Soierie
Tout en prenant en main le sexe de Francis, Arthur le débarrassa de ses soieries et autres vêtements luxueux. Tout était doux sous ses doigts, lui procurant des sensations agréables.
Francis haletait contre lui et cherchait également à le déshabiller.
Ils ne s'étaient pas vus depuis des lustres et se désiraient. Tout en gémissant sous ses attachements, Francis sortit une couverture de son sac pour l'étaler dans la neige. Il ne tarda pas à entraîner Arthur dessus. Malgré le froid ambiant, ils se voulaient là maintenant.
Arthur savait qu'il n'obtiendrait rien de plus de Francis dans ces conditions. Son amant ne souhaitait pas parler de ses problèmes à Versailles. Il voulait juste tout oublier dans ses bras.
Francis ne tarda pas à le préparer pour la suite. Ils avaient effacé leurs traces dans la neige, mais ils se doutaient qu'un très bon pisteur pourrait les retrouver en train de s'envoyer en l'air en pleine forêt.
Arthur gémit fortement, quand Francis le pénétra.
« Qu'est-ce que tu es serré autour de moi !, s'en réjouit Francis.
- Agis au lieu de parler », râla Arthur. »
En riant, Francis se déhancha en lui et trouva rapidement sa prostate. Oh ! Il n'avait pas oublié comment le faire grimper au rideau.
