Chapitre 5 :

Flash back

Cela faisait deux semaines qu'ils étaient arrivés sur la nouvelle planète, deux semaines qu'ils aidaient les Kamaros à reconstruire un nouveau village. Ils avaient fuis leur ancienne planète à cause des Wraiths qui les avaient attaqués par surprise. Ce fut les Atlantes qui leur trouva une nouvelle planète qui leur correspondait très bien, à la plus grande joie de l'équipe, enfin… surtout de Teyla et John.

Nouvelle planète : Kamara

Sheppard inspectait les alentours de la planète quand un peu plus loin, il aperçut un petit garçon.

J : Hey petit ! Qu'est-ce que tu fais là tout seul ?

Seul le silence lui répondit, ce qui interpella le militaire.

J (faisant retourner le petit garçon vers lui) : Hey ! Tu t'appelles comment ?

Petit garçon : Kiaro.

J : Qu'est-ce que tu fais ici ?

K : Je… je ne sais pas.

Il releva son regard vers celui de l'autre homme, ce fut là que John comprit qu'il était perdu, dans tous les sens du terme.

J : Qui sont tes parents Kiaro ?

La réaction du petit le surprit, il se mit à pleurer s'accrochant à son tee shirt. Il essaya de le calmer mais en vain, il espérait seulement qu'au moins un de ses parents n'était pas mort lors de l'attaque.

Le village

A son plus grand bonheur, Teyla vint à sa rencontre.

J : Svp Teyla occupez vous de lui. Il s'appelle Kiaro. Il faut que je trouve ses parents…

T : Ne vous inquiétez pas. Tu viens ?

Elle parlait avec douceur au petit garçon qui se sentit immédiatement en confiance et il en avait besoin.

De son côté, John demandait à toutes les personnes qu'il croisait s'il connaissait les parents d'un petit Kiaro, mais à chaque fois la réponse était négative.

Il regarda autour de lui, il avait du interrogé au moins tout le peuple et personne ne le connaissait, il n'était pas né de la vierge marie quand même !

Son regard se posa sur une bâtisse : l'infirmerie.

Il recommença son interrogatoire lorsqu'il entendit une femme l'appelait.

F : Monsieur ! Monsieur ! Vous dites vrai ? Vous avez retrouvé mon fils ?

J : Vous êtes sa mère ?

F : Vous avez retrouvé mon petit Kiaro ? Où est-il ! Je veux le voir ! Svp Monsieur, rendez moi mon fils !

J : Je reviens.

Quelques minutes plus tard, le garçon se jeta dans les bras de sa mère en pleur, mais c'était plus du soulagement qu'autre chose.

Teyla et John furent attendris par cette scène. Ils sortirent de leurs pensées quand la mère appela le militaire.

F : Monsieur, je ne sais pas comment vous remerciez pour tout ce que vous avez fait pour nous.

J : Pas besoin, je vous assure.

F : Je ne sais pas comment vous le demandez, mais…

J : Mais ?

F : Est-ce que vous pourriez garder Kiaro le temps que je sorte d'ici ? Il ne peut pas se gérer tout seul, il est encore trop petit et je n'ai personne d'autre à qui demander, je –

J : D'accord.

F : C'est vrai ?

J :Bien sûr.

Elle le remercia milles fois avant de vouloir le laisser partir.

Au fur et à mesure des jours que John et Kiaro passaient ensemble, une sorte de lien commença à se créer, les rapprochant de plus en plus. Teyla était observatrice de ce changement et elle savait que ça allait amener son ami à bien plus qu'être l'ami de Kiaro.

Fin du flash back

Une semaine qu'ils étaient revenus et la Citée était redevenue calme. Enfin… l'attitude de Kavanaugh surprenait tout le monde : il était devenu gentil ! Par contre, tous s'inquiétaient pour le docteur McKay. Depuis leur retour, il s'était enfermé dans son laboratoire et n'en sortant qu'à peine pour manger et dormir. Oui le grand glouton McKay n'avait plus cette envie, de même qu'il ne se plaignait plus et qu'il ne râlait plus après personne.

Ses amis s'inquiétaient pour lui mais le scientifique ne voulait pas qu'ils se mêlent de ses affaires.

TOC TOC TOC

Elizabeth leva les yeux de son écran et fit entrer le docteur Beckett.

W : Bonjour Carson.

C : Bon jour, bon jour, c'est vous qui le dites.

W : Qu'est-ce qui se passe ?

C : Rodney s'est évanoui, c'est Zelenka qui me l'a amené. Et son état est préoccupant.

W : C'est-à-dire ?

C : Il est en hypoglycémie, son corps est fatigué, en sous nutrition et déshydraté. S'il ne se réalimente pas bientôt, il peut en mourir. Et cette idée ne l'a pas choqué le moins du monde.

W : D'où cela peut provenir ?

Heightmeyer : D'une dépression.

W : Bonjour.

C : C'est moi qui l'est faite venir.

W : Merci. Vous dites une dépression ?

H : D'après le diagnostic du Doc Beckett et son attitude, cela à tout l'air d'une dépression. Seulement, il ne veut pas en parler, même avec moi.

W : Il faut pourtant savoir pourquoi il est comme ça !

C : J'ai peut-être une idée mais…

H : Mais ?

C : C'est une violation d'intimité.

W : Si on peut lui éviter une dépression-

C : Radek.

Weir l'encouragea à continuer sa pensée.

C : Dans un état dépressif, le patient va souvent penser à la source de la dépression, ou au moins mettre des événements en relation avec la source. Et Radek peut savoir cela.

Il s'arrêta de parler, laissant aux deux femmes le temps d'assimiler son idée. Ce fut la responsable de la Citée qui réagit la première.

W : Vous voulez faire quoi ? Mais c'est de la violation d'esprit ! Du viol !

H : Docteur, vous rendez-vous compte de ce que cela pourrait entraîner si le docteur McKay s'en apercevait ?

C : Mais s'il ne l'apprend pas, nous pourrions l'aider. (1). Ce serait une bonne chose !

W : Carson, je vous rappelle que vous êtes docteur et-

C : Je sais tout ça Elizabeth ! Vous connaissez très bien mon respect du serment d'Hippocrate et de la médecine ainsi que de mes patients ! Mais Rodney est aussi mon ami… alors si cela pouvait nous aider, l'aider…

Elizabeth jeta un regard sceptique à la jeune psychologue qui réfléchissait. C'est vrai qu'au niveau éthique ce que proposait l'écossais était malhonnête, ainsi qu'au niveau psychologique s'il l'apprenait mais si au contraire, il restait ignorant…

H : Nous ne pouvons pas décidés, les risques sont trop importants pour tenter cette option.

C : Mais…

W : Docteur Beckett, pour le moment nous ne ferons pas ça. Trouvez une autre solution.

C : C'est vous qui décidez Docteur Weir. Si vous le permettez, mais j'ai des patients qui m'attendent.

Elle accepta d'un signe de la tête. Lorsque l'homme fut sorti, Elizabeth se tourna vers la jeune femme blonde.

W : Vous pensez quoi réellement de son idée ?

H : J'avoue que les séances que j'ai avec Rodney n'avancent à rien et que ça permettrait de pouvoir trouver les mots ou les moyens de l'aider. Mais je suis toutefois d'accord avec votre décision.

Elizabeth était rassurée alors qu'Heightmeyer, elle, savait que c'était ce qu'elle voulait entendre. Même si elle n'était pas du même avis, mais elle devait rester objective et intègre.

Laboratoire de McKay

R : Eh merde !

Zelenka entra dans le laboratoire à cause du boum qu'il venait d'entendre. Il se retint de rire, il ne voulait pas l'énerver plus qu'il ne l'était déjà. Le canadien grommelait les fesses par terre.

Z : Vous voulez de l'aide ?

R : Non c'est bon ! Je peux me débrouiller tout seul.

Z (murmurant) : Et on voit ce que ça donne.

R : Je vous ai entendu ! Maintenant sortez de mon laboratoire !

Z : Non.

R : Pardon ?

Z : Je ne sortirais pas.

R : Comme vous voudrez.

Il essaya de se remettre au travail mais le regard du tchèque fixé sur lui l'en empêchait.

R : Radek, vous m'empêchez de travailler. Alors (essayant d'être aimable) si vous auriez la gentillesse de sortir de cette pièce, je vous en serais reconnaissant.

L'autre scientifique grimaça, malgré la gentillesse de la phrase, c'était trop faux. Le ton que Rodney avait employé était trop… Rodneyique : un mélange d'hypocrisie et d'ironie.

Z : Pourtant, lorsque Sheppard le faisait, cela ne vous dérangeait pas.

Il avait touché son point faible car Rodney sursauta à l'entente de ce nom. Et il réagit de suite.

R : Sortez de mon bureau immédiatement ! (quelques secondes plus tard ) De suite !

Il prit Zelenka par les épaules et le fit sortir. Il ne résista pas, il en avait assez pour aujourd'hui.

Rodney pov

Je ferme la porte et je me laisse glisser le long de la porte. Pourquoi ai-je si mal ? Pourquoi mon cœur est-il si serré ?

A cause de lui. Ce traître, ce lâche. Il n'a même pas eu assez de courage pour revenir me dire la vérité en face.

Je le déteste, je le hais.

Je ne veux plus entendre son nom ! Je ne veux plus penser à lui !

Radek Zelenka je vous maudis !

Pourquoi avoir réveillé en moi cette douleur ?

Je l'avais oublié en en faisant que travailler, en occupant mon esprit pour ne pas qu'il s'égare vers lui.

Une larme coula sur sa joue, il l'effaça rageusement, une autre vont, suivi d'une troisième et ainsi de suite. Il s'abandonna dans ses pleurs, se délivrant de la peine qui l'étouffait.

Infirmerie

Elizabeth y entra pour parler avec Carson. Elle voulait s'assurer qu'il comprenait ses raisons et qu'il ne lui gardait pas rancune. Une infirmière lui apprit qu'il était dans son bureau. Lorsqu'elle y arriva, elle le vit en compagnie de Radek et ils avaient l'air drôlement sérieux. Malgré sa capacité à garder son sang froid, elle bouillait de rage intérieurement.

W : Docteur Beckett ! Je ne vous permet pas de désobéir à un ordre ! Je veux vous voir immédiatement dans mon bureau !

Elle sortit de l'infirmerie d'un pas rapide, ne laissant pas le temps à l'écossais de répondre.

Avant de sortir lui aussi, il glissa au tchèque :

C : Continuez à l'affaiblir, puis attaquez.

Z : Ne vous inquiétez pas.

Bureau de Weir

Elle s'était assise à son bureau, essayant de se redonner contenance.

Trois petits coups à la porte la sortirent de ses pensées.

W (d'une voix sèche) : Entrez. (Elle lui désigna de la tête la chaise en face d'elle puis reprit la parole). Jamais je n'aurais pensé que vous feriez ça Docteur Beckett ! Je vous croyais intègre !

C : Ne doutez surtout pas de mon intégrité Docteur Weir.

C'était le monde à l'envers, elle passait pour la fautive et c'était lui qui était déçu et en colère ? Ca n'allait pas du tout, alors là, pas du tout du tout.

W : Je ne dois doutez de votre intégrité ? Vous n'étiez donc pas en train de parler avec Radek de connaître la cause de la déprime de Rodney ?

C : Si.

W : Expliquez-moi parce que là je ne comprends pas tout.

C : Non. C'est entre moi et Radek, faites-nous seulement confiance.

W : Que je vous fasse confiance ? Alors que l'un de vous deux est capable de lire dans les pensées des autres ?

C : Oui. Ayez confiance en Radek, pour vous.

Sans ajouter quoi que ce soit, il se leva et sortit de la pièce pour vaquer à ses occupations.

Qu'avait-il voulu insinuer ? Etait-il au courant de sa relation avec Radek ?... Qu'est-ce que ça faisait ? Il n'était pas quelqu'un qui irait le raconter à tout le monde.

Trois semaines plus tard

R : Zelenka ! Sortez d'ici ! Et bon sang, arrêtez votre manège ! Jamais je ne vous direz ce qu'il y a ! Jamais ! Alors arrêtez pour l'amour du ciel !

Elizabeth et Carson s'étaient précipités vers les cris. Lorsqu'ils arrivèrent, ils trouvèrent Radek face à une porte qui venait de se fermer sur lui. Il se tourna vers eux et leur dit sérieusement :

Z : Il faut qu'on parle.

Salle de briefing

Cinq personnes présentes, cinq amis de Rodney.

Z : Pour ceux qui ne savent pas ce qui se passe, je vais d'abord vous expliquer ce qui se passe.

Le docteur Beckett voulait que je m'immisce dans l'esprit de Rodney pour connaître la cause de son malheur. Elizabeth et le docteur Heightmeyer étaient contre. J'ai eu la brillante et malheureuse idée de le pousser à bout pour qu'il se confie à au moins quelqu'un. Mais vous avez du l'entendre, il ne veut pas et sait où je veux en venir.

T : Donc vous avez échoué.

Z : Oui. Et il ne reste qu'une seule solution.

W : Il en est hors de question !

Z : Je ne parle pas de l'esprit. John Sheppard doit revenir.

Ro : Que vient-il faire là-dedans ?

Z : Enerver Rodney pour le pousser à bout est très difficile (2). Et seul son plus grand point sensible pouvait le faire et ce point était-

C : John.

Z : Donc c'est le seul à pouvoir l'aider. Et j'ai aussi l'impression qu'il est la source de sa déprime.

L'après-midi même

W : Soyez prudent.

T : Ne vous inquiétez pas, ils seront sages.

Elizabeth regarda trois des quatre hommes qui accompagnaient l'athosienne. Radek, Carson et Kavanaugh. S'ils restaient courtois les uns envers les autres, enfin si Kavanaugh le restait, cela ne poserait aucun problème sinon… elle plaignait les Kamaros.

W : Bonne chance.

Elle eut droit à quatre sourires qui se voulait confiant. Ronon hocha seulement la tête. Quelques secondes plus tard, le vortex se ferma. La jeune femme se tourna vers un technicien.

W : Vous croyez qu'ils vont revenir sain et sauf dans les temps ?

Elle n'attendit pas la réponse et partit dans son bureau.

Planète Kamara

: John ! John !

Le jeune homme releva la tête en entendant les cris désespérés de la petite fille. Il s'appuya contre la fourche avec laquelle il travaillait. En effet, depuis qu'il vivait ici, il travaillait au champ.

J : Qu'y a-t-il Erna ?

E : L'anneau des Dieux ! Il est en train de s'allumer !

J : Quoi ?

Il laissa tomber sa fourche avant de se précipiter vers la Porte. Les Wraiths ne les avaient pas encore attaqués, ils avaient eu de la chance. John essayait de les préparer, mais les ressources de la planète étaient limitées.

Alors qu'il arriva près de la Porte, tout en criant à tout le monde de se réfugier dans les grottes, devant lui se trouvait 5 personnes qu'il connaissait bien, même trop bien.

J (criant aux villageois) : Fausse alerte. Ce ne sont que Teyla et Ronon !

John fut bousculé de toute part en moins de temps qu'il n'en faut pour dire E2PZ. Les trois anciens du village furent accueillis avec joie. Les femmes prenaient des nouvelles de Teyla et se racontèrent les derniers potins, tandis que Ronon et Kavanaugh parlaient plus calmement avec les autres hommes.

De leur côté, Carson et Radek se sentaient étrangers à tout cela, Sheppard le remarqua et vint les voir.

J : Salut vous deux ! Vous allez bien ?

C : Bonjour colonel Sheppard, bien et vous ?

J : Bah ! Plus de colonel ici ! Juste John. (il se tourna en montrant le village et son peuple) Bien comme vous le voyez.

Z : Atlantis ne vous manque pas trop ?

Les deux scientifiques virent le visage de l'ancien militaire s'assombrir avant d'essayer de remettre un masque d'homme heureux.(3).

J : Bien entendu ! Mais j'ai une vie maintenant avec une femme et mon fils.

C : C'est vrai. Pourrions-nous les rencontrer ?

J : Bien entendu. Mira ! Kiaro !

Cela sonnait l'heure des présentations des nouveaux venus. Cela dura quelques heures, le peuple étant très chaleureux et ouvert. Carson et Radek furent surpris de cet accueil mais l'apprécièrent à sa juste valeur.

La nuit était tombée depuis longtemps lorsque beaucoup de Kamaros allèrent se coucher. Bientôt ils furent seuls. Ce fut à ce moment-là que John devint sérieux.

J : Cessons ces petits jeux. Que venez-vous faire ici ?

Son regard se fixa sur Carson et Radek, les étrangers sur cette planète. Il n'avait rien trouvé de louche si seul Teyla, Ronon et Calvin étaient revenus mais là…

T : Voyons John, n'avons-nous pas le droit de venir ?

J : Vous oui, mais pourquoi eux ?

C : Nous avons des prénoms colonel.

J (sifflant) : John… alors Carson ?

Les étrangers se regardèrent et d'un commun accord, Carson commença.

C : Vous êtes notre dernière chance pour sauver quelqu'un.

J (surprit) : Qui ?

C : Rodney.

Là, le système interne de John (c'est-à-dire son cœur :p enfin ça il le sait pas) déclencha une alarme.

J : Qu'a-t-il fait encore ?

Z : Encore ? Vous-

C : Radek… (se tournant vers Sheppard) Il va très mal, il ne mange plus, ne dort plus et ne cesse de travailler. Et ce depuis le retour de Teyla, Ronon et Kavanaugh, depuis trop longtemps.

J : Et en quoi puis-je l'aider ? (4)

Ce fut Radek qui prit la parole.

Z : Revenez sur Atlantis et allez lui parler !

J : Non !

Il n'avait pas réfléchit et avait refusé automatiquement, cela surprit tout le groupe.

Z : Pourquoi ?

Les joues de John rougirent un peu, montrant la gêne de son propriétaire.

J : Je ne peux pas.

C : Alors vous allez le laisser se tuer à petit feu ? Je vous croyais avec plus d'honneur John.

J (s'emporta) : Vous ne comprenez rien ! Vous ne savez rien ! Alors ne venez pas m'accusez de quoi que ce soit !

Teyla, qui n'avait pas pris la parole depuis le début, demanda :

T : Pourquoi ne pas nous dire ce qui s'est passé avant notre départ ?

Sheppard baissa la tête et réfléchit. Finalement, il releva la tête vers ses amis et pris une décision.

Fin du chapitre

Merci pour toutes vos reviews, elles me font chaud au cœur ! J'espère que vous aimerez ce nouveau chapitre. Bisous à tous et à toutes !

: Je sais que Carson en temps normal ne demanderait jamais ça, mais comme c'est Rodney, c'est un de ses plus proches amis, pour moi il ferait tout pour le sauver.

Pour moi, il s'énerve ou râle plus par plaisir qu'autre chose. Donc vraiment l'énerver c'est un record lol

S : Mais bien sur, j'y crois dur comme fer qu'il va y arriver !

S :Il fait l'innocent en plus !