Bonjour a tou(te) s,
C'est la première fiction que je poste ici et je n'attends pas d'indulgence de votre part.
Je fais souvent des fautes de temps et j'en suis navré :( J'espère qu'elles ne seront pas trop gênantes.
De toute façon, fouettez-moi autant qu'il le faudra pour corriger mes erreurs.
J'aime ça.
Cette histoire m'est apparu dans un de me nombreux bugs cérébraux. J'étais tranquille à penser au fait que j'adorerais une saison deux a OPM et je-ne-sais par quelle sorcellerie, je me suis mis a superposer du Chobits sur ça... Après de bonnes barres en compagnie de moi-même (ceci est tellement triste) je me suis persuadé qu'il serais fort coupable de garder ça pour moi.
Donc il faut s'attendre a pas mal de second degré, un léger soupçon de Shonen-ai, des dialogue fort peu convaincant et particulièrement tendancieux si l'envie m'en prend. À de l'OC totalement assumé et ...À des chapitres plutôt court.
Bien entendue, aucune des deux histoire ne m'appartient, pas plus que ces pauvres personnages. Si ce fut le cas, cela aurait été de la merde.
Disclamer:
Les personnages et le monde sont l'oeuvre de One et ne m'appartiennent en aucuns cas.
Le scénario lui, appartient a CLAMP.
Je ne gagne rien a partager cette fiction, si ce n'est le fait de divertir les lecteurs.
Introduction :
Saitama finit de nettoyer le comptoir du bar et ramassa les tables avant de se diriger dans les cuisines où sa collègue avait déjà commencé à faire la vaisselle. Il posa le tout a coté d'elle le plus délicatement possible et retroussa un peu plus ces manches pour lui venir en aide.
La femme poussa un petit cri quand elle le vit.
Fubuki:-NON! Je t'avais dit de ne pas toucher à la vaisselle !
Saitama: -Il faut bien que je fasse quelque chose...
Fubuki: -Et bien contente toi de nettoyer ce que tu ne risques pas de casser ! Saitama soupira. Je veux dire... Tu sais très bien que si tu casses encore quelque chose, tu vas te faire virer.
Saitama: -Je sais. Il détourna le regard et croisa les bras. Je comptais démissionner.
La femme le regarda un moment avant de souffler
Fubuki: -Tu sais aussi qu'il te faut de l'argent avant la fin de la semaine si tu ne veux pas être viré de ton appartement.
Saitama: -Difficile de ne pas s'en souvenir. Elle roula des yeux et recommença sa vaisselle
Fubuki: -Allez fiche le camp ! Si tu veux trouver du taff intéressant il faut que tu commences les recherches de suite. Il lui sourit doucement
Saitama:-Aaaarrg. C'est dans ces moments-là que j'aimerais avoir un ordinateur personnel...
Fubuki: -Il faudrait que tu aies un emploi bien payer pour ça.
Saitama: -Ouais... mais du coup je n'aurais plus besoin d'un ordi pour m'aider a en trouver un.
Ils rirent un petit moment avant que Saitama ne la remercie, lui souhaite une agréable soirée et parte par la porte des employés, emportant les poubelles avec lui, pour déboucher sur une ruelle malodorante
Il posa les sacs et bondit en arrière dans un cri d'horreur.
Un bras ?...
Un bras dépassait des ordures !
Le cœur battant à tout rompre, il avança lentement, s'accroupit et tendit une main tremblante pour soulever une des poches.
Au même moment, sa collègue arriva en courant.
Saitama: -QU'EST-CE-QUE...?!
Saitama venait de découvrir le visage d'un jeune homme, particulièrement beau. Avec des cheveux d'or en épis, entourant le visage son visage éthéré a la peau d'albâtre.
Fubuki: -Ah! Quelle chance ! J'ai bien cru qu'il t'était arrivé quelque chose... Saitama se tourna vers elle en état de choc
Saitama: -C'EST UN CADAVRE ! COMMENT TU PEUX RESTER AUSSI CALME!? Elle arqua les sourcilles avant de partir dans un rire sans gène qui choqua un peu plus ce pauvre Saitama
Fubuki: -C'est un ordinateur personnel...pfff... Regarde ces oreilles ... AHAHA ! Ta tête est épique ! Pendant que son amie se moquer de lui, il remarqua enfin les oreilles en métal doré imitant celles des chats, qui sortait de sous les épis blonds et désordonnée du jeune homme.
Il lui fallut néanmoins un certain temps pour que son rythme cardiaque revienne à la normal. Ça va mieux... ? La femme lui posa une main compatissante sur l'épaule. Qui soit dite en passant, n'était pas en raccord avec son sourire moqueur et les larmes qui lui restait aux coins des yeux. Comme je t'ai dit, C'est vraiment une chance. Tu pourrais essayer de le réparer. Elle fit un sourire rayonnant. Un ordi pour que dalle...
Cette idée n'était pas du tout mauvaise. Surtout, que son meilleur ami était vraiment balèze en informatique. Mais l'idée de se balader avec un "cadavre" nu dans les bras sur les 5 km qui le séparé de son appartement ...n'avait rien de réjouissant.
Fubuki: -Tu peux prendre une des nappe a l'intérieur. Temps que tu la ramènes PROPRE, demain matin ça devrais aller. Pense juste a te lever plus tôt.
Plus de raison de refuser.
Saitama: -On se vois demain Fubuki ! Je te dirais si j'ai réussi à l'allumer.
La femme lui fit des signes d'encouragement depuis la porte et ce fut légèrement inquiet qu'il mit son "paquet" fraîchement emballer sur l'épaule et partit comme un voleur.
Rasant les murs.
