THE WALLS HAVE EARS
VPMGL, XALPHAFOX

RÉSUMÉ

Sam a aimé grandir à Alféa, apprendre auprès de son père et de sa sœur dans la serre, faire des blagues aux étudiants ou sa famille. Sa capacité à traverser les murs lui a offert une excellente occasion d'utiliser les nombreuses pièces de l'école à son avantage, mais en gâchant potentiellement l'intimité des autres.

Et ceci est la seule fois où Sam a appris qu'il y a une raison pour laquelle les gens doivent frapper à la porte.

INFORMATIONS

Personnages : Farah Dowling / Saul Silva
Catégorie : F/M
Fandom : Fate : The Winx Saga (TV)

THE WALLS HAVE EARS
FARAH x SAUL

Aujourd'hui, Sam Harvey était en retard pour sa leçon sur les plantes dans la serre et il a dû trouver le moyen le plus rapide pour arriver au petit royaume végétal de son père. Il connaissait l'école par cœur et il a décidé de s'arrêter au bureau de sa tante Farah et de vérifier ce qu'elle faisait, car il ne l'avait pas vu au déjeuner. L'itinéraire a été planifié rapidement dans sa tête et il a donc continué son chemin, passant à travers le mur qui reliait le coin salon à la cafétéria.

• Pendant ce temps, dans le bureau de la directrice •

Farah était assise sur le canapé, un livre dans les mains, un thé fumant dans l'une de ses tasses de fantaisie préférées. Soudain, la porte s'est ouverte et elle était sur le point d'exposer son point de vue à la personne qui avait osé l'interrompre de manière si grossière quand elle a remarqué que c'était Saul qui s'approcher d'elle. Elle a posé son livre et l'a placé soigneusement sur la petite table qui contenait ses vêtements de combat.

Les deux adultes ne s'étaient pas vus de la journée, donc elle était plus qu'heureuse de passer son temps de pause déjeuner avec lui. Elle était sur le point de le saluer et de lui demander comment sa journée s'était passée depuis ce matin quand il l'a atteinte, prenant son visage entre ses mains pour l'embrasser sans un mot. Dans un premier temps, le baiser était doux, mais après, ils ont commencé à avoir de plus en plus besoin l'un de l'autre. Saul l'a dévoré, le genou entre les jambes de Farah. Quand ils se sont séparés pour reprendre de l'air, Farah voulait lui demander ce qu'il faisait, mais en voyant sa réponse dans ses yeux, il la fait taire en posant le doigt sur ses lèvres, la prit par la main et le dirigea vers son bureau qu'elle avait dégagé en quelques secondes avant que le directeur d'Alféa ne la soulève pour l'assoir sur le meuble en acajou, face à lui. Il a pris une seconde pour regarder ses yeux, toujours brillants après l'utilisation de sa magie. Même s'ils étaient familiers, ils n'en étaient pas moins fascinants, il pouvait les regarder pour des années.

Les doigts délicats de Farah l'ont ramené dans le présent, alors qu'elle se débarrassait de sa veste d'entraînement avant de caresser son corps, à la recherche de l'ourlet de sa chemise avant même que sa veste ne touche le sol. Il retira son vêtement en haussant les épaules avant d'écraser ses lèvres douces contre les siennes. La main de Saul est revenue sur sa joue, et il a ouvert la fermeture éclair de sa robe dans son dos, sans manquer le frisson que son geste a causé dans son système nerveux. Elle a mis ses mains dans ses cheveux et a joué avec avant de se diriger vers le zip de son pantalon. Une fois de plus, ils se sont écartés pour respirer, haletant, profitant de l'occasion pour se débarrasser de leurs derniers vêtements. Lorsqu'il a vu le tissu de sa robe grise tomber sur le sol, il leva les yeux aussi vite qu'il le pouvait, voyant son amour dans toute sa grâce, portant une paire de sous-vêtements familiers.

Il ne pouvait pas s'empêcher de sourire d'un air narquois et alors qu'elle a rencontré son regard, elle a réduit la distance entre eux, balançant ses hanches en avant avec un sourire diabolique. Il sentit son pantalon se serrer plus qu'auparavant et ses yeux ont suivi ceux de Saul, et elle a écarquillé les yeux. Derrière ses cils, elle leva les yeux avec amour, prenant toute l'admiration qu'il avait pour elle dans ses yeux, ce qui a fait gonfler son cœur d'amour. Elle n'a pas perdu de temps et l'embrassa, et cette fois c'est elle qui a envahi sa bouche. Silva ne pouvait plus se retenir et a placé ses bras autour de sa taille, et soigneusement, mais déterminé, il se rapprocha encore plus du bureau dégagé.

Farah n'a pas tardé à s'allonger, perdant ses repères. Saul a plaqué ses poignets au-dessus de sa tête et a laissé ses jambes pendre légèrement au-dessus du bord du bureau. Une de ses jambes s'est enroulée autour de sa taille, se stabilisant pour qu'il fasse ce dont elle avait désespérément besoin. Elle avait besoin de lui. En elle.

« Saul, s'il te plaît. » Elle respire contre ses lèvres et il répond en caressant son corps avec l'une de ses mains, allant sous la bande de son soutien-gorge, caressant sa poitrine, la massant jusqu'à ce qu'elle atteigne presque l'orgasme. Les gémissements qui quittent ses lèvres – généralement plus éloquente – le rendent fou et son mouvement de hanches rend le message très clair.

Il embrassa son corps souple, mais entraîné, et laissa ses lèvres suivre la courbe de son corps, laissant des baisers, des petites morsures et des suçons, remontant vers son cœur. Ses doigts touchaient son corps avant de retirer ses sous-vêtements trempés. Il a lentement commencé à la stimuler avec son pouce tout en plaçant ses doigts lentement à l'entrée de son vagin. Elle a rapidement recommencé à être bruyante, gémissante et le suppliant de la faire atteindre la libération.

Sam a quitté la bibliothèque, déjà prêt à saluer joyeusement sa femme préférée – sans compter Musa bien sûr. Ce qu'il a vu et entendu lui a fait souhaiter que le sol l'engloutisse, bien qu'il sache que ce n'était pas une bonne idée grâce à l'expérience. Il trébucha en arrière dans une tentative de retourner dans la bibliothèque, couvrant ses yeux avec ses avant-bras, et priant pour que les dernières secondes ne se soient jamais produites, quand il a frappé un pot de fleurs de sa tante Farah – que Terra a dû lui offrir. Le bruit de la céramique s'écrasant contre le sol a alerté les deux tourtereaux de la présence d'une autre personne. Saul a failli bondir, levant les poings en un instant, et Farah a hâtivement essayé de s'éloigner. Elle est allée trop loin et elle est tombée derrière son bureau.

Lorsque Saul a reconnu le visage qui était devant lui, il est devenu pâle très soudainement alors qu'un rougissement s'est glissé dans le cou de Farah lorsqu'elle se redressa de derrière le bureau, se couvrant avec son manteau – qu'elle avait accroché derrière la chaise de son bureau.

Essayant d'ignorer à quel point la directrice était très attrayante avec ses cheveux ébouriffés et uniquement couverte d'un manteau rougeâtre qui correspondait parfaitement à la couleur de ses joues, Saul voulait savoir ce que Sam faisait ici et pourquoi il n'avait pas frappé à la porte quand Farah a retrouvé sa capacité à parler en première.

« Sam. C'est vraiment génial de te voir ! Le directeur Silva et moi-même étions occupés, et pour autant que je le sache, ta leçon de botanique est sur le point de commencer, alors tu ferais mieux de retrouver ton père avant qu'il ne vienne te chercher lui-même. » Sam, toujours incapable de prononcer un mot, hocha la tête, déjà à moitié dans le mur. Silva se précipita à mimer un « désolé » avant qu'il ne disparaisse pour de bon.

Farah, laissant tomber son manteau, révélant une fois de plus ses courbes, claque sa langue sur son palais avant de demander. « Où en étions-nous ? Je crois que tu étais sur le point de me faire voir des étoiles. »

Ils se sont retrouvés l'un sur l'autre en quelques secondes, et cette fois Farah s'est assuré de lever un bouclier sur les murs et de verrouiller sa porte, avant que Saul ne la fasse crier son nom pendant l'heure qui suivait.

Sam a ressenti le besoin de prendre une grande douche avec de la javel et de demander à sa tante d'effacer sa mémoire la prochaine fois qu'il la verra.