été dans les détails, ce n'est pas difficile de voir pourquoi. Plus maintenant du moins. »
Et bien que cela ait mis certaines choses en perspective, cela ne l'aidait pas à réconcilier les deux images qu'elle avait maintenant du même garçon.
Poudlard, Quartier de Rogue
Severus regardait pensivement le verre de Whiskey PurFeu devant lui alors qu'il considérait ce qu'il avait regardé la veille. Son opinion de Harry Potter était bien connu parmi les étudiants et la faculté, mais les actes du garçon pendant cette vue étaient complètement contraire à toute attente.
Ce n'était pas comme les événements en Mars, durant lequel le garçon avait réuni un groupe et les avait guidé dans une mission de secours avec seulement le plus simple des plans. C'était si typiquement gryffondor, et le fait que cela avait tué cinq personnes, en plus des douze qu'ils n'avaient pas réussis à sauver, cela il considérait juste comme le garçon.
Agissant toujours sans un regard quand au conséquences.
C'était injuste de sa part, il le savait. Il savait qu'il superposait sa perception et sa haine de James Potter sur le garçon, forçant les fautes du père sur le fils. Mais c'était ce qui lui permettait d'ignorer la partie du garçon qui lui faisait mal de voir. La partie du garçon qui rendait clair qu'il n'était pas seulement le fils de James Potter, mais aussi celui de Lily Evans.
Mais ce qu'il avait vu hier, ce n'était pas James Potter qu'il avait vu dans le garçon. James Potter était toujours quelqu'un qui fanfaronnait, qui se donnait en spectacle. L'homme était capable de se battre, mais il y avait toujours cette tendance à fanfaronner dans ses actions.
Il n'y avait rien de cela chez les actions de Harry Potter ce jour-là. Pas lorsqu'il avait fait face à ce joueur avec qui il avait des problèmes, et certainement pas quand les choses étaient devenues dangereusement mortelles. Et la seconde où il avait vu qu'il y avait des choses qui essayaient de le tuer et ceux qui lui sont important, tout vestige de James Potter quittèrent le garçon.
Et il y avait également peu de trace de Lily. Lily pouvait être dangereuse quand elle se sentait protectrice, même mortelle si besoin était, comme plusieurs de ses pairs Mangemorts l'auront appris. Mais aller directement pour tuer, attaquer avec l'intention d'estropier, ce n'était pas elle. Ce n'était pas elle qu'il voyait dans le garçon cette fois là.
C'était son grand-père, Harold Evans qu'il avait vu dans le garçon. L'ancien commando SAS qui avait servit l'Irlande en faisant face contre le Provisionnel IRA, et également d'autres parties du monde avant de se poser pour se marier. L'homme qui avait battu Tobias Rogue, le père de Severus, très violemment la seconde qu'il avait appris l'existence de l'abus envers sa femme et son fils avant d'emmener l'homme à la police.
L'homme qui avait tué trois des cinq Mangemorts envoyés pour le tuer, lui et sa femme, pour envoyer un message à une Lily Potter nouvellement mariée. L'homme qui l'avait fait en utilisant tout ce qu'il pouvait attraper, que ce soit un couteau, une pièce de meuble, ou simplement en brisant la nuque de son attaquant.
C'était de voir Harry tuer quatre personnes et retirer des membres en plein combat qui le lui avait montré. C'était l'efficacité froide de ses mouvements, le pur pragmatisme impitoyable de tout cela. Et cela l'avait fait réalisé que sous cet extérieur, il y avait un dragon qui dormait légèrement.
Il bu le verre de whisky Pur Feu et continua de penser à ce qu'il avait vu.
22 Juin 2023 – Kawagoe, Résidence Kirigaya
Suguha restait allongée dans son lit pensivement, essayant de réfléchir. Elle avait entendu parler de l'événement quelques jours plus tôt, et l'avait même regardé avant que les données ne soient supprimées du système, et essayait toujours d'accepter ce que son frère avait fait. La plupart de l'événement, elle pouvait comprendre, et même approuver, mais en même temps, il y avait un détail en particulier qu'elle avait des difficultés à accepter.
Kazuto avait tué. C'était si contraire à son caractère qu'elle ne voulait pas y croire.
Et pourtant, elle ne pouvait pas dénier ce qu'il avait fait pour défendre quelqu'un d'autre. C'était suffisamment mauvais, mais le fait que celui qu'il était allé aider avait tué plusieurs de ses agresseurs lui-même, plutôt que d'avoir lui-même été attaqué, semblait rendre le fait pire. Que Hadrian, celui que Kazuto était allé aidé était également plus capable de s'occuper des choses était également choquant.
Mais quand même, son frère avait tué.
Cela avait été soudain, une attaque contré, il semblerait, instinctivement, avec un coup qui se trouvait être fatal. Elle ne savait même pas si il s'en était rendu compte à ce moment-là, mais il était clair qu'il l'avait réalisé une fois le combat terminé.
Kazuto, pensa-t-elle. Qu'est-ce que cet endroit est en train de te faire ?
Elle ne savait pas quoi penser, ou même ressentir. Devrait-elle se sentir triste pour son frère pour ce qu'il venait de traverser ? Devrait-elle le haïr pour ce qu'il avait fait ? Devrait-elle haïr ceux qu'il était allé aider ? Elle ne savait vraiment pas.
Et elle détestait le fait qu'elle ne pouvait rien y faire.
23 Juin 2023 – Manoir des Greengrass
Daphné Greengrass gardait une expression polie sur son visage alors qu'elle regardait le patriarche de la famille Malfoy, qui avait demandé sa présence. L'absence de Draco indiquait que ce n'était pas à propos de quelque chose d'aussi archaïque et désuet qu'un mariage arrangé, comme leur deux familles n'étaient en rien enclin à former d'alliance l'un avec l'autre, donc elle ne pouvait penser qu'à une seule raison.
Il était à la pêche aux informations sur Harry Potter. Dans quel but, elle ne le savait pas. Et en toute honnêteté, ce n'était pas ses affaires. C'était une dure vérité, mais c'était comme ça que les choses étaient. Elle avait dit à Granger que si on l'interrogeait sur ce qu'elle avait vu, elle en parlerait franchement, ne cachant rien.
La Né-Moldue n'était pas d'accord avec ce regard sur les choses, mais la fille était ignorante sur beaucoup d'aspect de la culture du monde magique et de la politique familiale. Spécialement les parties qui n'étaient pas écrites, car on s'attendait à ce que la famille les enseigne à leurs enfants.
« Lord Malfoy, » dit-elle poliment.
« Miss Greengrass, » répondit Lucius, hochant sa tête vers elle. « Je n'ai aucun doute que vous êtes déjà au courant du pourquoi de ma présence ici. »
Elle regarda son père, qui se trouvait dans la pièce, et vit l'expression légèrement désolé sur son visage et hocha la tête. « Vous êtes là pour des informations sur Harry Potter, » elle dit calmement. « Spécifiquement en regard des événements qui se sont produits il y a trois jours. »
« En effet, » Lucius dit avec un hochement de tête. « Pas les détails spécifiques, le Directeur nous permet, ceux dans le Conseil d'Administration pour voir l'enregistrement plus tard aujourd'hui avant que cela n'aille au Ministère. Ce que je veux, c'est votre impression des choses. »
Daphné hocha poliment la tête. « Alors, je vais commencer en disant qu'il a agit en légitime défense, et en la défense de quelqu'un d'autre, » elle dit. « Il y a la possibilité qu'il ait fait usage de magie, transplanage pour être précis, mais de ce que j'ai vu dans les enregistrements, les témoins penseront sûrement que c'était à cause de quelque chose d'autre. Le terme plus spécifique est bug, ce qui veut dire qu'une partie du jeu ne fonctionnait pas exactement comme celui qui l'a fait le voulait, ou que c'était quelque chose auquel il n'avait pas pensé. »
Lucius hocha la tête. « Et vous pensez que tout moldu témoin de l'événement le penserait ? »
Daphné opina. « Oui. » elle répondit. « Il y a la possibilité que sa compagne, Silica, réalise différemment. Je ne sais pas pourquoi, mais il y a quelques indices qu'elle pourrait être au courant. Une autre serait la joueuse Argo, qui opère en tant qu'informatrice. »
« Oh ? »
« Silica, vrai nom : Keiko Ayano. » Le père de Daphné dit. « Elle est la petite-fille d'un Trésor National Vivant, Ranma Saotomé, grand-maître d'un style de combat plutôt ésotérique, et quelqu'un qui est sous une malédiction de Jusenkyo. » Quand Lucius le regarda, il haussa les épaules. « J'ai quelque contacts de travail au Japon, et ma famille fournit certaines chose au Clan Shiba en particulier, donc j'ai envoyé un demande pour toute information qu'ils voulaient bien m'envoyer.
« Et cette Argo ? » Lucius demanda.
« La seule information que j'ai est que son vrai nom est Mizore Yasaka, et qu'elle étudie à Mahoutokoro. » l'homme dit. « Après une recherche plus en profondeur, on m'a poliment, mais fermement dit de laisser tomber par des membres du Consulat Magique Japonais. Qui qu'elle soit, elle est plutôt haute dans leur société. »
Lucius fronça les sourcils. « Yasaka, » il dit pensivement. « J'ai entendu ce nom de famille quelque part auparavant. Peu importe. » il retourna son attention vers Daphné. « Quelles sont vos perceptions de l'état d'esprit de Mr Potter, Miss Greengrass ? »
Daphné fredonna pensivement avant de parler. « Il a seulement utilisé la force létale à cause des circonstances, » dit-elle. « Pendant la suite des événements directs, il était clair qu'il n'était pas heureux de l'avoir fait, mais il était également remarquablement composé. Sachant que sa compagne avait une une bref crise émotionnelle en réponse au personnes essayant de la tuer, et le fait qu'elle avait tué un de ses agresseurs, c'était probablement pour elle. »
Lucius hocha la tête. « Mes remerciements pour m'avoir donné vos impressions, Miss Greengrass, » dit-il. Il opina alors vers son père et elle. « Maintenant, si cela ne vous dérange pas, je dois m'en aller, Bonne journée. »
Manoir des Malfoy
Lucius s'assit dans son étude et pensa aux impressions que lui avait donné Miss Greengrass, ainsi que ce qu'il avait vu lors de l'enregistrement.
Même avec les mots de Miss Greengrass traversant son esprit, il se trouva surpris par la rapidité avec laquelle le garçon était passé d'un Gryffondor typique qui chargeait simplement, sans penser aux conséquences, à un soldat froid et efficient. Cela lui avait donné l'impression d'un Auror vétéran du temps où le Seigneur des Ténèbres terrorisait la communauté magique. Quelqu'un entreprenant une tache sombre, et qui le faisait.
C'était très différent de la perception publique du Survivant. La perception publique l'aurait comme une figure sainte que n'utiliserait jamais la force pour tuer, et sauvait quand même le monde. Idiots idéalistes, mais la plupart des sorciers et sorcières étaient habitués à avoir un moyen tout près pour se défendre de manière non-létale.
Cette perception voulait aussi dire que pour la masse, leurs héros étaient des saints, dont les mains ne seraient jamais tachées de sang. Qui pourrait marche sur un champ de bataille et gagner, malgré cela. Comment ? Qui s'en souciait ?! C'est un héro pour vous. Il est le Chevalier en Armure !
Lucius n'était pas si idéaliste. Il savait que les chevaliers étaient des guerriers, leur métier était la violence et de tuer. Si ce n'était pas nécessaire, alors ils ne le faisaient pas. La façon dont le garçon s'était occupé de ce joueur le montrait. Mais la seconde où il l'avait fait… il marcherait sur ce champ de bataille avec une armure brillante, et en ressortirait avec son épée et armure écarlate.
Il devra s'assurer que ce garçon… non, jeune homme, reste au Japon le plus longtemps qu'il est pratique. Le jeune homme qui retournerait de cette épreuve, tant qu'il survit, sera très différent du garçon qui l'avait commencé. Aussi différent que la réalité du garçon l'était des histoires parlant de lui.
Il devra également mettre en place ses plans pour s'éloigner de toute connexion qu'il avait avec certaines personnes dans le Ministère. Cela leurs donnerait une chance bien trop grande pour ne pas en profiter.
24 Juin 2023, Londres, Ministère de la Magie
Albus retint un soupire alors qu'il écoutait les protestations de ceux dans la chambre du Magenmagot. Il savait que de rendre ceci publique serait comme mettre le Kneazle dans le poulailler, mais il savait aussi que cela devait être fait. Il n'y avait aucun moyen de maintenir ce qui s'était passé secret.
Et puis ce n'était pas comme si le fait que Poudlard avait un moyen de regarder les activités d'Harry, si bien après les fait, était un secret. Les étudient qui étaient impliqués dans l'observation, donnant leurs points de vue, leurs analyses… ils en auraient parler avec leurs familles, indépendamment de ce qu'il essayait de faire.
La seule raison pour laquelle le Ministère restait hors de cela… il avait Lucius à remercier pour cette petite faveur. L'homme ne voulait clairement pas que les suspicions sur sa participation évoluent en certitude, et c'était une possibilité, malgré le fait que Harry était resté silencieux sur le sujet de la magie et de comment il était arrivé dans cette situation.
Albus avait déjà offert sa propre explication, pas seulement sur ce qui s'était produit, mais aussi sur la façon dont ceux à l'intérieur le verrait. Cela avait calmé un peu les hurlements. Même ceux qui étaient souvent en désaccord avec lui sur beaucoup de choses prenaient toujours ses mots sérieusement et les considéraient. Si il disait que ceux qui avaient vu ce que Harry avait fait rationaliserait l'acte, alors il avait probablement raison.
Pas garanti, mais probablement.
C'était assez pour beaucoup, mais il y en avait toujours beaucoup proclamant que le garçon devrait être ramené en Angleterre et au damne les conséquences et le risque sur la vie du garçon, pour qu'il puisse faire face à la justice pour avoir violer l'Engagement au Secret. Sans surprise pour lui, beaucoup d'entre eux étaient ceux qui avait soutenu Tom, ouvertement ou non. D'autres, comme Dolores Ombrage, voyaient Harry comme une menace potentielle à leur position, ou la position de quelqu'un à qui ils étaient loyales.
Bien sûr, certains d'entre eux étaient simplement des personnes odieuses au plus profond d'eux-mêmes, qui n'en avait rien à faire des conséquences.
Ce qui le surpris, bien que cela n'aurait pas dû, était comment Lucius était fermement contre l'acte de ramener le garçon du Japon, et il avait offert un argument plutôt convaincant.
Harry était sous la protection des Wainwrights, et bien qu'ils ne seraient pas capable de combattre le Minstère et gagner, il seraient quand même pleinement capable de l'endommager sérieusement. Il valait mieux attendre et observer, plutôt que de déranger ce chaudron particulier. Aussi, il y avait la possibilité que cela attire l'attention des autres, ce qui endommagerait leur soutient international, déjà sur terrain instable, encore plus.
Alors il regarda, sa partie fait, alors que le Magenmagot arguait, criait, et faisaient basiquement semblant de faire quelque chose. Tout ce qui avait besoin d'être dit et fait, toute décision qui avait besoin d'être fait, elles avaient toutes été prises derrière des portes closes de toute façon.
Et il remarqua Lucius passer quelque chose à quelqu'un au sein du groupe plus neutre traditionnel, un qui n'était pas dans le camp politique de l'homme, et se demanda ce qui était sur le point d'arriver. Il regarda alors que Richard Greengrass lisait ce qui avait été passé, quelque feuilles de parchemins il semblait, et lança alors un regard vers Lucius avant de se lever.
Il attendit pour la Chambre de se taire, et regarda tout autour.
« Mesdames et Messieurs du Magenmagot, » dit-il. « J'aurais peut-être dû en parler avant ce sujet, mais je pensait que le sujet de ce que Mr Potter avait fait aurait été proprement résolu maintenant, et d'une manière approprié à cette chambre. Cependant, certaines choses ont été amené à mon attention... »
Il dit alors une histoire sur certaines choses qui étaient apparues pendant qu'il faisait une inspection de routine dans certain dossiers du Ministère. Uniquement dans le but de garder un œil sur ce qui se passait, quand il avait trouvé certaines irrégularités. Dossiers mal placés, mauvaise attribution des fonds, actions qui n'avaient pas été sanctionnés par les voies légales appropriées… et tout cela pointant vers les actions de la Sous-Secrétaire d'État du Ministre.
Et, alors que le Magenmagot explosait, Albus resta assis et apprécia le spectacle.
Oh, bien joué Lucius, pensa-t-il. Ton père serait heureux de voir une telle manœuvre.
Dolores avait été une alliée occasionnelle de l'homme, mais il était clair qu'elle était devenue un handicap pour lui. De plus, elle était une influence toxique sur Cornelius, et malgré le manque de connexion direct avec lui, c'était probablement quelque chose qu'il avait planifié des mois auparavant.
Albus ne doutait pas non plus que tout ce que cette investigation avait révélé serait trouvé tel quel. Lucius avait soit ses faits droits, ou avait fait attention de bien les planter avec de l'aide. Il n'aurait même pas eu besoin d'acheter, menacer, ou faire chanter quelqu'un pour cela : si il avait fait savoir ce qu'il faisait, plus de la moitié du Ministère aurait frappé à sa porte et se serait porté volontaire pour le faire.
Dolores était aussi haït que cela dans les rangs du Ministère.
30 Juin 2023 – Setagaya, Planque des Wainwright
Richard lisait les rapports du comment allaient leurs efforts pour contrôler tout dommage en réponse aux actions de son protégé. Sans surprise, beaucoup dans le publique étaient compréhensif de ses actions. Bizarrement, ils ne le condamnaient pas pour cela, ou du moins pas ouvertement. Ce qu'ils pouvaient penser dans leur propre esprit pouvait, et était probablement, très différent de ce qu'ils exprimaient en publique.
Il pouvait l'accepter. Il savait que les Japonais ne prenaient pas bien à l'idée de quelqu'un en dehors de ceux qui maintiennent l'ordre ou les militaires, et seulement dans le cadre de leur devoir, utilisant la force létal la plupart du temps. Au moins, les secteurs où la population Japonaise respecte la loi ne le faisait pas. Les secteurs moins respectueux pouvait être une toute autre histoire.
Il prit un rapport qui contenait les information qu'ils avaient réussi à trouver sur l'un de ceux tué ce jour-là. Johnny Black, ou comme il était connu dans le monde réel, Atsushi Kanamoto.
Nom : Atsushi Kanamoto
Age : 19
Occupation : Criminel endurci
Famille : Aucune
Statut : Décédé, tué par Harry Potter
Mr Kanamoto à un casier judiciaire datant de tôt dans son adolescence, ayant été à plusieurs reprises suspecté de cambriolage, vol, agression, braquage, et trois meurtres avant SAO. Cependant, il avait toujours été capable de couvrir suffisamment ses traces pour dévier la suspicion sur d'autres, fréquemment ses propres associés. Malgré sa carrière apparente de criminel il n'est affilié à aucune organisation Yakuza, bien qu'ils le connaisse. En même temps, il faisait toujours attention de ne pas trop attirer leur attention, et se retirait régulièrement de ce qu'il faisait si un Yakuza faisait du bruit sur ses opérations.
Ses actions dans SAO montrait une tournure similaire, si plus violente. Les informations récupérés des données enregistrées montrait qu'il était régulièrement engagé dans des meurtre, torture, et viol, simplement car il le pouvait. Son associé, Xaxa aux yeux Rouge montrait des tendances sadiques similaires, mais avec un self-control plus démontré.
Même si il était toujours vivant, il ne serait pas utilisable. Son histoire criminelle et ses actions dans SAO laissaient entrevoir des tendances hautement sociopathique, tendances que SAO avait sûrement exacerbé comme il n'avait plus à maintenir une image de comportement civilisé.
Il y avait des dossiers similaires sur certains des joueurs impliqués, mais l'information était basée plus sur ce qu'ils pouvaient obtenir par les moyens légaux. Il avait remercié Miss Tendo pour sa propre assistance à ce sujet, comme sa propre petite-nièce avait été tirée dans ce pétrin, donc elle avait un intérêt à les aider à contrôler les dommages. En même temps, il se fit une note dans sa tête de ne pas se la mettre sur le dos.
Elle n'était peut-être pas Eden Blake, à la tête d'Aladdin, le Département de Magie et le département des opérations spéciale et d'intelligence de l'Arcane, mais cette femme avait l'incroyable capacité de dénicher les informations. Le fait que les contacts Yakuza des Wainwrights l'avaient averti de ne pas faire d'elle une ennemie n'avait que renforcé cela.
« Mr. Wainwright. »
« Parlez du diable, et il apparaît, » Richard soupira.
L'homme devant lui retira ses lunettes de soleil, des yeux sombre et perçant rencontrèrent les siens.
« Mr Wainwright, mon beau-fils est dans SAO, et il y a une chance qu'il entrera en contact avec votre protégé. Quand cela arrivera cela ouvrira une toute autre boite de Pandore. » dit l'homme.
Richard grommela. « Je m'attendais à ce que vous et votre femme vous intéressiez à cela de toute façon, Mr kaz. » il dit. « Bien que je doit admettre, j'espérais que cela arrive plus tard, si cela arrivait. »
Luke Kaz lui sourit, et la peau sombre de l'homme faisait ressortir ses dents blanche encore plus dans la pièce peu éclairée. « Si seulement vous saviez. Ms. Ayano est peut-être la petite-fille du Trésor National Vivant, Ranma Saotomé, mais il y a maintenant quelqu'un d'autre qui remarquera la présence de Mr Potter à l'intérieur, la marraine de mon fils, pour être précis. Voulez-vous essayer de deviner de qui il s'agit ? »
« Quelqu'un d'important dans la communauté Magique Japonaise, non ? » soupira Richard.
« Kaoru Shiba. »
Richard se figea, rencontrant le regard de l'homme souriant. « La dirigeante des chasseurs de démons de l'Empereur ? » il demanda. Devant le hochement de tête joyeux de Mr Kaz, il mit son visage dans ses mains. « Et voilà la suite des problème pour lequel je m'inquiétais depuis que toute cette histoire a commencé. Et vous êtes en train de me dire que sa mort ne ramènerai non pas un, ni deux, mais au moins trois gouvernements magique sur nous ? »
« Je sais que cela n'aidera pas, mais la mère de Lady kaoru était une amie chère des Potters via les grand-parents de Mr Potter, qui ont fondé plusieurs travaux runiques qui aident à protéger Tokyo des forces surnaturelles. » Mr Kaz dit avec une allégresse malicieuse visible. « Et Lady Kaoru est restée en contact avec eux, ainsi que James et Lily. Spécialement avec Lily, qui l'a rencontré quand elle s'est marié avec James. Les deux ont apparemment sympathisé dû aux intérêts de Lily. »
À ce point, Richard laissa juste échapper un gémissement de supplice alors qu'il posait sa tête sur son bureau un petit peu. « Je n'aurai jamais dû prendre ce job. » il marmonna.
« Vous auriez dû faire vos recherche avant de prendre ce job, Mr Wainwright. » vint la réponse peu compatissante. « Je ne demanderai pas qui vous a employé, vous êtes pointilleux quand à la protection de la confidentialité de vos clients, et je peux le respecter. Mais toute cette chose n'est pas de votre niveau habituel. Pas aussi… minutieux, si je puis dire. »
Complexe des Shiba, Location impossible à discerner – Tokyo
Ami Blake, née Anderson, supprima la forte envie de remercie le serviteur habillé de noir qui lui avait servit du thé frais ? Ils le prenaient apparemment comme un reproche, comme le fils adoptif de Kaoru, Takeru, lui avait expliqué.
Il était peut-être plus vieux de cinq ans que sa mère adoptive, mais la dix-neuvième tête des Shiba montrait tout la déférence due à la dix-huitième.
« C'est nul, » Serena marmonna à côté d'elle.
Ami se tourna vers son amie- sa première vraie amie, vraiment, et sourit. « Tu l'as déjà dit. »
« C'est la vérité, » Serena Knecht, surnommé affectueusement 'Lapin' par ses amies, et connue dans certains cercles dans le Japon comme Tsuki no Serena, répondit platement. Regardant les deux, quelqu'un devinerait les ancêtres japonais de Ami, ou du moins les racines Asiatiques, mais Serena, comme le disait Lita, « Jenny Bealed ». Cheveux blonds, yeux bleus, et qui a grandit en mangeant des pizza et des dango en partie égale à Seattle.
Là aussi, la lignée japonaise de Serena était bien plus loin que celle de Ami, son arrière grand-mère venant en Amérique comme une femme de guerre après la Guerre. Une personne observatrice pouvait le voir, mais l'héritage Germano-Américain de Serena ressortait fortement, donc beaucoup trouvait souvent difficile de comprendre comment elle pouvait dire être de descendance Japonaise.
Les deux baissèrent leurs yeux vers la forme de August Blake. Bien que pas le 'beef cake' (cela avait été le terme de Raye) qu'est son frère aîné, Kevin, August était un homme en extrêmement bonne condition et incroyablement actif. Maintenant, après des mois dans SAO, il paraissait… diminué.
« Avez-vous entendu ? » Ami demanda, fronçant les sourcils.
« Le truc sur le Garçon-qui-à-Survécu ? » Serena répondit, et quand son amie hocha la tête en soupirant. « Jamais bon quand ils mettent des traits d'union, » le fait qu'elle ait elle-même plusieurs titres était poliment ignoré.
« Au moins ton surnom par défaut n'en a pas, » Ami nota avec un léger sourire.
« Princesse de la Lune, » Serena maugréa, « cela me fait ressembler à une magical girl sortit d'un anime. Je ne suis pas une princesse, malgré tout ce que Kaguya peut dire. »
« Elle t'a adopté dans son clan, te nommant son héritière, » dit Ami.
« C'est toujours mieux que ce qu'ils nous appellent, » une nouvelle voix nota avec sérieux.
La femme au cheveux noir qui entra pour les rejoindre avait une dignité calme. Si les filles de directeur de grandes entreprises des jours modernes étaient données le titre de 'Oujou-sama', Lady Kaoru Shiba était le modèle classique sur qui elles se basaient. Elle sembla heureuse lorsqu'elle se retinrent à juste un hochement de tête respectueux.
« Qu'est-ce qu'ils vous appellent, Milady ? » demanda Ami.
« Vous êtes familières avec la Franchise Super Sentai de Toei ? » Kaoru demanda.
« Oh, » grimaça Serena. « ils ont un joli petit nom pour vous ? »
« Nous sommes le Samurai Sentai Shinkenger. Les étudiants de Mako de l'Académie Impériale l'appelle Shinken Pink, » Kaoru nota avec un sourire narquois.
« Shinken... » Serena répéta. « Oh, donc, comme une lame prête au combat. »
« Apparemment, ils sont très déçu qu'elle n'a pas de transformation. » dit Kaoru. Ses yeux tombèrent sur le jeune homme portant un Nerve Gear et attaché à l'assistance respiratoire devant eux. « De toute les façons pour que l'un de mes garçons rencontre possiblement le garçon de Lily… » elle secoua sa tête, et c'était si posé et désinvolte que cela ne laissait aucun doute à son éducation. « J'aurai espérer que ce… jeu que Kayaba a installé se serait terminé avant qu'ils ne se rencontre dedans. »
« Luke a mentionné qu'il planifiait d'avoir deux mots avec certaines personnes sur le comment Potter s'est retrouvé là dedans, » Ami dit, et eu la réalisation soudaine que à moins que quelqu'un ne parle, elle fixait l'homme allongé devant eux.
« J'espère que votre beau-père exprime une mesure du dédain que nous ressentons envers la situation, » Kaoru dit d'un air pincé. « Ils auraient dû réaliser à l'installation que tous nombre de variable ne faisait pas de SAO un endroit idéal pour cacher quelqu'un, ou pour que quelqu'un se cache. Et ceci, avant de prendre en compte que aucun de ces joueurs ne pense ou même ne sait qu'ils peuvent être observé dehors. Alladin et le Bureau d'Arcan du Canada a offert instantanément d'aider le Ministère de Shugenja une fois qu'ils ont découvert que quelques uns de leurs citoyens se trouvaient pégés dedans. Ceci, juste du côté magique, les gouvernements principaux se sont également avancés. » elle renifla. « Bien que j'ai entendu dire que la Downing Streat est plutôt… peu impressionnée par le Ministère Anglais, et la presse internationale magique s'en donne à cœur joie sur 'la Folie de Fudge'. Là aussi, le Ministre Fudge n'est pas fait pour être un leader. Un administrateur compétent et un bureaucrate ? Possible, un jour, il l'était. Mais il n'est pas un leader. »
« Sont-ils… si coupé du reste du monde ? » demanda Serena.
« Pas vraiment, non. Ils sont au courent des choses, quelques amis Anglais étaient ceux qui m'ont alerté du Boom du Smartphone Coréen quelques années auparavant, après tout. Quand même, ceux qui payent actuellement sérieusement attention à ce qui se passe dans le monde mondain sont une minorité. » Kaoru dit. « Le problème est que en Angleterre… je pense que le seul autre pays où les sorciers agissent comme ayant un monde entièrement différent si fermement est la Chine. Pour beaucoup des hauts gradés du gouvernement, être vu comme intéressé par les choses 'moldues' est vu comme répugnant. »
« J'ai une fois parlé avec leur Directeur de Relation Moldu, son titre officiel montre clairement que le Ministère voit principalement son travail comme étant de garder la magie hors des mains des mondains. Il se fait critiqué pour s'intéresser au fonctionnement de l'électricité, les moteurs, et d'autres choses modernes. Et c'est son travail. »
Ami grimaça en entendant ceci. « Ils ont mit quelqu'un d'ignorant de ces choses en charge d'un tel bureau ? » elle demanda.
« Il essaye au moins d'apprendre, ce qui est mieux que son prédécesseur de ce que j'ai entendu. » nota Kaoru. « Ami, tu essaye d'obtenir un doctorat de médecine et un certificat de Soigneur, » elle dit ensuite avec un soupire. « et si tu essayais de simplement aider avec ces qualifications à leur Sainte Mangouste, tu serais probablement bloqué avec ces qualification, selon le soigneur ou le département. La Deuxième Guerre Mondiale a été un réveil pour tellement de gouvernements magiques, même eux, mais ils sont plus intrinsèquement conservateur. Ce qu'ils ont fonctionne suffisamment bien, et suffit à leurs besoins. Donc pourquoi y verraient-ils un besoin d'adopter quelque chose de nouveau ? »
« Et dire qu'ils ont eu la première femme en tête du gouvernement magique, » Ami soupira.
« C'était avant notre temps, mais Margaret Tatcher était également conservatrice, » Kaoru rappela, un soupçon de reproche dans sa voix. « Aussi ne confond pas conservatisme pour les valeurs traditionnelles dont certains mondains nous rabâche les oreilles, spécialement aux Etats-Unis. La magie a tendance à être un égalisateur de beaucoup de façons, et aucun sorcier Européen est assez stupide pour penser qu'une sorcière est moins que capable. » elle eu un sourire en coins. « Ceux qui le pense, ont tendance à se faire battre inconscient par leur propre testicules ou colonne vertébrale utilisés sur leur crâne comme batte de baseball. »
« ...Ouais, j'opine mais tout ça, » Serena balança une main au dessus de sa tête et siffla. « C'est basiquement pour dire qu'ils sont des imbéciles d'une manière qu'ils n'aident pas beaucoup Potter. Et les sorcières Anglaise peuvent être extrêmes également. »
« Et je trouve juste cela difficile de vraiment m'y intéresser, » Ami se retrouva à dire désintéressée. Sa main posée sur son ventre rond. « Gus ne sera pas là quand notre enfant verra le jour car un salaud a décidé qu'il voulait être une sorte de roi-dieu. »
Kaoru prit sa main. « Ami. Tu l'as vu. Chaque pas, chaque combat, chaque petite information qu'il obtient est une façon pour lui de te rejoindre. »
« Il ne devrait pas avoir à combattre pour être ici, » Ami dit, un peu d'amertume dans la voix. « Sa vie ne devrait pas avoir à s'arrêter... »
« Quand quelqu'un est si égoïste qu'il décide pour tout le monde leur bénéfice personnels… c'est comme ça qu'on sait qu'il est mauvais. » Serena prit conscience de leur regard. « Je… j'ai encore fais le truc profond, c'est ça ? »
Elle furent distraites par l'entrée soudaine de leur amie, Raye Mendez.
« Les gars, » elle dit, son accent plus fort que d'habitude. « J'ai de mauvaise nouvelles. »
« Qu'est-ce que c'est ? » Serena demanda.
« Cet hijo de puta de Cassals, » elle commença. « Il est toujours vivant… et il est dans SAO. »
3 Juillet 2023 – Terminal de Portoloin, Aéroport International de Narita
Sirius essaya de se débarrasser des effets secondaires du portoloin international, et se fit la promesse, pour la quatrième fois aujourd'hui, de prendre un avion la prochaine fois qu'il voulait voyager à l'autre bout du monde. Les Portoloins étaient bien pour de courtes distances, mais aller d'un côté à l'autre du monde signifiait en prendre plusieurs, ce qui poussait souvent les limites de la personne qui les faisait, ainsi que celui qui les utilise, à bout.
Les portoloins étaient peut-être plus rapides que les avions, mais utilisé successivement et rapidement, et même le sorcier avec un constitution endurci se prenait une claque, même avec des brèves périodes de repos pour récupérer. Mais là encore, la plupart des sorciers et sorcières n'étaient pas assez stupide ou insouciant au point d'essayer de voyager d'un bout à l'autre du monde en un jour par portoloin.
D'un autre côté, un voyage par Portoloin était bien plus rapide à arranger et plus sûre que le voyage aérien moldu, mais il aurait du plus y réfléchir avant d'entreprendre un voyage pareil.
Oh bien, cela l'avait amené ici, et rapidement, donc en fin de compte, cela n'avait pas d'importance.
Une seule personne lui importait maintenant. Il savait qu'il ne pouvait pas sortir Harry de l'hôpital où il restait, mais il pouvait au moins être là pour son filleul.
« Lord Black ? » une voix demanda près de lui avec un accent Américain, le faisant se tourner pour faire face à sa propriétaire. Il vit qu'elle était habillée comme une moldue, portant des jeans, une simple blouse, et portant un sac à main.
« Êtes-vous Ms Carlisle ? » il demanda.
« C'est moi. » elle dit en tendant sa main. « Selene Carlisle, à votre service, Lord Black. »
Sirius prit sa main et la serra. « S'il-vous-plaît ne m'appelez pas comme ça, » il dit. « Vous pouvez m'appeler Sirius, ou si ce n'est pas assez formel, Mr Black convient très bien. Maintenant, avant que l'on ne parle de ma venue ici, je devrais probablement passer par la douane, ou ce que je dois faire. »
« Je serai heureuse de vous aider dans ce but, Mr Black ! » dit une voix joyeuse.
Une autre femme émergea de la foule. Sirius avait peut-être une décade de plus qu'elle, et elle portait une simple robe jaune. La 'fluidité' de son anglais était meilleurs que beaucoup de japonais, bien que son accent rendait 'Mister' proche de 'Mis-ta'. Quelque chose chatouilla les souvenirs de Sirius, ce qui était toujours un bon sentiment, cela marquait une autre victoire contre les Détraqueurs et l'erreur de Crotch – d'accord Croupton. Il pouvait entendre la réprimande d'Albus et sa correction dans son esprit pour avoir appelé Bartemius Croupton, Crotch.
« Kotoha Hana… Hana quelque chose. » Sirius dit. « Vous étiez au mariage de Lily et James, avec… Lady… Shiba ! Je suis sûr que c'était. Il est difficile d'oublier une femme avec un fils plus vieux d'au moins cinq ans. »
« Hanaori, merci de vous être rappeler de moi. » la jeune femme dit, rougissant d'une manière qu'il se rappelait vaguement avoir penser être mignonne à l'époque.
« Difficile d'oublier quelqu'un qui est un tel mix entre travailleuse honnête et potentiellement mortelle, » Sirius dit avec un sourire en coin, ce qui fit rougir la femme encore plus profondément.
« Seulement à l'ordre de mon Lord et ma Lady, Mr. Blackn » Kotoha dit avec un sourire légèrement tendu. « Et seulement envers les ennemis du Trône du Soleil. » Elle se tourna. « Ms. Carlisle, » elle continua.
« J'ai été informé, » l'employée(?) des Wainwright, Sirius n'était pas certain si elle était un membre de la famille ou non, et cela faisait des années qu'il avait perdu contact avec ce côté des choses. Elle semblait résigné. « Nous remercions le clan Shiba pour leur aide à ce sujet. »
« Le clan Shiba est honoré d'aider le parrain de Mr Potter dans son entreprise de le rejoindre dans son état actuel, » Kotoha répondit.
Jamais un sourire doux avait accompagné une pique aussi pointue et aiguisée. Il passa son regard d'une femme à l'autre et put voir la tension, mais en même temps un sorte d'acceptation résigné chez Selene. Attendant passivement que les choses explosent, telles qu'elles étaient.
Suginami, Appartement Temporaire de Sirius
Une heure plus tard, il rangeait ses affaires dans le petit studio fourni pour son usage pendant sa visite. Ce n'était pas grand-chose, une petite cuisine, un salon plutôt petit qui servait aussi de chambre, et un salle de bain avec seulement des toilettes et une douche. Cela était suffisant pour lui, son temps passé à Azkaban signifiait que son standard était atteint si l'endroit était propre, sec, et pas effroyablement froid. Comparé à son ancienne cellule, le petit appartement était positivement luxueux.
Et puis, il n'avait pas beaucoup d'affaires avec lui de toute manière, quelques vêtements de rechange, quelques produits hygiéniques, et la baguette d'Harry, Albus la lui avait donné après que son nom ai été blanchi. Ce n'était pas comme si il avait besoin de plus d'espace. Et puis, il allait seulement être au Japon pour quelques semaines pour l'instant, donc l'espace en plus aurait été inutile. Cela lui permettrait de voir comment Harry allait, obtenir un ressenti de l'endroit, et rechercher un endroit pour un séjour plus long.
Le dernier point était pour plus loin dans le futur, comme faire de tels arrangements prendraient du temps. Quoique, si le Clan Shiba commençait à s'impliquer, cela pourrait être complété plus tôt, au lieu de plus tard. Peut-être aux alentour de la mi-Août, au lieu de fin Septembre.
« Tout est à votre goût, Mr. Black ? » Selene demanda.
Sirius se tourna vers elle et hocha la tête. « C'est bon, » dit-il. « C'est petit, mais je ne reste que deux ou trous semaine de toute manière. »
« Nous aurions pu vous mettre dans un hôtel, » il entendit Kotoha dire à côté de lui. « Cela aurait été plus confortable que cet appartement. »
Il haussa les épaules. « Et celui le plus proche est toujours plus loin de l'hôpital que ne l'est cet endroit, » il dit. « Et puis, je comprends que les Wainwrights utilisaient cet appartement pour avoir quelqu'un proche de Harry. »
Selene hocha la tête. « Nous avons plusieurs appartements dans la zone que plusieurs de nos membres utilisent, » elle admit.
« J'espère ne pas avoir fait partir quelqu'un en venant ici, » Sirius dit.
« Non, » dit Selene. « Nous n'avions simplement pas encore clôturé le bail de cet endroit. »
Sirius hocha simplement la tête, sachant qu'il devra obtenir toute l'histoire plus tard. Il savait que les Wainwright avait pris la responsabilité du bien-être de Harry, mais la présence d'un représentant du Clan Shiba rendait clair le fait que cela pourrait changer. La tension actuelle indiquait qu'il y avait certains… problèmes à ce sujet. Pas qu'il soit surpris. Quand les Wainwrights prenait la responsabilité de protéger quelqu'un, ils n'aimaient pas que quelqu'un intervienne. Cependant, les Shibas étaient amis avec les Potter depuis le temps du grand-père de Harry, et il ne doutait pas une seconde qu'ils feraient tout en leur pouvoir pour s'assurer que Harry était en sécurité.
Même si cela voulait dire s'embarquer dans un concours de longueur de baguettes avec les Wainwrights, un concours qu'ils gagneraient sûrement car ils étaient dans leurs territoire.
« Et bien, je peux terminer de ranger plus tard, » il dit. « Maintenant, je veux voir Harry. »
9 Juillet, 2023 – Chiyoda, Ministère des Affaires Internes – Bureau du Groupe Spécialement Chargé du Suivi de SAO
Seijiro Kikuoka regarda les rapports qui résumaient les activités dans SAO qui venaient d'arriver. Il ne savait pas pourquoi Kayaba avait annulé sa décision de garder le monde extérieur ignorant de ce qui se passait un mois après qu'il ait originellement coupé les enregistrements. Bien sûr, le fait que quelqu'un avait découvert une façon de voir en utilisant le matériel du Nerve Gear et une connexion Ethernet à un ordinateur le premier jour pouvait avoir quelque chose avoir avec cette décision.
Pour les amis et famille de ceux piégés, c'était à la fois une bénédiction et une malédiction. Pour lui, c'était un cadeau du ciel, comme cela voulait dire qu'il pouvait non seulement voir ce qui se passait, mais aussi voir les détails dans le but de son enquête.
Choses tel que d'être finalement capable d'isoler ceux impliqués dans un nombre de mort, meurtre vraiment, dans le jeu. Pour autant qu'ils observaient les événements, il y avait toujours plus de sept milles joueurs dans le jeu, et seulement quelques douzaines dans son équipe qui prenaient comme travail à temps plein de les observer.
Mit simplement, il avait besoin de plus de personnes, mais il devait faire avec ce qu'il avait maintenant.
Il regarda un rapport en particulier, lisant les annotations écrites par un de ses analystes, ainsi que les recommandations de son bureau légal et opina.
Certains voulaient la tête de tous les participants de cet incident récent, même ceux qui avaient seulement agit pour se défendre ou en défense d'autres personnes, avec les plus bruyants venant de ceux qui avaient perdus quelqu'un ce jour-là. Que plusieurs soient des personnes haut placés, et les membres de leur familles ou amis étaient ceux à la tête de l'attaque et avaient plus tard été lié à plusieurs affaires de meurtres et qui donc voulaient s'assurer que leur réputation ne soit pas la seule à se retrouver réduit en cendre ne le surprenait pas.
Cela avait le potentiel de devenir moche, vrai, mais il y avait ceux qui travaillaient déjà dans l'ombre pour empêcher les choses d'aller aussi loin. Et cela ne comprenait pas le fait qu'il y avait beaucoup de personnes qui s'alignaient pour défendre ceux qui se défendaient clairement, eux même ou d'autres personnes.
Même ce garçon étranger, Harry Potter, avait des personnes qui se mettaient en rang pour le protéger, et sachant à quel point certaines d'entre elles étaient influentes, c'était intéressant.
Ajoutant à cela qu'il était un associé, possible ami, de la fille du CEO de RECT, Asuna…
Oh oui, très intéressant, en effet, même si il trouvait un autre joueur piégé dans SAO encore plus intéressant à ses yeux : Kirito.
Peut-être était-ce parce que le garçon était Japonais. Peut-être était-ce parce qu'il voyait quelque chose chez ce garçon, même si il ne pouvait pas le définir. Ou peut-être était-ce parce qu'il s'était établit comme le joueur plus puissant, le meilleur, de SAO.
Il considérait le fait que deux garçons si intéressant travaillaient ensemble de très bon augure. Cela rendait la tâche de garder un œil sur eux sans avoir à rediriger quelqu'un d'une autre tâche plus facile.
11 Août 2023 – Bethesda, MD, Quartier Général de Aladdin
« Et comment c'est passé ton voyage au Japon, Luke ? » Eden Blake demanda alors que son mari entrait dans son bureau. Elle était une femme aux lignes sévères, avec un visage et des yeux aristocratiques, presque froids. Les robes grises qu'elle portait par dessus son tailleur et les cheveux noirs attachés en un chignon serré mettaient encore plus en avant l'image de 'Ice Queen' qu'elle portait comme un manteau lorsqu'elle travaillait.
Luke Kaz haussa les épaules. « Pas mal, » il dit. « Ami envoie ses salutations, et ne t'inquiètes pas. Elle sait que tes responsabilités t'ont empêché d'être là pour la naissance de Alice le mois dernier. »
Eden hocha la tête et lui fit signe de s'asseoir. « Donne-moi quelques minutes, s'il-te-plaît, » elle demanda. « Je dois terminer de lire ces rapports, ensuite je pourrais te donner toute mon attention. »
Luke s'assit juste et attendit, les habitudes d'Eden quand elle était au travail était quelque chose auquel il s'était habitué depuis le temps. Au travail, elle était d'un froid professionnel, ne laissant rien la distraire de ses responsabilités.
En dehors, elle laissait la 'ice queen' au bureau et se réchauffait considérablement. Ses traits aristocratiques durs s'adoucissaient, ses cheveux étaient détachés, et elle ne s'embêttait pas avec la distance professionnelle.
La dernière était la femme de qui il était tombé amoureux, et il était d'accord pour accepter que cela venait avec la première. Lui-même, il était un homme différent au travail.
Dans leur cadre de travail, porter un masque, avoir une personnalité différente pour celui-ci… était une nécessité. Ils avaient besoin de séparer le travail de leur vie privée, ou leur travail ravagerait leur vie, et les détruirait.
Voir leur plus jeune, Evie, aussi proche de la mort ne se produirait qu'une seule fois.
Eden finit de lire les rapports et les mis dans une chemise. Elle prit sa baguette et tapa plusieurs fois la pochette avant de le placer dans sa boîte d'envoi. Elle soupira alors, s'étira, et secoua sa tête.
« Mon dieu, je voudrais pouvoir prendre ma retraite, » elle dit. « Quand mon prédécesseur m'a donné son travail, le salopard ne m'a pas dit combien j'allais planter mon cul sur une chaise pour revoir le travail des autres, et le peu de supervision que j'allais actuellement devoir faire. »
Luke ricana. « Les périls d'être en charge, ma chère. » dit-il.
Eden renifla et puis regarda l'homme qu'elle avait marié dix ans auparavant. « Comment vont les choses au Japon ? » demanda-t-elle.
« Comme je l'ai dit, bien pour l'instant, » dit Luke. « Nos suspicions sur la participation des Waiwrights dans la présence de Mr Potter dans le jeu ce sont avérées justes, et tu devras avoir un mot avec le Vieil Homme Aloysius à ce sujet. En regardant avec du recul toute la chose, c'était du travail plutôt bâclé venant d'eux. »
Eden hocha la tête. « Et il a probablement déjà puni le responsable de cette opération, » elle dit. « Il a continué leur tradition de ne pas blesser d'enfants, et il voix d'un mauvais œil quiconque le fait, même involontairement. » elle soupira alors. « Si ce n'était pour le fait qu'ils étaient nécessaires là où ils sont pour garder une prétention d'ordre parmi les éléments criminelles, je pense qu'ils seraient déjà devenue entièrement légaux depuis le temps. »
Luke lâcha un rire fort. « Ce serait plus sûr dans leur profits, » il admit. « Celui en charge d'eux là-bas, Richard, il n'était pas surpris quand je suis allé là-bas, bien que peu enjoué d'apprendre que les Shiba allaient s'impliquer. »
Eden eu un sourire narquois. « Ils ont manqué de faire leur recherche sur l'histoire familiale de Mr Potter alors ? » elle demanda.
Luke gloussa. « Oh oui, sur ce point ils y ont manqué. » il dit avec allégresse. « Les Shibas sont en bon termes avec les Potters depuis que le grand-père du garçon les a aidé à mettre en place la barrière autour de Tokyo pour protéger la ville des menaces surnaturelles dans les années soixante. Si ils l'avaient su, ils n'auraient probablement pas accepté le job. »
Eden haussa les épaules, ne ressentant aucune sympathie. « Leur problème, pas le notre. » elle dit. « En tout cas, comment August s'en sort là-dedans ? »
« Il s'en sort bien, » dit Luke. « En fait, il continue la tradition familiale, même si c'est en travaillant en dessous de quelqu'un d'autre. » il renifla alors. « Et elle est intéressante, celle-là. »
« Oh ? » questionna Eden.
Luke sourit. « Mizore Yasaka, » il dit. « Plus jeune fille du Yokai de Kyoto, qui est sur le chemin de guerre quand il s'agit de Kayaba. Utilise le nom Argo dans le jeu. La fille s'occupe de son propre réseau d'information et cercle d'espionnage, et elle est celle sur qui nous parions pour découvrir qui est Mr Potter, si elle ne l'a pas déjà fait. »
1er Septembre 2023 – Suginami, Hôpital Général de Nakano
Sirius fixait la forme allongée sur le lit des yeux. Harry était piégé dans cette illusion depuis presque un an, et cette période d'inactivité se montrait sur son corps. Il avait lu les rapports, apprenant que le garçon était largement sous-alimenté, mais ne souffrait pas de malnutrition, et tout ce que cela impliquait. Et si il devait être honnête, Harry commençait à lui ressembler quand il était sorti d'Azkaban.
Commençait, mais pas encore là. Les docteurs l'avait informé que de tous les patients de SAO, le garçon était l'un de ceux en meilleurs condition. Ses muscles s'atrophiaient, mais avec les mesures qu'ils utilisaient pour le minimiser, et sa constitution de sorcier, la dégradation de son corps était considérablement plus lent que le patient moyen.
Une petite grâce, vraiment, et cela voulait seulement dire que si, non quand, Harry sortirait, son rétablissement n'en sera que plus rapide. Physiquement, en tout cas. Comment il sortira de ceci mentalement pourrait être une histoire différente.
Encore plus vu que après cette brève période où ses amis et lui s'était retiré pour obtenir le repos et la détente nécessaire, ils étaient retourné sur les lignes de front de SAO, combattant pour terminer le jeu.
Il avait une fois demandé à Albus pourquoi ils n'avaient pas utilisé la magie pour sortir Harry de là. Et il se rappelait toujours de cette conversation.
« Et de quelle manière proposes-tu qu'on le fasse, Sirius ? » Albus avait demandé. « Fair disparaître le casque ? Un simple sortilège ? Métamorphose ? Deux cents personnes sont mortes le premier jour car ces casques ont été retiré de force. Nous pourrions probablement le faire, mais est-il garanti que Harry ne sera pas blessé ou tué ? »
« Et sur qui testons-nous ? » il avait alors demandé. « Harry ? Un moldu au hasard qui serait tué si cela ne marche pas ? Et si cela ne marche pas, combien de fois devrions-nous répéter la chose pour que cela fonctionne ? Combien de personnes devraient mourir pour un seul garçon ? Nous n'avons aucun droit de prendre cette décision, Sirius. »
« Et si nous essayions de faire quelque chose de la sorte, combien de temps arriverions-nous à garder cela secret ? Combien de morts cela prendrait-il pour que cela offense les Japonais ? Une centaine ? Un millier ? Une cinquantaine ? Des guerres ont commencé pour moins que ça. »
Il admettait que le vieil homme marquait un point, plusieurs points. Mais quand il regardait le garçon sur le lit, sachant que l'esprit était piégé dans un monde illusoire qui était bien trop réel, il voudrait pouvoir faire quelque chose.
« C'est aussi dur pour nous, Mr Black, » il entendit l'observateur de Harry dire. Il se tourna pour la regarder, Selene Carlisle. L'une de ceux qui avait amené Harry ici au Japon, et l'un des responsable de son statut de prisonnier dans ce jeu.
Elle regarda Harry et sourit tristement. « Nous n'avions aucun moyen de prévoir que quelque chose comme ça arriverait, » elle dit. « Et ce n'était pas comme si nous allions refuser de le rendre une fois qu'il était retrouvé. Notre travail, était de l'amener ici, et de le distraire avec SAO. Au lieu de cela, nous l'avons entré dans… ça. »
Sirius chois de ne rien dire, il avait reçu plusieurs excuse formelles des membres de l'équipes Wainwrights, ainsi qu'une divulgation relativement complète du chef d'équipe.
Relativement complète. Ils ne révéleraient pas qui les avaient employé pour le job, mais il ne s'attendait pas à ce qu'ils le fassent. Ils protégeaient la confidentialité de leur clients, et ils ne violeront pas cette confidentialité. Il pouvait le respecter, peu importe à quel point cela l'irritait. Si il savait qui les avaient engagé, il aurait alors une cible.
Pas qu'il n'avait pas déjà ses soupçons.
Il commença alors à regarder l'écran de l'ordinateur. « C'est juste, qu'il devrait s'inquiéter à propos des filles, les devoirs, le Quidditch, et s'amuser à apprendre de la magie. » il dit. « Il devrait être à bord du Poudlard Expresse, reconnecter avec ses amis, découvrir ce qui se passera pendant l'année scolaire, et jouer des tours. Il ne devrait pas avoir à combattre pour sa survie, planifier des assauts, et se demander si lui et ses amis survivront un autre jour. »
Selene hocha la tête, mais ne dit rien. Que pouvait-elle dire ?
11 Septembre 2023 – Poudlard, Bureau du Directeur
Albus regardait la carte, voyant où tout le monde se trouvaient. Il devait reconnaître que James, Remus, et Sirius avaient été brillant, faire une carte de toute l'école comme ça ainsi que les sortilèges qu'ils avaient appliqués dessus pour créer quelque chose comme ça était une performance brillante.
Et il devra remercier les jumeaux Weasley pour lui prêter la carte. Leur découverte de Pettigrew avait montré que la carte était utile pour plus que jouer des tours, et avec le Tournoi des Trois Sorciers approchant, il avait demandé si il pouvait l'emprunter à l'occasion. Juste pour s'assurer que personne de non autorisé essayait de s'introduire dans le château.
Ou, comme il le voyait, avait déjà réussi.
Albus soupira alors qu'il regardait le nom qui était dans la salle de classe de Défense Contre les Frces du Mal, avec une classe entière, Bartemius Croupton. Le fait que le nom Alastor Moody était dans ses appartements, mais n'avait pas bougé depuis plusieurs heures, indiquait ce qui était arrivé.
Il avait pensé qu'Alastor démontrait simplement sa paranoïa habituelle quand il avait expliqué pourquoi il ne voulait pas savoir tous les détails de la sécurité que Albus mettait en place. Tout comme il n'allait pas dire à Albus tout ce qu'il allait mettre en place.
« Avec quelque chose comme ça, quelqu'un pourrait avoir l'idée d'utiliser du Polynectar pour prendre la place de l'un de nous, » Alastor avait dit de sa voix grave habituelle qui ressemblait à un grognement. « Avec ma chance, ce sera moi qui sera capturé et gardé vivant juste assez longtemps pour qu'ils mettent en place leur plan. »
« Il ne feront sûrement pas ça. » Albus contra. « Ils devront obtenir les habitudes de celui qu'ils remplacent à un point où les différences passeront inaperçues, et devront les maintenir pendant un certain temps. Il y a très peu de personnes qui peuvent faire une telle chose. »
« Quand même, toujours mieux de prévenir que de guérir. » dit Alastor. « Il vaut également mieux me faire oublier cette conversation également. Et si quelque chose arrive, je te dirais simplement, 'je te l'avais bien dit'. Après tout… VIGILANCE CONSTANTE ! »
Albus tapa la carte avec sa baguette. « Méfait Accompli », il dit, la retournant dans la pièce de parchemin d'apparence blanche qu'elle mimait. Il devra revoir ses plan pour la sécurité du Gobelet et faire quelques changements à ses propres contributions prévues.
Peut-être qu'altérer la Ligne d'Âge pour reconnaître quand quelqu'un était trop vieux fonctionnerait. Le faire prendre un échantillon de la signature magique et la comparer avec le nom et quelques signatures qu'il connaissait… il poussa mentalement cette ligne de pensée hors de sa tête.
Il pouvait juste garder son plan simple et simplement garder un œil sur le Gobelet pendant le bref temps où les noms pourront être entrés dedans. Une barrière pour le prévenir, un coupe de mesure de sécurité ajouté pour garder la cible en place, et cela fonctionnera très bien.
Oui, il pensa. Mieux vaut garder les choses simples. Une nuit ou deux de sommeil manqué est un petit sacrifice à faire dans ce cas.
4 Octobre 2023 – Suginami, Hôpital Général de Nakano
Tatsuhiko regardait l'écran de l'ordinateur qui montrait ce que sa fille faisait et regardait tandis que les compagnons de sa fille lui souhaitait un joyeux anniversaire alors qu'ils s'asseyait pour le repas. Lui et sa femme avaient pris le temps ce soir pour venir et passer du temps avec Keiko, pour lui souhaiter un bon anniversaire eux-mêmes, malgré le fait que cela serait un geste dénué de sens.
Dénué de sens, du moins pour Keiko, mais pas pour eux. Et alors qu'il se tenait au côté de sa femme pendant qu'elle regardait la fête se dérouler dans SAO, il lança un regard bref vers ses amis et compagnons.
Kirito et Asuna avaient apparemment prient le rôle de grand-frères. Kirito, le grand frère un peu distant, mais aimant Asuna comme la grande sœur occasionnellement stricte, mais également aimante. Il approuvait du comment elle s'entendait avec ces deux-là.
Et puis il y avait Hadrian, un garçon à qui il voulait serrer la main, accueillir de force dans la famille avec la tradition Saotome, et étrangler en égale mesure.
Il avait été clair très tôt qu'il avait un faible pour Keiko. Ses actions étaient peut-être celle d'un parfait gentleman, mais il passait bien trop de temps autour de Keiko pour le confort de Tetsuhiko. Spécialement car quiconque avec des yeux pouvait dire que les deux se rapprochaient et devenaient de plus en plus confortable avec l'autre. Bien trop proche et confortable pour sa tranquillité d'esprit.
Et cela ne l'avait que simplement irrité à propos du garçon. Keiko est sa fille, et c'est la prérogative du père d'être surprotecteur. C'était ce qui était arrivé en Juin qui l'avait donné envie d'étrangler le gamin.
Vrai, le garçon était férocement protecteur de Keiko, et ce qui s'était produit l'avait prouvé. Vrai, le garçon l'avait aidé à traverser les tourbillons d'émotions qu'elle avait traversé à cause de ce qui était arrivé ce jour-là. Et le garçon avait beaucoup de chose en lui qu'il approuvait.
Mais il était le père de Keiko, et Hadrian était un garçon qui était autour de sa fille.
Tu ferais mieux de survivre, mon garçon, et t'assurer que Keiko survive aussi, il pensa. Car nous devons avoir une discussion tout les deux.
30 Octobre 2023 – Poudlard, Grande Salle
Barty marchait silencieusement vers le Gobelet, ou du moins aussi silencieusement que la jambe prosthétique de Maugrey lui permettrait. Le faux œil tournait dans son axe, scannant tout autour et ne trouva rien, alors qu'il continuait son chemin.
Le plan qu'il avait mit au point avec le Seigneur des Ténèbres avait été brillant, spécialement comme il avait apprit pour le tournoi grâce à son père maintenant couvert de honte. Il avait aimer l'interroger pour toutes les informations importantes avant que la force de l'interrogatoire tue l'homme. Il était regrettable que cela n'ai pas duré plus longtemps, mais il avait appris ce qu'il voulait savoir.
Il était malencontreux que le gamin Potter était bloqué au Japon. Piégé dans une sorte d'illusion que les moldus avaient réussis à créer, et avaient l'intention de l'utiliser comme un jeu. Un jeu pour quoi ? Il n'en savait rien et n'en n'avait rien à faire, mais cela ajoutait une complication au plan du Seigneur des Ténèbres.
Peu importe, juste parce que le garçon était hors d'atteinte ne voulait pas dire qu'ils ne seraient pas capable d'utiliser l'opportunité que cela donnait. Après tout, si ils pouvaient entrer le garçon dans le tournoi comme compétiteur, il serait forcer de participer. Et avec lui incapable de le faire, cela dépouillera le garçon de sa magie.
Il en avait parler, et le Seigneur des Ténèbres avait trouvé la possibilité intéressante. Pourquoi changer le plan, quand ils pouvaient le continuer et simplement viser un résultat différent ? Et même si cela ne fonctionnait pas, ce n'était pas comme si ils perdaient quelque chose en essayant.
Balayant une dernière fois la Grande Salle de son faux œil, il sortit un bout de parchemin. Cela avait été difficile de mettre la main sur une copie de la signature écrite du garçon, et totalement impossible de dupliquer sa signature magique, mais le Gobelet était d'un temps où les choses étaient moins… spécifiques dans leurs exigences. Il avait seulement besoin d'un nom, rien de plus. Une signature magique, ou même une goutte de sang aurait été mieux, mais un nom sera suffisant.
Et, alors qu'il se préparait à placer le morceau dans les flammes, ses mouvements furent complètement stoppés. Il cligna avec son bon œil, et réalisa alors ce que cela voulait dire. Dumbledore avait mis en place des mesures que Maugrey ne connaissait pas.
Astucieux, vieil homme, il pensa. Très astucieux. Dommage que la chose que tu pourrais vouloir savoir tel que le lieu où se trouve le Seigneur des Ténèbres, est quelque chose que je ne peux pas dire. Il commença alors à rire. Un rire sec, rugueux qui portait un soupçon de folie.
Plus tard – Poudlard, Bureau du Directeur
« Cornelius, à quoi pensais-tu ?! » Rugit Albus. « Ramener un Détraqueur comme ça ? Et pour quoi ? Pour être vu comme faisant quelque chose ? Nous l'avions capturé, sa baguette prise, et Alastor s'était assuré, très minutieusement, qu'il n'était pas en état de s'échapper. »
« Albus- »
« Silence, » dit Albus, un soupçon de magie présente dans sa voix. « Ou j'appellerai juste ton ancien camarade de classe. William Gravel, mm ? Le Serpentard qui a aidé à 'décourager' ton petit plan de vente de test ? Le Garde du Corps et Mage de Combat SAS personnel de sa Majesté ? »
Cornelius, fit bien de devenir silencieux.
« Ce serait facile, » dit Albus, sa voix douce, mais sans sa chaleur ou sa fantaisie normale. « Sa Majesté a offert de nous prêter ses services. Si Alastor n'avait pas dit 'non'… En fait, je pense que peut-être nous ferions mieux de l'appeler ici. Alastor ? »
Maugrey prit un moment pour arrêter de regarder l'endroit où il se trouvait entre un Croupton pétrifié et un Détraqueur maintenant heureusement intimidé. Alastor Maugrey était l'un des rares Sorciers qui avait ce mix de méchanceté et de bonté qui était capable d'en effrayer un. « Oui, Albus ? »
« Serais-tu insulté si je décidait d'accepter l'offre de sa Majesté ? »
« Tant que je rencontre le jeune Sergent Major une nouvelle fois ? » Maugrey demanda. « Pour voir si il est toujours capable ? »
« Je m'assurerais d'avoir Poppy proche si sa Majesté approuve, » Albus promis.
« Alors non, je ne me sentirai pas du tout insulté. »
« Albus, » Cornelius commença. « Sûrement nous pouvons- »
« Et je crois bien qu'il est temps d'avoir quelques mots avec le Premier Ministre à ton sujet et du comment tu t'es occupé des récents événements, » Albus dit, ignorant l'homme. « J'ai dû minimiser les dégâts de tous ces problèmes quand j'étais à Barn pour une rencontre du ICW plus tôt dans le mois, Cornelius. Et veux-tu savoir ce que beaucoup de ces représentants ont dit ? Peu importe, je vais t'informer de ce qu'ils ont dit. »
Si il y avait de la glace dans la voix d'Albus auparavant, maintenant elle était positivement arctique.
« Ils m'ont dit, dans des termes très clairs, que ta… bévue est le terme le plus poli que l'un d'eux ai pu utiliser, ne me demande pas de traduire de que le représentant Russe a dit… ta bévue a fait de l'Angleterre a risée de tous. Les Japonais et Américains ont fait plus dans cette situation que nous, et dois-je te rappeler de la longue mémoire de la fin de la Deuxième Guerre Mondiale qui fait que les deux Gouvernements Magiques sont suspicieux l'un envers l'autre encore aujourd'hui ? Et ils étaient d'accord à ce sujet, d'accord, Cornelius. Et l'Angleterre, où je suis né et ai grandi, et travaillé au côté de beaucoup d'autres qui ont tenu ton poste avec plus de grâce, ne fait rien pendant que tu joues à tes jeux. »
« Mais Lucius... »
« J'ai parlé à Malfoy à ce sujet, Cornelius, n'essaye même pas de nous mettre l'un contre l'autre. » Albus interrompit. « Il m'a dit t'avoir conseillé d'au moins faire un geste symbolique à ce sujet. I a aussi offert de prendre du Véritasérum pour vérifier qu'il disait la vérité. Tu connais l'avis de sa famille sur ça, et il a offert. »
Fudge réussi à bredouiller quelque chose d'incompréhensible, mais resta autrement silencieux.
Albus fixa l'homme du regard un petit peu plus longtemps avant de ne plus supporter sa présence. « Je pense, Cornelius, que tu devrais retourner à ton bureau et penser attentivement à comment tu continueras à présent, » il dit. « Et prends ce Détraqueur avec toi. »
Voyant l'opportunité de s'échapper, Cornelius sortit du bureau avec rapidité, le Détraqueur à sa suite et donnant à Alastor Maugrey ce qui pouvait ressembler à un regard inquiet.
« Je dis qu'on envoie le Magenmagot et les Directeurs de Départements après sa tête, » Alastor marmonna.
« Laisse-le resserrer le nœud autour de son cou encore un peu, Alastor, » conseilla Albus.
Son vieil ami renifla. « Et je suis celui qui est effrayant. »
Les deux partagèrent un rire avant qu'Albus ne se dirige vers sa cheminée. Il était temps d'appeler Amélia, pour qu'elle puisse prendre Barty Croupton Junior en charge.
24 Novembre 2023 – Préfecture Mie, Lieu Inconnu
Sachiko Yasaka lançait un regard noir sur le corps partiellement décomposé en face d'elle, yeux dorées brûlants, la fourrure sur ses neuf queues se hérissant sous sa colère, et la bordure de son kimono bougeait comme si pris dans un vent qui n'était pas là. Ses gardes du corps, des humains envoyés pour l'accompagner par le clan Shiba, lui envoyaient des regards inquiets, mais restaient sinon hors de son chemin. Ils savaient qu'il valait mieux rester loin d'un Youkai en colère quand ils n'y étaient pas obligé.
Il était mort. Akihiko Kayaba était mort, et selon toutes les indications, égorgé. Elle rageait intérieurement, tandis que ses yeux dorés observait le contenu de la cabine, à peine une cabane, où ils l'avaient trouvé.
Quelqu'un était arrivé avant elle. Quelqu'un l'avait empêché de déchaîné sa juste colère sur l'homme responsable de la situation de sa sœur. Quelqu'un lui avait refusé sa, sa, vengeance.
« Si vous vous attendiez à me rencontrer en personne, » Une voix dit. « Je m'excuse de ne pas pouvoir comme je suis un peu… indisposé en ce moment. »
Elle lança son regard meurtrier en direction de où la voix venait et le vit la regarder depuis un écran d'ordinateur. Elle changea alors son regard vers le corps, puis à nouveau vers l'écran.
« Je demanderai comment, » elle dit prudemment et froidement, sa colère juste sous la surface. « Mais peu importe, n'est-ce pas ? Akihiko Kayaba. Tu n'es plus un homme, mais un… 'fantôme dans la machine' comme le dirait les philosophes. »
Le visage sur l'écran acquiesça. « En effet,' Akihiko Kayaba dit. « Le corps est mort, mais l'esprit continue de vivre. Un essai, tel quel, pour voir si c'était possible. Les signaux électriques qui utilisaient auparavant le cerveau comme support, sont maintenant soutenu pas des circuits supraconductrices. Si cela échouait, l'esprit serait simplement mort avec le corps et nous n'aurions pas cette conversation. Cela permet d'avoir une… perspective pour le moins intéressante. Libre des demandes et contraintes de la chaire, mais limité et contraint d'une manière différente. » Il lui lança alors un regard. « Et je dois dire, Milady, de tout ceux à qui je m'attendais voir me trouver dans cette état, un Kitsune n'en faisait pas partie. Et certainement pas une aussi auguste que vous. »
« Et à quoi tu t'attendais ? » Elle grogna. « La police ? Un ancien amant ? Le Shinigami ? »
Kayaba secoua sa tête. « L'ancien amant est celle qui m'a tué, ou du moins le corps. » il dit simplement. « Je venais juste de me charger dans le système quelques minutes avant qu'elle ne traque ma position. J'ai regardé alors qu'elle fixait du regard sous le choc ce que j'avais apparemment fais, me croyant aussi proche de la mort que je pouvais être. Et j'ai regardé, alors qu'elle finissait de tuer le corps, un couteau, un simple égorgement. » il haussa les épaules. « Peut-être elle pensait peut-être que c'était une merci, de simplement terminer ce que j'avais apparemment fais à moi-même. Peut-être pas, et elle s'assurait simplement que j'étais mort. Peu importe. »
Sachiko le regardait fixement, horrifié par la pure apathie qu'il démontrait. Elle entendit un juron marmonné venant d'une de ses escorte, le jeune homme du Tani, montrant qu'ils avaient des sentiments similaires. Mais pour elle, c'était de bien des façon pire.
Elle était un Youkai, une créature de passion, de désire, d'émotion libre. Désirs et rêves humains avaient créent son espèce, leur simple croyance imprégnant la terre et donnant naissance à son espèce la réflexion sombre des gens du Japon.
Les humains n'aimaient pas les vérités déplaisantes que les Youkai représentaient, et les deux races avaient été à la gorge de l'autre depuis le début. Les choses étaient peut-être plus paisibles entre les deux races maintenant, mais c'était au mieux, une paix fragile, une maintenue par la Famille Impériale. Gardé par le Clan Shiba et les Chevaliers du Monde Souterrain d'un côté, et les différentes courts des Gardiens Démons de l'autre.
Tel que cela avait toujours été, et comme cela devra toujours être. Laisser les Occidentaux, les serviteurs d'Abraham et Mohammed avoir leur conflit dualiste entre le Bien et le Mal avec leurs capitaux dogmatiques. Ceux dans l'Est, chercheraient plutôt une balance, une coexistence.
La famille qui représentait le cœur spirituel du Japon était la seule chose qui empêchait les deux races de recommencer leur conflit constant. Un conflit qu'aucun côté ne gagnerait, n'en serait capable.
Car comme les Youkai étaient la réflexion sombre de l'humanité, ils avaient besoins de l'existence des humains, et l'humanité avait besoin d'eux pour vraiment sentir. Leurs passions, leurs motivations, leur capacité de changer. Les sentiments et croyances les avaient créé, et ce serait l'absence des deux qui serait leur fin. Aucun n'était supérieur à l'autre. Plutôt, ils étaient au même niveau. Codépendants.
Un des Sept Sages lui avait une fois montré un monde possible, il y à bien longtemps, qui lui avait montré pourquoi les Youkai et les humains étaient aussi dépendant l'un de l'autre. Le monde qu'elle avait vu, une possibilité si lointaine qu'elle pouvait aussi bien ne pas être considéré possible. Ce monde sans Youkai et seulement des humains étaient… pathétiques. Peu d'émotion… pas de passion… seulement… existant et en se leurrant et appeler cela vivre. Un monde qui ne méritait même pas de pitié ou de mépris.
Et cette possibilité, elle l'avait montré à la seule personne qui aurait pu faire de cette possibilité une réalité. La pure horreur de la fille devant ce qu'elle venait de voir la vit rejeter net la pssibilité de l'existence de ce monde avait tout dit. Elle avait tout rejeter, et la possibilité de ce monde avait été terminé là et maintenant.
Donc, de voir cette… cette abomination sous forme humaine être si déconnecté de tout cela, cela l'horrifiait. C'était sa complète antithèse. Ce n'était pas naturel. Et pas parce qu'il avait mit son esprit dans une machine, mais parce qu'il n'y avait pas d'âme en résultat, pas de passion qu'elle pouvait sentir. Juste une logique froide apparente.
C'était un homme qui avait évité toute passion et avait pour cela tué son humanité.
L'une de ses escortes toussa et elle tourna son attention vers la jeune femme, Kotoha Hanaori, si elle se souvenait bien. « Oui, Miss Hanaori ? » elle demanda, utilisant la distraction comme opportunité pour regagner son aplomb.
« Lady Yasaka, » la femme, Kotoha, dit. « Cela soulève des questions pour lequel nous avons besoin de réponses. » elle regarda l'avatar digital de Kayaba avec du dégoût. « Tel que le pourquoi. »
« C'est plutôt simple, » dit l'avatar en réponse à la question sous-entendue. « Quand ils termineront finalement Sword Art Online, et je crois entièrement qu'ils le feront, je mourrais avec lui. Et quelle manière plus approprié y a-t-il que de mourir avec lui ? »
Sachiko hocha la tête, comprenant ce qu'il disait. « Et tout cela ? » elle demanda, montrant ce qui était dans la cabine.
« Faites ce que vous voulez avec. » dit Kayaba. « Il n'y a rien qui vous aiderait ici. J'ai dit comment ceux piégés peuvent sortir, et c'est tout, et cela restera ainsi, la seule façon. »
Elle hocha la tête et signala à ses deux gardes de l'attendre dehors. Les deux partagèrent un regard et sortirent rapidement.
Elle rassembla alors son pouvoir, des flammes bleues apparaissant dans ses mains et flottant autour d'elle. « Ma fille, Mizore, est piégé dans ton petit jeu. » Sachiko Yasaka, Youkai de Kyoto et Kyuubi no Kitsune dit froidement. « Et bien que je ne peux pas te toucher à cause de ce que tu t'es fait, j'obtiendrais au moins quelque chose. »
L'avatar opina et coupa la connexion.
Et avec un cri, elle relâcha ses flammes, immolant tout autour d'elle. Le corps de Kayaba, l'équipement, la structure elle-même, tout devint cendres alors qu'elle déchaîna sa fureur. Elle s'excuserait auprès de Lady Shiba et l'Empereur plus tard, mais la catharsis d'être capable de faire quelque chose, même si vide de sens… cela la faisait se sentir mieux.
Elle essayait de ne pas satisfaire ce désir. Comme avec les humains, faire ceci pouvait se montrer addictif, menant à créer plus de circonstances pour se libérer. Mais maintenant… maintenant elle faisait une rare exception à sa règle personnelle, et assouvit son envie.
1er Janvier 2024 – Suginami, Hôpital général de Nakano
C'était le cri soudain de Harry de douleur, un cri qui venait de deux endroits à la fois, cela fit réalisé à Sirius que quelque chose d'horrible venait juste de se produire. Il regarda où Harry se trouvait étendu, choqué au plus profond de lui-même. Il pouvait entendre Selene et Kotoha, qui étaient les gardes du corps de Harry en journée, glapir.
Pas une fois Harry avait bougé ou réagit à quoique ce soit dans le monde extérieur, pas aussi loin qu'il le savait. Le Nerve Gear le coupait complètement, pour ainsi dire, donc pour que quelque chose comme ça se produise…
Son choc se transforma en horreur tandis qu'il voyait quelque chose comme de la fumée suinter de dessous le casque, mais de la fumée n'avait pas une telle… malveillance en elle. Il la vit couler, et puis entrer dans le casque. Un regard rapide vers l'écran montra Harry tenir sa cicatrice, de la fumée suintant à travers ses doigts et bougeant vers…
Oh, putain de bordel de merde, il pensa alors qu'il voyait ce qui se passait, et ce que Harry commençait à remarquer.
« Quoi… ? » il entendit Ktoha dire à côté de lui.
« Qu'est-ce que cette chose ? », Selene demanda.
« Cela, ladies, » dit Sirius, une note d'horreur dans sa voix. « Est Voldemort. »
« Je… je vais devoir appeler le boss pour ça. » dit Selene. « Et le clan Shiba. » Elle ajouta devant le regard de Kotoha. « Tout est enregistré, donc… quoique ce soit qui est en train de se produire, nous verrons comment ça se termine. »
Propriété des Shiba
« Kaoru ! Takeru ! » Appela Ami.
La 19ème tête de la famille Shiba entra dans la pièce, « Gus est parti rejoindre Mr Potter, alors ? » Takeru demanda. Il sourit narquoisement devant le regard d'Ami et de Lita. « Les gardes de Harry nous ont contacté. Sa cicatrice… le Nerve Gear a absorbé quelque chose sortant d'elle. »
« Quoi ? » Lita Alexander demanda de là où elle était assise devant l'ordinateur qui les laissait voir dans SAO. « Donc c'est- et voilà Gus qui y va, parti aider quelqu'un faire face à un mage noir. »
Ami sourit malgré elle, et baissa les yeux vers le bébé dans ses bras. « Ton père. Nous aurons quelques mots avec lui quand il retournera, n'est-ce pas Alice ? » elle regarda Takeru. « Et Kaoru ? »
« Elle se dirige déjà là-bas, et sera probablement à l'Hôpital de Nakano dans quelques minutes avec Lady Serene, » dit-il. « Et oui, je sais qu'elle n'aime pas quand je l'appelle comme ça. »
Lita renifla pendant que Ami souriait juste. Takeru adressant Serena comme « Lady » ou « Princesse », ceci à cause de son adoption par Kaguya, était sa manière de la taquiner.
Poudlard
« Les elfes m'ont informé qu'il était sûr maintenant, » La Dame Grise dit, un sourire triste sur son visage tandis que l'elfe à côté de lui tenait quelque chose qu'il avait seulement connu à travers les légendes. « Ce garçon, Jedusor, a contaminé l'héritage de ma mère… mais il est sain maintenant. »
Albus cligna des yeux, alors que l'une de ses nombreuses hypothèses en compétition semblait être prouvé, puis fronça les sourcils. « Vous dites qu'il est purifié maintenant ? » il demanda.
« De tout sauf les enchantements de ma mère. Il est propre de la… présence qu'il cachait à l'intérieur. »
Albus se tourna vers sa cheminée, attrapant de manière absente tout le récipient de poudre de Cheminette tandis qu'il le faisait.
« Est-ce que cela aidera le Jeune Maître Harry ? » l'elfe portant la relique demanda.
« Je ne suis pas certain, Milly, » Albus dit au plus vieux des elfes survivants de la famille Potter, qui était venu à Poudlard tel que James avait ordonné dans le cas de sa mort. « Tu resteras ici pour pouvoir dire à Dobby et aux autres, j'espère ? »
« Milly vous remercie, Monsieur le Directeur, Monsieur, » l'elfe réussi à dire. « Ceci est… pas quelque chose que nous attendions. Plus étrange que la « Boîte Telly » de Maîtresse Lily. »
« Personne ne s'y attendais, » Albus murmura. Il devra alerter quelqu'un. Il n'avait aucun doute que les protecteurs remarquaient déjà quelque chose. Il lança un regard vers la relique, le Diadème de Serdaigle, puis retourna à son bureau.
S'asseyant, il regarda la Dame Grise. « My Lady, pourriez-vous aller chercher Filius ? » il demanda. « Je crois bien qu'il serait ravi de savoir qu'une relique si précieuse a été 'trouvé' et récupéré. »
Manoir des Malfoy
Lucius fixa son bras, ou pour être plus précis, l'endroit où une certaine marque qui s'y était jadis trouvé. Cela avait commencé avec une douleur aveuglante, comme du verre fondu qui était versé sur l'endroit où se trouver la Marque des Ténèbres, et puis… de l'egourdissement. Un manque de sensation, l'absence d'une vieille et constante douleur auquel il s'était résigné à souffrir pour le reste de sa vie.
Il avait crié de douleur, il ne le nierait pas, et selon le regard concerné de Narcissa, il avait été… plutôt fort. Mais quand il releva la manche de sa robe, il entendit son souffle choqué puis regarda lui-même. Il s'attendait à le voir calciné, flétri, ou tout autre vue déplaisante possible… pas de la peau clair et sans trace où la Marque s'était une fois trouvé.
Et tandis que la réalité de ce que cela voulait dire traversait son esprit, il commença à rire.
Il était libre. Il était finalement, vraiment, et complètement libéré de son emprise !
« Lucius ? » sa femme demanda.
« C'est fini, Narcissa, » dit-il et regarda son bras non marqué. « Je suis finalement libéré de lui. »
Il soupira alors. Ce n'était pas de déception, mais il y avait un soupçon de regret.
Avec sa chance, le garçon que son fils imaginait être son rival était le responsable. Si c'était le cas, et que le garçon réussissait à sortir de Sword Art Online, il devra se souvenir de faire quelque chose de gentil pour lui.
Azkaban
« Et tu dis qu'ils ont tous les deux commencé à hurler à peu près en même temps ? » Le Gardien demanda, fronçant les sourcils vers ses deux prisonniers les plus fous.
« Oui monsieur, » le garde qui faisait son rapport dit, en secouant sa tête alors que « Bloody » Bella frappa le mur qui se trouvait entre Barty Croupton Jr. et elle. « Crotch », lui, criait des insultes en réponse. « Et puis ils ont commencé à argumenter sur qui avait échoué le plus à la cause de leur Seigneur. »
Le Gardien considéra cela un moment, puis haussa les épaules. « Franchement, Jenkins, après ce que Lestrange a fait au Londubas et ce que Crotch a essayé de faire au garçon Potter... »
Jenkins hocha la tête.
« Laisse-les crier. »
Poudlard, Grande Salle
Hermione observa la femme qui entra dans la Grande Salle, dont l'entrée avait fait lever la tête à la majorité des étudiants de leurs petit-déjeuner. La femme avait des traits orientaux, des cheveux bruns sombres, et portant une sorte de robe qu'elle ne pouvait pas nommer. Et selon le clair but dans ses pas, et le petit colis, elle avait une idée du pourquoi la femme était arrivée. Selon le juron marmonné par Ron, il en était venu à la même conclusion.
Dans quoi Harry s'était-il fourré cette fois ?
Elle suivit la marche régulière de la femme qui se dirigeait vers la Grande Table avec ses yeux et attendit de voir quelle révélations viendrait. Le fait que le Directeur s'était levé et avait contourné la table pour la retrouver devant voulait dire que, peu importe le sujet, c'était important.
« Lady Shiba, » Albus dit, s'inclinant devant elle. « À quoi devons-nous cet honneur ? »
Kaoru Shiba retourna la révérence. « Mes excuses pour interrompre votre repas, » dit-elle. « Mais il est de notre avis qu'il valait mieux pour nous de délivrer cette nouvelle en personne. »
Les yeux d'Albus se posèrent sur le paquet dans ses mains. « Harry ? » demanda-t-il.
Kaoru hocha la tête. « Il va bien, » dit-elle. « Mieux que bien, si je puis dire. » elle eut alors un petit sourire. « Mais, je pense qu'il vaudrait mieux pour vous de voir vous-même ce qui s'est passé. Les nouvelles que cela va vous transmettre est… je le crois bonnes. »
« … donc c'est comme ça qu'on le ressent, » Albus murmura, et cela lui valut un rire musical. Sa réputation dans la scène internationale pour être sympathiquement mystérieux était bien gagné. Et maintenant, une femme d'un peu plus du quart de son âge le plaçait en receveur de cette attitude.
Il lui lança un regard amusé et hocha la tête avant de tourner son attention vers le reste de la Grande Salle.
« Puis-je avoir votre attention ? » il demanda. « Je suis honoré d'accueillir à Poudlard, Lady Kaoru Shiba, Dix-huitième Chef du Clan Shiba du Japon, et l'un des conseillers principaux sur le sujet magique de l'Empereur du Japon. » Il tourna alors son attention vers la table des Gryffondors.
« Miss Granger, » dit-il. « Je suis certain que vous avez déjà établi le but de sa visite. Pouvez-vous vous et quelques étudiants aller dans la Salle de Visionnage et ramener le Visionneur ? »
Hermione hocha la tête et se leva. « Justin, Daphné, Anthony, voulez-vous bien m'accompagner ? » elle demanda, nommant un membre de chaque différentes maisons pour la plus grande joie d'Albus. Devant leurs signes de tête, elle se tourna vers lui et dessina une révérence passable si ce n'est maladroit vers Kaoru avant de tous partir.
« Vous avez déjà des soupçons alors ? » Kaoru demanda.
Albus hocha la tête. « En effet, » dit-il. « Devrais-je conseiller aux étudiants plus jeunes de quitter la salle ? »
« Seulement si vous en ressentez le besoin. » dit-elle. « Et pendant que nous attendons, peut-être devrais-je vous dire comment les observateurs au Japon ont réagit. Les réactions de la famille de Miss Ayano étaient particulièrement amusantes. »
« Oh ? »
Kaoru sourit. « Je les ai entendu discuter l'aspect pratique de préparer le mariage pour elle et Mr Potter, pour qu'il arrive le moment où ils en sortent, » elle dit avec un certain amusement. « Et ce si ils ne trouvent pas un moyen de les marier pendant qu'ils sont toujours dans SAO. Je me rappelle distinctement les entendre dire à Mr Black, sur le ton de la plaisanterie bien sûr, que c'était basiquement une tradition familiale. »
« Et comment le prend Sirius ? » Albus demanda.
Kaoru sourit. « Il les a joint dans la planification, » elle répliqua.
##
Cela avait pris à Hermione et ses associés trente minutes pour tout réunir et le ramener dans la Grande Salle. Quand ils arrivèrent, elle remarqua que les premier, seconde et la plupart des troisième années étaient déjà partis, probablement à la demande du Directeur.
Le reste des étudiants était toujours présents, et clairement curieux. Elle pouvait aussi dire que les étudiants visiteurs de Durmstrang et Beauxbatons se demandaient ce qui se passaient. La Directrice Maxime parlait calmement avec Hagrid, recevant probablement les informations importante de sa bouche. Le Directeur Karkaroff paraissait passablement… plein d'espoir pour quelque chose. Ainsi que l'était le Professeur Rogue.
« Ah, Miss Granger, » dit le Directeur. « j'espère que vous n'êtes pas troublé par la présence d'une audience. »
Hermione secoua sa tête. « Cela ne sera pas un problème, monsieur. »
Elle dirigea Justin et Anthony pour commencer à installer le Visionneur, se concentrant sur la tâche entre ses mains. Bien que la présence de monde était inattendue, elle pouvait faire avec. Après tout, ce n'était pas la première fois que les mésaventures de Harry finissaient avec une audience plus large qu'à l'accoutumé.
Par chance, cela ne terminerait pas comme en Juin dernier.
Une fois l'installation terminé, et que Justin eu indiqué que tout fonctionnaient correctement. Elle se tourna vers Lady Shiba, observant la femme qui semblait déjà l'attendre et avait déjà ouvert le paquet. Mettant la main dedans, la femme en sortit un disque et le lui tendit.
« Merci Lady Shiba, » elle dit, s'inclinant maladroitement. La femme retourna le geste, sourit et hocha la tête alors qu'elle faisait un pas en arrière. Hermione marcha vers le Visionneur, nota mentalement de venir avec un vrai nom pour l'appareil, inséra le disque, et recula. Regardant la Grande Salle, elle inspira profondément.
« Nous sommes ici pour regarder les événements que Lady Shiba nous a amené lié aux activités de Harry Potter dans Sword Art Online en ce jour, le 1er Janvier, deux mille vingt-quatre. » Elle dit formellement, adoptant le rôle qui était devenu une habitude en ce qui concernait ces événements. « Je vous demanderais de garder toute question pour vous jusqu'à la fin. Merci. » Elle sortit alors sa baguette et toucha la rune pour commencer l'enregistrement.
##
L'information se répandit rapidement dans Poudlard, et presque aussi rapidement dans le reste de l'Angleterre Magique.
Bien que les dires variaient, ils étaient tous d'accord sur les basiques : Harry Potter, le Survivant, avait tué Voldemort pratiquement immédiatement après son retour. Comment il était revenu ? Qui voulait le savoir ? Harry Potter avait mis le feu à son épée, l'avait planté dans le sol, et l'avait brûlé jusqu'à ce qu'il se transforme en cendre.
Et cette femme étrangère, Lady Shibo- Shibi- peu importe… disait que ses propres personnes l'avait vérifié. Ils avaient utilisé leur propre sorts, sortilèges, et tout ceux à quoi ils pouvaient penser pour le vérifier.
Et ils l'avaient confirmé.
Voldemort était mort, et ne reviendrait pas.
Et une petite chansonnette traversa Poudlard. Fred et George Weasley, les coupables probables refusaient d'admettre l'avoir fait, mais ils ne niaient pas non plus pouvoir, pouvoir avoir aider à le faire.
Il l'a fait, il l'a écrasé,
Wee Potter c'est lui,
Et Voldie est maintenant moisi,
Donc va et amuse-toi !
Le Seigneur des Ténèbres, sa vie est partie,
Donc commençons les fêtes !
Et faire la fête, les Anglais Magiques l'ont fait. Le Département de Relation Moldu était, si c'est possible, encore plus occupé que la première fois, quand ses membres n'étaient pas occupé à joindre les festivités.
Bureau du Directeur
Albus pouvait toujours entendre les cris de joie et la fête qui se déroulait depuis son bureau, alors que le savoir que Voldemort avait vraiment été battu se répandait. Et alors que les cris de joies sonnaient, bientôt étendu dans le reste de la communauté magique, il regarda par la fenêtre et sur le sol avec un petit sourire. Un qui était peut-être un petit peu amer, mais quand même un sourire.
Harry l'avait fait. Il avait accompli la prophétie qui flottait au dessus de sa tête depuis que Tom avait cru qu'elle s'appliquait à lui. Et il l'avait fait d'une façon que personne n'avait vu venir.
Après tout, qui aurait cru que « le pouvoir qu'il ignore » ne serait pas un pouvoir intrinsèque à Harry, comme lui, l'avait cru, mais au lieu de ça, un pouvoir qui lui avait été offert par un autre ?
Et le fait qu'elle avait été complété d'une façon que personne n'aurait pu anticiper était probablement pour le mieux. Les choses deviendraient autrement entièrement fade.
Les garantis de Tom contre la mort, ses horcruxes, n'avaient pas réussi à le sauver. Ils n'ont pas réussi car l'homme n'avait pas réussi à anticiper que le moyen qu'il utiliserai pour s'emmener là où Harry se trouvait ramènerai la totalité de son âme là-bas, détruisant la magie qui faisait des horcruxes ce qu'ils étaient. Ils avaient échoué car son immortalité n'était pas quelque chose que les mortels devraient atteindre.
Il se rappela de quelque chose que Nicholas lui avait dit quand il avait demandé à Albus de détruire sa Pierre.
« La Pierre Philosophale ne donne pas l'immortalité, mais défait simplement les dommages que la vie donne au corps. Elle peut prolonger la vie, et repousser la Mort, mais elle ne peut pas l'en empêcher. Et, c'est mieux ainsi.
Pernelle et moi, nous avons vu ce qui arrive à ceux qui achèvent l'immortalité, et cela ne fonctionne jamais. Peu importe quel moyen ils utilisent, peu importe à quel point ils croient avoir réussi… Mort… cela ne peut que être repousser. Pas arrêté. Et… il est temps pour ma femme et moi arrête de manquer notre rendez-vous avec Lui.
Nous sommes depuis longtemps prêt pour lui… donc pour nous… c'est juste de faire finalement un pas. Ce premier pas nécessaire. Le premier pas vers la prochaine Grande Aventure. Quand ton tour sera venu, jeune Albus, je m'assurerais de te dire quelles merveilles i voir. »
Et peut-être était-ce tout ce qu'il y avait sur ce sujet. Le désir de Tom de devenir immortel était destiné à l'échec depuis le début.
Donc il sourit. Un sourire pour la victoire d'un garçon qui avait gagné une guerre qui n'aurait jamais du être la sienne en premier lieu. Un sourire, pour le garçon qui aura ce qu'il espérait être une vie longue et prospère devant lui.
Car maintenant, sans l'ombre de Tom se tenant au dessus de lui comme un manteau malveillant, Harry Potter pouvait finalement, et vraiment, vivre sa vie.
AN : Et voilà ça c'est fait. Et l'auteur ne fera plus l'erreur d'essayer de couvrir six mois comme ça. Enfin si il s'en est souvenu pour la prochaine interlude, je ne sais moi-même plus.
