Note de l'auteur.

Bien sûr tous les personnages ne m'appartienne pas, sauf un.

O'neill est agé de 40 ans et il est Général deux étoiles mais toujours au commandemant du SGC.

Merci de votre compréhension si il y a de petites imperfection ( comme l'orthographe, les fautes de frappe ou si il y a des incohérences dans mon histoire)

Bonne lecture !!!

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AMOUR ETOILE

Les sorciers.

La magie.

Toute une société. Tout un système. Inconnu de tous.

Incroyable ??!!

Jack O'Neill, Général de l'armée de l'air de l'armée des états unis d'Amérique, était sidéré.

Pourtant, au cour de ces sept ans au SGC, il en avait vu des choses. Des choses incroyables et inimaginables. Il avait visité des centaines de mondes, rencontré des centaines de civilisations, en allant de la plus primitive jusqu'à la plus évoluée. Rencontré des toutes sortes de créatures, des plus inoffensives aux plus dangereuses, les Asgards, les Noxs, les Goaul'd, les réplicateurs, les Oris…

Mais jamais il n'avait envisagé qu'une civilisation parallèle évoluée sur TERRE !!!

Depuis plus de 12 heures, il écoutait, comme des centaines d'autres militaires venant de 16 pays différents, l'histoire, le passé, la situation des sorciers d'Angleterre. Sorciers, magie, chasse aux sorcière et mage noire. Eux, nommés par les sorciers, Moldus, entre dès aujourd'hui dans leur histoire. Les gouvernements moldus sont au courant depuis des centaines d'année et apparemment, un statu quo était installé jusqu'à maintenant. Mais les événements semblent dégénérés et empirés.

Les sorciers avaient tenté de gérer la situation par eux mêmes car s'était leur problème donc c'était à eux de le régler. Normal.

Mais la menace est si grande qu'ils leurs est impossible de la contenir.

Voldemort. Voici le nom de la menace.

Jack riait intérieurement. L'image de Dark Vador s'imposa dans son esprit. Malheureusement, contrairement au personnage de fiction, Voldemort ou Tom Elvis Jedusor, de son vrai nom comme l'indique son rapport, avait fait des centaines et des centaines de victimes, sorcière ou moldus confondues. Depuis plus d'un an, une émergence de violence s'était emparée du monde. Partout, des guerres civiles, des attentats, des massacres au quatre coins du monde. Sans compte ceux que les gouvernements ont attribué aux accidents et aux catastrophes naturelles.

Jack s'en voulut. Avec le SGC, en visitant d'autres planètes, il n'avait même pas vu que la sienne était au bord de l'implosion.

La situation était claire. A force de corruption, de manipulation, de chantage, de combat, de massacre, de tuerie, de peur et de trahison, Voldemort avait quasiment pris le contrôle de l'Angleterre. Les ordres étaient simples. Pour certaines de ces équipes, elles iront renforcer la dernière position qui résistent encore à Voldemort en Angleterre pendant que les autres se prépareront à un éventuel échec et donc la contre attaque.

- Général O'Neill, Vous irez en Angleterre soutenir leur position et apporter une eventuelle tactique militaire. Déclara le chef d'état major des armées qui leur faisait le briefing. Vous serez accompagné du Général Kidmann d'Australie. Libre à vous de composer votre équipe.

- Bien, Général. Répondit-il simplement.

Il ne savait pas comment il devait prendre cette nouvelle. Las, c'est encore lui que l'on envoyait en première ligne mais en même temps. lui qui se plaisait bien à diriger le SGC tranquillou. Mais il était assez curieux et excité de rencontrer les principaux résistants de la guerre qui se profile et de voir de ses propres yeux cette magie si mystérieuse.

Pour Jack, le départ était prévu dans deux jours et il devait composer de son équipe. Chez lui, assis dans son fauteuil préféré de son salon, une bière à la main, il réfléchissait à qui il emmènerait avec lui.

Carter, bien sûr.

Daniel, si il ne le fait pas, le prof allait le scalper pour l'avoir mis au placard.

Teal'c ainsi que Mitchell accompagnée de Vala et de Fraizer, il leur faut une toubib, au cas où. Jack poussa un soupire de lassitude.

Carter…

Il l'avait laissé partir, elle s'est mariée avec son flic et aussi étrange que invraisemblable, son amour pour elle avait disparut. Maintenant lorsqu'il la regardait, il voyait en elle une sœur, une confidente, qu'il fallait à tout prix protéger et qui le comprenait parfaitement. Peut-être les choses auraient pu être différente si il ne l'avait pas laissé partir mais maintenant c'est trop tard, il était seul, encore, à nouveaux. Il venait d'avoir 40 ans et il n'avait rien ni personne dans sa vie.

Il avait perdu son fils, sa femme l'avait quitté et il avait laissé partir Carter.

Il se demandait parfois ce que l'avenir lui réservait.

Il ignorait ce que cette mission allait lui apporter mais il avait le sentiment que quelque chose aller changeait dans sa vie.

Il le savait, il le sentait.

C'est sûr ces pensées positives qu'il s'empara de son téléphone et composa le premier numéro de son équipe.

%%

Quelques heures plus tard. Salle de débreifing du SGC.

- … ?

- … !

- … ?!

- … !?

- Jack…Commença Daniel. Vous plaisantez ? N'est ce pas ?

- Non Danny, pas cette fois. C'est très sérieux. Je vous ai choisit parce ce que j'ai confiance en vous. Toutefois je comprendrais parfaitement que vous ne vous joignait pas à moi pour ce coup là. Il est très risqué. Doublement puisqu'il se passe chez nous et que si nous échouons, Voldemort raffermira son emprise sur notre monde. Et il sera très dur de l'abattre.

Jack venait de dévoiler le briefing auquel il avait assisté et venait de les inviter à se joindre à lui. Tous étaient abasourdit, stupéfait. C'est une situation impensable.

- Je suis dès votre. O'Neill. Accepta Teal'C de sa platitude habituelle.

- Moi aussi Jack. Je ne manquerais pour cela pour rien au monde. S'extasia Daniel qui se voyait déjà en train d'étudier cette communauté parallèle à la notre. Jack le regardait avec sourire se trémoussait sur sa chaise et voir les yeux de son ami pétiller d'excitation.

- Ils ont peut-être des potions et des remèdes plus évolués que les nôtres. Je pourrais peut-être découvrir un miracle. Approuva Fraizer.

Mitchell accepta, argumenta qu'il était sous ses ordres. Et Vala, elle accepta juste pour rien. Toujours prête, dans les coups fourrés. Ne restait plus de que Carter.

- J'accepte. Se contenta t-elle de dire. Je pourrais peu-être découvrir d'où provienne leur magie et pourquoi des enfants, née –moldus, deviennent sorciers sans aucune raison apparente. Ce qui génère leur magie et comment ils l'utilisent.

- Parfait. Le départ pour l'Angleterre est prévu demain à 6 heure 00. Rendez-vous, ici.

Lorsque Jack rentra chez lui, il fit son paquetage. Confia son chat à sa voisine. Ferma sa maison, eau et électricité. Et repartit à la base. De toute manière, rien ne le retenait ici.

Dire que Jack n'avait rien compris était un euphémisme. A 6h30, il avait reçu ordre, lui et toute son équipe, de toucher une vieille bouilloire de grand-mère. Eux et toutes leur affaire disparurent en quelques secondes.

Il se sentit aspiré par le nombril, tout se mit à tournoyer autour de lui. Il ne savait plus où il était. Totalement désorienté.

Le contact glacé du sol lui rendit ses perceptions et la douleur de l'atterrissage brutal. Il fut à deux doigt de rendre son petit déjeuné. Il fut rassuré de voir qu'il n'était pas le seul à être dans cet état là. Vala taguait comme si elle venait de boire et Daniel avait encore les yeux qui bougeaient tout seul.

Lorsqu'il se releva avec difficulté, il observa avec attention le décor qu'il l'entourait. Un bureau richement décoré, trop d'ailleurs. Trop de dorure, trop clinquant pour lui. Son regard se posa sur les deux personnes qui lui faisaient face. L'un était petit, grassouillet. Il suait tout ce qu'il savait. Jack su dès l'instant qu'il n'apprécié pas ce petit porcelet. Il les regardait lui et son équipe avec mépris et arrogance. L'autre était, par rapport à lui, très grand. Habillé d'une grande tunique bleue nuit brodées de lunes et d'étoiles argentés. Il avait une très longue barbe blanche, des lunettes demi-lunes, et un regard bleue ciel pétillant de malice.

« Merlin en personne » pensa Jack.

- Soyez les bienvenus. Je suis Albus Dumbeldore, Directeur de Poudlard. Ecole de Sorcellerie d'Angleterre. Se présenta le vieil homme. Voici le ministre anglais de la magie. Cornelius Fudge.

- Général Jack O'Neill, armée de l'air de Etat-unis. Répondit Jack en serrant la main que le vieil homme lui présentait.

Il se tourna vers le ministre qui lui en revanche, refusa de le toucher. Il fronça les sourcils face à cette impolitesse.

- N'en voulez au ministre Fudge. Nous ne sommes pas vraiment d'accord sur votre venue et votre soutien. Mais il s'est rendu compte que nous n'avions plus vraiment le choix.

A côté d'eux, les australiens arrivèrent tous aussi désorienté qu'eux. Après moult présentations, ils abordèrent le vif du sujet.

- Voldemort ne s'est pas encore réellement occupé de moldus anglais. Il semble vouloir d'abord décimer la société sorcière avant, mais cela ne l'empêche pas d'en faire des victimes. Le gouvernement britannique moldus s'en ai bien entendus, rendu compte. Arrivé à ce stade il nous était impossible de cacher la situation. La population sorcière s'est réfugiée en trois endroits. Ici au ministère, à Saintes-Mangoustes, notre centre hospitalier, qui se trouve à deux pâtés de maison d'ici et à Poudlard. La population à finit par fuir leur propre maison, terrifiée de se faire attaque en pleine nuit et de voir leur famille massacrée par des partisans, ivre de violence et de tuerie. A l'heure actuelle des choses, Voldemort attaque principalement Poudlard. Aussi étrange que cela puisse paraître, il considère l'école comme sa première maison et pour lui le pouvoir, c'est Poudlard. Mais cela de l'empêche pas de lancer des offensives sur le ministère ou sur Sainte-Mangouste, qui apporte son lot de victimes en plus.

Durant le discours du directeur, Jack observait avec attention les réactions du ministre. Et il vit clairement que le ministre n'aimait absolument pas Dumbeldore.

- Sottise ! S'exclama le Ministre. Poudlard ne lui apporte aucune position stratégique. Le pouvoir c'est et ce sera toujours le ministère !! C'est ici qu'il frappera. C'est nous que vous devez protéger.

- Je suggère de nous séparer le travail. En conclu le Général Kidmann. Où souhaitez vous aller ? Demanda t-il à Jack avec un sourire complice.

- Je me vois bien à Poudlard. Je me fais une joie de retrouver les bancs de l'école, si cela ne vous faire rien. Répondit Jack avec un large sourire.

- Etant plus nombreux que vous je trouve cela bien. Vous à Poudlard, nous on s'occupe du ministère et de Saintes-Mangouste.

Jack et Kidmann partirent rapidement dans une conversation sur protection, matériel, communication. Carter souleva un problème que Jack n'avait même pas remarqué.

- Professeur Dumbeldore. Interrompit Carter. Depuis que nous sommes arrivé ici, j'ai remarqué qu'aucun de nos instruments électroniques ne fonctionnent.

- C'est normal. Les appareils électroniques ne fonctionnent pas dans notre monde. La magie interfère avec vos ondes radios.

- Et il n'existerait pas un sort ou un enchantement qui pourrait arrangé cela. Sur un champ de bataille, l'une des clefs de la victoire se trouve dans la communication. Questionna Jack contrarié de cet handicap.

- Si je peux vous arrangé cela. Regroupez vous. Répondit Dumbeldore en se levant.

Il sortit un fin bâton de bois, fit un mouvement léger et fluide et marmonnant et un rayon jaune toucha les militaires de plein fouet. Dumbeldore fit la même chose sur leurs bagages.

- Bien. Déclara Fudge avec hauteur. Général Kidmann, veuillez de me suivre. Dumbeldore, je vous laisse, vous connaissez le chemin de la sortie.

Dumbeldore approuva de la tête. Il ressortit sa baguette et la pointa sur la bouilloire qui les avait amené ici. Il demanda à l'équipe de Jack de la toucher tous en même temps. Jack se sentit de nouveau aspirer par le nombril, tout se remit à tournoyer, et l'atterrissage se fit de nouveau dur et brutal.

Rapide comme moyen de transport mais alors ça vous retourne l'estomac. Pensa t-il le teint vert.

La pièce dans lequel ils avaient atterrit été circulaire, joliment décorée, chargé de bibelot, qui devaient tous avaient leur histoires et leurs souvenirs sentimental. Cette pièce plaisait énormément à Jack. Un grand bureau, chargé de papier, trônait au milieu de la pièce. Ils sursautèrent tous lorsque Dumbeldore apparut à leur coté, tout souriant, accompagné de leurs baguages.

- Bienvenue à Poudlard. Je tiens à vous dire que je suis particulièrement heureux que vous soyez venus pour nous apporter l'aide que nous avons malheureusement besoin. Quoiqu'en dise notre ministre. Déclara t'il en s'installant derrière son bureau. Je vous en prie, asseyez vous. Vous devez avoir beaucoup de questions ?

Le vieil homme fit apparaître 7 fauteuils confortables devant les yeux émerveillés de l'équipe SG. Jack menaça Sam et Daniel de parler. Il avait des questions et il serait le premier à les poser.

- Je doit vous avouer, Mr Dumb..

- Albus. Appeler moi Albus. Nous allons travailler ensemble. Vous n'êtes pas l'un de mes élèves et je ne suis pas un militaire.

- Alors appelez moi Jack. Pouvez vous nous parler de Poudlard ?

- C'est une école créée il y plus de 1 000 ans par les 4 plus grand sorciers et sorcières de l'époque, Rowena Serdaigle Helga Pouffsoufle, Godric Gryffondor et Salazar Serpentard. Elle permet d'offrir un enseignement de la magie à tout enfants dès l'age de 11 ans. Issue de famille de sorcière et de famille de moldus. Elle est devisé en quatre maison, ou secteur si vous préféré. Elles portent toutes le noms d'un des fondateurs, correspondant aux caractères de l'élève. Serdaigle pour l'intelligence, Pouffsoufle pour la loyauté, Gryffondor pour le courage et Serpentard pour la ruse. Et malheureusement c'est ici que Voldemort à émerger. Il est le descendant de l'un des quatre fondateurs. Salazar Serpentard, qui au fils du temps prétendit qu'il ne fallait limiter l'enseignement qu'aux sorcier de sang pur. Voilà ce n'est rien de plus bête, qu'une guerre de race, de sang pur. Et peu de sorciers ne se sont intéressé à la seconde guerre mondiale des moldus. A l'heure actuelle, les protections magiques de Poudlard ne permettent pas à Voldemort d'attaquer de front et de passer par la grande porte. Face Nord se trouve un immense lac. Il n'a pas encore pas eu l'idée de passer par là, avec une armada de bateau et prions qu'il ne le fasse pas. Quoiqu'il doit bien se douter que le calamar géant ne le laisserai pas faire. Face Est, une immense falaise, impossible pour lui de passer pas là à moins de le faire en rappel ou en volant, mais cela n'est pas assez digne pour lui. Cela ne lui laisse que les faces Sud et Ouest. La forêt bordant l'école est longue de 50 km et large de 100. Nous avons des patrouilles et des points de surveillances dans certaines parties de la forêt mais ils réussissent à passer à travers nos filets. La forêt est trop dense et nous sommes trop peu. La plupart des combats se déroulent là-bas. D'autant que la forêt interdite est dangereuse, il y a des créatures plus dangereuses que les mangemorts au plus profond des bois. Ne vous y aventuraient pas tout seuls, vous ne vous en sortirez pas vivant, faîtes moi confiance. Les 1500 civils présents dans l'école occupent une bonne partie du château. L'autre partie est dédiée aux combattant. Vous serez loger dans la salle commune des Serpentard. Le fait que beaucoup de mes élève de serpentard se sont révélés être des mangemorts, personne ne veux loger dans leurs espaces, sauf quelques combattants. La « maison maudite », comme ils l'appellent. Se sont les seuls appartements que je peux vous offrir.

- Cela nous convient, un lit et une douche. Cela nous suffit. Argumenta Jack.

Quelqu'un frappa à la porte et entra sur ordre du directeur. Un jeune homme, la vingtaine à tout casser. Grand, finement musclé, les cheveux brun en bataille incroyable, des yeux vert émeraude scintillant.

- Harry, mon garçon. Pile à l'heure. Assis-toi.

- Albus. Salua t-il en faisant apparaître un fauteuil de plus.

- Je te présente l'équipe militaire moldus envoyer par les américains.

- Enchanté de faire votre connaissance. Harry Potter. Dit il en leur souriant.

- Général O'Neill. Appelle moi Jack. Proposa t-il au garçon qui lui plaisait énormément au premier abord. Voici Daniel Jackson, spécialiste en civilisation ancienne. Je pense qu'il à hâte de lire tous vos livres de la bibliothèque. Le Lieutenant-colonel Carter, scientifique, ne vous en approchez pas trop, elle risque de vous dépecer pour vous étudier. Souffla t-il discrètement sans vraiment l'être.

La blonde aux cheveux courts lui lança un regard noir avant de lever les yeux au ciel face aux élucubrations de son supérieur.

- Le colonel Cameron Mitchell. Le docteur Fraize, qui espère étudier votre médicine. Teal'C, un combattant au corps à corps imbattable. Et enfin Vala Maldoran, maraudage et chapardage, est sa spécialité. Tous ont déjà vu et vécu un certain nombre de combat et de nombreuses épreuves. Nous avons l'habitude des combats, de l'adrénaline et de la peur. Nous sommes tous des guerriers aguerris. Et même si les mangemorts peuvent avoir un certain avantage sur nous, ne nous sous-estimer pas. Nous avons amener quelques petit joujoux qui les surprendront très certainement.

- Justement non. Jack. Le rassura Harry. Avant d'entrer dans le monde des sorciers, je fus élevé dans le monde moldu. Peu de sorciers accordent beaucoup de crédit au moldu. Voldemort et ses mangemorts ne les voient encore avec des arcs, des flèches et des épées, pratiquant la chasse aux sorcières, l'inquisition et tout le bataclan... Je sais que votre technologie a énormément augmenté. Le téléphone, les ordinateurs, Internet, sans parler de vos armes. Vos moyens de communications sont nettement plus performants que les nôtres. Les sorciers communiquent encore par hiboux voyageurs. C'est justement pour cela que nous avons fait appelle à vous. Nous sommes en première ligne et la situation stagne voir empire. Il est temps de changer de tactique et d'essayer de nouvelles choses. Les mangemorts ne seront pas à quoi s'attendre avec vous. Albus, pouvez vous me prêter votre pensine ? Mes souvenirs seront plus simples que de longues explications compliquées. Dit-il en se levant, contournant le bureau de son mentor.

Jack était impressionné de voir comment un gamin si jeune avait autant de chip-leader en lui. Ce gosse était fait pour mener des troupes. Franc, net et droit au but, il ne se lance pas dans de grandes explications sans fin ou ne tourne pas autour du pot pendant des heures.

Harry sortit sa baguette, la colla sur sa tempe et en sortit un filament argenté fluide, il le déposa dans la bassine bleue argentée luisante posée par Dumbeldore sur le bureau. Sous sa demande, ils s'en approchèrent et Jack se sentit basculer, tombant en avant. Des images se succédèrent les unes après les autres. Comprenant l'histoire de Harry et ses aventures. De sa première année à Poudlard, jusqu'à maintenant. Le meurtre de ses parents, de son parrain, la résurrection de Voldemort, la prophétie, la perte peu à peu des ses proches, l'un de ses frère…son meilleur ami… Jack sentit son cœur se serrer.

Comment un enfant a t-il pu supporter autant d'horreur et de malheur. Jamais il n'aurait du à avoir supporter cela. Tout cela à cause de la folie d'un seul homme. Jack se promit qu'il ferait tout ce qui sera en son pouvoir pour aider Harry à réaliser la prophétie. Puis il se sentit violemment éjecté de la pensine. Lorsqu'il repris ses esprits Harry était toujours assis dans son fauteuil avec une tasse de thé fumante à la main.

- Ce mec est un vrai malade. Commenta Jack en s'asseyant dans son fauteuil. Et pourtant j'en ai croisé dans ma vie.

- Et ses partisans ne sont pas mieux. Renchérit Mitchell.

Harry ricana gentiment.

- Teal'C j'ai cru comprendre que vous étiez un bon combattant au corps à corps.

- En effet Harry Potter.

- Nous manquons d'entraîneur de votre calibre. En faîtes nous en avons qu'un seul mais personne ne veut travailler avec. Je fus le seul à le faire. Du coup, rares sont ceux qui savent se battre au corps au corps.

- Cela sera un honneur. Harry Potter. Accepta le grand métis.

- Colonel Carter…

- Samantha. Rectifia t-elle.

- Samantha. Avec des échantillons de sangs. Pensez vous que cela vous suffira pour le moment. Peu être découvrirez vous quels secrets notre sang referme ? Où d'où provient notre magie ?

- Je l'ignore, Harry. Mais on peut toujours essayer, on apprendra sûrement quelque chose. Répondit elle en contenant sa joie d'avoir accès à leur sang sans à avoir à le demander.

- Madame Valdoran…

- Quelle horreur ! Vala. Par pitié.

- Vala. Maraudage…C'est ça ? Questionne t'il avec un large sourire en sortant un parchemin. Ceci est mon bien le plus précieux. Il fut crée par mon père et parrain. La carte du maraudeur. « Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises. ». Déclara t-il en pointa sa baguette dessus.

A l'émerveillement de tous, le plan de Poudlard se dessina devant leurs yeux. Toutes les personnes présente dans le château apparaissant par de petites étiquettes.

- A l'heure actuelle, ceci est notre seul moyen de surveillance du château. Dit il en lui confiant le parchemin à la belle brune.

- J'en prendrais grands soins, Harry, vous avez ma parole. Dit-elle avec un tel sérieux que cela en étonna plus d'un.

Harry se tourna vers Daniel et lui fit un large sourire.

- Daniel. Je vous présenterais à une amie, Hermione Weasley, qui à fait de la bibliothèque sa deuxième maison. Je suis sur que vous vous entendrait parfaitement. Et ne vous inquiétez pas, elle est une née-moldu alors vous n'avez aucune crainte de lui parler de technologie, elle vous comprendra.

- J'ai hâte. Répondit Daniel excité comme un gamin le matin de noël

Docteur Fraizer, nous vous présenterons à l'infirmière de Poudlard, Mme Pomfresh. Je suis sur qu'en comparant vos connaissances, nous en retireront un énormément de bénéfice.

- Je n'en doute pas.

- Cameron, Jack je vous ferez visiter le château et toutes nos positions stratégiques et de défenses pour voir si vous aviez des idées pour les améliorer ou à proposer.

- C'est un bon programme. Commenta Jack satisfait.

- Maintenant je vais vous montrer vos quartiers. Qui sont également les miens. Nous sommes seulement 5 à loger dans les quartiers maudits. Albus je vous retrouve à l'heure du repas. Salua Harry.

Harry les mena à travers un dédalle de couloirs et d'escaliers. Tout en discutant avec eux. Leurs racontant des anecdotes où des moyens de se repérer dans le château. Jack pouvait sentir les regards de la population sur eux lorsqu'ils traversèrent le château. La salle commune se trouvait dans les cachots.

« Charmant ».Pensa Jack.

Ils s'arrêtèrent devant un tableau représentant un serpent. Le mot de passe qui permettait de l'ouvrir était « sens de l'honneur ».

La salle était magnifique. Sombre, velouté, verte et noire. Pour Jack, s'était vraiment une salle apaisante. Apparemment les anciens dortoirs semblent avoir disparut pour faire place à de petits appartements, magiquement agrandit. Dix portes. Dix chambres pouvant accueillir 6 personnes dans 6 chambres individuelles. Vraiment impressionnant. Jack écoutait avec attention chacune des paroles d'Harry. La magie, les animaux fantastiques, il avait l'impression d'être dans un monde imaginaire. Sa chambre était un véritable loft. Magnifique. Avec salle de bain. Il défit ses baguages et retrouva Harry dans la salle commune. D'autres personnes l'accompagnés. Deux jeunes femmes, l'une grande, aux cheveux châtain bouclé, au regard chocolat, fine et élancée. L'autre, plus petite, rousse feu au cheveux long et raide, un regard bleue azur, au forme généreuse. Elle tenait par la main, un autre jeune homme laissant penser à Jack, que les deux jeunes étaient amant. Le deuxième jeune homme, blond platine lisse jusqu'à la mâchoire, un teint ivoire, une peau blanche, un regard gris acier très particulier, grand, finement musclé. Totalement l'opposé d'Harry qui lui était brun corbeau, cheveux court en épi indomptables, la mâchoire carré, le visage plus rustre, plus masculin, nettement plus musclé, un teint plus halé et ses éternelles prunelles vertes qui lui dévorent le visage.

- Bonsoir. Je suis Hermione Weasley, Voici Drago Malfoy et sa femme Ginny. Nous sommes ravies de faire votre connaissance.

- Nous de même. Sans vouloir vous vexer, ce n'est pas un peu jeune pour se marier ? Questionna Daniel étonné.

- Vous savez avec la guerre. On vit un peu le jour le jour. Et on a perdu tellement de personne auquel on tenait que nous ne voulons rien regretter, et vivre plus vite certaine chose. Répondit la belle rousse. La vie est trop courte pour avoir des regrets.

Maintenant qu'il regardait leurs visages avec attentions, Jack remarqua bien vite la douleur des êtres chers disparut, les traces des combats dans leur yeux, fatigués et las.

Sur cette phrase, Jack tourna son regard inconsciemment vers Sam. Des regrets ? Oui il en avait mais maintenant c'est trop tard, alors autant passer à autre chose.

La discutions avec les jeunes fut joyeuse et enjouée. La jeune Hermione assommait de question la pauvre Sam, Drago et Daniel discutait close-combat avec Teal'C. Ginny discutait médecine avec Fraizer, Mitchell et Vala parlait sport avec Harry. Sans être dans aucune conversation, Jack ne se sentit à aucun moment seul. Il se sentait à l'aise dans cet univers.

Quand l'heure du repas arriva, Jack avait les yeux partout. Il y avait tant à voir. Les tableaux bougeant tout seuls, les personnages rendant visite à d'autres, des fantômes traversaient les couloirs l'air de rien, les armures partaient se balader et les escaliers n'en faisaient qu'à leurs têtes. Jack se sentit revire, avec son âme d'enfant qu'il croyait perdu à jamais.

La grande salle immense, grandiose. Ce faux ciel, ses bougies flottantes, ses énormes tables accueillant des centaines de personnes dans un brouhaha infernal. Des familles entières prenaient leurs dîner. Et tous leurs regards furent posés sur eux. S'était …oppressant. Jack s'agita mal à l'aise. Harry le remarqua.

- Ne vous en faîtes pas. Cela leur passera. Contra Harry avec une certaine amertume.

- Pourquoi dit tu cela ? Demanda Jack doucement.

- J'ai l'habitude de leur regard. Curiosité, animosité, je ne les supporte pas, je les hais pour cela.

- Alors pourquoi tu te bats ?

- Je ne le fais pas pour eux, mais pour ceux que j'aime. Et aussi parce ce que si je ne le fais pas, des millions de personnes mouront, des personnes innocentes, qui n'ont rien à voir avec ces trouillard. Dés cette histoire terminée, je me casse de ce pays de merde. Enfin si je m'en sors. Dit il plus doucement.

Jack attrapa son bras avec brusquerie.

- Tu en ressortiras vivant. Claque t'il vivement mais assez bas pour que personne ne puisse les entendre. Je te jure que je ferais tout ce qui sera en mon pouvoir pour que tu vives.

Harry fut totalement décontenancé face à cette déclaration aussi vive de la part d'un étranger.

- Comment peut tu dire cela ? Tu ne me connais pas. Peu être que je ne mérite pas de vivre. Dit il désabusé.

- Je n'ai pas besoin de te connaître pour savoir ce qu'il y a dans la tête d'un soldat. Tout le monde à son coté sombre, à ses propres démons. C'est ce qui nous rend humains. Tu dois les accepter et apprendre à vivre avec. Tu es jeune, tu as toute la vie devant toi. N'abandonne pas. Jamais. Croit en l'avenir. Même moi je continus a y croire. Et pourtant j'en ai fais des…

Le reste resta bloqué dans sa gorge. Il fut incapable de continuer.

Harry approuva de la tête face à ce soldat qui le comprenait si bien. Ils furent installés à une table un peu à l'écart des familles. Assis près d'Harry et de Daniel, il vit apparaître avec stupéfaction une multitude de plats, plus alléchant les uns que les autres. Il y avait tant de choses et de choix, qu'il ne savait pas par quoi commencer.

A la fin du repas tous repartir dans la salle commune, vite rejoint par d'autres amis d'Harry. De la musique fut mise, de l'alcool fut servit. Une petite fête improvisée afin de fêter leur arrivée et l'anniversaire d'un des frères de Ginny, fut vite organisée. Jack eu du mal à retenir tout leur nom. Georges, Luna, Blaise, Pansy, Neuville, Lavande…La liste fut interminable.

Après quelques verres de Whisky Pur Feu, L'alcool commençait à faire son effet. Tout le monde riait et dansait, Vala, Janet et Sam se déhanchaient sur de la musique en compagnie des jeunes sorcières. Mitchell et Teal'C tentaient de comprendre l'intérêt du sport sorcier, le Quid…Machin chose. Lui tentait de suivre la conversation atroce de Daniel sur les variantes de la culture sorcière. Enfin bref, il passait une soirée agréable et l'espace d'un instant, il en oublia qu'il était un militaire en mission.

Quand soudain… !

Un élément attira son regard. Harry se faufilant au fond de la salle afin de parler à une personne qui venait d'entrer dans la pièce. Nul ne l'avait vu entrée. Quasiment furtive, sauf pour un oeil avertis.

Jamais Jack n'avait vu pareille beauté. Un visage de porcelaine, une peau de pêche. Des traits fins, des lèvres pulpeuses et rose, un nez droit, des seins fermes et ronds, des hanches fines et étroites, des jambes d'une longueur interminable. D'une sensualité prodigieuse et d'un sex-appeal d'une puissance incroyable. Jack sentit son désir s'accroître dangereusement lorsqu'elle tourna son regard vers lui et planta ses iris bleu turquoise dans les siennes. Brune aux reflets bleus, ses longs cheveux lisses étaient libres. Elle portait un mini short surmonter de bottes à talon hauts, l'a rendant plus élancée, un petit haut moulant à la perfection ses formes, recouverte d'une cape, le tout en noir. Son souffle se bloqua dans le fond de sa gorge, totalement hypnotisé par elle. Il vit avec une satisfaction non dissimulé, une lueur de désir s'enflammer dans le regard de la jeune femme. Il la vit déglutir avec difficulté. Mais elle ne détourna son regard que lorsqu'à Harry lui posa une question, auquel elle répondit rapidement avant de disparaître par la porte d'entrée. Il n'osa pas demander à Harry qui elle était. Si elle était au château, il le saurait tôt ou tard. Mais le reste de la soirée fut complètement tournée vers cette mystérieuse femme, au corps de rêve et au regard ravageur. A la fin de la fête, il eu un petit creux. Légèrement éméché, il demandant le chemin des cuisines à Harry. Celui ci lui proposa de faire appeler les domestiques, les elfes de maisons mais Jack refusa. Harry lui conduisit vers un tableau 5m plus loin. Jack le remercia et lui dit qu'il pourrait retrouver le chemin du retour, que le jeune homme pouvait aller se coucher.

Il rencontra un elfe, qui lui proposa de lui faire un copieux sandwich. Il repartit, le ventre plein, sans encombre jusqu'à la salle commune de Serpentard en ayant sous le bras une autre bouteille de Whisky. Lorsqu'il entra dans la salle celle-ci était vide. Il s'installa dans un des fauteuils et sirota sa boisson, savourant le silence de la nuit. Nullement fatigué à cause du décalage horaire, il fixait le feu qui ronflait dans la cheminé. Repensant aux événements de la journée, aux choses qu'il avait découvert, aux personne qu'il a rencontré. Inexorablement, ces pensées se tournèrent immédiatement vers cette jeune femme si attirante, si mystérieuse. Un léger bruit venant de l'entrée, lui fit tourner la tête, il sursauta lorsqu'il rencontra de nouveau ce regard bleu turquoise si particulier. Sa respiration s'accéléra très rapidement ayant des difficultés à respirer. Il posa son verre et se leva pour lui faire face. C'est là qu'il remarqua la bouteille qu'elle avait dans la main. Le regard de l'inconnue était tout aussi imbibé d'alcool et de désir que lui.

- Je m'appelle Jack. Dit-il doucement.

Elle pencha sa tête sur le côté et lui adressa un doux sourire.

- Je sais. Répondit elle sur le même ton.

Elle posa sa bouteille sur une table près d'elle et s'avança vers lui. Ses pas étaient lent et sa démarche féline et prédatrice. Elle s'arrêta à quelques centimètres de son visage. Il pouvait sentir l'odeur du Whisky et du tabac. Elle aussi respirait avec difficulté. Jamais il n'avait désiré une femme avec une telle violence. Il se retenait avec peine de se jeter sur elle pour l'embrasser à pleine bouche, l'alcool n'aidant pas, il sentait ses inhibitions s'envoler. Le passage de sa langue sur ses lèvres rose eut raison de lui et il happa ses lèvres avec violence. Jack avait l'impression de basculer dans un monde de plaisir et de délice. Elle répondait à son baiser avec autant d'ardeur que lui, ce qui acéra son désir. Il passa une main sur sa nuque pour approfondir leur baiser, appréciant la douceur de ses cheveux. Sa langue venait taquiner celle de la jeune femme, qu'il sentait vibrer entre ses bras. Ils se séparèrent à bout de souffle. Jack s'attaqua voracement à la gorge fragile de la jeune femme. Elle soupirait d'aise. Ses mains fines se baladaient dans ses cheveux courts, les ébouriffant un peu plus. Ses mains à lui se lancèrent à l'assaut de ce corps offert. Son dos, ses fesses fermes, une chute de reins à damner un saint. Il lui ôta rapidement sa cape. Il la vit attraper sa baguette dans l'une de ses bottes, faire quelques gestes et marmonner deux trois trucs puis elle la posa sur le guéridon près d'eux. Aussitôt ses mains attrapèrent son tee-shirt. Il s'écarta et leva les bras pour qu'elle puisse le lui ôter. Il resta immobile, fermant les yeux, savourant ses effleurements et tenant de reprendre le contrôle de lui-même. Elle caressa ses bras, ses pectoraux, ses abdominaux qui se contractèrent sous la douces caresses des ses petites mains. Lorsqu'il ouvrit les yeux, son regard devait être noirs de désir. Il lui ôta à son tour son haut noir. Un soutien-gorge de dentelle noir lui cachait encore la vue de l'objet de sa convoitise. Il l'allongea sur le tapis de la salle, l'entraînant avec lui, fit sauté le morceau de tissu et se jeta fiévreusement sur l'un de seins tandis que l'autre était malmené par l'une de ses mains. Il mordillait son téton déjà durcit de désir. Elle se souleva du tapit assez longtemps pour qu'il puisse faire glisser son short et sa culotte de ses hanches. Ses doigts provoquèrent une traînée de feu le long des cuisses de sa maîtresse. Elle gémissait allégrement, le rendant encore plus fou de désir. Il était déjà accroc à ces cris et à ces gémissements. Sa voix était douce, claire, velouter. Il en voulait encore plus, toujours plus. Il voulait son nom dans sa bouche de diablesse. Il embrassa et mordilla sur le chemin de son ventre jusqu'au sommet de ses cuisses et à cet instant, la jeune femme put à peine respirer. Chaque aspiration d'air courte et rapide. Son corps vibrait, pulsait pour lui... et lorsque sa bouche la recouvrit... elle ne put empêcher un gémissement sortir de sa gorge. Sa langue bougeait en lentes caresses, la menant à l'oubli. Jamais Jack n'avait rencontré une femme si apte à l'amour, si réceptive à ces caresses. Il continua de taquiner son bouton de chair pendant quelques minutes avant de nicher un doigt puis deux dans sa moiteur exquise. Il accéléra ses mouvements de langue et c'est avec satisfaction qu'il l'entendait gémir sans honte.

Son premier orgasme ricocha à travers son corps et il l'a sentit vibrer de tout son être. Elle se raccrocha à ses épaules pour rester... sur la terre ferme... pour ne pas sombrer dans l'inconscience.

Pendant qu'elle reprenait ses esprits il en profita pour finir de se déshabiller et de se rallongea sur elle. Elle ouvrit ses jambes, l'invitant, impudique, à découvrir ses merveilles. Il frotta sa douloureuse érection sur le sexe humide de son amante, se retenant difficilement de ne pas la pénétrer avec violence.

- Prend moi…Jack …Prend moi…Supplia t'elle doucement, les yeux totalement dilatés par le désir.

Sentant ses résolutions voler en éclats, il glissa en elle en une fois. Il poussa un grondement sourd tant le plaisir était grand. C'est la première fois qu'il se sentait si bien en une femme. Il avait enfin le sentiment de ne faire qu'un avec quelqu'un. Ils s'emboîtaient à la perfection. Il posa son front sur le sien afin de reprendre le contrôle de son plaisir. Mais elle était si étroite, si chaude, si humide et prête pour lui que rapidement il entama un va et vient d'une lenteur infernal pour la jeune femme qui poussait des gémissements plus érotiques les uns que les autres. Embarqué dans ce monde de délice, il accéléra la cadence, petit à petit, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il se mit à la besogner avec vigueur et ardeur Il sentait sa gorge vibrer au son de ses propres gémissement, ses mains s'agripper aux hanches de la jeune femme. Elle criait et s'accrochait comme elle le pouvait, au tapis jusqu'à ce qu'elle s'agrippe à son dos. Griffant la chair de ses bras et arquant son corps, elle jouit sans retenue pour lui en hurlant son prénom. Cette vision fut plus puissante qu'un aphrodisiaque, il jouit en elle à grands jets en poussant un gémissement guttural.

Il s'effondra sur elle. Totalement essoufflé et embuée par l'orgasme le plus violent de sa vie. Il se retira doucement d'elle et s'allongea près d'elle. Caressant tendrement la peau de son ventre.

- Comment t'appelle tu ? Questionne t'il avec douceur.

Jamais il n'entendit la réponse. Il sombra dans un sommeil peuplé de rêve et de jeune femme aux yeux turquoise.

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Le réveil plus douloureux. Un violent mal de crane lui vrillait les sens, sa bouche était pâteuse et il avait des nausées. Il se réveilla complètement lorsqu'il reconnu Teal'C se tenant près de lui. Aussitôt il se redressa la cherchant à ses cotés.

Personne.

Il était juste recouvert d'une couverture sous lequel il était entièrement nu.

- Ai je rêvé ? Se demanda t-il à voix haute.

- Je ne pense pas O'Neill. Releva Teal'C qui lui mis sous le nez le soutien gorge de son amante d'une nuit.

Jack le lui arracha des mains, contrarié.

- Je ne connais même pas son nom. Releva t-il déçu.

- Nous sommes dans une école. Etes vous sur qu'elle était dans l'âge légal O'Neill ?

- Oui Teal'C. Répondit il agacé. Elle était majeure et si cela peut vous rassurer, je n'étais pas le premier.

- Est ce important ? Demanda t-il en soulevant son éternel sourcil.

- Non.

C'est vrai. Quelle importance qu'elle eu d'autres amants avant lui. Il avait bien eu une femme et un fils. Alors quelle importance qu'elle puisse avoir connu d'autres hommes.

Alors pourquoi cette pointe de jalousie tiraillait son cœur, dès qu'il s'imagina sa maîtresse dans les bras d'un autre ?

Il sortit de sa rêverie et partit se doucher et s'habiller.

Lorsqu'il revint, Harry était levé.

- Bonjours Harry. Comment va tu ?

- Mal. Un mal de crane à réveiller un mort. Il faut vraiment que j'arrête de boire. Gémit-il sous le rire des deux plus vieux.

- Dit Harry. La jeune femme a qui tu parlait hier soir, s'était qui ?

- Désolé Jack je ne vois pas de quoi tu parle. Je n'ai que peut de souvenir de la soirée d'hier. Je n'ai pas fait quelque choses d'humiliant ou de stupide ? Demanda t-il horrifier.

« Toi non, mais moi si » Pensa Jack.

- Non rassure toi. Donc tu ne peux pas me dire qui était la belle brune au reflet bleu.

- Peu commun comme couleur, mais non désolé de ne pas pouvoir t'aider.

- Pas grave. Répondit Jack déçu qui ne croyait pas un traite mot du jeune homme.

Pendant plus d'une semaine il ne la vit nul part. Il avait cherché partout, personne ne semblait la connaître.

Où ne voulait la connaître. Il la retrouverait…

Mais il n'eu pas vraiment le temps d'y penser. Une semaine après, une petite escouade de mangemorts attaqua avec quelques détraqueurs. Une petite équipe fut désignée pour aller les affronter. Jack était plus que contrarié contre Harry.

- Non ! Jack, vous ne pouvez pas participer à cette bataille. Commenta Harry en se préparant pour aller se battre. Vous êtes moldus. Vous ne voyez pas les détraqueurs. Cela serait trop dangereux.

- Grrrr. Jack n'aimait pas être mis de côté. Où sont-ils ?

- Ils ont déjà atteint le parc.

- Alors rien ne nous empêche de vous couvrir des fenêtres du château ?

- Non.

- Bien. Mitchell, Cater, avec moi. Sortez les fusils de snipers. Teal'c, Vala, Daniel. Postez vous dans le hall, assurez vous qu'aucun mangemorts ne passe les portes. Fraizer. Avec Pomfresh. En route.

Quelques minutes plus tard, ils étaient tous les trois en position dans différentes ailes du château afin de couvrir un maximum le parc. Le soleil venait de se coucher, Jack fut forcer d'utiliser la vision nocturne.

En bas dans le parc, il repéra facilement les membres de l'équipe d'Harry, Ils pointèrent leurs baguettes vers un ennemi invisible. De magnifiques formes lumineuses jaillir des baguettes. Il vit un lapin, un chat, un sanglier, un renard… et le cerf majestueux d'Harry. Il était plus chaleureux et lumineux que les autres. Il repéra également de petites formes noires se faufiler et attaquer les troupes de défenseurs. C'était à lui de jouer.

- Mitchell, Carter, les formes noirs. Des mangemorts. On entre en scène, les enfants.

- Bien Général. Répondirent-ils en même temps.

Jack cala son fils sur son épaule droite, repéra un homme distinctement grâce à la vision nocturne. Ajusta sa visée, respira calmement, bloqua sa respiration et pressa la détente en douceur. Sa balle vint se loger directement dans la tête du mangemort qui éclaboussa son compagnon juste à côté de lui. Celui ci n'eu pas le temps de comprendre quoique ce soit, Carter ou Mitchell venait de l'abattre de la même manière. Il repéra une nouvelle cible et répéta l'opération. Rapidement, les mangemorts battirent en retraite, se faisant tirer comme des lapins et s'engouffrèrent dans les profondeurs de la forêt.

L'alerte finie. Harry demanda une patrouille de dix hommes afin faire le ménage au cas où et de monter la garde pour être sur.

Dans la salle commune, Jack et Harry organisèrent un petit débriefing.

- Harry, comment c'était en bas ?

- Assez chaud. Avoua t-il. Le truc, c'est qu'il y avait beaucoup de détraqueurs et nous n'étions pas assez nombreux pour le coup. Les mangemorts ont pu nous attaquer facilement car toute notre attention était portée sur les carpettes noires. Une bonne diversion. Et je dois dire que nous nous en serions beaucoup moins bien sortit si votre couverture n'avait pas était aussi efficace.

- Teal'c ?

Seuls cinq mangemorts ont réussi à atteindre le hall. Il fut assez simple de nous en débarrasser. Et ils sont totalement incompétant au corps à corps. Je pense que c'est une faiblesse que nous devrions exploiter.

- Se sont des sangs purs. Et ils croient que leurs sangs et leurs magies les rendent invincible. Commenta Drago.

- Je pense que des détecteurs de mouvements devrait être installer pour prévenir de se genre d'attaque. Argumenta Mitchell. Surtout si ils viennent de la forêt.

- Sauf que, comme vous l'avez fait remarqué, C'est une forêt. Il n'y a pas que des mangemorts à l'intérieur. Des animaux…Les détecteurs se déclencheront constamment. Argumenta Hermione.

- Mme Weasley a raison. Approuva Teal'c.

- Merci Teal'c. Ironisa Mitchell

- Fraizer ? Continua Jack.

- Nous avons quelques blessés légers, trois cas assez sérieux et nous avons un mort.

- Bon. Je pense qu'il faut renforcer…

Ils passèrent le reste de la nuit à faire le bilan de la soirée. De voir les choses qu'ils fallaient changer, améliorer et instaurer…

Ce ne fut que lorsqu'il se retrouva seul, dans les draps frais de son lit qu'il repensa à elle…