Bonjour à tous, un gros merci pour vos reviews qui me vont droit au cœur.

J'ai eu comme un beugg d'inspiration mais c'est revenue, je vous écrit la suite heureusement que j'avais un peut d'avance.

Merci à ma grande amie pour avoir corrigé aussi vite !

Bonne lecture à tous, n'oublié pas de me laissé un petit message en passant, à très vite !

Chapitre 22

Point de vue d'Edward

C'était la fin de la soirée, nous avions bu le café sur le canapé, Bella parlait avec Esmée devant le catalogue sur tous les projets qu'Esmée avait travaillés. Au début j'aurais refusé de travailler avec ma mère adoptive... faire rentrer Bella dans mon cercle d'amis ou même dans ma famille…

Mais là c'était différent, à cause ou grâce à Alice, je ne savais plus si c'était bien ou pas, du moins pour l'instant. Alors travailler avec Esmée ne serait pas une si mauvaise idée que ça, je savais que le résultat serait d'autant plus réussi.

Pendant que les autres parlaient ensemble moi je faisais qu'admirer Abbygaëlle qui c'était endormis contre moi, de temps en temps de petit sourire naissait sur ses petites lèvres. J'étais complètement fou de cette petite, qui l'aurait cru moi Edward Masen Cullen coureur de jupons adorait s'occuper d'un bébé de 3 mois.

Enfin pas n'importe quel bébé, bizarrement j'avais toujours été maladroit peureux avec Kellan, mais avec Abbygaëlle...un simple de ces sourires effaçait doute et peur en moi. Avec un seul de ces sourires...c'était comme si un nuage de douceur m'enveloppait totalement.

À partir du moment où Bella m'avait donné sa fille, j'avais vu les regards étonnés des membres de ma famille ainsi que mes amis. Je l'avais dit à Bella et je tenais à tenir ma promesse, tan pis pour les conséquences, j'assumerais la tête haute les réflexions de ma famille.

Mais contrairement à ce que j'avais cru, personne n'avait dit un mot du fait que je m'occupais d'Abbygaëlle, au contraire ils m'ignoraient totalement. Cela m'avait rassuré, je ne voulais pas devoir expliquer pourquoi j'aimais m'occuper de cette petite. Pourquoi je ne faisais que de la regarder dormir, lui caressant de temps en temps ces petites joues, ou ces petites mains.

-Ça fait du bien de te voir sourire, entendais-je Alice dire venant s'asseoir à mes côtés sur le canapé. Elle est choux hein, reprit-elle en touchant la main d'Abbygaëlle délicatement veillant à ne pas la réveiller.

J'avais pensé trop fort malheureusement, ma très chère sœur adoptive et meilleure amie n'allait pas laisser les choses ainsi, elle ferait tout pour découvrir le pourquoi de mon attachement envers Abbygaëlle.

-Oui lui dis-je en me tendant, attendant le moment où elle allait se lancer.

Connaissant Alice, elle n'allait pas rester là sans rien dire, ce soir j'avais baissé les barrières. J'avais laissé entrevoir l'Edward que j'étais avec Bella et ça ce n'était pas passée inaperçue à ma meilleure amie, je le savais bien.

Mais encore une fois je m'étais trompé, ou alors elle attendrait que l'on soit seule. Alice se blottissait contre moi posant sa tête contre mon bras regardant la petite dormir paisiblement. Je passais mon bras autour de ses épaules, cela faisait longtemps que l'on n'avait pas eu de telle attention l'un envers l'autre, et j'avoue que cela m'avait manqué.

Quand il se fit tard ma mère proposait à Bella de rester dormir vue l'heure tardive, mais Bella refusait poliment en expliquant qu'elle n'avait pas le nécessaire pour sa fille. Je posais délicatement Abbygaëlle dans son cosy et Bella disait au revoir à tout le monde avant d'entrer à son tour dans la voiture. Une fois que j'étais sur la route du chemin je questionnais Bella, j'avais envie de savoir ce qu'elle avait pensé de la soirée.

-Alors, lui dis-je lui jetant un regard tout en restant concentré sur la route.

-Alors quoi ? Me demandait-elle ne voyant pas de quoi je voulais parler.

-Qu'as-tu pensé de la soirée ? Lui demandais-je curieux.

-Oh...Hey bien je ne t'ai pas frappé une seule fois, donc ça va, disait-elle se moquant un peu de moi en souriant.

C'était vrai, pas une fois elle m'avait lancer de regard méchant ou m'avait frappé discrètement. Cela voulait-il dire que je ne l'avais pas déçu ? Que je m'étais bien comporté ? Elle redoutait tellement que mon comportement change en la présence de mes amis. Même après l'avoir rassuré, même après lui avoir confié mon sombre passé sur ma famille.

Après tout je l'avais déçu, c'était tout à fait normal qu'elle doute de moi. À moi de me rattraper, de lui prouver que j'étais son ami, et que plus jamais je ne prendrais le risque de perdre son amitié.

-A vrai dire je ne pensais pas vraiment à ça, mais je suis content de ne pas t'avoir déçu de se côté là. En fait je pensais plus...à ce que tu avais pensé de Carlisle et d'Esmée ? Lui demandais-je en restant toujours concentrer sur la route tout en lui jetant des coups d'oeil de temps en temps.

-Ils sont très gentils, disait-elle doucement. Esmée as vraiment du talent pour la décoration, elle m'a montré ses anciens projets, je pense que nous devrions signer avec elle pour faire la décoration de la boutique.

-C'est toi la gérante, à toi de décider, on peut aussi voir plusieurs entreprises de décoration...enfin pour se faire un avis. Lui proposais-je.

-Tu ne veux pas travailler avec ta maman ? Me demandait-elle alors que je me garais sur le parking de son immeuble.

-Ce n'est pas ça je...je pense qu'il serait bien que tu es le choix. On ne t'a pas invité pour que ma mère décroche un autre contrat Bella, mais pour te remercier de ce que tu as fait pour Alice. Lui dis-je en me tournant vers elle en prenant appuie sur mon siége.

-J'ai déjà fait mon choix, c'est ta mère que je veux, disait-elle déterminé. Elle était tellement belle quand elle avait ce regard, on aurait dit un petit chaton se prenant pour un tigre. Et Alice n'a pas besoin de moi pour décrocher un contrat, je n'ai fait que la mettre en relation avec mon patron. Reprenait-elle avant de sortir de la voiture pour prendre le cosy d'Abbygaëlle.

À mon tour je sortais voulant l'accompagner jusque chez elle, je prenais le sac de sa fille et Bella me fit rentrer dans son appartement. Je n'allais pas rester longtemps sinon Esmée allait s'inquiéter.

Bella déshabillait Abbygaëlle pour la mettre au lit, la petite ne se réveillait même pas, moi je restais dans le salon posant le sac que je portais toujours, attendant que Bella revienne pour lui dire bonsoir.

Très vite Bella revenait dans le salon.

-Je vais y aller avant qu'Esmée ne s'inquiète trop, lui dis-je en m'avançant vers elle.

-Oui, il se fait tard. Disait-elle nerveusement en baissant la tête.

Je m'arrêtais une fois en face d'elle, sans vraiment y réfléchir de passer une de ces mèches derrière son oreille, je savais pas vraiment pourquoi je l'avais fait, j'en avais juste eu envie.

Bella ne me quittait pas des yeux, elle était incroyablement belle ce soir. Je n'avais jamais pris vraiment le temps de la regarder correctement, moi d'habitude je préférais les blondes, mais Bella avait ce quelque chose en plus. De toute manière je ne voyais pas Bella comme une conquête potentielle, c'était totalement diffèrent entre nous.

Étais-ce son regard chocolat brillant, les reflets de ses cheveux, ou la douceur de son visage qui me faisait faire ses gestes envers elle? Je me demandais bien pourquoi elle était seule ? Qui était le père d'Abbygaëlle ? Pourquoi Bella avait tant de mal à en parler ? Pourquoi disait-elle qu'elle ne pouvait pas le contacter ?

Ce n'était sûrement pas le moment pour lui poser la question, elle m'avait laissé du temps pour que je puisse m'ouvrir à elle, j'en ferais de même.

Doucement je laissais tomber ma main frôlant par la même occasion sa joue douce et chaude.

-Bonne nuit Bella, lui dis-je avant de commencer à vouloir partir, mais elle me retenait le bras me faisant me retourner vers elle.

-Bonne nuit Edward, me disait-elle avant de se mettre sur la pointe des pieds pour déposer un léger baiser au bas de ma joue.

J'étais un peu sous le choc, son baiser avait duré quelques secondes mais j'avais l'impression qu'il avait duré bien plus, sans un mot de plus je partais chez moi...enfin chez Carlisle et Esmée.

Quelques jours avaient passé depuis le dîner chez mes parents adoptifs, les travaux avançaient plutôt bien. Si bien que Bella voulait que l'on commence à réfléchir pour la décoration, elle voulait absolument travailler avec Esmée, cette fille était aussi têtue qu'Alice. J'avais bien tenté de lui proposer de voir d'autres entreprises, faire des devis avant de s'engager mais elle voulait Esmée, et je n'avais pas mon mot à dire.

Alors aujourd'hui nous avions tous rendez-vous à la boutique, Esmée devait nous rejoindre un peu plus tard, elle avait plus d''un contrat en cours. Moi j'avais proposé à Bella de venir la chercher, sur le chemin nous devions même déposer Abbygaëlle chez sa nouvelle nourrice.

Je frappais à la porte de chez Bella, elle m'ouvrait le téléphone à l'oreille. Elle avait l'air plutôt énervée, elle me fit signe de rentrer.

-Non mais...oui ça je peux le comprendre mais... Et je suis censée faire comment moi ?... Vous le saviez pourtant non ? Je suis censée amener ma fille à mon travail d'après vous ! ….Non vous inquiétez pas vous entendrez parler de moi. Disait-elle en raccrochant brutalement.

Jamais je ne l'avais vue si énervée, à part lorsque qu'on avait récupéré Abbygaëlle bouillante de fièvre chez l'ancienne nourrice.

-Un problème avec la nourrice ? Lui demandais-je même si j'étais certain qu'il s'agissait de cela au vue de leur conversation.

-Tu vas jamais le croire, me disait-elle encore énerver. Elle vient de m'appeler disant qu'elle ne pouvait pas garder ma fille, soi-disant qu'elle a trouvé un contrat plus intéressant. Et moi maintenant je me retrouve encore une fois sans nourrice. Ce n'est pas possible, mais j'ai fait quoi pour que tout aille de travers comme ça, disait-elle en faisant les cent pas dans le salon.

Je l'arrêtais net la prenant par les épaules, il fallait qu'elle se calme. Pourquoi pensait-elle que tout allait de travers comme ça ? J'avais une solution pour sa fille, une solution que j'avais gardé pour moi depuis un moment n'osant pas lui faire part. Tout d'abord par ce que ça impliquait mes amis, mais aussi par ce que j'avais peur qu'elle refuse voulant se débrouiller seule.

-Calme toi Bella, on va trouver une solution. Où est Abbygaëlle ? Lui demandais-je en la voyant se détendre.

-Elle dort, la nuit a été difficile. C'est comme si elle se doutait de ce qui allait se passer aujourd'hui !

-Viens, on va s'asseoir, lui dis-je en l'entraînant sur le canapé. Ton père peut pas la garder cette après-midi ? Lui proposais-je avant sortir ma fameuse carte.

-Non, il est parti quelques jours avec un ami. Je ne peux pas toujours annuler Edward. Comment je vais faire ? Jamais j'arriverais à gérer une boutique et être maman solo en même temps. Il faut être réaliste, à deux cela aurait été gérable, mais toute seule c'est impossible.

Elle était tout déprimée, jamais je ne n'avais encore vu si défaitiste. Où était passé la Bella plein d'énergie ? Où était la Bella fonceuse qui n'avait peur de rien ?

-Non Bella, tu es peut-être mère célibataire mais tu n'es pas toute seule. Tu as des amis, tu as Alice, Rose, Emmett...moi. Tu peux gérer les deux, avec un peu d'aide tu y arriveras.

-Mais...

-Attends ! Lui dis-je en sortant mon téléphone.

Je composais le numéro de Rosalie sous l'œil attentif de Bella, elle décochait à la troisième sonnerie.

-Edward ce n'est pas le moment là, disait-elle énervée.

Oups qu'est-ce qu'Emmett avait encore fait cette fois ! Où alors qu'est-ce qu'il n'avait pas fait ? Même si son mari agissait comme un enfant, Rosalie restait rarement en colère contre lui. Je ne savais même pas comment elle faisait pour aimer mon idiot de meilleur ami, moi je l'adorais, mais jamais je ne pourrais habiter avec lui. Il était trop bordélique pour ça !

-Bonjour à toi aussi, tu es occupé là ? Lui demandais-je un sourire aux lèvres sachant très bien que je dérangeais vue les bruits de fond que j'entendais.

-Non, enfin si. Emmett arrête c'est Edward, disait-elle doucement croyant que je l'entendais pas. Je pouffais ces deux-là allait finir par faire le deuxième bien plus vite qu'Emmett le pensait, ils étaient toujours en train de ce sauté dessus.

-J'ai un service à te demander...c'est pour Bella…

-Bella ? Elle va bien ?

-Oui mais sa nourrice là lâcher et on a rendez-vous pour la boutique dans une trentaine de minutes. Tu pourrais la garder quelques heures ?

Bella me lançait des regards inquiets, je détournais les yeux restant concentré sur ma conversation téléphonique.

-Oui bien sur avec plaisir ! Mais... Edward pourquoi ce n'est pas Bella qui m'appelle ? Me demandait Rosalie.

-Je voulais être sûr que...tu étais disponible avant de lui en parler. Dans quinze minutes chez toi ça vous va ? Je suppose que ton mari aura fini d'ici là, lui dis-je en pouffant.

-Hein...non mais ce n'est pas ce que tu crois...enfin oui c'est bon vous pouvez venir je vous attends.

-Dac à toutes, et passe le bonjour à ton homme, lui dis-je avant de raccrocher.

Je rangeais mon téléphone portable sous l'œil attentif de Bella.

-Je ne confirais pas ma fille à n'importe qui, me disait-elle durement.

-Même pas à Rosalie, lui dis-je en souriant en voyant sa réaction.

-Mais...elle garde déjà son fils non ? Et puis je ne voudrais pas…

-Bella elle m'a dit que ça ne lui posait aucun problème. Tu sais très bien qu'elle est folle de ta fille.

Bella opinait quelques minutes après. Elle avait l'air inquiète, je savais qu'elle ne s'inquiétait pas du fait de devoir laisser Abbygaëlle à Rosalie mais plutôt de comment la petite allait réagir en comprenant que sa mère la laisserait chez Rosalie pendant quelques heures.

Les affaires de la petite étant déjà prête Bella allait chercher sa fille qui du coup s'était réveillée, elle était vraiment agréable, même en étant réveillée en pleine sieste, elle ne pleurait qu'un peu. Durant le trajet en voiture Abbygaëlle c'était même rendormi.

Quand nous arrivions chez Rosalie et Emmett, Bella était encore plus nerveuse si c'était possible. Chose que j'avais du mal à comprendre vu qu'elle devait normalement laisser sa fille chez une personne qu'elle ne connaissait pas. Là c'était différent, Abbygaëlle ne serait pas perdue vue qu'elle connaissait Rosalie due aux nombreuses sorties qu'elles avaient faite ensemble.

Je fis le tour de la voiture pour aider Bella à prendre les affaires de la petite, puis l'accompagnais jusqu'à la porte. C'est Emmett qui nous ouvrait fraîchement doucher au vue de ses cheveux encore mouillés.

-Je savais bien que tu étais là, lui dis-je en lui faisant un clin d'œil tout en le saluant. J'espère que vous avez eu le temps de finir et que tu n'as pas eu besoin de douche froide.

-Ha ha, trop drôle Ed ! Me disait-il en nous laissant entrer tout en saluant Bella. Ce n'est pas comme si on pouvait faire ça n'importe quand et n'importe où, reprenait-il à mon intention en me donnant un coup de coude.

-Les joies du célibat, lui dis-je comprenant tout à fait qu'il parle de mes multitudes partenaires de sexe lors de nos sortie en boîte.

En voyant le regard interrogateur de Bella j'avais compris que j'avais fait une bourde. En aucun cas je voulais qu'elle sache que j'étais un homme qui couchait avec des femmes différentes chaque soir. J'étais persuadé qu'elle le prendrait bien, sans me juger d'une quelconque façon mais...contrairement avec mes autres amis j'étais mal à l'aise que Bella découvre cette partie de ma vie.

Comme si c'était mal d'agir ainsi alors que je le faisais en tout honneur...je veux dire c'est pas comme si je promettais à ses femmes une belle et romantique histoire d'amour, non bien au contraire, c'était clair pour tous les deux.

Heureusement pour moi Rosalie arrivait me sauvant, détournant l'intention de Bella sur elle. Bella lui expliquait que nous serons absents seulement quelques heures, vu qu'Abbygaëlle s'était réveillée entre-temps, elle dormirait sûrement un peu plus.

Rosalie accompagnait Bella dans sa chambre pour coucher la petite, donnant sûrement les dernières explications à Rose sur les habitudes de sa fille.

-Désolé pour tout à l'heure, me disait Emmett en me servant un café. Je n'ai pas fait attention avec Bella à côté. Tu ne lui en as toujours pas parlé ?

-Pourquoi devrais-je le faire ? Lui demandais-je ne voyant pas la raison qu'il l'a poussé à me demander une telle chose.

Etais-je sensé lui raconter toute ma vie? On se connaissait depuis si peut de temps, Bella savait déjà tant de choses sur moi.

-Vous êtes proches, ça me paraît logique c'est tout, disait-il en haussant des épaules.

-C'est ma vie privée Emmett, grondais-je à son encontre.

-Mais elle en fait partie ! Écoute Ed, je n'ai pas l'habitude de me mêler de tes histoires...tu sais bien que même si je préférerais que tu t'ouvres à une femme...jamais je te dirais d'arrêté c'est ta vie après tout. Mais... Bella semble t'afecter d'une certaine manière, on là tous remarquer alors ne le ni pas. Contrairement à ce que tu crois penser nous sommes contents nous tes amis que quelqu'un arrive à te percer à jour. Mais Bella est aussi une amie, alors...ne fait rien que tu pourrais regretter Edward.

-De quoi est-ce que tu parles ? Lui dis-je complétement perdus. Où voulait-il en venir? Pourquoi moi je lui ferrais du mal? Pourquoi je ne devrais pas faire...

-Tu n'es pas ami avec elle Edward, c'est bien plus que ça ! Disait-il sur de lui.

-Quoi ? Mais bien sur que si !

Pourquoi était-ce si difficile pour mes amis de comprendre qu'entre une femme et un homme on pouvait se côtoyée, être ami, sans forcément coucher ensemble!

-Croit le ou non, c'est ainsi que je le vois. Tu as failli la perdre il n'y a pas si longtemps, jamais je ne t'ai vue aussi...aussi perturber, c'est vrai quoi tu la connais depuis seulement un mois et on dirait qu'elle est importante pour toi. Écoutes, me disait-il en posant une main sur mon épaule. Tu devrait vraiment lui dire pour tes aventures, elle a le droit de savoir. Et puis imagine que vous rencontriez une de tes aventures d'un soir lors d'une promenade, imagine son choc.

Il n'avait pas tort d'une certaine façon, pas en disant que j'étais bien plus qu'ami avec Bella. Mais en disant que si elle apprenait mes...habitudes d'une autre bouche que de la mienne cela la vexerait ou pire.

Mais je voulais pas perdre notre amitié, et je savais pas comment m'y prendre.