Bonjour à tous et à toutes, je sais que beaucoup sur été déçu de ma grande pause. Suite à ma grossesse mon fils est arrivé et j'avoue que je ne pensais pas que je devrais arrêté d'écrire pour m'occuper de mon petit cœur. Ensuite j'ai représailles le travaille et c'est devenu compliqué. De plus j'ai de grande difficulté à écrire depuis la naissance de mon bébé, mes écrits ne me plaisait plus, j'y suis arrivé plus du tout.
En cette période noire j'avoue avoir besoin de m'évader quelques temps. Alors voici la suite et j'espère que vous avez envoyé un chapitre par semaine. J'espère que vous allez tous bien, surtout restez chez vous et prenez soin de vous. Pour avoir chopper cette saloperie je vous assure que ce n'est pas une blague, et encore de mon coté je n'ais pas eu eu de complication. Bon courage à tous et à toutes et bonne lecture. Gros bisous n'hésite pas à me laisser un message je serais ravis d'avoir de vos nouvelles et de savoir si mon chapitre vous à plus.
Chapitre 57
Point de vue de Rosalie
Bella avait été inconsolable, elle avait pleuré sur tout les chemins du retour et presque toute la nuit. Elle pleurait un amour perdu, son plus grand amour.
Et tout ça c'était de notre faute, à moi mais aussi à Em. Nous avions penser qu'à nous, qu'à notre envie de réformateur notre petit groupe, notre famille, sans penser une seconde à la douleur de notre amie. Bella souffrait ... non c'était encore pire que ça, elle se consommait littéralement sous l'amour qu'elle ressentait pour Edward.
Tous ici savaient pertinemment à quel point leur histoire ne tenait plus qu'à un fil. Bella souffrait de son erreur, oui elle avait fauté en fuyant de la sorte, mais personne n'est parfait et certainement pas Edward.
Lui était complètement perdu, entre la nouveauté de sa paternité et son sentiment de trahison qu'il avait ressenti au départ précipité de Bella ainsi que son ignorance de ses appels. Cette histoire était assez compliquée, jamais nous aurions dû nous en mêler!
On voulait juste ... retrouver nos deux amis, mais Bella ne nous pardonnerait jamais ce coup bas. J'aurai dû me mettre à un endroit comme elle m'avait dit en voyant que les garçons étaient présents hier soir. Rien qu'imaginer ma vie sans Emmett me paralysait d'horreur! Que deviendrais-je sans lui?
Edward aussi était malheureux, Emmet voyait chaque jour son meilleur ami se morfondre de l'absence de Bella. Il m'avait confié qu'Edward voulait tourner la page sur toute cette histoire, qu'il voulait avancer avec sa fille et avec Bella mais qu'il ignorait comment s'y prendre.
Alors quand on avait vue Edward et Bella collé l'un à l'autre sur la piste de danse, on avait penser que tout allaitait s'arranger, même si ça allait prendre du temps connaissant Edward. Mais j'étais de loin de penser qu'il allait lui demander d'être de nouveau ami avec lui. Mais quel idiot!
Ami ... c'était la pire a choisi qu'une femme voulait entendre de la bouche de l'homme dont elle était amoureuse. Commenter pensait-il arranger les choses en lui disant une chose comme ça?
Il n'y avait pas arrêté d'essayer de joindre toute la nuit, c'est Alice qui avait fini par décrocher en sortant de la chambre de Bella. J'ignore ce qu'elle lui avait dit mais elle avait l'air très énervé quand elle était revenu près de Bella qui avait fini par s'endormir épuisé par ses pleurs.
Nous étions toutes les deux dans la cuisine buvant notre café en silence, la nuit avait été courte, ni elle ni moi n'avions pu fermer l'œil de la nuit, veillant sur notre amie. Alice non plus n'avait pas compris les paroles d'Edward, elle était certaine qu'il aimait Bella mais elle savait aussi qu'actuellement tout serait différent. Bella avait la preuve qu'il nous manquait, l'espoir qu'on avait essayé de lui insuffler sur les sentiments d'Edward n'était plus, pas après hier soir. Et même si c'était la vérité, même si Edward aimait vraiment Bella, lui seul pourrait lui faire comprendre.
Du bruit se fit entendre dans la chambre de Bella et d'un seul mouvement Lice et moi nous tournions vers celle-ci. Bella fit son apparitions les yeux encore rouge de ses pleurs de la veille.
-Vous êtes encore là, dit-elle surprise. Alice se levait pour rejoindre la prenant dans ses bras.
-Où voudrait-tu que nous allions alors que notre amie ne va pas bien? Lui demandait-elle, Bella haussait les épaules le regard baissé, elle semblait vider de toute énergie.
-Avec vos homme, je ... je vais bien maintenant…
-Arrête Bell, on sais parfaitement que c'est faux, lui dis-je en m'approchant à mon tour en lui prenant la main avant de reprendre. Je suis désolé, avec Em on aurait jamais dû organiser tout ça, on voulait juste….
-Rien n'est de votre faute, me coupait-elle en secouant la tête. Rose, là seule fautive ici c'est moi et uniquement moi. J'ai briser la confiance qu'Edward avait en moi, si je l'ai perdu c'est de ma faute, pas de la tienne. Et ce n'est pas juste de ma part d'étaler mes ... mes sentiments ainsi, Edward est aussi votre ami.
J'aurais voulu la contredire mais Alice me fit non de la tête, et elle avait surement raison, Bella ne pouvait qu'écouter une seule personne pour changer d'avis, Edward en personne. J'étais peiné pour elle, Bella se m'était tout sur le dos alors qu'ils avaient tout sur les deux faits des erreurs. Ils avaient chacun garder des secrets, de gros secret, et c'est ça qui les avaient brisés tout les deux. Et malheureusement nous ne pouvions rien faire, c'était à eux d'ouvrir leurs cœurs l'un à l'autre.
Bella nous pris Alice et moi dans ses bras, nous serrant fort contre elle.
-Ont t'aime Bella, lui disait Lice en lui claquant un bisous sur la joue. Quoi qui se passe entre toi et mon frère, on sera toujours là, rajoutait-elle.
-Que tu le veuille ou non, lui dis-je à mon tour en souriant, ce qui nous fis rire toutes les trois. Bella essuyait quelques larmes qui coulait et je lui fis un sourire rassurant. Oui quoi qu'il arrive on sera toujours là pour elle. Edward était notre ami, comme un frère pour Alice après toutes leurs enfance passer ensemble, mais Bella était elle aussi importante pour nous, elle faisait comme partis de la famille.
Après ce moment d'émotions, nous décidons d'aller prendre un petit déjeuner en ville avant de rentrer. Bella voulait aller chercher Abbygaëlle chez son père juste après et on voulait être sur qu'elle allaitait mieux avant de rentrer chez nous.
Point de vue de Bella
Lice et Rose m'avait emmené prendre le petit déjeuner en ville. C'était un petit bar-restaurant très jolie avec une petite terrasse extérieure face à la mer. C'était très bien situé, la vue d'ici était magnifique. Je rêvais d'une maison face à la mer, pouvoir déjeuner chaque jour devant la mer qui se retire doucement. Entendre le claquement des vagues sur le sable fin de la plage, les oiseaux qui chante encore et encore. Et cette odeur… jamais je ne pourrais m'y passé.
Si nous étions restés entre fille cette nuit j'aurais plus profité du spectacle que nous offrait la nature. Mais il avait fallu que tout dérape, qu'Edward mette fin définitivement à notre relation.
D'un côté je m'en doutais depuis un moment maintenant. Les filles avaient beau essayé de me convaincre, j'étais certaine qu'il ne pouvait pas nous donner de seconde chance. Il c'était enfin laissé allé avec moi et j'avais tout gâcher. Je l'avais blessé et ça jamais je ne pourrais me le pardonner.
Cependant je ne pouvais continuer ainsi, en plus d'avoir fait du mal à l'homme que j'aimais, je repoussais mes amies leurs faisant du mal à leurs tour. Ils étaient en rien fautif dans toute cette histoire, ils étaient dans un entre deux. Pris entre deux feu, ils ne pouvaient rien faire. Edward était ... est leur ami, et moi ils m'avaient prouvé à plusieurs reprises que j'en faisais également partie, même si Edward et moi n'étions plus ensemble. Emmett avait même pris le risque de se mettre son meilleur ami à dos pour moi.
De plus je ne pouvais plus continuer ainsi, j'étais devenu une épave, mon visage cernée par le manque, oui j'étais comme une droguée en manque. Sauf que ma drogue à moi c'était Edward.
Où était la Bella forte? La Bella seule contre le monde ... je ne me reconnaissais plus, je ne vivais plus que pour ma fille et la boutique. J'avais cru pourtant qu'à force de franchir tous ses obstacles au fil des années plus rien ne pouvait me toucher, m'atteindre plus qu'il n'avait été. Cet accident avait renforcé mon caractère, et ma fille m'avait donné la force de tout surmonter.
Je me haïssais, je haïssais la Bella d'aujourd'hui. Il fallait que je me relève, que j'affronte mes erreurs et que j'en assume les conséquences. Edward était le père de ma fille, il sera présent tout le long de sa vie. Il serait égoïste de ne vouloir aucun contacte avec lui. Je n'avais pas le choix, être en quelque sorte ami serait bon pour Abbygaëlle, et son bonheur était plus qu'important pour moi. Même si je souffrais en sa présence, il ne devrait rien savoir et ma fille non plus, j'encaisserais, il le fallait.
Une semaine plus tard
Dans quelque jours nous aurons un week-end de quatre jours, merci les jours fériés. Enfin j'aurais droit à mes quatre jours si je fermais boutique le samedi, alors Alice et Rosalie m'avait proposé de partir entre filles. J'avais fini par accepter, passer quelques jours loin d'ici me ferait que du bien.
Quatre jours loin de tout, loin de lui, de lui et de notre fille. C'était plus le fait de laisser mon bébé qui m'avait fait douter, mais Rose avait raison, ce week-end était pour elle, pour qu'elle retrouve sa maman en pleine forme. Alors je devais là laisser à Edward, son Papa l'aimait très fort et je savais qu'il prendrait soins de notre fille. Il me restait juste à lui en parler ... et ça c'était une autre histoire.
Bien sur Alice avait voulu s'en s'en charger m'évitant un face à face et surement des question d'Edward sur ma fuite de l'autre soir. Mais je tenais à lui faire face, c'était ma résolution, je devais regarder ma dépendance dans les yeux et tourner la page pour le bien de tous.
C'est ainsi que je me retrouvais devant chez Edward avec la boule au ventre. Tu peux le faire Bell's, tu peux le faire, me répétais-je sans cesse. C'est vrai quoi c'était juste un homme ... comme les autres, un simple homme. Le père de ma fille, l'homme le plus beau, le plus doux, et le meilleur amant de toute ma vie ... misère.
Je secouais la tête essayant de me reprendre. Je frappais deux coups à la porte me frottant les mains sur mon jeans tellement elles étaient moite. On aurait cru une adolescente, lamentable Bella!
La porte s'ouvrait et sans surprise Edward était là. Lui par contre ne s'attendait sûrement pas à ce que soit soit moi derrière la porte vue l'étonnement qui se lisait sur son visage.
-Bella, me disait-il en ouvrant un peux plus la porte. Que….
-Bonjour Edward, le saluais-je alors qu'il me fixait encore et encore. Puis-je entrer? Reprenais-je le voyant complètement ahuris. Il opinait s'écartant légèrement de moi , me laissant à peine de la place pour passer.
Que dire? C'est simple, je vous laisse imaginé, vue l'état de ses cheveux il venait tout juste de prendre sa douche et avec le peut d'espace que son couloir nous laisse avoir entre lui et moi des ésufles de son parfums me parvenait comme un souffle posé sur ma joue. Comment résister? Pourquoi fallait-il qu'il sente aussi bon aussi?
J'avançais dans son appartement croissant mes mains sous ma poitrine afin d'évité de faire un geste prouvant l'effet qu'il avait encore sur moi. Arrivé dans son salon je me retournait pour le voir me suivre les mains dans les poches arrière de son jeans. Non Edward ne fait pas ça ... pitié ne soit pas troublée par ma présence, c'est assez dur comme ça pour ma pauvre personne.
-Alors me disait-il me fixant dans les yeux gardant cette même posture. Pourquoi ... enfin pourquoi cette visite? Pas que je m'en plaigne mais ... enfin j'ai essayé de t'appeler plusieurs fois depuis ... l'autre soir et…
-Je t'ai pas donné le moindre signe de vie je sais, le coupais-je. Je tenais à m'excuser Edward j'ai ... j'ai été surprise c'est tout. Tu ... tu ma sauvé de ce type et puis ... après on à danser alors j'ai crue que ... je m'y attendais pas du tout, lui avouais-je en baissant les yeux.
-Attends Bella, me disait-il en s'approchant de moi fronçant les sourcils sortant ses mains de ses poches pour prendre les miennes. Je crois que tu te méprend sur mes attentions….
-Non Edward c'est bon ne t'inquiète pas tout est bon entre nous et tu avais raison, le coupais-je de nouveau en reculant faisant en sorte qu'il ne me touche plus. C'était déjà dur de lui dire tout ça, alors avoir ses mains sur moi ne m'aidait pas du tout et je ne voulais surtout pas reparler de se qui c'était passé, même si je savais que cette discussion était inévitable. Tu est le père d'Abbygaëlle, on devrait pouvoir se parler normalement sans qu'il y est une quel compte gêne entre nous. Et ça me va, vraiment, le rassurais-je le voyant voulant me contredire. On peut être ami comme tu me là demander, pour Abby, pour nos amis et pour nous aussi.
Point de vue d'Edward
Que voulait-elle dire par ami ... ces mots qu'elle venait de prononcer…, c'était l'inverse de ce que j'avais voulu lui proposer. Alice avait raison, Bella pensait que je ne voulais plus d'elle, que j'avais fait une croix sur notre histoire. Quel idiot j'avais été aussi de lui dire ça comme ça, mais tout de même ...
Comment pourrait-elle croire une telle chose? J'étais fou d'elle moi! Oui j'étais fou amoureux d'Isabella Swan, de la mère de ma fille. Alors pourquoi je là laissait m'échappé ainsi? Pourquoi je ne la contredisais-je pas moi me jetant éperdument sur ses lèvres?
Une seule réponse, j'avais peur, peur qu'elle ne ressente plus la même chose pour moi, qu'elle me rejette. Toute cette histoire nous avions tous les deux chambouler. Qui dit que mes actes avec Tanya ne l'as pas dégoûté de moi? Rien, et je refuse de me mettre à nu devant elle une nouvelle fois et qu'elle me brise une nouvelle fois le cœur. Je devais être sûr, je devais savoir...connaître ses sentiments pour moi avant de me lancer.
Alors comme un imbécile j'hochais la tête tout simplement, et je vis Bella se détendre peux à peux. Alice pensait que je devais être direct avec Bella, lui avouer mes sentiments mais elle était marrante la petite soeur, ce n'était pas elle qui allait souffrir si ses sentiments n'étaient pas réciproque. Je devais savoir, être sur, ne pas tout foutre dans l'air, pas maintenant que Bella avait décidé de renouer un semblant de relation avec moi.
-J'ai ... j'ai autre chose à te demander si tu veux bien, me disait-elle nerveusement. J'opinais lui demandait de venir s'asseoir sur le canapé, ce qu'elle fit mais à une distance bien trop éloigné de moi, comme si elle avait besoin de mettre de l'espace entre nous. Comme tu le sais, reprenait-elle. Jeudi de cette semaine est férié, j'ai donc décidé de fermer la boutique vendredi et samedi afin de profiter de ses quatre jours de repos. Pour tout te dire c'est Alice et Rose qui m'ont poussé à faire. J'opinais ne voyant pas où elle voulait en venir. Les filles mon proposer un week-end entre filles, précisait-elle.
-Oh, fais-je comprenant qu'elle ne serait pas là pendant ses quatre jours. Vous partez où? Lui demandais-je peiner.
Bah oui j'aurais pu profiter de ce week-end pour passer de nouveau du temps en sa compagnie maintenant qu'elle ne me fuyait plus. Mais les filles en avaient profité pour me la voler une nouvelle fois, comme si les derniers jours n'avaient pas été assez dur comme ça!
-Dans un centre de soins je crois ... c'est Rose qui c'est occuper de tout et elle n'as rien voulu me dire. Du coup je me demandais si on pouvait changer nos jours pour que je puisse voir Abby avant de partir…
-Tu n'y va pas avec elle? Lui demandais-je surpris. Bella partir sans sa fille c'était ... plus que surprenant, quasiment impossible.
-Non c'est un week-end entre adulte, crois moi j'aurais bien aimé partir avec elle mais ... je crois que j'ai aussi besoin de ... prendre un peu de temps pour moi. Et je sais que tu prendra soin d'elle en mon absence.
Son regard été baissé sur ses mains mais je pouvais voir le petit sourire qui ornait son visage, bien sûr que je m'occuperais d'Abbygaëlle, c'était ma fille.
-Tu peux compter sur moi, lui dis-je la faisant lever les yeux vers moi.
Ses yeux, qu'est-ce qu'ils auraient pu me manquer, je m'y noyait totalement la faisant rougir. Tien l'effet que j'avais eu sur elle était toujours d'actualité. Peut être que tout n'était pas perdu. J'aurais voulu qu'elle reste plus longtemps en ma compagnie mais elle me faisait partie de l'heure et qu'il était temps qu'elle réparait en me rappelant de ne pas oublier de lui déposer Abby ce soir. J'opinais et regardais mon ange partir, loin ... trop loin de moi.
