Les maisons de Privet Drive respiraient rien d'autre que de la banalité. Cependant dans la maison au numéros quatre, un habitant n'était pas comme les autres. Un adolescent orphelin du nom d' Harry Potter âgé de seize ans était un sorcier. Un sorcier pas banal non plus, en effet dans le monde de la magie, il est l'élue d'une prophétie entre lui et Lord Voldemort un mage noir, tout le monde appelle le jeune Potter le survivant l'élu ou encore le garçon qui a survécu.
Celle-ci découverte lors d'une escapade à la fin de la cinquième année d' Harry à l'école de magie Poudlard.. Malheureusement pour entendre la cette dernière, Sirius Black le parrain de ce sorcier est mort rendant le jeune Potter triste et inconsolable.
C'est donc normal que le survivant est besoin de souffler. Donc en ce soir de plein lune à neuf heure, Harry sortit en douce de la maison de son oncle et de sa tante. Il prit la route du parc non loin de Privet Drive.
Il prit place sur un banc contemplant les nuages en ressassant ça dernière année. Il avait donné des cours de défense contre les forces du mal à des camarades de classes, sa première relation sentimentale à vue le jour ainsi, que la rupture quelques temps après.
Croyant son parrain en danger, il avait pris les mêmes camarades et il les avait conduit au ministère de la magie. Tout cela pourquoi, pour entendre cette prophétie qui pouvait se résumer en quatre petits mots: Tuer ou être tuer.
Outre le fait qu'il doit détruire un être infâme doublé d'un assassin. Le mage noir avait une expériences que ne possédait pas Harry.
-Et Potter que fais tu si tard dehors?, demanda une voix féminine sortant Harry de ses mauvais souvenirs.
Il se retourna donc et eu un choc en voyant la personne en face de lui.
-Pansy Parkinson que fais tu dans un parc moldu?, interrogea Harry
La dîtes Parkinson respira un bon coup et prit place à côté du jeune sorcier
-Alors même si ça te regarde pas, je vais te répondre quand même. Personne ne le sais mais j'ai un frère bâtard du côté moldu, ma mère a batifolé un soir dans une vulgaire taverne moldu et le résultat a était un enfant.
Pendant tout le temps de la grossesse ma mère ne sortait plus du tout et puis après l'accouchement ma mère a laissé le gosse au père qui l'a appelé Dudley c'est d'un mauvais goût, répondit Pansy faisant une grimace.
Harry resta sans voix, Pansy Parkinson n'était pas de sa famille, elle était juste la demi-sœur de son cousin Dudley, ce qui le choqué tout de même. Néanmoins pour être sur il décida de determiner ce qu'elle venait faire ici exactement
-Simple curiosité si tu es la ça veut dire que vous avez décidés de voir Dudley?, demanda le jeune Potter.
-Oui ma mère a prétexté un mal être depuis l'abandon de son fils, elle veut donc vérifier qu'il va bien, répondit Pansy.
Harry enregistra cette information puis se demanda si oui ou non il devait lui indiquer la maison de son oncle et de sa tante.
-Rends toi au quatre Privet drive c'est là-bas qu'habite Dudley, annonça Harry d'une voix ferme
-Comment sais tu ça Potter? , interrogea Pansy.
Harry allait répondre lorsque qu'un grondement l'en empêcha. Les deux jeunes sorciers se retournèrent et tombèrent nez à nez ou plutôt à truffe avec un loup-garou ayant l'air affamé.
-Pansy court jusqu'à la maison je t'ai indiqué et y cache toi vite, ordonna Harry.
La jeune Parkinson acquiesça d'un hochement de tête et pris les jambes à son cou.
Elle prit la première à droite en direction de Privet Drive et continua tout droit. Elle vit sa mère devant une maison où un quatre était bien apparent. Elle se hâta de rejoindre sa mère.
-Mère il faut se dépêcher, un loup-garou rode toquons vite, dit Pansy d'un ton suppliant.
Madame Parkinson voyant l'air effrayé de sa fille s'exécuta et attendit qu'une personne vienne ouvrir la porte.
Quelques minutes plus tard ce fût un cachalot qui ouvrit la porte.
-Luciana Parkinson, que fais tu ici?, demanda le dit cachalot ses yeux exprimant clairement sa surprise.
-Vernon Dursley, je viens m'acquitter de la santé de Dudley, aurais tu l'obligeance de nous laisser entraient ma fille et moi, exigea d'une voix ferme Luciana
-Très bien mais je te préviens Dudley pense que sa mère est ma femme Pétunia, je ne veux pas tu lui révèle que tu es sa mère, compris, annonça Vernon d'une voix autoritaire.
Après une réponse positive, Vernon les fit entraient.
Arrivaient au salon où Dudley et Pétunia regardaient la télévision Vernon, se racla la gorge
- Pétunia, Dudley voici Luciana Parkinson une de mes collègue et sa fille.
En entendant cette phrase Pansy chuchota dans l'oreille de sa mère.
- Mère il ne sait pas que tu es une sorcière
Luciana fit un non de la tête et fit un sourire au deux personne assise dans le canapé.
- Pétunia où est le garçon? Il faut qu'il prépare le repas, demanda Vernon
- Dans sa chambre, je ne lui ai pas ouvert de la journée, comme il n'avait pas finis ses corvées hier, répondit Pétunia.
Vernon fit un sourire définitivement sadique.
- Dudley va donc chercher ton cousin
L'adolescent descendit difficilement du canapé et se dirigea d'un pas lourd en direction des escaliers. Il en revint quelques minutes plus tard arborant à son tour un sourire sadique.
- Papa il est encore sortit en douce, je pourrais m'occuper de sa punition s'il te plaît?, demanda-t-il comme si il parlait d'un de ses jouets.
- Bien sur fils, tu as bien travaillé cette année donc je peux bien t'offrir un cadeau, répondit Vernon avant de se retourner vers ses invités on devra attendre le retour du cousin de Dudley avant de pouvoir manger.
Une quinzaines de minutes plus tard, la sonnerie de la maison retentit.
- C'est sûrement lui, va lui ouvrir Dudley, qu'il se dépêche de préparer le repas, exigea Vernon.
Le fils Dursley alla ouvrir la porte et cria
-Papa il saigne partout c'est horrible
Pansy entendant cela se précipita en direction de la porte d'entrée et ce qu'elle vit fit soulever son cœur. Le tee-shirt d' Harry était arraché, des marques de morsures étaient apparentes dans le cou et sur son abdomen.
-Il n'a pas voulu me lâcher, ravit de voir que tu n'as rien Parkinson, dit le survivant d'une voix faible avant de s'évanouir.
Le lendemain Harry se réveilla en sursaut, une main se posa sur lui.
-Potter ne bouge pas tes plaies ne sont pas toutes cicatrisées, dit Pansy Parkinson
Harry observa la Serpentard, ses cheveux bruns arrivaient un peu en dessous de ses épaules, ses yeux marrons chocolat étaient faut le dire magnifique.
Harry continua d'observer Pansy pendant cinq minutes avant que cette dernière reprene la parole
-Potter, c'est pas dans mes habitudes mais je voulais te dire merci pour hier soir, je serai sans doute morte, avoua-t-elle en rougissant
-C'est si dur de dire merci Pansy?, demanda Harry.
La Serpentard fit un sourire timide à son interlocuteur
-Je pense que la fierté est exacerbé à Serpentard, si on veut y survivre surtout.
-Et bien j'ai bien fait de ne pas écouter le choixpeau et d'insister pour aller à Gryffondor, dit Harry.
Pansy manqua de s'étouffer suite à la révélation que venait de lui faire Harry. Ça réaction provoqua le rire du jeune Potter suivit d'un crie de douleur. Pansy vérifia les plaies d' Harry et remarqua qu'il ne restait que des vieilles cicatrices ré ouverte. Il n'avait plus aucune trace de morsures ce qui signifiait qu'une seule chose.
-Harry, je sais pas comment te dire ça de manière Serpentard. Alors je la fais Gryffondor tu es un Loup-Garou.
