Hello hello !
Pour ceux d'entre vous qui sont en vacances... Je vous déteste, vous n'êtes plus les bienvenus ici. WALLAH. Adieu.
Plus sérieusement, le concours photos se termine dans deux semaines. Je rappelle que ceux qui veulent entrer doivent m'envoyer un MP pour que je leur transmette mon adresse email. Le prix est toujours une one-shot Chasefield dont le vainqueur choisira le thème.
Ce chapitre est un chouia plus court que les autres parce que... FLUFF ! xD "Alerte, alerte, tout le monde sur le pont, iceberg en guimauve droit devant ! Évitez la collision !"... Trop tard.
Pour ceux qui aiment lire en musique, la chanson qui correspond à ce texte est "Joe Brooks - Superman" (ce qui est marrant c'est que je ne connaissais pas cette chanson quand j'ai écrit le chapitre précédent nommé "I am No Superman" qui se retrouve dans les paroles xD Coïncidence ?)
Bonne lecture !
Kiwi
The way she smiles
Assise depuis cinq minutes sur les marches d'entrée de l'école, Max angoissait sur la manière dont elle devrait saluer la blonde quand elle arriverait. Vu le gouffre qui les avait séparé jusqu'à présent, la question se posait vraiment. Devait-elle la jouer cool comme si elles étaient amies ? L'embrasser ? (elle rougit à cette pensée) Faire comme si de rien n'était et laisser les choses se faire ?... Ou alors feindre la surprise que ce soit la première fois qu'elles se parlent ?...
La petite brune saisit son crâne entre ses mains. C'était tellement compliqué. Pourquoi Victoria était-elle si populaire ? Pourquoi n'était pas une nerd parmi les nerds ? Une personne invisible et banale qui ne se démarquait pas du reste de la population ? Genre l'amie d'Alyssa ou de Brooke... Cela lui aurait bien simplifié les choses. Et cela n'aurait pas été aussi excitant, lui chuchota une voix dans sa tête. Il fallait arrêter de nier la vérité. Victoria lui plaisait parce qu'elle était Victoria. Avec ses qualités et ses défauts. D'ailleurs en parlant du loup on en voit le sac Gucci. L'héritière Chase choisit cet instant précis pour apparaître à l'embouchure du couloir conduisant au bâtiment de photographie. Escortée par ses deux minions, Taylor et Courtney, elle marchait entre elles d'un pas assuré avec un sourire qui révélait l'ensemble de ses dents blanches. Elancée, vêtue d'une chemise blanche coupée par un cardigan noir sur un slim de la même couleur, elle imposait – comme toujours – sa présence comme la maîtresse des lieux. Blackwell lui appartenait et elle ne manquait pas de le rappeler derrière ses lunettes de soleil hors de prix qui dissimulaient ses yeux – le fait qu'elle les porte à l'intérieur des bâtiments restait un mystère quant à leur utilité.
Approchant des portes, elle aperçut finalement la barrista et son sourire s'élargit sans même qu'elle ne s'en rende compte. La sincérité qui s'inscrivit sur ses traits provoqua une envolée de papillons dans l'estomac de la brune et la scène se joua au ralentit dans son esprit. Elle avançait dans sa direction, inconsciente de ses amies qui lui parlaient. Max s'attendait presque à entendre une musique accompagnée les balancements de hanche de la blonde comme dans une publicité de parfum, leurs regards rivés l'un dans l'autre. Le monde avait cessé d'exister et se réduisait aux battements incontrôlables de son cœur.
Bom bom.
Etait-elle en train de rêver cette scène ?
Bom bom.
Elle avait le temps de voir tous les détails.
Bom bom.
Victoria se dégageait de la dizaine d'étudiants dans le hall et pourtant, ne semblait voir qu'elle. Elle n'hésitait pas, ne paraissait pas dérangée en s'approchant à chaque seconde. Ici. A Blackwell. Devant les portes du bâtiment principal.
Bom bom.
Max arrêta de respirer.
Bom bom.
Et ce fichu cœur qu'elle avait l'impression qu'on pouvait entendre à des kilomètres à la ronde.
Bom bom.
Les trois arrivantes s'arrêtèrent à sa hauteur et Max se releva promptement, une grimace confuse étirant ses lèvres. Elle se sentait obligée de compenser la différence de taille avec Victoria qui pourtant ne portait pas de talons, même si ses Teddy Smith devaient coûter la moitié de sa garde robe. Mal à l'aise, elle regarda tour à tour les trois membres du Vortex Club comme hésitant entre s'enfuir et s'enterrer.
- Victoria ?... Questionna Courtney avec un petit reniflement supérieur à la vue de Max. Tu veux que je la dégage ?
Mais la blonde ne répondit pas, à la place elle s'avança calmement vers la brune. Son regard droit et décidé tranchait avec l'indécision de cette dernière quant à la manière de saluer sa copine. Elle s'arrêta à moins d'un mètre d'elle.
- Hey, hipster ! sourit-elle entre taquinerie et douceur.
- Hey…
- On y va ?
Max la dévisagea avec stupeur pendant une infime seconde. Malgré ses lunettes de soleil qui dissimulait ses yeux, elle pouvait lire une détermination qu'elle ne lui avait jamais vue. La petite hipster se fendit donc d'un sourire heureux en ignorant l'absence de contact entre elles pour se saluer. Il ne fallait pas brusquer les choses.
- Oui, fit-elle sur un ton entendu.
Victoria lui décocha un nouveau sourire qui aurait pu éclipser le soleil et lui fit un petit signe de la tête pour qu'elle lui emboîte le pas. Elle n'était peut-être pas prête à assumer qu'elles étaient « ensemble » mais elle voulait bien qu'elles se voient en dehors du Starbucks. C'était un début.
Courtney par contre ne comprenait pas ce soudain revirement de situation. Elle regardait tour à tour Victoria et Max puis Taylor qui roulait des yeux dans un air amusé.
- J'ai raté quelque chose à propos de la lesbo ? Murmura-t-elle, nageant en pleine incompréhension.
Taylor tourna la tête dans sa direction avant d'emboîter le pas de sa meilleure amie et de la petite brune.
- Je pense juste qu'on va devoir s'habituer à avoir Max avec nous dorénavant, répondit-elle sur un ton énigmatique. Et juste un conseil, ne l'appelle plus comme ça.
- Okay ?… fit Courtney sur un ton peu convaincu. Du coup elle vient avec nous en ville ?
- Ca m'en a tout l'air.
Elles rejoignirent la voiture de Victoria qui était garée à côté de celle de Nathan tout près de l'entrée. Leurs deux places étaient réservées et personne n'osait les leurs prendre. Max grimpa à l'avant, côté passager et les deux amies de la blonde s'installèrent à l'arrière toujours sous le regard sceptique de la brune aux cheveux raides. Victoria démarra le moteur une fois que tout le monde fut installé.
- Je vous dépose au centre commercial, je laisse Max au Starbucks et je vous rejoins en suivant. Ca vous va ?
- C'est parfait, s'enjoua Taylor d'une voix pleine de sous-entendu sur ce qu'elles pourraient faire quand elles seraient seules. Prends ton temps, surtout.
Cela lui valut un regard assassin à travers le rétroviseur qu'elle déjoua d'un sourire narquois. Elle prenait beaucoup trop de plaisir à cette situation.
##
Victoria s'arrêta en double file dans la rue qui menait au coffee shop. Le reste n'était accessible qu'à pieds. Tournant la tête sur sa droite, elle dévisagea le visage piqué de taches de rousseur qui l'observait tendrement en retour. Plongée dans son regard océanique qui avait le don de couper sa respiration, elle n'avait aucune envie de laisser la petite hipster descendre. Depuis qu'elles s'étaient débarrassées du duo à l'arrière, Max avait doucement glissé sa main dans celle de la blonde pour le reste du trajet.
- Tu ne veux pas dire que tu es malade ?... Se plaignit doucement Victoria. Et on regardera un film dans ma chambre à la place.
- Et que fais-tu de Taylor et Courtney qui t'attendent ? Rit la photographe.
- Si tu savais à quel point je m'en balance. Je les vois assez souvent comme ça et j'ai envie de rattraper un peu le temps qu'on a perdu…
Pour toute réponse Max se pencha pour embrasser longuement la riche héritière qui ferma les yeux dès que leurs nez se frôlèrent. Par réflexe celle-ci glissa sa main le long de la joue de la petite hipster pour jouer sensuellement avec ses cheveux ondulés. A leur surprise réciproque, cela lui arracha un petit gémissement de plaisir qui abaissa définitivement le peu de contrôle mental que la blonde possédait encore. Encouragée par la châtain, elle appuya plus fort ses lèvres contre les siennes, approfondissement dangereusement leur échange. Indépendamment de sa raison, tout son corps répondait à l'appel de Max. Son esprit cartésien perdait le nord à cause d'un simple baiser. Et Victoria se rendait compte qu'elle aurait pu faire cela pendant des heures sans forcément chercher à aller plus loin.
- Tu vas me mettre en retard, rigola Max en s'écartant juste assez pour retrouver son souffle. Tu as une mauvaise influence sur moi…
- Désolée, répondit son opposante sur un ton beaucoup trop joyeux pour que cela soit complètement sincère. Mais je reste persuadée que passer la soirée avec moi te rapportera beaucoup plus que la misère que tu gagnes ici en une heure.
La petite hipster ne put s'empêcher de rire de nouveau en saisissant doucement le menton de Victoria entre ses doigts.
- Et après tu vas m'annoncer que tu peux subvenir à mes besoins avec ta fortune familiale et que du coup je n'ai pas besoin de travailler ? La réprimanda-t-elle.
- Je pensais plutôt t'enfermer de force dans mon donjon BDSM où tu te plieras à la moindre de mes volontés sadiques de gosse de riche à l'imagination débordante. Qu'en dis-tu ?
- … On dirait un mauvais scénario de livre interdit aux -18 ans, remarqua Max d'un air ennuyé.
- En attendant, tu es toujours dans cette voiture, s'amusa la blonde avec insolence.
- Non, non ! Il faut que j'y aille… se plaignit-elle sans pour autant faire un geste pour quitter la voiture.
Le regard de jade qui la fixait sans ciller ne l'aidait pas à être raisonnable. Victoria allait vraiment réussir à la faire sombrer du côté obscur si elle continuait. D'ailleurs, elle due le sentir car elle esquissa un sourire amusé en se reculant légèrement pour obliger Max à faire ce qu'elle devait faire.
- Tu finis à quelle heure ? Demanda-t-elle.
- 19h.
- Dans ce cas, je passerai prendre quelque chose à boire vers 18h30 et on rentrera ensemble à Blackwell. La soirée film tient toujours si tu veux.
Le visage de la petite hipster se fendit d'un large sourire. Elle remercia Victoria d'un baiser aussi léger qu'une plume du bout des lèvres. La blonde gronda comme un chat en colère de ne pas avoir le droit à plus d'attention, mais Max ne céda pas, à la place elle ouvrit la portière.
- On se voit tout à l'heure !
- Au revoir, répondit Victoria en français dans un sourire exaspéré.
- Fais pas ta tête de frustrée !
Sans répondre, elle regarda Max fermer la portière et s'éloigner. Elle avait beau savoir qu'elle allait la retrouver dans à peine plus de deux heures, elle avait du mal à se séparer d'elle et à la voir lui échapper. Quelque chose au fond d'elle craignait encore que tout ceci ne soit qu'un rêve dont elle allait se réveiller. Toujours immobile dans sa voiture, elle regarda la petite brune marcher vers son lieu de travail le pas léger. Une question persistait… Qu'est-ce que Max pouvait bien lui trouver ?... Qu'est-ce qui pouvait faire qu'elle la regardait avec une telle douceur au fond de ses yeux incroyables ? Victoria était loin d'être parfaite, ou gentille, ou même méritante… Elle n'avait jamais rien fait de bien dans sa vie. Du plus loin qu'elle se souvienne, elle s'était toujours montrée égoïste, sans pitié aussi bien dans ses mots que dans ses actions, et hautaine pour tenir les autres à distance. Max est beaucoup trop bien pour moi… murmura-t-elle avec une pointe de nostalgie qui entacha son humeur. Mais alors que la jeune femme allait mettre le contact, Max se retourna. Le nuage noir dans sa tête s'effaça immédiatement. Même séparées par une dizaine de mètres, Victoria devinait son regard azur sans nul autre pareil. Son cœur bondit quand elle lui fit un signe d'au revoir. Foutue hipster romantique qui lui faisait croire qu'elle pouvait être quelqu'un de bien… qu'elle voulait être quelqu'un de bien.
Cinq jours plus tard, samedi soir
Après une longue discussion sur quoi regarder – Max ayant lourdement insisté pour voir un animé japonaissur grand écran avec le home cinéma –les deux jeunes femmes avaient trouvé un terrain d'entente avec un film de Leonardo Di Caprio, Shutter Island, qu'aucune des deux n'avait vu. Et si elle devait être complètement honnête, il faudrait que Victoria le revoie pour comprendre l'intrigue, son attention ayant été plus focalisée sur la petite hipster au creux de ses bras que sur l'écran. Elles n'avaient rien fait de spécial, appréciant juste d'être seules toutes les deux au chaud sous un plaid et leurs mains liées, mais cela avait semblé être la chose la plus géniale de l'univers. De temps à autres, La riche jeune femme avait déconcentré la brune blottie contre elle en lui déposant des baisers sur la joue qui l'avaient faite rire et lui avait valu des remontrances comme « Suis l'histoire un peu ! » qui avaient manquées de conviction.
Victoria n'aurait jamais cru qu'une chose aussi simple puisse la rendre si béatement heureuse. Elle avait toujours eu l'habitude des soirées démesurées, des rendez-vous qui coûtaient une fortune et de l'alcool qui coulait à flots pas de cette quiétude qui la faisait se sentir complète, en phase avec elle-même. Avec Max à ses côtés, elle se sentait protégée comme si rien de mauvais ne pouvait lui arriver. Comme si elle n'était pas quelqu'un de mauvais. Les mots se formèrent dans son esprit avec une clarté qui lui coupa le souffle.
Elle… était amoureuse d'elle ?...
Oh shit.
Non ?...
Ce n'était pas juste un crush un peu obsessionnel ?...
Ses pensées se la jouèrent cinéma rétrospectif vitesse grand V. Elle revit et revécu en une fraction de secondes toutes ses pensées en étant accoudée au comptoir du Starbucks, quand elle regardait Max lui passait sous le nez à Blackwell. Sa jalousie…. Sa frustration… son sentiment de bien-être à chaque fois qu'elle la regardait. Son cœur qui s'emballait.
Shit. Oh shit…
Tous ces mois à venir la voir tous les deux-trois jours à son travail, à chercher à la croiser quotidiennement à l'école en désirant lui adresser la parole sans pouvoir le faire. Toutes ces heures à ne penser à elle et rien qu'à elle. A sourire à leurs bêtises… à relire ses textos en les analysant et over-analysant…
C'était difficilement réfutable.
Elle aimait Maxine.
Et elle en fut certaine quand elle réalisa aurait donné n'importe quoi pour la garder auprès d'elle le plus longtemps possible. Emue à l'entente de ses propres pensées, elle resserra son bras autour de la taille de celle qui l'avait acceptée pour la personne qu'elle était. Victoria ne voulait pas la laisser partir. C'était peut-être bien trop tôt pour en parler avec elle, mais au fond d'elle, elle sentait que c'était vrai. Elle ne forcerait pas les choses, mais elle se promettait d'arrêter d'être effrayée pour des crimes imaginaires dont elle était innocente. Elle avait le droit de clamer qui elle était, avec qui elle se sentait bien. Elle avait le droit d'être là en cet instant. De son côté, Max sentie son besoin de contact physique et la laissa se rapprocher dans un petit sourire silencieux.
##
Victoria avait appréhendé le moment où Max devrait partir et n'avait fait que le repousser jusqu'à ce que finalement il ne devienne obligatoire. La retenant prisonnière par la taille, elle lui offrait son sourire le plus doux pour l'obliger à rester encore deux minutes. Max, ses bras passés autour du cou de la blonde rigolait devant sa moue capricieuse.
- Tu sais que je ne serais que dans le bâtiment d'à côté, Miss privilégiée qui a sa chambre dans le dortoir neuf ? s'amusa Max. Je ne pars pas pour toujours.
- Qui sait ? Demain, je ne serai peut-être plus là, rétorqua la riche héritière avec mauvaise foi.
- Hahaha, j'en doute.
Victoria fit taire son rire moqueur en clamant ses lèvres dont elle s'empara sans rencontrer de résistance. Et elle ne put nier la petite satisfaction qu'elle éprouva lorsqu'elle sentit Max s'abandonner à leur baiser, cesser même de respirer, de penser pour vivre l'instant présent. C'était un sentiment de confiance absolu… elle abaissait ses barrières et se laissait vivre au gré de cette connexion qu'elles construisaient ensemble.
Leur baiser ne cessa que parce qu'elles se mirent à sourire, savourant la présence de l'autre, la chaleur qu'elle dégageait. Victoria sentit un petit rire joyeux aussi léger qu'un courant d'air l'étreindre. Deviner les lèvres de Max s'étirer en un rictus heureux contre les siennes était la manière qu'elle préférait pour arrêter sa nouvelle activité favorite - embrasser Max - et se faire inviter à respirer de nouveau.
- Je reconnais que tu as de bons arguments, rit Max en dévisageant la blonde qui lui retournait un regard fier.
- Ca veut dire que tu vas rester dormir avec moi ? Argua-t-elle.
Devant le haussement de sourcil que la châtain lui retourna, elle rougit furieusement en détournant la tête.
- Non non ! J'entendais vraiment dormir hein ! Bredouilla-t-elle. Je ne poussais rien !
Max rit de plus belle et Victoria se mit une claque mentale. C'était quoi son problème avec son assurance habituelle ? Elle se sentait en permanence gauche et maladroite depuis qu'elles avaient commencé à se fréquenter de manière plus officielle que leurs rencontres au Starbucks. La petite hipster l'empêchait d'avoir son mordant habituel. A la place elle se sentait inexpérimentée et candide surtout lorsqu'elle devait dire à haute voix des choses pareilles.
- Oooh, reprit Max sur un ton malicieux. Je crois que je tiens un scoop ! Victoria Chase serait-elle une romantique qui fait les choses de manière traditionnelle ?
- Quoi ?... Mais no-
- Ce n'est pas un mal, au contraire !
- Hn…
- Est-ce que tu lis souvent des romans à l'eau de rose ?
Voyant là que c'était une opportunité de se rattraper tout en renforçant sa chance de garder Max avec elle pour la nuit, la blonde reprit de sa superbe et lui offrit un sourire qui feignait l'arrogance. Le Chase white special avec supplément « arquage » de sourcil dédaigneux :
- Contrairement à toi, je suis une bonne élève, je crois en la recherche.
Sur ces mots, elle attira Max contre elle pour poser déposer un nouveau baiser contre ses lèvres qui lui octroyait définitivement la victoire. Elle se vu offrir un soupir amusé et résigné de la part de la barrista qui lui demanda de lui prêter un t-shirt et un short pour dormir.
Elle se plia volontiers à sa requête.
Non. Non c'est pas moi qui ai écrit autant de niaiserie... j'ai un alibi, j'étais au cinéma.
