Dudley lisait tranquillement son journal dans la cuisine. Sa femme était déjà partie et il avait la matinée de libre, on ne l'attendait au club que pour la réunion de 14h et il profitait de son temps libre pour respirer un peu. Il n'avait jamais aimé tant que ça lire les journaux, c'était le passe-temps de son père plutôt que le sien. Mais à force d'habitude il commençait à prendre goût à ce genre de lecture. Il aurait pu aller sur internet pour lire la plupart des informations, mais le journal papier avait un certain charme.

Il mordit dans une tartine et savoura le gout du beurre et de la confiture. Quand il réfléchissait bien, ça faisait peut-être plusieurs années qu'il n'avait pas eu de moment calme comme celui-là : les matches, les régimes, les voyages et tout le bordel lui prenait son temps de manière vorace, pendant une certaine période, il avait même eu toute sa vie programmée pour une année entière, toutes les heures était occupé par des rencontres avec des journalistes ou d'entrainements atroces. Ça faisait du bien de se poser, d'être chez soi, de mordre dans une tartine dégoulinante de sucre et de lire les pages sportives d'un journal.

Quand il était enfant, c'était son père qui faisait ça tous les matins. Si on lui avait dit qu'il perpétuerait la tradition vingt ans plus tard, il aurait sans doute éclaté de rire. Et pourtant voilà que ses habitudes devenaient semblables à celles de son paternel. Quelle ironie pour l'adolescent qu'il avait été et qui n'avait cessé de clamer qu'il vivrait dans une grande villa à Miami pour impressionner ses copains.

Miami c'était bien trop cher et bien trop ensoleillé, la pluie anglaise lui manquerait trop.

Sa fille dormait encore, elle était sortie la veille avec des amis et n'était revenue qu'au petit matin. Dudley espérait qu'elle n'avait pas trop bue, à son âge on ne voyait pas les verres défiler et on se réveillait bien souvent avec une terrible gueule de bois. En plus de cela, il avait trouvé deux jours auparavant sous son lit une petite boite en carton. Celle-ci contenait du tabac, des feuilles à rouler et un petit sachet de beuh. Le parfait attirail du fumeur adolescent.

Un père normal lui aurait déjà fais la morale et l'aurait privé de sortie jusqu'à ses dix-huit ans. Mais Dudley ne se sentait pas l'âme d'un moralisateur, il avait déjà fait les mêmes bêtises à son âge et peut-être plus tôt qu'elle. A cet âge, on ne veut pas écouter ses parents, on veut apprendre, on veut découvrir par soi-même et faire ses propres expériences. On brise fatalement quelques règles parce qu'on se sent invincible, on est jeune et con.

Alors pourquoi la punir ? Si elle voulait en parler, elle le ferait. Daisy n'aimait pas se cacher, elle prenait toujours les devants. Ce n'était pas le genre de fille qui obéissait et se laissait dicter sa conduite par les autres. Il l'avait élevé pour qu'elle ne se laisse jamais marcher sur les pieds, elle devait aussi comprendre que cet enseignement comptait une part de respect. Ne jamais devenir une brute qui décide pour les autres mais plutôt quelqu'un de calme et de posé qui peut régler les problèmes sans devoir recourir à la violence.

Tant qu'elle n'aurait pas décider de lui en parler elle ne le ferait pas et lui crier dessus ne ferait que mener à une dispute stérile qui ne changerait rien.

Sa fille ne devait pas devenir comme il avait été durant son adolescence : un idiot borné, violent qui refusait toute forme de désagrément, un imbécile gâté par ses parents.

Bien sûr il la couvrait de cadeaux régulièrement. Mais c'était toujours mesuré, pour qu'elle sache être reconnaissante de son cadeau.

Depuis qu'elle s'était mise à la musique, ça avait facile de lui trouver des cadeaux. Un Cd, un vinyle, des places de concerts, du matériel pour enregistrer ou des manuels de basses… Elle devait déjà avoir de quoi faire de très bonnes choses et il l'entendait travailler ardument plusieurs heures par jours. Pour lui être un bon père ne passait pas sans une dose de liberté importante pour son enfant. Elle était déterminée et sérieuse. Si elle voulait faire de la musique son travail, qu'elle le fasse, il s'était déjà renseigné sur tous les jobs possibles dans cette branche pour pouvoir la guider.

L'enfermer c'était la rendre malheureuse et c'était ce qui l'effrayait le plus. Elle était la plus belle chose qui était jamais arrivé dans sa vie avec la rencontre de sa femme, pour rien au monde il ne perdrait ces deux femmes qui le rendait enfin un meilleur homme.

« Ding Dong ».

Dudley leva un sourcil en entendant la sonnette. Qui cela pouvait-il bien être ? Le facteur était déjà passé un peu plus tôt et il n'attendait personne. Un ami de Daisy qui venait la voire peut-être ?

Il se leva pour aller ouvrir.

Et il ne s'attendait absolument pas à trouver les deux personnes qui se tenait devant la porte.

Son neveu, Albus Potter, et un jeune garçon blond, assez grand et au faciès doux. Tous deux étaient habillés comme s'il sortait d'un vieux clip de chanson rock. Couvert de crasse, des épines de sapins dans les cheveux, deux grosses valises, une house de guitare, un ampli et ce qui semblait être un kit de batterie entier dans des grosses caisses de bois noir. Albus affichait un sourire digne d'un enfant qui rentre après avoir fait une grosse bêtise tandis que son ami semblait extrêmement gêné.

-Salut Tonton. Dit Albus. Euh… On est dans un situation un poil problématique, est-ce qu'on pourrait dormir ici quelques jours ?

Dudley cligna des yeux devant ce qu'il venait d'entendre. Il resta quelques secondes complètement sonné, à regarder les deux adolescents comme s'ils étaient venus de Vénus dans une énorme soucoupe volante. Puis il s'écarta de l'entrée.

-Rentrez et prenez une douche. Vous m'expliquerez ça après.

Ravi, Albus entra et posa ses affaires dans l'entrée avant de se diriger vers la salle de bain du rez-de-chaussée. Scorpius entra à la suite et essaye de ranger ses caisses en bois. Dudley lui donna un coup de main et ils rangèrent tout dans l'entrée près de l'escalier.

-Je dois m'inquiéter ? demanda Dudley.

-Euh… pas trop je pense. Mais un peu quand même. Répondit le blond.

-Harry est au courant ?

-Et ben… disons que c'est une partie du problème.

Dudley hocha la tête et essaya de garder son calme. Il alla préparer du café et en servis une grande tasse à son invité impromptu.

-Merci monsieur Dursley.

-Tu me connais ?

-Oui. Albus parle de vous souvent.

-Et toi tu es Scorpius c'est ça ? Son seul pote si je me souviens de ce qu'il m'a dit.

-Oui. On peut dire ça. Acquiesça Scorpius en buvant une gorgée du liquide noir qu'il pensait être un genre de chocolat chaud.

Il fit aussitôt une grimace. Ce n'était pas un goût qu'il connaissait et visiblement son palais n'appréciait pas cette saveur inconnue et beaucoup trop amère. Il avala avec difficulté et tordit sa bouche comme pour essayer d'enlever ce fumet acre qui semblait absolument non-buvable.

-C'est quoi ça ? Ce n'est pas du chocolat.

-C'est du café. C'est pas bon mais ça réveille. Y'en a pas chez toi ?

- A Poudlard il n'y a que du lait et du jus de citrouille. Et mon père ne boit jamais rien à part de l'eau et du vin. Les gens boivent vraiment ça par plaisir ?

-Met du sucre et du lait si tu veux, ça adoucis.

Scorpius opina du chef, tout pourvu que ce breuvage puisse être moins amère. Albus revient cinq minutes plus tard, propre et rhabillé. Sa crête ne tenant pas sans gel, ses cheveux retombaient sur sa tête pour former une ligne bleu/brune qui lui allait du front à la nuque.

Scorpius alla se doucher pendant qu'Albus échangeait des banalités comme si de rien n'était avec son oncle au sujet de son travail. Dudley répondait tranquillement mais il restait complètement sérieux. Dès que le blond fût revenu, il s'assit face aux deux adolescents et les regarda d'un air grave.

-Qu'est-ce qu'il s'est passé pour que vous débarquiez chez moi un beau matin, sans que vos parents n'en sois au courant et sale comme si vous aviez fait un marathon dans un marais ?

Les deux se regardèrent pour savoir comment aborder le problème.

-Tu veux la version courte ou la version longue ? demanda son neveu.

-La courte d'abord, pour savoir le principale et les détails ensuite.

-On s'est enfuit de Poudlard et on veut faire une carrière dans la musique.

Dudley passa sa main le long de son visage dans une expression de désespoir contenu. Ça commençait bien…

-C'est sérieux oncle Dudley. On travaille dur pour ça et on sait qu'on peut réussir. On a fait un concert à Poudlard y'a même pas deux jours et on a tout déchiré !

-Mais les ennuis sont venus après. Continua Scorpius. La directrice nous a convoqué pour nous passer un savon. Elle nous a dit qu'on ne pouvait pas continuer à jouer de la musique et qu'on devait se concentrer sur nos études de sorcier. C'est à ce moment que ça a commencé à hurler entre Albus et elle.

-Bravo Albus. Soupira Dudley.

-Hey ! J'allait pas là laisser décider de notre avenir pour nous. Moi je veux être musicien. Pas sorcier. Et je ne peux pas laisser quelqu'un d'autre décider de ça pour moi c'est ma vie dont je parle, pas un petit délire adolescent.

Son oncle le regarda et ne vit dans ses yeux aucune faille, il croyait vraiment ce qu'il disait et il semblait à Dudley qu'il parlait comme un véritable adulte, qu'il avait conscience de son futur. Une chose rare à son âge. Albus voulait faire de la musique parce que c'était simplement sa plus grande passion. Plusieurs fois déjà, il l'avait entendu se plaindre du silence et de la pression qu'il subissait à Poudlard et ce n'était jamais joyeux, ça avait dû beaucoup le pousser.

-Et ensuite la directrice a dit qu'elle allait convoquer nos parents. Reprit Scorpius. On est rentré dans nos chambres et on a décidé que ça ne pouvait pas aller comme situation. Alors on a pris nos affaires et on est partis. On a dû longer la lisière de la forêt interdite pendant plus de 30 kilomètres avant de trouver un village sorcier et un Portoloin pour Londres. Puis on a pris le bus jusqu'ici.

-Chez moi donc. Dit doucement Dudley.

-Oui tonton, désolé. Dit Albus l'air penaud. Mais on a nulle part ailleurs où aller. Je ne veux pas que mon père mette sa tête dans mes décisions. Je veux juste faire ce que j'aime et je ne laisserais personne me dicter ce que je dois faire. Alors… S'il te plaît est-ce qu'on peut rester dormir ici quelques jours ? Juste le temps d'essayer de trouver une autre alternative.

Dudley resta silencieux plusieurs instants, regardant fermement les deux adolescents qui semblaient rétrécir à vu d'œil. Ces deux-là avaient eu assez de courage pour partir de l'heure école, longer une forêt visiblement dangereuse pendant des kilomètres entiers avec leurs bagages sur le dos et arriver chez lui complètement épuisés. Ils avaient réussi à faire ça tout en s'assurant de ne pas être retrouvés par leur parents. Ce n'était pas le genre de connerie qu'on faisait pour s'amuser.

-Papa, t'aurait pas une aspirine ? fit une voix ensommeillée derrière eux. J'ai la tête qui tourne et c'est quoi ces caisses dans l'entrée ?

Daisy entra dans la cuisine les yeux mi-clos. Ses cheveux longs et noirs étaient emmêlés et ébouriffée, et elle n'était habillée que d'un boxer et d'un grand tee-shirt qui lui arrivait aux genoux. Elle mit quelques seconde pour ouvrir ses yeux bouffis et elle contempla les deux invités avec un air absent.

Puis son cerveau transmis l'information qui lui manquait et elle se réveilla totalement.

-Albus ? Qu'est-ce que tu fous ici ?

Il fallut dix bonnes minutes pour calmer Daisy qui se croyait prise d'une hallucination alcoolique. Quand elle fût certaine de ne pas être dans un rêve, elle commença à poser un millier de questions à son cousin et à son père sans jamais les laisser répondre.

Une fois un peu plus calme, elle écouta Albus qui lui raconta toute l'histoire.

A ce moment-là, Dudley sût ce que sa fille allait lui demander. Il en était certain, il la connaissait par cœur. Cela ne rata pas, et dès que Daisy appris que son cousin espérait dormir chez son père, elle lui jeta un regard suppliant qui aurait collé la honte à un millier de chihuahua aux yeux larmoyants.

« S'il-te plait, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il-te-plaît S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît, S'il te plaît » semblait dire son regard.

Dudley soupira.

-Vous pouvez rester autant que vous voulez les garçons. Je serais un vrai salopard et un mauvais oncle de vous foutre dehors. On a une chambre d'amis inoccupée à l'étage, vous pouvez y dormir, pour vos instruments et votre matériel mettez ça dans le garage. Vous pourrez y répéter si vous le voulez.

Les trois adolescents se regardèrent comme s'ils avaient fait un jackpot à 20 millions de gallions. Daisy sauta aussitôt sur les garçons pour leur faire un câlin et ils tombèrent tous par terre, faisant immédiatement regretter ses paroles à Dudley qui commençait à croire qu'il avait fait une bêtise.

-Bon, par contre les gars ici on ne roule par forcément sur l'or, et si vous voulez loger ici pour une période un peu longue ou non déterminé, ça serait bien que vous trouviez un petit job. Y'a des dizaines de père de famille ici qui n'ont jamais le temps de tondre leur pelouse, je peux me débrouiller pour qu'il vous embauche une fois par semaine. Comme ça pas de soucis d'argent et ça peut même vous faire un bénéfice si vous trouver d'autres clients.

-Pas de soucis oncle Dudley, on prévoyait de trouver ça, on ne veut pas être un poids pour toi.

-Oh purée c'est génial Albus. S'émerveilla Daisy. On va pouvoir passer des soirées entières à écouter plein d'albums ! A regarder plein de film bizarre et à faire de la musique !

-Le programme à l'air sympa. Rigola Scorpius.

Les adolescents allèrent récupérer les instruments et les divers sacs pour organiser le petit déménagement surpris. Tout en riant, ils installèrent tout dans le garage pendant que Dudley allait se préparer pour aller au travail.

C'était un garage cubique, assez propre et plutôt grand. Il était vide, Mme Dursley ayant pris la voiture le matin même pour aller travailler à son bureau. Dans un coin entre deux étagèrent d'outil et de différentes bricoles, était suspendu un sac de boxe usé. A son opposé se trouvait un grand ampli et une basse noire à cinq cordes sur un présentoir.

-C'est ton nouveau bébé ? demanda Albus.

-Yep, la dernière en date ! Elle a un super son. Mais la dernière fois que j'ai joué à fond on a eu des plaintes dans le voisinage alors je dois baisser le volume un peu. Faudra prévenir les voisins et limiter les répétitions à la journée.

-Ton père a dit qu'on pourrait se faire un peu d'argent avec le jardinage. On pourrait acheter des panneaux d'insonorisation en mousse, ça ne coute pas très cher et on limiterait le bruit. Proposa Scorpius.

-On verra plus tard. Pour l'instant moi je veux vous voir tous les deux jouer ! Vous allez pas y couper je veux absolument vous voir jouer ! S'exclama Daisy. J'arrive déjà pas à croire que j'ai raté votre premier concert ! Merde vous auriez pu me prévenir !

-Et comment tu serais venue à Poudlard ? rit Albus. En avion et en parachute ?

-J'aurais juste pris votre foutu train ! En traversant le poteau de la gare !

-Y'a une barrière anti-moldue depuis qu'un gamin et tombé dedans par accident, elle date des années 20. Rit à son tour Scorpius. Tu aurais juste mangé un mur de brique et de toute façon Poudlard est invisible aux yeux des moldues.

-C'est pas une excuse vous auriez pu me faire rentrer par un passage secret ! Geignit faussement Daisy. Alors mettez vous au travail et montrez -moi vos chansons.

Les deux s'exécutèrent en riant. Ça leur faisait du bien d'être là, dans un petit garage à rire simplement. Scorpius se dit que ce petit bloc de béton construit par des moldus était plus chaleureux que ne l'avais jamais été le grand manoir des Malefoy. En fait pour la première fois de sa vie il se sentait libre, calme et plein d'espoir. Lui qui avait passé tant d'années dans un manoir froid, trop grand et bien trop silencieux se trouvait là, dans une petite maison de banlieue, avec son meilleur amis, sa cousine déjantée et un projet viable qu'il pourrait suivre avec passion : son groupe de rock. C'était quelque chose que tout l'argent de son père n'aurait jamais pu acheter.

Albus était tout aussi heureux, en fait depuis longtemps, il savait qu'il préférait être chez son oncle plutôt que chez ses propres parents. Dudley était l'adulte le plus cool qu'il connaissait, il les accueillait, les nourrissez, leur trouvez un travail et Daisy était la seule avec Scorpius à le comprendre vraiment. Alors pour une fois, il se sentait l'humeur de faire tout et n'importe quoi, enfin libéré du monde qui l'avait si longtemps refusé. Comme un boulet au pied qu'on lui aurait retiré, tous ce qui l'avait poussé à bout depuis des années avait enfin disparu.

Ils étaient libres.

Dudley lui était arrivé de justesse à sa réunion, il régla les problèmes en vitesse et s'empressa de finir le plus vite possible.

-Au sujet du sponsor pour le prochain match ? commença Ken, l'un des entraineurs de la salle

-Et bien quoi ? Prenez les mêmes que d'habitude non ?

-Le problème c'est qu'on avait promis à Monster une plus grande visibilité.

Dudley soupira. Ces conneries de publicités étaient toujours aussi insupportables, mais ils en avaient besoin pour faire vivre le club. Il allait finir par engager quelqu'un qui pourrait gérer ça pour lui, ça le rendait dingue et il ne savait jamais quoi faire. Il voulait juste en finir vite et aller ses réglés ses autres soucis.

Le premier étant son neveu Albus.

Il allait devoir appeler sa femme et la prévenir de ce qui se passait. Elle serait sans doute du côté de Daisy, Linda était une vraie maman poule.

Mais le plus compliqué allait venir après.

Il allait devoir appeler Harry.

Voilà ce chapitre est fini, j'espère que c'est toujours une bonne lecture pour vous. Laissez des reviews si vous avez quoique ce soit à dire, si vous avez aimés, si ça change, si les personnages vous plaisent etc… Merci encore de me suivre c'est toujours un plaisir de savoir que j'écris quelque chose qui plaît. Merci à Destrange aussi qui laisse des commentaires grands comme dix fois mes bras et qui m'aide à me corriger sur l'orthographe.

A Bientôt pour d'autres aventures punks chers lecteurs.