Bonjour,
Je poste aujourd'hui un nouvel OS, qui j'espère vous plaira.
Bonne lecture
Cette affaire était… Comment dire ? Compliquée, oui c'était le bon mot. Non parce que le mec riche que vous ne pouvez pas atteindre et qui viole et tue des femmes, faisant en sorte qu'on ne puisse pas remonter jusqu'à lui, c'est pas simple, alors il faut trouver un moyen d'entrer dans ce monde pour pouvoir l'arrêter… Et évidemment la seule solution c'est une mission sous couverture. Et ça ne plaît pas trop au Capitaine Hélène Bach, mais là elle n'a pas vraiment le choix…
Il y a une grande soirée dans un hôtel, ou il sera présent, bien s^r ils sont entrés en contact avec l'hôtel, pour être sûr du bon déroulé, le seul problème c'est qu'il faut un, entre guillemets, couple, pour que le plan fonctionne, c'est comme ça que Hélène se retrouve impliqué, ainsi que son Lieutenant pour jouer un couple crédible, enfin ça c'est jusqu'à ce que Raphaël Balthazar décide de venir mettre son grain de sel…
"Sans vouloir vous offenser" souri t'il "Mais vous croyez vraiment que vous et Delgado vous faite un couple crédible ?" Hélène le fusilla du regard "C'est pas pour dire, mais entre nous, Capitaine, vous et moi, on formerait un couple bien plus crédible"
"Non ! C'est hors de question !" elle refusa catégoriquement "Pour que vous jouiez au super héros ? C'est non Balthazar" elle secoua la tête
"Mais, Capitaine, je suis super entrainé, il n'y aura aucun problème" il leva la main droite "Promis, juré, crach…"
"Oui ça va, j'ai compris pas besoin de le faire" le coupa-t-elle alors qu'il allait cracher. "Je vous jure que si il y a un problème, je vous tue moi même." Elle le regarda droit dans les yeux "C'est clair ?"
"Parfaitement" répondit-il en levant les mains en signe de défense.
C'est comme cela, que finalement, Hélène allait se retrouver à jouer au couple avec son légiste, et comment dire, ça l'angoissait un peu, parce que si elle était honnête, il lui plaisait, alors oui, ça faciliterai la comédie, mais ça pouvait aussi grandement mettre en danger tout ce qu'elle lui cachait depuis un moment, de peur de se faire rejeter violemment par lui.
Elle se préparait tranquillement, elle terminait de se coiffer et de se maquiller, elle était très élégante, classe et aussi sexy… Elle ne savait pas comment Balthazar allait régir en la voyant, elle espérait juste ne pas en faire trop.
"Hélène vous êtes bientôt prête ?" lui demanda Balthazar de l'autre côté de la porte
"Ca va j'arrive Balthazar" râla-t-elle en ouvrant la porte.
Le légiste leva la tête en entendant la porte s'ouvrir et la mâchoire failli se décrocher tant la vision qu'il avait devant lui était sublime. Hélène portait une combinaison noire, plutôt décolletée, laissant apercevoir sa poitrine, elle avait un collier qui tombait parfaitement bien, mettant ledit décolleté en valeur, elle portait également des talons qui allongeaient ses jambes. Son regard se perdit ensuite sur son visage, un maquillage qui mettait en valeur ses beaux yeux, soulignant son regard qu'il aimait tant, et un joli rouge à lèvres rouge qui faisait ressortir ses lèvres, elle avait relevé ses cheveux dans un chignon classe, mais deux mèches encadraient son visage. Elle était tout simplement ravissante.
"Et bien Balthazar vous avez donné votre langue au chat" le taquina Hélène.
"Euh…" Hésita-t-il "Vous êtes magnifique Hélène" il sourit.
"Merci, vous êtes pas mal non plus" sourit-elle en retour.
Ils furent finalement interrompus par Delgado qui arrivait avec des documents dans les mains, pour terminer de leur expliquer leur mission et surtout leur donner leurs nouvelles identités, car oui, pour s'intégrer dans ce monde, il fallait qu'ils aient toutes les bonnes cartes en mains.
"Alors, votre nouvelle identité, Raphaël et Hélène De Carcauville" dit-il en lisant son papier "Originaires du Sud de la France et mariés depuis dix ans" il sourit.
"De Carcauville ?" demanda Balthazar "Sympas !" Il sourit comme un enfant
"Vous pouvez pas être sérieux plus de deux minutes Balthazar ?" demanda Hélène agacée
"Je peux essayer" souri-t-il "Pour vous faire plaisir"
"Eum eum" Delgado se racla la gorge et ils le regardèrent "Je peux continuer ?" demanda-t-il "Bien" fit le Lieutenant quand il eut la confirmation de ses deux collègues. "Donc il va falloir oublier le Balthazar, Hélène. Il faut être crédible" Hélène se mordit l'intérieur de la joue, ça allait pas être simple de perdre cette vieille habitude "Il faudrait aussi vous tutoyer, là je pense que ça va pas être trop compliqué de le faire" les taquina t-il sachant que le duo avait tendance à se le dire parfois.
"C'est bon pour le brief Jérôme ?" demanda Hélène
"Oui, c'est tout pour moi" souri-t-il en fermant son dossier "Ah oui, en cas de problème plusieurs collègues seront là pour faire la sécurité de la soirée, donc ils seront armé" Il regarda Hélène "En revanche, toi, tu laisses ton arme ici"
"Oui bah je sais je suis pas stupide non plus, puis où tu veux que je la mette" réplica la flic en désignant avec une main sa tenue.
Elle allait partir vers la voiture qui devait les conduire à l'hôtel où avait lieu la soirée mais Raphaël lui attrapa le bras doucement et la fit se retourner.
"Hélène, attends" il la regardait droit dans les yeux. "Si on est marié, il nous faut des alliances"
Il sortit une petite boîte de sa poche et l'ouvrit, il y avait deux anneaux en or dedans, dont un orné d'un petit diamant. Doucement il prit la main gauche d'Hélène et passa la bague à son doigt avant de lui faire un baise main, tel un vrai gentleman, la regardant dans les yeux, il prit ensuite la deuxième bague et la passa à son propre doigt. Hélène ne posa aucune question quant aux bagues, elle ne savait pas d'où elles venaient et même si elle aurait bien voulu savoir elle préféra ne rien dire.
"Madame De Carcauville" souri-t-il en lui présentant son bras et Hélène s'y accrocha doucement alors qu'il la conduisait vers la voiture pour partir en direction de la mission.
Quand ils arrivèrent à l'hôtel où se déroulait la soirée, le luxe était présent partout, et Balthazar, toujours aussi gentleman, alla ouvrir la portière à Hélène lui présentant sa main. Il passa un bras très protecteur, peut-être un peu trop, autour de sa taille et ils se dirigeaient vers l'entrée.
Il fallait avoir des yeux partout, mais cela allait être compliqué, de plus Raphaël remarqua bien quelques regards appuyés sur sa cavalière pour la soirée, et instinctivement il resserra sa prise autour de sa taille.
"Doucement Raphaël, tu ne voudrais pas me casser" sourit Hélène
"J'aime pas les regards que certains hommes posent sur toi" Il jouait parfaitement son rôle de mari, mais si il devait être honnête, ce n'était pas que son rôle pour la mission.
Évidement ils ne purent échapper aux mondanités, jouant leurs rôles à la perfection, si bien que cela paraissait plus vrai que nature. Au dessus, Delgado qui faisait la sécurité les observait avec un sourire, Balthazar avait raison, il formait un couple très crédible avec Hélène.
En bas, dans la grande salle, un homme observait beaucoup Hélène, comme si elle était un morceau de viande, et Raphaël ne l'avait pas vu, trop occupé dans son rôle et à observer tout ce qui pourrait les conduire vers l'homme puissant et meurtrier qu'ils recherchaient.
"Chéri ?" demanda Hélène en se décollant un peu de Balthazar. "Je vais aller me chercher un verre, tu veux quelque chose ?" demanda-t-elle tout sourire.
"Non, ça ira" Il réussit à garder son naturel mais il était grandement perturbé par le fait qu'elle l'ai appelé comme ça. Il lui sourit avant de l'embrasser sur le front et de détacher son bras de sa taille.
Hélène se dirigea vers le bar afin d'obtenir un verre de vin, elle s'installa tranquillement pour profiter un peu du calme, la salle étant plutôt bruyante, mais bien vite elle fut rejoint par l'homme qui l'avait longuement observé auparavant.
"Je peux ?" demanda l'homme en désignant le siège à côté de la flic qui lui fit oui de la tête "Claude Le Guennec" s'introduit l'homme en lui tendant la main
"Hélène De Carcauville" répondit-elle, lui serrant la main.
Après cela, l'homme n'hésite pas à draguer, Hélène sans le cacher, la mettant mal à l'aise, alors elle essayait de lui montrer son alliance, et aussi de parler, mais l'homme de l'écoutait pas, enfin il ne lui laissait pas en placer une. Doucement il posa une main sur son genou et Hélène grimaça, mais elle n'eut rien le temps de dire que Balthazar débarqua plutôt furax
"Je vous dérange pas ?" demanda-t-il et Hélène était soulagée de le voir arrivée
"Il se trouve que si" répliqua l'homme et Balthazar dû faire preuve d'un incroyable self contrôle pour ne pas lui mettre son poing dans la figure.
"Alors je sais pas qui vous êtes…" L'homme ouvrit la bouche mais Balthazar l'empêcha de parler "Et à vrai dire je m'en fiche. Mais vous voyez, la sublime femme ici présente se trouve être la mienne" dit-il en passant son bras autour du cou de sa collègue "Et depuis dix ans" Il s'approcha de l'homme "Alors gardez vos distances" Il fini par se tourner vers Hélène "On y va ma chérie ?" demanda-t-il
Hélène lui sourit et lui prit la main, abandonnant son verre, désormais vide. Ils retournèrent ensuite vers la grande salle, là où, ils le savaient, ils pourraient, sans doute, glaner plus d'indices
"Je vous savais pas si protecteur" murmura Hélène dans son oreille avant de l'embrasser sur la joue "Mais merci, j'ai cru que je ne m'en débarrasserais jamais. Je ne pouvais même pas en placer une"
"De rien" sourit Raphaël "J'ai adoré jouer le mari jaloux" il la regarda "Mais vous me devez une danse pour vous savoir sauver des griffes de cet homme horrible dont je ne connais pas le nom"
"D'accord" sourit Hélène
Il l'entraîna sur la piste, avant de poser une main sur sa taille, Hélène elle en posa une sur son épaule, et leurs deux autres mains étaient liées. Doucement ils dansaient au rythme de la douce musique, se regardant dans les yeux. Ils étaient dans leur bulle, dans leur monde, oubliant presque ce qui les entouraient. Seulement, le fait qu'ils tournent permettait à la flic d'observer à certains endroits qu'elle n'avait pas vu.
L'homme qui l'avait lourdement dragué avait son regard fixé sur elle, et Hélène se sentait très mal à l'aise, alors elle se serra un peu plus fort contre son collègue, cachant sa tête dans son cou.
"Hélène ? Quelque chose ne va pas ?" demanda doucement le légiste
"L'homme de tout à l'heure" soupira-t-elle "Il me fixe et j'aime pas ça… J'ai l'impression de devenir une proie" elle grimaça
"T'en fais pas, je vais pas le laisser t'approcher de trop près" il caressa son dos et cela rassura Hélène.
"Je pense qu'il n'en a rien à faire que je sois mariée…" soupira-t-elle "Je pense qu'il est du genre à obtenir ce qu'il veut" Elle regarda Balthazar dans les yeux.
"Je vais lui montrer moi" râla Balthazar "Ce soir t'es ma femme et il est hors de question qu'il te touche" murmura-t-il dans son oreille.
Ses mots réchauffait le cœur d'Hélène, elle appréciait être sa femme, même pour quelques heures. Il la faisait se sentir vivante, belle et désirable, et elle avait vraiment envie de l'embrasser, de plus cela contribuerait à leur histoire. Elle sourit laissant son nez frotter contre celui de l'homme en face d'elle.
"Embrasses moi" murmura-t-elle
"Quoi ?" demanda-t-il surpris
"Raphaël De Carcauville, embrasses moi" répéta Hélène utilisant leur faux nom.
Doucement, il approcha ses lèvres de celle de Hélène, il s'arrêta à deux centimètres, la laissant faire le dernier pas, ce qu'elle fit unissant leurs lèvres doucement. Le baiser était tendre et lent, mais tous les deux ressentaient bien plus, sans le dire, restant dans leur rôle. Et tout aussi doucement le baiser prit fin, ils étaient tous les deux perturbés mais ils terminèrent leur danse se reculant doucement à la fin, mais se fixant toujours.
"Je…" murmura Hélène "Il faut que j'aille aux toilettes"
Elle s'éloigna rapidement, presque en courant à la recherche des toilettes laissant Raphaël au milieu de la piste les bras ballants et surtout très confus…
"Euh… Ok" murmura-t-il une fois qu'elle fut hors de son champ de vision.
Hélène se précipita vers les toilettes et entra directement quand elle les trouva, s'appuyant sur le rebord du meuble, la tête baissée se demandant pourquoi elle avait fait ça, pourquoi elle lui avait demandé de l'embrasser… Quelque chose n'allait pas dans sa tête ou quoi ? Machinalement elle se passa un peu d'eau sur le visage pour essayer de se détendre et surtout de se calmer.
Mais son repos allait être de courte durée, en effet sans qu'elle ne le remarque, l'homme de tout à l'heure l'avait suivi et il venait d'entrer dans les toilettes, verrouillant la porte, comme cela il était sûr que personne ne viendrait les déranger cette fois…
"Hélène De Carcauville comme on se retrouve" murmura-t-il dans son oreille se collant à elle
"Qu'est-ce-que vous faites là ?" Elle se retourna et le poussa pour qu'il s'éloigne, elle se dirigea ensuite vers la sortie dans le but de rejoindre Balthazar, mais c'était peine perdue "Ouvrez cette porte !" demanda-t-elle
"Oh non, ma belle tu vas rester avec moi" il lui prit le bras et la tira à l'autre bout la plaquant contre le mur. "Tu joues les allumeuses dans ta tenue comme ça et tu crois que tu vas t'en sortir ?"
Hélène déglutie, elle était en très mauvaise posture là, l'homme avait dans le regard quelque chose de malsain, et qui lui disait qu'elle aurait de la chance si elle sortait vivante d'ici, parce que là tout de suite, elle se sentait vraiment en danger, et l'homme ne la rassurait pas…
"T'es bonne tu le sais ?" dit-il en passant sa main dans son décolleté
"Je vous interdit de me toucher" Hélène repoussa violemment sa main
"Tu sais pas a qui tu as affaire" Il sortit un couteau de poche et le posa sur la joue d'Hélène créant une petite entaille peu profonde. "Ton mari ne pourras pas venir à ton secours cette fois" il ria "Et tu vas crever comme une chienne, salope"
Hélène avala difficilement sa salive, elle savait que désormais, l'homme devant elle qui s'était présenté comme Claude Le Guennec, était en fait, Marc De Livremont, le meurtrier qu'elle recherchait…
L'homme passa son couteau entre ses seins, elle savait ce qu'il allait faire d'elle, elle connaissait son mode opératoire… Violée la victime puis l'égorgée, et là elle priait très fort pour que Balthazar la retrouve alors qu'elle l'avait planté comme un imbécile au milieu de la piste. Une larme coula sur sa joue, elle était seule face à un homme violent, meurtrier et sans pitié, si personne ne s'inquiétait pour elle, on allait retrouver son corps sans vie…
De son côté et remit de ses émotions, Balthazar commençait à s'inquiéter, elle était partie depuis un moment tout de même, et ne pas la voir revenir l'inquiétait, de plus, l'homme avait disparu, une raison de plus pour s'inquiéter.
Il alla dans un coin plus discret, et fut vite rejoint par Delgado, qui lui aussi était inquiet de ne pas voir sa patronne revenir.
"Elle est juste partie aux toilettes, mais elle n'ai pas revenue…" Expliquât Balthazar
"Bon on la cherche, on se sépare ça ira plus vite" Delgado donnait les ordres à tout le monde et des petits groupes partirent vite à la recherche de la Capitaine.
"Je viens avec vous" Balthazar ne laissait pas le choix à Jérôme qui fut bien obligé de le laisser le suivre.
Hélène était toujours en mauvaise posture, l'homme la touchait et elle avait envie de vomir, elle sentait la lame du couteau la toucher aussi, et elle savait que sa fin était proche… Sauf que la poignée de la porte bougea, quelqu'un venait l'aider, enfin
"Tu cris je te tranche la gorge salope"
Hélène ne dit rien, mais de l'autre côté c'était Delgado et cette porte fermée ne lui disait rien de bon, un violent coup de pied fit cédé le mécanisme et il pointa son arme vers l'homme
"Lâches ton arme" le somma le flic, l'homme se retourna un sourire mauvais sur le visage avant de serrer encore plus son couteau
Alors Delgado tira et l'homme s'écroula sur le sol, révélant une Hélène à la fois morte de peur mais aussi soulagée de voir ses collègues. Delgado murmura dans son micro qu'il l'avait trouvé pendant que Balthazar se précipitait vers la belle blonde.
"Hélène ça va ?" lui demanda-t-il en posa ses mains sur ses bras
"Je.. Oui… Merci…" elle le regarda avant de se jeter dans ses bras et de le serrer fort.
"Viens on va sortir de là"
Doucement il l'aida à sortir des toilettes, mais ses jambes tremblaient, alors il la souleva telle une princesse et sortit avec elle de l'hôtel, allant vers le camion de pompier qui était arrivé juste au cas où… Il aida Hélène à s'asseoir et posa une main sur sa joue, essuyant le sang de la coupure, alors qu'on posait une couverture de survie sur ses épaules
"Pas besoin de points de suture tout vas bien" souri-t-il
"Ouf sauvée" elle sourit faiblement
"Tu veux en parler ?" demanda le légiste, gardant le tutoiement
"Non merci Balthazar, mais c'est gentil de proposer. Si ça ne va pas je viendrais vous voir" elle serra un peu plus la couverture de survie autour d'elle.
"Ah on est revenu à vous ?" demanda-t-il déçu "Je préférais quand c'était tu" il eut un petit rire
"Oh tait toi" elle aussi riait
"Pas possible pour moi désolé"
"T'arrêtes jamais d'être chiant en fait ?" demanda la flic et Balthazar fit mine de réfléchir
"Non… Jam…" mais il fût coupé par les lèvres d'Hélène sur les siennes
"Efficace comme moyen pour te faire taire"
"Oui non mais, Cap…" et voilà elle recommençait
"Je vais le faire plus souvent, ça marche bien"
"Moi aussi alors"
Et il l'embrassa avec une grande tendresse, laissant, pour la première fois sa langue aller danser avec celle de sa partenaire, c'était doux, magique et parfait et ils adoraient ça et cette fois pas question de fuir.
"Et au fait" dit-il quand il se séparèrent " Cette combinaison est divine, tu devrais la mettre plus souvent"
"T'es bête" dit-elle avant de l'embrasser de nouveau.
Et voilà, j'espère que ça vous a plu
On se retrouve la semaine prochaine pour un nouvel OS
Kiss
