Hello ! Oui, je reposte très tôt... Mais on est dimanche, j'avais l'habitude de vous offrir Paradis le dimanche (avant, il y a fort fort longtemps, quelle douce époque... !) et ma reprise est un peu nulle niveau timing vu qu'aujourd'hui, c'est le trentième chapitre : un chapitre flashback ! On aura donc pas le lendemain de la soirée de suite, mais au moins, ce chapitre flashback est là et le 31 sera prêt à poster dès que j'aurais avancé l'écriture... (ce qui n'est pas gagné : je rame dans la semoule sur une scène que j'avais pourtant prévue de A à Z, si c'est ti pas beau ! 8D)

Du coup, comme j'ai précisé la semaine dernière, je ne promets absolument pas une publication régulière malgré l'enchaînement de ces deux chapitres... Désolée encore pour ça. J'aimerais que l'écriture roule sans encombre, vraiment, mais quand ça veut pas, ça veut pas x)

Enjoy pour ce flashback que je trouve, personnellement, très CUTE !

[Petite parenthèse destinée à Hikimari : au final, peut-être que ce chapitre répondra un peu à la question que tu te posais... ! N'hésite pas à me le dire !]


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J'aime pas ces gens.

Je sais, j'dis ça à chaque fois. Mais c'est pas ma faute si tous les gens sont des merdes, en fait. Et encore plus les adultes chez qui on m'emmène. Ils essaient tous de m'parler, de m'comprendre, avec leurs morales d'adultes nuls qui ont tout compris à tout... Mais c'est pas parce que j'suis petit que j'peux pas l'ouvrir, moi aussi.

Quoique là tout d'suite, j'vais rien ouvrir du tout. J'ai les bras croisés sur ma chaise à bouder en regardant l'sol du bureau à paperasse de l'orphelinat, et c'est très bien. Mieux que d'les regarder eux, en tout cas.

- ... Ace, ça ne coûte rien de dire « Bonjour », soupire Aphelandra. Tu n'es pas beau quand tu fais ta tête de cochon, tu le sais pourtant...

J'lui lâche mon plus beau doigt d'honneur. Et bim, dans tes dents Aphelandra. T'as qu'à pas être aussi coincée.

- Oh bon sang... s'indigne-t-elle, c'qui me fait bien rire intérieurement. Je suis désolée...

- Ce n'est rien, ce n'est rien... rassure la femme. Vous nous aviez bien prévenus qu'il était difficile...

Je serre les dents alors que j'vois du coin de l'œil que l'homme me fixe. J'aime pas qu'on parle de moi comme si j'étais pas là. Aphelandra le sait en plus, cette conne. J'la supporte pas. J'veux plus qu'ça soit elle qui s'occupe de mon dossier. Mamie Nyon était carrément plus marrante.

Elle arrêtait pas d'me frapper la tête avec sa canne, mais au moins elle parlait pas dans mon dos quand j'étais dans la pièce.

Nouveau coup d'œil alors qu'ils reprennent leur conversation comme si j'étais pas là. Peuh, ils m'dégoûtent. Mais l'homme m'observe toujours... J'aime pas son regard, il est un peu flippant. J'suis sûr que c'est un violeur d'enfant ou j'sais pas quoi. Qu'il essaie d'mettre la main sur moi, voir. J'promets qu'il récupère jamais ses couilles.

- Il n'a aucune chance de sortir de prison, alors... ? demande la femme à voix basse.

- Non, il a été condamné à perpétuité...

- Je vois... Alors il n'a jamais connu aucun des deux, puisque sa maman est morte en couche...

- C'est ça, continue de chuchoter Aphelandra en soupirant, mais elle tourne les yeux vers moi et voit bien que j'la fusille du regard. Oh, désolée Ace... Je pensais que tu n'écoutais pas...

Tsss. C'est bien ça l'problème de tous ces crétins d'adultes : ils croient toujours que j'écoute pas.

Mais j'écoute. J'écoute et j'retiens, surtout. Ici, tous les éducateurs disent que j'suis une teigne qui fait des coups gratuits. Mais rien n'est jamais gratuit avec moi : j'leur fais juste payer leurs remarques pourries quand ils croient que j'ai l'dos tourné. Leurs p'tites remarques pleines de pitié d'avoir un père qui a fait des sales trucs, d'avoir aucune famille qui est jamais venue m'réclamer. Leurs critiques quand ils disent que j'suis un entêté, que j'suis malade et qu'y'a rien à sauver, chez moi.

Si y'a rien à sauver, ils auraient juste dû m'laisser dehors toutes les fois où j'me suis tiré, alors. Mais nan, ils me retrouvent toujours alors que j'arrête pas d'le dire que j'ai besoin d'personne... J'ai besoin d'aucun adulte pour m'dire c'que j'ai à faire ou pour m'répéter c'qui est bien ou pas. J'le sais, j'suis pas débile. J'ai juste pas envie d'me plier à leurs règles bidons.

De toute façon, y'en a la moitié que j'comprends pas.

- Vous seriez donc sa sixième famille d'accueil... En général, pour les enfants de 10 ans comme Ace qui sont là depuis qu'ils sont bébés, ils sont déjà placés depuis bien longtemps. Mais lui...

- C'est compliqué ? rajoute soudainement l'homme de sa grosse voix sans m'lâcher des yeux.

Même sa voix m'fait m'dire que c'est un violeur d'enfant. J'vais lui faire manger ma chaise s'il s'approche de moi. Il m'veut quoi, sérieux ?! Il croit qu'il peut m'impressionner juste parce qu'il a un tatouage moche sur la face ?!

J'tourne la tête pour de bon pour affronter son regard. J'imagine au fond d'moi qu'il crame sur place, et ça m'fait jubiler. Chose que j'lui montre en lui envoyant un sourire flippant. J'espère qu'il va bien s'chier dessus, tiens... ! En général, les parents ont trop peur quand j'leur fais cette tête-là, héhé...

Mais son expression change pas et ça commence à m'faire rager. Il m'énerve, il m'énerve... Arrête d'me regarder comme ça !

- Tu veux t'battre ?! grogné-je en sautant d'ma chaise, prêt à lui balancer mon poing dans les dents pour de bon.

- Ace ! couine Aphelandra.

- Oh non... me répond-il en souriant. Ça serait de l'énergie gâchée.

J'aime pas cette réponse. J'aime pas sa tête, j'aime pas son expression, j'aime pas sa manière d'me r'garder de haut... Comme tous les autres, il croit qu'il est supérieur à moi juste parce qu'il est grand, vieux, et « responsable ». Mes fesses, ouais ! Les adultes sont tous les mêmes ! Des crétins qui croient tout savoir et qui cherchent même pas à comprendre !

J'me tire, j'en ai marre. J'vais vers la porte en serrant les dents et ignore Aphelandra qui m'appelle pour m'dire de rester là.

J'reste pas. S'ils veulent tant qu'ça m'envoyer chez eux et essayer d'se prendre pour mes parents, qu'ils viennent ! Qu'ils essaient d'me choper ! Ils l'auront bien dans l'os quand j'serai perché dans mon arbre et que j'leur balancerai des cailloux sur leur tête de crétins, tiens !

Mais une grosse main s'abat sur mon épaule au moment où j'sors pour me tirer en arrière. Waoh ! C'est l'daron ?! Mais il a trop d'force !

J'sors mes poings en réflexe et vais pour le taper, mais il m'attrape les poignets sans qu'j'ai rien l'temps de voir venir ! C'est quoi ce mec !

- Ace... Je ne me vanterai jamais de comprendre ce que tu ressens. Ça doit tout simplement être terrible de ne toujours pas avoir de véritable foyer et de famille à 10 ans, malgré toutes ces tentatives...

Je fronce les sourcils en le r'gardant, alors que sa femme se plante derrière lui comme une idiote. Il m'fait quoi, là... ? Il croit qu'il va m'avoir avec ses conneries et sa pitié de chiottes ?!

- Mais laisse-moi au moins essayer de comprendre un point... Apparemment, tu dis et répètes que tu détestes vivre ici, au foyer. Dans ce cas, pourquoi tu fais volontairement capoter toutes tes tentatives d'adoption ?

- Parce que j'veux pas d'adulte crétin pour m'dicter ma vie ! J'peux vivre tout seul, j'ai besoin d'personne ! Lâche-moi, enfoiré de violeur !

Il plisse le nez, mais il relâche pas mes poignets, le salaud. On croirait que ça lui fait rien que j'l'insulte. J'essaie de m'échapper mais il a une foutue poigne super forte ! J'vais l'mordre, il va rien comprendre !

- Tu ne peux pas vivre tout seul Ace, c'est impossible. Ça fait partie des réalités de la vie que tu devrais accepter si tu étais aussi mûr et indépendant que tu le prétends. Seul dehors, un enfant comme toi ne pourrait pas s'en sortir.

- Eh ben p't'être que j'préfère mourir tout seul que de rester avec des puants dans vot'genre ! Mais tout l'monde s'en fout de c'que j'veux, t'façon ! J'voulais pas aller avec les autres et j'veux pas aller avec vous ! Mais tout l'monde s'en fout d'mon avis ! Vous voulez juste que j'sois placé pour plus avoir à m'supporter !

Pfff. Aphelandra fait son habituelle tronche horrifiée derrière, elle m'dégoûte. C'est pourtant pas la première fois que j'dis ça... !

- Je suis sûre que c'est faux... me dit la femme d'une petite voix douce en se baissant à côté de son mari moche. Je suis certaine qu'il y a plein de gens qui tiennent à toi, ici, Madame Aphelandra la première...

Elle peut dire c'qu'elle veut madame Bisounours, j'lui parle pas non plus. J'les connais les mères de famille super gentilles au début et qui s'mettent à hurler dès que j'fais un truc qui leur plaît pas. Elles étaient presque toutes comme ça... ! Comme les pères qui étaient gentils au début et qui devenaient aussi méchants qu'les éducateurs, au bout du compte ! Dès qu'ils voyaient comme j'étais vraiment, au final... Pas qu'ça m'dérange, mais ça m'fait bien rire quand j'repense à c'qu'ils me disaient en m'emmenant avec eux, à chaque fois. Qu'ils seraient patients avec moi, qu'ils m'écouteraient, qu'il fallait pas que j'hésite à leur parler quand ça allait pas...

À quoi bon. Personne m'écoute jamais, t'façon.

- J'veux pas aller avec vous ! crié-je en mettant un grand coup d'pied dans l'bras du tatoué moche pour qu'il m'lâche enfin. Vous êtes comme tous les autres ! Ça sert à rien d'm'emmener si c'est pour m'ramener six mois plus tard !

- Jamais on ne te ramènerait, Ace... dit la femme avec une tête toute malheureuse –elle me donne la gerbe, sérieux. Je te promets qu'on fera tout pour que tu te sentes chez toi...

- On m'l'a déjà faite, celle-là ! craché-je alors que j'marque une distance de sécurité entre moi et le violeur d'enfant et ses mains géantes. Vous êtes comme tous les autres ! J'vous aime pas ! Tirez-vous ! Laissez-moi tranquille !

- Tu ne veux même pas essayer... ? me propose l'homme. Tu ne veux même pas voir la chambre qu'on t'a préparé ?

- Nan ! C'est pas la mienne, de toute façon ! Vous l'auriez filée au premier dossier qu'ces crétins vous aurez donné ! Je sais comment ça marche, ici !

Encore une fois, il me fait un sourire bizarre. Genre, un peu fier... Waaah, j'ai teeeellement envie d'lui arracher les yeux... ! J'les mettrai au feu pour voir c'que ça fait, ah ! J'me demande comment il pourra prendre les enfants de haut sans ses p'tits yeux d'enfoiré !

- Sinon, on fait juste un aller-retour... continue-t-il. On t'emmène faire un tour avec nous pour nous promener, te montrer notre appartement, que tu rencontres notre fils... Et si à la fin de l'après-midi tu n'es toujours pas convaincu, aucun problème : je refuse de te forcer à aller avec nous si tu n'en as vraiment pas envie.

J'fais la moue : ben tiens. Gros menteur. Il dit ça pour cacher sa couverture, t'sais...

- C'est une proposition intéressante, non... ? insiste la femme. On pourrait t'emmener manger quelque chose... Qu'est-ce que tu aimes manger, dis-moi ?

Urgh, j'serre les dents : si elle commence à essayer de m'appâter avec de la nourriture... Surtout que j'ai pas mangé c'midi, puisque j'me suis encore disputé avec un groupe de crétins à la cantine. Et c'foutu ventre qui me l'rappelle en s'mettant à grogner comme un crétin... !

J'vois la femme se mettre à rire, d'un joli rire super doux... Qu'est-ce que j'dis : elle s'fout de moi, ouais ! Sale conne !

- J'ai pas faim et j'viendrai pas avec vous !

- Même pas pour aller à ce restaurant indien que tu adores, dans la vieille ville... ?

Aphelandra, sale fourbe... Et mon ventre, enfoiré de gros traître ! Il grogne encore plus fort alors que l'homme demande des précisions sur le resto'. Nan mais naaaaan, mais s'ils me prennent par les sentiments, aussiiiii... !

La mère affiche un immense sourire alors que ses yeux pétillent en me regardant. Elle est trop gentille pour être honnête, celle-là... Ils sont tous les deux teeeeellement louches... ! J'accepte p't'être d'aller manger s'ils m'emmènent au resto indien, mais j'irai pas chez eux ! Jamais d'la vie !

- Ça me va, le restaurant indien... me dit l'homme en revenant vers moi. Ils doivent encore servir, si on se dépêche... Tu es partant ?

Je peste en mettant mes mains dans mes poches. Trop nul.

- ... Ouais, ok.

J'suis trop faible, c'est un truc de ouf.

Ils doivent évidemment régler deux-trois conneries super chiantes avec les papiers et nous v'là à attendre comme des crétins dans le hall du bâtiment. Enfin, y'a que l'violeur d'enfant avec Aphelandra... J'sais pas où est passée la madame Bisounours et à vrai dire, j'm'en fiche complètement. Tant qu'on va manger du poulet méga épicé, j'suis trop super partant... On verra après pour l'reste...

On verra s'ils ont plus d'paroles que les autres et qu'ils m'ramèneront vraiment sans faire d'histoire, plutôt.

- Ace... ?

J'me tourne pour voir madame Bisounours de retour, justement. Oh, elle a un p'tit mioche avec elle... Ça doit être leur fils...

- Je te présente Luffy... ! Tu dis bonjour, mon cœur ?

J'plisse le nez. Il est attardé c'gamin, ou quoi... ? Il m'fixe avec des grands yeux qui donnent l'impression qu'ils vont exploser et un air complètement stupide. J'dirais même que ça doit être l'air le plus stuuuuupide que j'ai jamais vu d'ma vie ! Haha ! Tête de crétin !

Mais sans que j'comprenne trop pourquoi, il s'met soudainement à m'faire un immense sourire...

Le sourire le plus grand qu'j'ai jamais vu d'ma vie, j'crois...

- Yooooo ! Je m'appelle Luffy ! C'est toi mon grand-frère ?!

J'fais la grimace. Jamais d'la vie j'serai son frère, peuh. Il croit quoi.

... Mais bizarrement, j'arrive pas à lui répondre. Son sourire est... Chelou. J'arrive pas à ne pas l'fixer comme un idiot...

... Et si j'lui dis que j'suis pas son grand-frère, j'suis sûr qu'il va arrêter d'sourire pour s'mettre à pleurer comme un bébé...

- Dis dis dis, tu voudras jouer avec moi aux dinosaures ?! Et aux Power Rangers ? J'en ai pleiiin dans ma chambre ! Ouuuh, ou alors aux pirates ! J'adore trop les pirates, j'veux devenir un pirate quand j'serai grand !

- Mais ça existe pas les pirates, débile... soufflé-je malgré moi en grimaçant encore.

- Si ça exiiiiiste ! J'te montre avec mon super déguisement de pirate qu'y'a chez moi !

- J'm'en fiche de ton déguisement d'pirate ! Et j'viendrai pas chez vous !

- Ah mais si ! Ma maman elle a dit que tu venais ! Mais après manger ! On va manger d'abord ! Hein maman qu'on va manger ?!

- Oui mon cœur, on va aller manger quelque chose que tu n'as peut-être jamais goûté, en plus... !

- Oh c'est vrai ? C'est quoi, c'est quoi ?

- Le plat préféré d'Ace, je suppose... ? sourit-elle en me regardant avec ses yeux qui brillent.

Bruuuh, ils m'énervent tous les deux...

- Si c'est ton plat préféré, alors j'l'aimerai aussi, Esse ! me répond l'autre gogole.

- Qu'est-c't'en sais, tu sais même pas c'que c'est ! Et prononce mon prénom correctement, sale gogole !

Il gonfle ses joues et j'suis bien content de l'avoir enfin fait taire. Il est trop chiant, c'gosse...

Mais il m'laisse bouche-bée quand il s'met soudainement à rire comme un crétinos avec son sourire beaucoup trop grand pour sa tête de débile, là.

Y'a pas idée d'être aussi heureux, sérieux. Débile.

- Je sais que j'aimerais parce que j'aime touuuuuuut c'qu'on mange ! Shishishishishi ! J'suis trop content qu'on soit copains ! J'te prêterai mes jouets quand on sera à la maison, promis juré craché !

Il m'attrape le bras et s'met à m'câliner, maintenant ! Mais c'est quoi ce type ! Il est complètement demeuré !

... Mais j'arrive toujours pas à détacher mes yeux d'son sourire trop grand. On dirait qu'il brille... Il est trop trop bizarre ce gosse...

- Eh bien, vous avez l'air de déjà bien vous entendre... ! s'amuse le père alors qu'il revient vers nous.

- Même pas vrai ! C'est lui qui m'colle ! me défends-je. Moi j'ai rien demandé !

- ON VA MANGER PAPA ? ON VA MANGER AVEC ESSE ?!

- Oui Luffy, on y va... Et qui sait, peut-être qu'il voudra aussi manger à la maison ce soir, avec un peu de chance... ?

Le gogole explose de rire à m'en broyer l'oreille et m'traîne vers la sortie comme si j'étais un sac à patate. Il a d'la force, pour un nain... Mais c'est surtout qu'il est trop bête pour que j'le comprenne. Les autres gamins savent que j'les mords s'ils m'approchent ou me touchent, normalement... Pourquoi lui, il a pas peur ?

"Luffy", hein... ? Pfff. Un nom aussi crétin qu'lui, tiens...

Il s'retourne et me sourit encore. J'me tasse un peu plus sur moi-même. J'veux qu'il arrête de faire ça. Mais genre... Maintenant ?! Arrête, sale crétinos !

- On va devenir les meilleurs frères du monde, Esse ! qu'il m'dit. Ça va être trop trop troooooop bien ! Shishishishishi !

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- Metallica - The Unforgiven III –

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Ceux qui craquent sur mini Luffy de 7 ans, levez la maiiiin... ! *Soraa lève la main en sautant sur place* Il est beaucoup trop meugnon...

Voici donc pour ces flashbacks qui remontaient peu à peu dans le temps... ! Les trois marquaient un tournant spécial dans la vie des deux frères, comme vous l'avez peut-être remarqué ! Je vais certainement continuer sur ma lancée pour les prochaines dizaines, mais à savoir de quoi ils parleront exactement... Mais je vais finir par trouver ! Tranquille !

À la prochaine pour le réveil après la soirée du Nouvel An !