Chapter 3
Je suis désolée, pendant un moment j'ai réfléchie à arrêter cette histoire après plusieurs critiques m'ayant touchée. Mais je reviens en force !
Malheureusement, il va falloir attendre un peu pour connaître l'identité du mystérieux individu qu'a rencontrée Eliza.
Laissez vos reviews !
Point de vue de Eliza.
- Parce que c'est le gars avec qui j'ai couchée.
Sa voix tomba, impénétrable d'émotions.
- Et… Tu… Robert Pattinson ? Tu ne l'as pas reconnue ?
- Non, je ne connais pas cet acteur.
Voyant ma tête, elle se renferma.
- Eliza, ce n'est pas si grave que ça n'Est-ce pas ?
J'inspirai profondément, tentant de retrouver mon calme.
- Juliette. Ce type est mondialement connu. On voit sa tête partout, sur les routes, dans les librairies..
- Qu'Est-ce que fait un acteur dans une librairie ?
- Tu as déjà entendue parler des filmographies ?
- Il est si connu que ça ?
- Puisque je te le dis. D'ailleurs, mon boss veut que je couvre le sujet sur son prochain film.
Elle me saisit la main, affolée.
- Tu ne peux pas faire ça Eliza !
- Et pourquoi ? C'est un sujet très important.
- Mais il te reconnaîtra. Nous sommes jumelles.
- Nous n'avons pas les mêmes yeux, objectai-je. De toute façon, si il a aussi bonne mémoire que toi, il ne te reconnaîtra pas en moi.
- Il sait que j'ai une jumelle.
- Juliette, que veux tu que cela me fasse ? Assumes tes erreurs, je ne veux pas le faire à ta place.
Elle recula de quelques pas, choquée.
- Je suis désolée, je ne voulais pas dire ça.
- Ne t'inquiètes pas, je me débrouillerais sans toi.
- Juliette attends !
Elle était déjà partie.
Je regardai autour de moi. Une foule se pressait autour de moi. M'ignorant. Il n'y avait aucune raison pour qu'on est entendu notre conversation. Les gens de la ville étaient par trop égocentriques. Tout comme moi.
oOo
Je pénétrai dans le hall climatisée de l'hôtel. Un Stewart portant la livrée de l'hôtel s'approcha de moi.
- Votre sœur, ou du moins la personne qui partage votre chambre m'a annoncée que vous vouliez rendre la chambre avant la date prévue. Comme la chambre est à votre nom, je voulais vous demander confirmation.
J'en restai coite. Juliette partait ? Mais où ?
- Je vais voir ce qui ne va pas, je vous tiendrais au courant.
Je gravis les escaliers car une foule se tenait devant l'ascenseur.
Arrivée dans la chambre, je remarquai Juliette en train d'entasser pêle-mêle ses vêtements dans sa valise.
- Juliette, s'il te plaît, c'était juste des paroles malheureuses.
Elle me fixa quelques secondes avant de se remettre à sa tâche. sa tache.
- Outre le fait que tu m'as vexée, mais j'accepte tes excuses, tu as vu ce qu'il se passe dans le hall de l'hôtel ?e qu'il se passe dans le hall de l'hôtel?
- Non.
- Les acteurs de Twilight vont donner une conférence dans cet hô une conférence cet dans l'hôtel.
- Je croyais que tu ne le connaissais pas en tant qu'acteur ? qu'acteur?
- C'était écrit sur l'article.
- Et donc, tu prends la fuite ?
- Exactement, je rentre chez moi.
- Mais tu es au chômage.
- Et alors ? J'ai des économies tu sais ?
- Pourquoi n'emménages tu pas chez moi ?
- Je vais y réfléchir. Pour l'instant, je veux juste rentrer et oublier.
- Je peux venir avec toi ?, lui demandais je avec culpabilité.
Sa journée avait été chargée à elle aussi, même plus que la mienne, et je l'accablais de été chargée à elle aussi, même plus que la mienne, et je l'accablais de reproches.
- Je te rappelle que nous sommes venus avec une seule voiture, banane !e rappelle que nous sommes venus avec une seule voiture, banane!
Point de vue de Juliette.
Lunettes noires sur le nez, foulard enfouissant mes cheveux, imperméable recouvrant mes formes, je m'engouffrais dans l'ascenseur. Eliza peinait à réfréner son fou rire à côté de moi, je le voyais bien. - Tu vas plus attirer l'attention que rester discrète, si tu veux mon avis, me dit l'attention discrète que rester, si tu veux mon avis, me dit elle.
- Chut, on arrive, lui soufflais je.
Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent alors sur le hall.
Je sortis rapidement mais Eliza, qui avait été éblouie par la soudaine luminosité mit quelques secondes à réagir à ma suite. Mais Eliza, qui avait été éblouie par la luminosité mit quelques secondes à réagir à ma suite.
Je marchais rapidement jusqu'à la porte de l'hôtel quand quelqu'un héla ma sœur. Une vois masculine. Je me glaçais.
- Oui ?, demanda-t-elle. Oh, souffla-t-elle.
Affolée, je jetai un coup d'œil vers l'inconnu. Non, ce n'était pas lui.
Par contre, je remarquais la mine soudainement timide de Eliza. Je me promis de l'interroger plus tard.
- Je vais y aller, lui glissais je en douce.
Elle réagit enfin.
- Non ! Je suis désolée mais il faut que j'accompagne ma sœur. Au revoir, lui dit elle en commençant à partir, me laissant en plan.
- Je ne peux te revoir ?, dit il au vide.
Je me hâtai à sa suite mais mon châle tomba.
Me retournant pour le ramasser, quelqu'un le fit à ma place, me le tendant.
Quand je me relevai, je vis son visage.
- Merci.
Eliza était déjà sortie, je le voyais du coin de l'œil. Comment allais je me sortir de ce pétrin ?
Comme il ne m'adressa pas la parole, il se contenta de me fixer, je voulus m'éclipser. Il m'en empêcha, bloquant mon poignet dans sa main.
- Lâches moi tu me fais mal, m'écriai-je.
Il tourna la tête de tous les côtés, traqué, car j'avais fais beaucoup de bruits.
- Écoute moi. Je ne peux pas te parler maintenant mais, je t'en prie, donnons nous rendez vous. Il faut qu'on parle, me dit l'homme avec qui j'avais passée la nuit.
- C'est impossible, je pars, déblatérais je avant de libérer mon poignet et de courir jusqu'à la voiture.
Eliza s'était déjà assise du côté conducteur, m'attendant.
- Que faisais tu ?, me demanda-t-elle. J'espère que tu ne lui a pas parlais.
- Non.
Ma réponse sibylline la surprit mais elle s'en contenta. Je savais qu'au fond elle, elle fourmillait de questions en tous genres mais elle ne m'en posa aucunes.
Je regardai par la vitre pendant que nous sortions de Cannes. Je feignis de me passionner par le paysage méditerranéen. Je réfléchis à la proposition qu'elle m'avait faite il y a peu. Emménager avec Eliza n'avait pas que des mauvais côtés. Partager un loyer serait moindre que de l'assumer à moi seule.
- Est-ce que je pourrais pas la nuit chez toi ?, lui demandais je.
Elle me sourit.
- Tu veux bien emménager avec moi ?
- J'aimerais bien.
- Nous nous en occuperons demain alors.
Je me contentai d'un sourire.
Cela me soulageait de ne plus être seule. Je n'aurais pu passer une nuit toute seule dans mon studio. Le loft que ma sœur occupait dans Paris me semblait plus attrayant.