Réponse aux reviews :

Alpheratz9 : Voilà la suite que tu attendais ! Je l'avais en fait déjà écrit quand j'ai publié le chapitre 3 mais manquais que je l'écrive sur l'ordi

SoYo : C'est ça la sadisme des auteurs… muahahahah tu ne le connaissais pas ?

Bayas : Tu pensais à moi ? C'est gentiiiiiiiiiiiiiiiiiiil et où est Sheppard ? Bah… y a plus qu'à lire, réponse dans le chapitre

Zaika : voilà la suite ! Bonne lecture !

°-°-°-°-°

Attention : ce chapitre sera pour la grande partie écrit sans savoir qui sont les personnages qui parlent (sauf si vous devinez :p).

Chapitre 4 :

: Je vous déclare mari et femme.

Les deux mariés s'embrassèrent timidement, ils étaient toujours aussi timide en public.

Tout le monde applaudit, surtout leurs amis. Il se dirigèrent vers le banquet monté en leur honneur.

H1 (homme): Bravo. Je suis fier de vous.

MF (Femme mariée) : Merci. Et merci d'avoir été témoin de notre union.

H1 : Je vous le devais bien.

L'homme lança un regard vers un petit garçon qui jouait… son fils.

MF (captant le regard de l'autre homme) : Vous avez bien fait…

H1 : Je l'espère.

La marié les rejoint quelques instants plus tard. Ils regardèrent l'assemblée qui s'étendait devant eux. Avaient-ils bien fait ? Avaient-ils fait le bon choix ? Ils savaient qu'ils voulaient rentrés mais cela leur était impossible. Leur regard se posa sur la Porte, ce fut comme ça qu'ils virent un homme en train de trifouiller le boîtier de commande.

MF : Calvin Kavanaugh ! Revenez tout de suite !

MH (homme marié) : Il ne faut surtout pas la contrarier.

Les deux hommes rigolèrent pendant que la jeune femme allait chercher Kavanaugh et le ramenait vers le buffet. Lorsqu'ils arrivèrent, le scientifique était encore en train de râler. « Mais j'allais réussir à le faire marcher ! » . La jeune mariée ne disait rien, arborant seulement un sourire mystérieux. Quand ils furent au niveau des deux hommes, le marié essaya de la dissuader d'accomplir son idée.

MH :Chérie…

MF : Je ne changerais pas d'avis.

Il l'embrassa mais la laissa continuer. Elle et Kavanaugh arrivèrent à la hauteur d'un groupe de femmes en train de parler gaiement. Elles étaient une dizaine, habillées surement de l'un de leurs plus beaux apparats. Dans ce village, la couleur était le terre rouge – marron et la plupart des femmes la portait. Ces femmes-là étaient toutes brunes, les cheveux longs.

Quand la meneuse de Calvin s'arrêta pour parler avec elles, celui-ci vira au couleur du village, mais en un peu plus flashi. Elle l'avait eu, elle savait ce qui allait le faire rester loin de la porte. MF glissa un mot à l'une des jeunes femmes qui sourit à son tour. Puis elle laissa le scientifique à ces femmes, ou plutôt à cette femme pour aller retrouver son mari.

MH : Chérie, pauvre Mira. Comment peux-tu lui faire ça ?

MF : Fais ton innocent, tu sais très bien que ta filleule a un faible pour lui.

MH soupira. Oh oui il le savait même s'il aurait préféré qu'elle choisisse un autre homme. Comme son meilleur ami par exemple. Mais, lui aussi avait finalement trouvé chaussure à son pied. Et, il était même père.

: Papaaaaaaaaa !

Tiens en parlant du loup. Kiaro arrivait en courant vers son père qui se baissa pour le prendre dans ses bras.

H1 : Qu'est-ce qu'il y a petit gars ?

K : Komato m'a dit que quand tonton Calvin réparerait l'anneau des Dieux, tu partirais et tu me laisserais, maman et moi, seuls ici.

H1 : Non Kiaro. Je resterais ici, toujours, plus personne ne m'attends.

Le petit sourit à pleine dent à son père avant de lui glisser un « je t'aime » à l'oreille et de se sauver.

MF : Que faites-vous ?

H1 (aussi sérieusement) : Rien. Je ne lui promets rien que je ne pourrais tenir.

Les deux mariés se regardèrent mais ils ne dirent rien.

Quelques jours plus tard, alors que tout le monde rangeait encore les restes du mariage, un homme arriva en courant vers le village.

: J'ai réussi ! J'ai réussi !

Tout le village se tourna vers lui et le regardèrent sans comprendre. Il devenait fou au fil des jours qu'ils passaient à la Porte.

C : J'ai réparé la Porte !

Tout le monde baissa la tête. Ils allaient donc partir. Ils s'étaient tous habitués à eux et les voir partir leur déchirer le cœur à tous. Ils les avaient acceptés dans leur peuple. Ceux qui furent le plus touchés furent Mira, Kiaro et sa mère.

Le soir, maison de H1

F (femme) : Alors tu vas partir ?

H1 : Non. Je reste.

F : John, je ne veux pas que tu quittes ton monde pour nous. Tu le regretteras.

J : Je ne regretterais rien. Rien ne m'attends là-bas. (d'une voix basse) Personne.

En quatre mois qu'elle le connaissait, en deux mois qu'ils étaient ensemble, elle n'avait jamais pu tirer quoi que ce soit de cette personne qui faisait souffrir John comme ça.

F : John…

J : Je ne veux plus en parler Fiona. Stp.

Lendemain matin

Il y avait un grand rassemblement devant l'anneau des Dieux. Tout le village était pour dire au revoir à ceux qu'ils avaient acceptés dans leur communauté.

De longues embrassades et de chaudes larmes furent très présentes durant cet au revoir.

Teyla vint voir le voir en dernier. Elle avait les yeux rougis par les larmes. Instinctivement, elle le prit dans ses bras.

T : Vous êtes sur de ne pas vouloir revenir avec nous ?

J : Certains Teyla. Vous savez très bien pourquoi je ne reviendrais pas.

T : Oui mais…

J : Non. (montrant son fils) Et puis, je lui manquerais.

T : Faites attention à vous alors. Et n'hésitez pas à nous prévenir…

J : Allez-y. Et dites bonjours à Elizabeth, Radek et Carson pour moi.

T : Je vous le promets.

La jeune femme allait rajouter quelque chose mais elle se tut, préférant rester en bon terme avec lui.

Elle rejoignit son mari et Calvin, et, après un dernier au revoir, ils passèrent la porte.

John resta quelques minutes devant pour graver en lui l'image de ses amis. Une larme coula, puis il tourna le dos à la Porte et partit.

Salle de briefing

Les trois revenants venaient de finir de raconter leurs quatre mois d'absence. Ils étaient tous content pour les jeunes mariés malgré le fait qu'ils aient perdus John.

Alors qu'ils sortirent tous, Elizabeth prit la parole.

W : Teyla. Pourriez-vous rester svp.

T : Bien entendu.

Elles attendirent que tout le monde soit partis pour parler. Weir était un peu gênée.

W : Comment va réellement John ?

T : Il va bien. Comme on vous l'a dit, il forme une famille à présent.

W : Je ne sais pas si les autres l'ont compris, mais il n'est pas son fils. Il a 7 ans !

T : Un fils peut être spirituel.

Elizabeth la regarda lui intimant de lui raconter.