Hey ! Je vous avoue que je reviens rapidement avec ce nouveau chapitre, il à été écrit rapidement après le premiers. Les choses bougent un peu plus que dans le 1 j'espère qu'il vous plaira un peu plus que le premier. Je trouve que mes début d'histoires sont souvent compliquée à écrire ahah. J'avoue que j'ai aussi galérer a poster sur FF c'est d'un compliqué. Enfin bref j'espère que ce chap' vous satisfaira.
Chapitre 2 : Nouveau monde, amertume et ressentiment
Harry resta plusieurs minutes ainsi, les bras ballant. Il était arrivé au chemin de traverse, il y avait des sorciers et il n'était pas les seul. Il n'était pas un monstre … Mais après quoi ? Devait il faire demi tour ? Il ne pouvait pas. Il était bien trop excité de cette découverte ! Son ami, le serpent, plus tôt lui avait dit que le fourchelangue était un don qui ne pouvait ce transmettre que par le sang.
Hors ni tante pétunia, ni oncle vernon, ni dudley n'étaient des sorciers car après tout jamais il ne les avait vu faire des choses aussi étrange que lui et s'ils l'étaient jamais ils ne l'auraient traiter de monstre n'est-ce-pas ? Cela voulait donc dire que au moins l'un de ces parent, était un sorcier.
Si cela était le cas peu être avait ils un compte en banque ? Y avait il une banque sorcière ? Ou peu être ne lui avaient ils rien laisser. Il devait en avoir le cœur net une fois cela fait il ne savait que faire. Devait il retourner chez tante pétunia ?
Harry les sourcils froncé, resté sur place finit par ce rendre compte que pas mal de monde lui lançait des petits regards en biais, sans doute ces vêtements décrépis et beaucoup trop grand pour lui, car héritage malheureux de son cousin n'aidaient pas … Il pris son courage a deux mains et arrêta un passant qui était prêt de lui.
« Bonjour, excusez moi monsieur, savez vous ou ce trouve la banque s'il vous plaît ? Demanda il poliment.
-Bien sur ! Répondit celui ci avec un sourire gentil, pensant que c'était la un enfant né moldu et que ces parents n'étaient pas bien loin. Alors pour aller a gringotts, c'est simple tu va tout droit. Tu ne peux pas le rater c'est un grand bâtiment blanc surplomber d'un dragon.
-Merci beaucoup. Répondit Harry ce dirigeant ainsi vers la direction que l'homme lui avait montrer.
Harry prenait son temps pour flâner regardant autours de lui les yeux remplis de curiosité ne pouvant pas vraiment s'en empêcher. Lorsque il ce trouva prêt du bâtiment de la banque sorcière il s'arrêta observant avec fascination l'immense bâtiment. Il remarqua alors sur le bâtiment une inscription.
« Entre ici étranger si tel est ton désir
Mais à l'appât du gain, renonce à obéir,
Car celui qui veut prendre et ne veut pas gagner,
De sa cupidité, le prix devra payer.
Si tu veux t'emparer, en ce lieu souterrain,
D'un trésor convoité qui jamais ne fut tien,
Voleur tu trouveras, en guise de richesse,
Le juste châtiment de ta folle hardiesse. »
Le souffle légèrement coupé face au poème il finit par prendre son courage à deux mains et entra, incertain. Une fois dans l'immense hall il remarqua des créatures petite au oreilles pointues. C'était des gobelin, il avait entendu un des sorciers prêt de lui dire qu'il allait demander quelque gallion a un gobelin. Harry ce dit que le gallion était sans doute la monnaie sorcière après tout on était dans une banque.
Harry s'approcha du petit comptoir où semblait occupé l'une des créature. Il resta quelques instant devant celle ci jusqu'à ce que l'on remarque sa présence. Harry ce fit la remarque intérieurement, que il n'entendait pas ce que les autres rares sorciers présent disaient au autres gobelins, il ce dit alors peu être existait il un sort sur cette pièce et que cela était voulu. Le Gobelin leva les yeux vers le petit garçon, et lui dit.
« Bonjour, je suis Bogrod, votre conseillé pour aujourd'hui. Que désirez vous ?
Harry quelque peu décontenancé par les dent tranchante et la voix caverneuse de la personne qui lui faisait face ne ce laissa pour autant pas dépassé.
-Bonjour, je souhaiterais savoir si il existe un compte a mon nom s'il vous plaît.
-Votre nom ? Dit le gobelin notant cependant que le garçon était très poli.
-Harry, Harry Potter. Dit il alors.
-Est-ce une blague ? Le gobelin fronça alors les sourcils puis afficha un air mécontent.
-Non ? Harry secoua négativement la tête l'air perdu ce demandant pourquoi le gobelin avait l'air mécontent.
-Une Goutte de sang, cela nous permettra de vérifier votre identité. »
Le gobelin tendis au petit garçon ce qui semblait être un petit picot et un parchemin. Harry pris le tout l'air dubitatif son regard faisant quelques allez retours entre les deux objets qu'il tenait alors entre ces mains. Il pris une petite inspiration, ce donnant du courage puis vint piquer son doigt et mettre du sang sur le parchemin. Celui-ci rayonna d'une lumière qui l'aveugla légèrement durant quelques secondes et sur celui ci figurait son nom et son prénom en lettres ensanglanté. Il tendis alors les objets au gobelin qui pris un air surpris.
«Navré de mes doutes, monsieur Potter, vous comprendrez que lorsque cela concerne une personne tel que vous, cela requière d'autant plus de sécurité. Suivez moi, cela tombe bien cela fait un moment que maître gobelin Gripsec tentait d'entrer en contact avec vous sans y parvenir. Suivez moi s'il vous plaît. »
Ne laissant pas le temps à Harry de répondre il l'enjoignis a le suivre en lançant un bref coup d'œil autours de lui l'air de vouloir s'assurer que personne ne les regardait. Il emmena Harry dans un dédale de couloirs semblant avoir l'habitude de les parcourir puis s'arrêta devant une immense porte bleu nuit. Il y frappa puis entra une fois une réponse eu.
Assis dans un siège confortable devant un bureau qui paraissait immense de par la taille du gobelin qui occupait le siège ce trouvait le comparse de Bogrod, Gripsec. Celui ci l'air légèrement mécontent dit a Bogrod .
« Que désire tu ? Tu sait bien que j'ai encore énormément de chose a faire avec la réunion mondial des maître gobelin au tournant.
-Navré maître gobelin Gripsec, seulement j'ai monsieur Potter ici qui souhaiterais des informations quand a ces comptes.
-Monsieur Potter ? Gripsec eu son regard tourné vers le dit monsieur Potter, regardant ces traits de ces yeux acérer. Cela faisait un moment que j'attendais de vous voir en personne. Prenez place je vous en pris. Merci Bogrod tu a bien fait, tu peux retourner travailler. »
Bogrod hocha la tête vers Harry puis s'en alla fermant la porte dérrière lui. Quand à Harry qui jusqu'à présent était resté penaud alla s'asseoir en face de Gripsec, comme celui ci l'y avait invité l'air complètement perdu.
« Ais-je fait quelque chose qui ne fallait pas ? Demanda Harry .
-Non bien sur que non monsieur Potter ! Je vous avait envoyée plusieurs lettres chez votre tuteur magique cependant elles sont resté sans réponses. Je voulais m'entretenir avec vous pour votre héritage et vos comptes chez gringotts.
-Un héritage ? Mes parents m'en ont laissé un ? Tuteur magique ? Je suis navré maître gobelin mais je ne comprend pas vraiment … Est-ce ma tante, mon tuteur magique ? Car jusque ce matin je ne savais pas que j'étais un sorcier..
-Bien sur monsieur Potter ! Votre père était après tout, sang pur et au dernière nouvelle l'une des famille les plus puissante et riche du monde magique anglais et quand a votre tuteur magique il s'agit d'Albus Dumbledore. Répondit gripsec légèrement hébété ne sachant pas si le jeune sorcier lui faisait une blague en lui disant qu'il ne savait rien de tout cela. Que savez vous du monde magique monsieur potter ? De votre histoire ?
-Je ne l'ai jamais rencontré cette Albus Dumbledore … Quand a ce que je sais, rien si ce n'est que mon père et ma mère sont mort dans un accident de voiture, car ils étaient saoul.
-Qui vous a dit de tels inepties? Voyez vous monsieur Potter le monde des sorciers bien avant votre naissance était pris dans une guerre, les sorciers anglais ont considéré que deux camps ce battaient, le bien, mené par Dumbledore et le mal par Voldemort. Hors il s'avère que Voldemort vous a traqué pour une raison qui est jusqu'à présent inconnu. Votre père James Potter est mort, vraisemblablement pour laisser le temps a votre mère de s'enfuir avec vous, cependant elle est également morte tentant de vous protéger. Nous avons très peu d'information quand a cette nuit fatidique, seulement que voldemort est mort cette nuit la. Vaincu par un petit garçon d'un an, ne laissant qu'une marque sur son front comme seule preuve physique sur celui ci que quelque chose d'anormal c'est passé. Vous auriez du finir par vivre avec votre parrain mais celui ci à été envoyé à Azkaban, la prison sorcière sans procès. Je voulait vous contacter justement pour lire les testaments de vos ne pouvions les ouvrir sans vous, ils sont enchanté pour que seul vous puissiez les ouvrir. »
Gripsec laissa quelques instant à l'enfant qui l'écoutait attentivement digérer son bref résumé puis fit apparaître un chocolat chaud a celui ci, qui avait perdu les couleurs de son visage au fur et à mesure de son discourt. Harry le remercia d'une voix croassante. Puis vint boire quelques gorgé du liquide bien que chaud en une chaude journée d'été lui était agréable. Gripsec fit apparaître une lettre et le lui tendis, sur celle ci était noté d'une écriture fine et élégante « Pour Harry, Notre fils adoré » . Harry posa la tasse sur le bureau puis pris la lettre caressant du bout des doigt l'écriture sur celle ci. Il l'ouvrit alors et en lu le contenue a haute voix, autant pour lui que son conseiller. Et étrangement, Harry lisait parfaitement bien, malgré qu'il n'ai que 8 ans malgré la voix tremblante qu'il avait. Mais c'était normal après tout a cause de son émotion.
« Harry, mon Harry.
C'est maman et papa qui t'écrivons. Je suis tellement désolée mon amour car après tout si tu reçois cette lettre que nous avons laisser au soins de gringotts nous ne somme plus de ce monde. Ce document fait par de nos derniers vœux et testaments.
Si cette guerre a eu raison de nous, sache tout d'abord que nous souhaitons que tu sois confier a ton parrain à savoir Sirius Black, le cas échéant nous te confions à Regulus black, le frère de ton parrain. Sirius et Regulus ont été décrété tes Tuteurs magique. Bien que nous n'ayons jamais été aussi proche de lui que de Sirius, nous savons qu'il prendra soins de toi quitte à perdre la vie. Après tout Regulus aime plus que tout son frère quand bien même ils ont pris des différents chemins. Ne fait confiance qu'à Regulus, Sirius, Remus et Severus.
Quand a Dumbledore, fait très attention a lui mon amour, il n'est pas ce qu'il parait. Pour le plus grand bien il serait prêt à te sacrifier. Nous ne souhaitons pas que notre sacrifice sois vains, ai ton propre chemin tes propres expérience. Peu importe ce que tu choisi nous te soutiendrons toujours et t'aimerons toujours. La situation dans lequel on est, ou l'on dois ce cacher est avant tout à cause de Dumbledore.
Tu héritera de tout les bien de ton père comme de ta mère , que ce sois nos maisons, ou nos comptes gringotts. Cependant jusqu'à ta majorité à 17 ans tu n'aura accès qu'à ton compte mineur.
Encore une fois, Nous t'aimons Harry.
Lily et James. »
Harry leva son regard vers gripsec l'air légèrement perdu et lui dit .
« Pourquoi dites vous que Dumbledore est mon tuteur magique bien que cela aurait du être Regulus, mon parrain étant en prison ?
-Il a du faire des manigance avec le ministère, nous allons porter attention a cela avec le ministère discrètement. Dit gripsec l'air outré par le fait qu'Harry n'ai pas le bon parrain magique. La seconde raison pour lequel je voulais vous voir était les virement fait tout les mois par la demande de Dumbledore a une certaine … Gripsec sembla lire son document. Madadam Petunia Dursley née Evans de 600 gallion tout les mois ce qui équivaut en euros à... Voyons voir … 3300 euros . »
Harry s'étouffa presque avec sa salive puis l'air offusquée il dit.
« Elle recevait de l'argent ?! Eux qui me traitaient de sangsue chaque jour ! Y a t'il moyen de les récupérer ? »
Gripsec fit un sourire carnassier à Harry l'air enchanté à l'idée de devoir récupérer de l'argent après tout, n'était-ce pas l'un des point faible des gobelin, à savoir l'argent ? Il dit alors à Harry .
« Laissez moi faire monsieur Potter, croyez moi, parole de maître gobelin, chaque mornille vous seras restitué. »
Harry eu l'air satisfait, il passa une petite heure chez le gobelin celui ci lui expliquant le fonctionnement du monde sorcier, un peu plus sur son histoire ainsi que les transaction monétaire par exemple combien valait une mornille ou un gallions. Il signa également quelques document et reçu une bague, on lui fit savoir que cela était celle de l'héritier potter. Il l'enfila a son doigt et vis avec admiration qu'elle s'ajusta magiquement a son doigt. Lors de la fin de leurs discussion Harry voulu retirer de l'argent sur son compte mais également que le maître gobelin l'aide a trouver comment faire nettoyer une de ces résidence pour qu'il s'y rende.
Maintenant au courant qu'il n'aurais jamais du ce trouver chez tante pétunia mais qu'il aurait pu vivre heureux il sentait une colère sourde prendre naissance dans son cœur et une haine contre dumbledore prendre en étaux son cœur au point ou cela en était presque douloureux pour le jeune sorcier.
La mine pleine d'amertume et perdu dans ces pensée, il suivit par automatisme le gobelin qui le conduit vers des railles et un chariot. L'air perdu il entra dedans et y pris place après y être invité par Gripsec qui lui conseilla de bien s'accrocher. Bien évidement le conseil lui fut fort utile car a peine ces mains venaient ce tenir au chariot que celui ci bougea !
Hey ! J'espère que ce chapitre vous plaira je vous avoue que je l'ai finit à une heure du matin il est donc un peu plus court que le premier mais ce n'est que à partir du 3 ème que l'on rentre vraiment dans l'histoire. J'ai préférer remettre à plat certaines choses quand au monde sorcier et faire quelques résumées car je me doute que certains ont juste vu les film ou lu les livres ou même juste des fanfics (yes ça existe je vous assure) mais aussi par ce que les spécificité de mon histoire vont pas coller à 100% avec l'histoire originale (c'est une fanfic après tout ahah) . Encore une fois, navrée, le chapitre est non corrigé.
