Coucou, bonjour à tous! Oh la la j'ai vraiment été ravie des retours positifs que cette histoire à inspirée. J'en déborde de joie. J'adore tellement cette fic, que tout comme vous j'ai hâte de découvrir la suite. Si seulement je pouvais passer plus de temps à écrire... Néanmoins je continue peu importe le temps que cela me prends^^. Merci beaucoup, vraiment, pour tous vos commentaires.
Je déclare ouverte la foire aux reviews:
masterSei: Merci beaucoup, j'espère que tu continueras à apprécier la suite!
adenoide: Effectivement les sorciers sont très attachés au sang, mais Ophir est un Sang-Pur, il ne faut pas l'oublier.
Marion: Merci, je vais essayer de réussir à vous éblouir tous! (Oh la pression). J'espère rester sur cette taille en terme de chapitre, donc oui le temps de parution sera long, désolé et merci de ton soutient^^!
katymyny: Boujour katymyny, non je n'aie pas mit de OC pour le moment, disons que je suis plutôt dans le flou même si un petit épilogue commence à se dresser dans ma tête. Pour le moment je préfère le laisser ainsi et ne rien dire, et je suis très heureuse d'avoir su titiller ta curiosité.
Auriane07: Merci, justement voici la suite!
Melodie Zik Spirit: Merci pour ta review, et de continuer à me lire depuis si longtemps, je te laisse apprécier ce chapitre^^.
Petite-Licorne-Arc-En-Ciel: Merci, c'était le but du jeu^^. Surtout de savoir ce qu'un seul personnage aurait put changer dans toute l'histoire...
carolefantoni38: Merci ton enthousiasme me va droit au cœur, j'espère que la suite te plairas!
Orion26600: Merci beaucoup!
Silverbutterfly209: Merci, j'ai beaucoup travaillé pour cela. Quant au possible coquilles j'ai mit un PS avant le début du chapitre. Cela reste après tout une histoire il y aura forcément quelques différences par rapport à l'originale, au bon vouloir de l'auteur. Je fais pas mal de recherche pour correspondre au mieux au caractère des personnages, et avec des chapitres aussi longs quelques erreurs peuvent si glisser, désolé. Cependant je te laisse apprécier ce chapitre qui est pour le moment mon préféré^^.
Mainysla: Merci je sais que cela faisait longtemps que je n'avais rien posté. Je suis contente que tu trouve mon histoire originale, avec le nombre de fics qui circulent se n'est pas chose aisée. Je te laisse donc apprécier ce chapitre, à très vite^^!
Ilyphos: Merci, je compte donc sur ton soutient, encore merci pour ta review.
DidiineOokami: Merci, et bonne lecture.
Angelyoru: Merci, j'aime beaucoup cette histoire et je suis contente qu'elle plaise autant!
Pims10: Merci.
Liliange83: Merci de ta patience, et voici la suite!
Petite précision avant la lecture: D ans cette fiction, Regulus et Sirius ont un an d'écart au lieu de deux. Les maraudeurs entre donc à Poudlard en 1970 au lieu de 1971. Et Andromeda est plus âgé que Bellatrix et à donc le même age que Lucius. Voilà rien de vraiment important mais dans le doute vous voilà prévenu.
PS: Comme précédemment, désolé pour les fautes. J'ai relut l'histoire tellement de fois que je n'arrive plus à les trouver et je n'aie plus de correcteur sur mon traitement de texte...
Le joyau des ténèbres
Chapitre 02
Il était temps, cette année là Sirius entrait à Poudlard. Son départ pour l'école de magie causa encore bien des discordes entre les deux frères plus âgés. Regulus était clairement déçu de devoir attendre encore un an avant de partir à Poudlard à son tour, et Sirius ne faisait absolument rien pour arranger ça. Cependant, les deux garçons s'abstenaient de parler de ce sujet en présence d'Ophir. Le jeune sorcier venait tout juste de fêter ses 9 ans et pourtant aucun remède pour guérir sa vue n'avait encore été découvert. Aussi Sirius et Regulus ne se chamaillèrent jamais au sujet de Poudlard devant lui, sachant pertinemment que leur jeune frère ne pourrait pas y aller.
Bien des choses c'était passé depuis la rencontre d'Ophir avec sa cousine Narcissa. Les deux cousins avaient entretenu une correspondance très fournie depuis ce soir là. Cela allait des tracas de chacun à leurs vie quotidienne. Bien sur Narcissa ne négligeait également pas de correspondre avec Regulus, mais elle parlait bien plus de cours et de livres avec ce dernier qu'elle ne le faisait avec le plus jeune. Cependant, la jeune sorcière fut heureuse d'avoir entamé cette correspondance le jour ou sa sœur aînée fit pleuvoir sur eux la honte du restant de la famille. En effet, Andromeda Black avait refusé jusqu'au bout son mariage avec l'héritier de la famille Malfoy. Son entêtement avait poussé Orion Black à la convoqué en tant que chef de famille. Et même devant son patriarche, la jeune femme s'entêta à ne pas épouser Lucius, et déclara même en aimer un autre. Cela créa une grande agitation, mais Lord Black voulut tout de même s'enquérir du nom du destinataire de ses affections. Contrainte, la jeune femme révéla comble du scandale, qu'elle était dans une relation depuis prêt de deux ans avec un né-moldu. A ses mots les parents d'Andromeda ainsi que Lord et Lady Black se retrouvèrent indigné, et lui ordonnèrent de cessez de voir cet immonde jeune homme, et de ce concentrer davantage sur son union de plus en plus proche avec l'héritier Malfoy.
Plusieurs semaines plus tard, Andromeda s'enfuie de chez elle en compagnie de son né-moldu. Le scandale et la honte avait éclaté dans la famille qui blâmèrent aussitôt les parents de la jeune femme pour sa terrible conduite. Cygnus et Druella n'hésitèrent pas une seconde avant de supplier Orion Black de renier leur fille de la noble et ancienne maison des Black. Andromeda fut renier de la famille, et son nom effacer de la lignée familiale. Son coffre à la banque fut prestement fermé. Mais la jeune femme avait suffisamment préparer son coup pour retirer un petit pécule de son coffre et en ouvrir un nouveau à son nom exclusif.
Sirius, Regulus et Ophir se firent discret ces semaines là. La colère et l'indignation de Walburga Black été palpable, et elle refusa de revoir Cygnus et Druella tant que sa colère ne c'était pas apaisé. Orion lui même se fit bien plus absent, et passait ses journée au Ministère pour éviter le plus possible que l'affreuse conduite d'Andromeda ne rejaillisse sur leur famille. Cela n'empêcha pourtant pas le scandale de se répandre, et beaucoup de famille de Sang-Pur ne cachèrent pas leur plaisir de voir l'illustre famille Black se dégrader. La famille Malfoy bien sur fut dur à apaiser. Les disputes entre Abraxas Malfoy et Orion Black furent très violentes, et beaucoup de beuglantes furent envoyé. La famille Black ne pouvait pas se permettre de perdre une alliance avec la famille Malfoy. Narcissa fut donc le choix idéal. Elle était encore assez jeune pour ne pas encore avoir contracter de promesse de mariage. Bien que Lucius était plus âgé qu'elle, mais cela ne sembla pas dérangé l'héritier Malfoy qui réussi à convaincre son père d'accepter cet arrangement.
La pauvre Narcissa dû donc faire face à la fugue d'Andromeda du domicile familiale. Au reniement de sa sœur, et à l'annonce de ses fiançailles avec l'héritier Malfoy. Plus tard, elle avoua à Ophir dans ses lettres que parmi toutes ses nouvelles, elle était plutôt heureuse de devoir épouser un homme aussi beau que Lucius. Cependant, les attentes de sa famille à son égard l'étouffait de plus en plus. Tout les regards étaient tournés vers elle et la jugeait constamment pour qu'elle se tienne à la hauteur de la famille Malfoy. Abraxas fut le plus intransigeant et exigea de Narcissa qu'elle se comporte dignement en toute circonstance. Il n'y avait guère que Lucius pour réchauffer le cœur de la blonde. Bien que leur différence d'age soit plutôt gênante pour des sorciers de leurs génération. Cela n'était pourtant rien comparé à certain contrat de mariage. Aussi Narcissa eut peur au début du froid et inaccessible héritier Malfoy. Le fait qu'elle soit encore une jeune adolescente devant encore effectuer plusieurs année à Poudlard lui avait fait craindre de devoir passer pour une idiote auprès de son désormais fiancé. Mais après plusieurs entrevue le sorcier se réchauffa légèrement auprès d'elle. Si bien qu'une entente commençait doucement à se former entre eux. Ce qui était déjà un progrès comparé à l'ancienne partenaire de Lucius.
Narcissa concluait sa lettre sur l'enthousiasme et l'espoir que lui procurait l'arrivé de Sirius à Poudlard. Dorénavant tout les regards ce concentreraient sur l'héritier de leur famille laissant la jeune femme souffler pendant son année de BUSE.
Et ainsi l'instant tant attendue du départ de l'héritier de la famille Black à Poudlard arriva. Ce dernier avait passé beaucoup de temps cette semaine là dans la chambre du plus jeune enfant de la famille. Plutôt nerveux par son départ pour l'école de sorcellerie, bien que très impatient d'y être, Sirius appréhendait beaucoup ce moment. Il savait bien que son comportement peu orthodoxe ne faisait pas l'unanimité au sein de sa famille, et à en juger par les innombrables disputes qu'il entretenait avec sa mère, son cas ne c'était pas arrangé avec le temps.
Aujourd'hui enfin il partait pour Poudlard. Bien sur il était impatient. Tout enfants du monde sorcier attendaient ce jour, et pour Sirius cela sonnait comme une délivrance. Il serait enfin loin des cris et des disputes de sa mère, et de l'étouffante atmosphère de la maison Black. Il n'y avait guère que pour Ophir qu'il s'inquiétait. Son jeune frère allait beaucoup lui manqué, aussi l'avait-il rassuré en lui promettant de lui écrire régulièrement pour lui raconter ses exploits quotidien. Enfin le jeune héritier de la famille Black allait pouvoir se développer loin du regard insistant de sa famille. Bien que sa cousine Narcissa soit encore à Poudlard où elle allait passer cette année ses BUSE, au moins Bellatrix avait terminé son parcourt à l'illustre école de sorcellerie et était désormais pleinement engagé dans son union avec l'héritier de la famille Lestrange. Sirius n'allait donc pas se retenir le moins du monde.
La famille de Sang-Pur partit donc pour la gare, arrivant bien avant le départ du train emblématique. Warburga grimaça de dégoût alors que son mari gardait une posture stoïque alors que plusieurs famille déjà présente faisait leurs dernière recommandation à leurs enfants. Arriver tôt leurs avaient néanmoins permit d'éviter l'habituelle vague de retardataire pressé de ne pas rater le train. Cela ne les empêchaient pas néanmoins de noter le regard ahuri de certain née-moldus dans leur entourage.
Les au revoir furent bref. Il n'y eut bien sur pas d'embrassade ou de geste affectueux. Seulement de nombreuses recommandations sur le comportement de Sirius sur sa répartition sur laquelle sa famille n'avaient aucun doute, et sur ses résultats scolaire. Ce fut donc avec soulagement que Sirius monta dans le Poudlard express, et observa la gare s'éloigner de plus en plus alors que le train prenait de la vitesse.
Son regard se mit aussitôt à chercher quelqu'un. Il s'agissait d'un garçon qu'il avait rencontré à l'une des nombreuses réceptions de Sang-Pur auquel il avait assisté. James Potter, héritier de la noble famille Potter et lui-même avait depuis ce jour entretenu une correspondance fournis et les deux jeunes garçons n'avaient qu'une seule hâte, se retrouver à Poudlard. Bien loin des mésentente de leurs familles respective.
Une tête surmonté de cheveux en bataille attira enfin le regard argenté de Sirius, alors que le jeune Potter regardait également autour de lui à la recherche de quelqu'un. Le regards des deux garçons se croisèrent, et aussitôt le même sourire chaleureux et plein de malice envahit leur visage. Au diable son père et sa liste d'enfant avec lesquels Sirius aurait dû se connecter, au diable sa mère et ses interminables leçons sur son comportement, aujourd'hui Sirius allait vivre pleinement. D'un commun accord les deux garçons se mirent à chercher un compartiment, jusqu'à tombé sur deux premiers année. Une jeune fille rousse au yeux vert et un garçon émaciés et pâle au cheveux noirs.
Et Sirius sourit, alors que le comportement flamboyant de la rousse leurs étaient dévoilés à la suite d'une mauvaise remarque de James. Il sourit car il savait au fond de lui que ses années à Poudlard seraient sans aucun doute les plus belle de sa vie.
La nouvelle était arrivé, le lendemain même du départ de Sirius. La famille Black était attablé ce matin là pour un bon petit déjeuner, dans le respect des convenances bien encadré par la mère des deux garçons. Lord Black lisait la Gazette qui venait juste d'arriver par hibou, il allait bientôt devoir partir pour le Ministère. Ophir et Regulus murmuraient à voix basse pour ne pas déranger leur père avant qu'un elfe de maison n'apparaisse soudainement à côté d'Orion, une lettre entre ses mains.
Le patriarche de la famille posa son journal, agacé d'être interrompu dans sa lecture matinale. Il s'empara de la lettre et s'enquit de l'expéditeur avant d'ouvrir l'enveloppe.
«De qui cela vient-il mon cher?» s'enquit son épouse en reposant gracieusement sa tasse de thé.
«De Cygnus et Druella» lui vint la réponse avant que son mari ne se plonge dans la lecture de la lettre.
Ses yeux se plissèrent de plus en plus au file de sa lecture alors que sa mâchoire se contractait dangereusement.
Walburga resta silencieuse, de même que ses deux fils qui observèrent leur père dans l'attente, Regulus ayant informé son jeune frère de l'humeur orageuse de leur père.
Non pas qu'il en est eut besoin, Ophir avait parfaitement ressentit le moment où l'humeur de son père s'était dégradé. Sa cécité n'ayant toujours pas eut d'amélioration au file des ans, il avait dû se concentrer sur sa magie pour décrypter son environnement, et c'est ainsi qu'il en vain à ressentir la magie des autres. Bien sur il ne connaissait que celle de ses parents et de ses frères, mais son père avait été tellement fière lorsque Ophir l'avait informé de ce fait. Sa cécité lui avait donc permit d'être beaucoup plus sensible envers sa magie et la magie des autres, et c'est un don qu'il s'efforçait de pratiquer au quotidien. Cela dit, cela n'expliquait pas pourquoi l'humeur de son père c'était aussi brusquement dégradé...
La main d'Orion contenant la lettre frappa violemment contre la table, froissant le parchemin. Le patriarche de la famille se leva d'un mouvement furieux, et s'empressa de monter à l'étage.
«Orion mais enfin-» commença sa femme.
«Lisez la lettre Walburga!» claqua son mari en disparaissant rapidement.
Troublé, la matriarche prit l'enveloppe froisser et s'empressa de la lire avec avidité. Peu à peu toutes couleurs quitta son visage et ses yeux se plissèrent de fureur, alors que ses mains se mirent à trembler.
«Cela ne se peut» commença t-elle en froissant le parchemin qu'elle lança avec rage dans la pièce «Combien de fois cet enfant va t-il nous couvrir de honte!»
C'est à cet instant que Orion réapparut de nouveau, soigneusement habillé de robes sorcières, portant le blason de la famille Black «Je me rends de ce pas à Poudlard vérifié cela par moi-même!»
Et sans un regard pour sa femme et ses enfants confus, il s'empara d'une poignée de poudre de cheminette, et disparut dans les flammes.
Sa femme quant à elle perdit peu à peu sa maîtrise d'elle-même, et agrippa fermement sa baguette, qui laissait échappé des étincelles menaçantes, avant de quitter la pièce d'un pas rageur.
Laissé seul, Ophir et Regulus ne purent se retenir bien longtemps, et aussitôt le plus âgé des deux, s'empressa de ramassé la lettre froissé et oubliée pour la lire au plus vite.
«Alors! Alors! Dis moi ce qu'il se passe» s'empressa le plus jeune.
«Attend deux minutes» répondit Regulus alors que ses yeux argenté parcourait l'écriture net et régulière de son oncle «Oh par Merlin!»
«Mais quoi!?» lui parvint la voix de plus en plus impatiente d'Ophir.
«Tante Druella et oncle Cygnus nous écrivent car ils ont reçu très tôt ce matin une lettre de Narcissa les informant de la répartition de Sirius. Ils nous avoue être affligé de nous apprendre que Sirius n'a non pas été répartit à Serpentard mais à Gryffondor!» la bouche d'Ophir s'ouvrit de surprise, alors que ses beaux yeux vert s'écarquillaient «Ils finissent par nous informer qu'ils compatissent sincèrement à notre infortune et qu'ils se tiennent prêt à tout moment à nous aider à traverser cette épreuve»
Ophir renifla dédaigneusement, ce qui aurait fait bondir sa mère si elle avait été présente «Tante Druella et oncle Cygnus ne se sont jamais remit du déshonneur qu'à été le départ d'Andromeda. Ils ont subit la colère de père et mère à ce sujet pendant une éternité. Cela ne m'étonne pas qu'ils soient si pressé aujourd'hui de nous informer d'une tel nouvelle»
«Cela explique la colère de mère» poursuivit Regulus «Cette fois on peut dire que Sirius à de sérieux ennuies»
Leur père ne revint que peu avant le repas de midi, ayant pris congé du Ministère pour la journée.
Aussitôt avertit de sa présence par les barrières magiques de protection protégeant leur demeure, sa femme alla à sa rencontre en toute hâte, ses enfants la suivants de prêt. Walburga était en train de donner une leçon à ses deux fils lorsqu'elle avait ressentit son mari revenir. Sans tarder elle alla l'accueillir, Regulus et Ophir ne se privant donc pas de la suivre curieusement.
«Alors!» claqua t-elle alors que Orion suspendait sa cape sur un crochet prévu à cet effet «Qu'a t-il été décidé!»
«Je me suis longuement entretenu avec Dumbledore au sujet de Sirius» cracha son mari, comme si devoir prononcer le nom du directeur de Poudlard lui écorchait la gorge «Malheureusement nous ne pouvons rien faire. Le Choixpeau l'a placé à Gryffondor, il est donc maintenant lié à cette maison et ne peut être répartit de nouveau. Par ailleurs, rien ne prouve qu'il ne serait pas de nouveau placé à Gryffondor s'y t-elle était le cas»
«Mensonge!» hurla Lady Black démontrant son célèbre tempérament «Ne venez pas me dire que nous ne pouvons en aucun cas réparer une tel tache sur notre famille à cause des veilles lois moyenâgeuse de cette école remplit de sang de bourbe!»
«J'ai bien peur ma chère que nous ne poussions rien faire» soupira le patriarche de la famille Black, les poings serré de rage et d'amertume «Les règles et lois qui régissent Poudlard ont pour la plupart étaient créer lors de sa création par les quatre fondateurs eux-même. Nous ne pouvons nous y soustraire. Ce que le directeur c'est particulièrement empressé de me rappeler» siffla t-il.
«Au diable cet immonde adorateur de moldus et traître à son sang!» s'égosilla Lady Black «Nous n'aurions jamais dû inscrire Sirius dans cette école! L'inscrire à Dumstrang aurait été une solution bien plus approprié! Gryffondor! Une maison remplit de traître et de sang de bourbe! Songez donc à présent à quel sorte de racaille notre fils va se lier pendant sa scolarité! C'est une honte pour notre famille!»
Orion resta stoïque face au comportement de son épouse qu'il connaissait si bien. Lui même n'était guère enchanté par la tournure des événements. Rien de songer au fait que son héritier partageait aujourd'hui un dortoir remplit d'adorateur de moldus et de traître à leurs sang le plongeait dans une colère noir.
«Nous devons le retirer de cette école» continuait Walburga «Nous allons l'inscrire à Dumstrang. La où il sera pris en charge convenablement et où il aura une éducation digne de son titre!»
«Nous avons déjà eu cette conversation Walburga» coupa son mari «Nos enfants fréquenterons Poudlard là où est leur place, et où ils pourront entretenir des liens appréciable avec des enfants de leurs age et de leurs importance! Si nous envoyions nos enfants à Dumstrang, ils ne posséderons aucune connexion après l'obtention de leur diplôme!»
A cela les lèvres de Lady Black se pincèrent de contrariété. Elle, tout comme son mari et le restant de leurs famille, avaient tous effectuer leurs scolarité à Poudlard. Répartit bien évidement à Serpentard, ils avaient put ainsi cultiver des liens avec des personnes désormais influente au Ministère. Sans parler de cultiver la bonne entente entre les familles de Sang-Pur qui se respectaient. Sirius était l'héritier de leur famille. Il pouvait certainement être encore résonné pour s'orienter vers des personnes plus fréquentable et des relations qui lui serait utile à long terme. Et c'était à n'en point douter le plan d'Orion. Walburga s'inclina donc devant la volonté de son mari et patriarche alors que celui-ci regagnait son bureau.
Oui il y avait encore de l'espoir. Les yeux de Lady Black se posèrent sur son second fils. Regulus n'était en rien comme son frère. Il étai polit et attentionné, et n'était en rien aussi turbulent que son aîné. Oui il ferait sans doute un excellent Serpentard cela dit ont était jamais trop prudent. E Walburga comptait accélérer d'autant plus ses leçons avec Regulus, dans l'espoir que le cadet rattrape les bêtises de son aîné.
La réception battait son plein au sein de la demeure principale de la famille Black. Sirius venait tout juste de revenir pour les vacances de Noël et, comme il fallait s'y attendre, fut pris dans une violente dispute avec sa mère. Orion pour sa part avait convoqué son fils aîné dans son bureau des son arrivé, pour s'entretenir avec lui sur sa répartition et son comportement peu convenable à l'école de sorcellerie.
Cet entretient dura bien trop longtemps, et c'est un Sirius rouge de colère qui sortit du bureau de son père pour regagner sa chambre. A l'instant même où il avait posé le pied chez lui, il avait été assaillit par les cris de sa mère lui faisant regretter de ne pas pouvoir rester à Poudlard pour Noël. Ses parents s'y étaient fermement opposé, et nul doute que si Sirius avait tenté de resté au château pour les vacances, ses parents seraient venu le chercher par la peau du cou pour le ramener à la maison.
Il lui manquait déjà les soirées au coin du feu, blottit dans les fauteuils rouge et usé de sa salle commune. En compagnie de James, Remus et Peter ses colocataires de dortoir. Il commençait tout juste à connaître Remus et Peter. L'un étant timide et studieux, et l'autre nerveux et peut impliquer dans ses études. C'était tout naturellement donc que Sirius et James ne s'étaient pas lâché depuis leur rencontre dans le Poudlard express. Ayant peur tout d'abord de devoir ce quitter lorsqu'il fut rendu évident qu'ils allaient appartenir à deux maisons différente et qui plus est rival. Sirius ne fut jamais aussi heureux de sa vie lorsque le Choixpeau cria Gryffondor à travers la grande salle.
Cependant, au moment de fermer les rideaux de son lit pour la nuit, la terreur s'emparât de son corps alors qu'il réalisait enfin la réaction de ses proches au sujet de sa répartition. Cela ne manqua pas, il apprit le lendemain même que son père s'était présenté au bureau du directeur. Le stress le submergea toute la journée jusqu'au départ de son père. Il fut soulager de ne pas avoir à le croiser et décida de ne pas laisser toute cette situation le gagner. Il allait profiter un maximum de sa nouvelle liberté, et songer à ses problèmes le moment venu. Et ce moment était désormais belle et bien là.
Alors qu'il revêtait une robe plus luxueuse pour la réception de Yule donné chaque année par ses parents il soupira de dépit et de rage à l'idée de devoir encore une fois donné le change et adresser des sourires hypocrite à sa famille et à leur invité alors qu'il serait certainement le sujet de tout les commérages ce soir là. Et dire que dans deux jours se donnait la réception au manoir Malfoy auquel sa famille avait été convié. La période de fin d'année était très connu pour être charger en réception, toutes les familles influente voulant se montrer au yeux de tous et faire resplendir leurs richesse auprès de leur invité. Avec un peu de chance la famille Potter sera invité à l'une des nombreuses réception auquel les Black se devraient d'assisté. Cette seul perceptive rehaussa légèrement son humeur alors qu'il allait en direction de la chambre d'Ophir, en priant pour que Regulus n'y soit pas.
Néanmoins, alors qu'il frappait poliment à la porte du plus jeune fils des Black avant d'y entrer, il la trouva déserte. Sirius tendit l'oreille en parcourant la demeure, se tendant à la voix orageuse de sa mère qui donnait les dernières ordres aux elfes de maison pour que tout soit parfait, alors que les premiers invité arrivaient. Regulus devait sans doute être auprès d'elle en bon petit fils bien élevé qu'il était. Et cela ne laissait qu'un seule endroit où son frère aurait put se réfugier peu avant la réception.
Une douce mélodie parvint à ses oreilles, alors que Sirius se dirigeait vers le petit salon privé que son père avait donné à Ophir comme son propre espace personnel. De tous, Ophir était certainement celui qui parvenait à obtenir le plus d'attention d'Orion Black. Le patriarche de la famille passait bien sur le plus de son temps au Ministère et de ce fait ne pouvait pas être aussi présent dans l'éducation de ses enfants que son épouse. Cependant, il avait toujours une attention, ou plutôt une douceur spéciale envers le dernier de ses enfants. Sirius ne s'en formalisait pas. Il n'avait jamais été très proche de son père, bien qu'il se soit mieux entendu avec lui qu'avec sa mère, Orion n'avait toujours été pour lui qu'une figure parentale distante tout au plus, bien qu'il ressente encore un léger sentiments de bonheur lorsque le regard fière de son père se tournait vers lui, ce qui arrivait de plus en plus rarement ces jours-ci.
Cependant, le fait que leur père se montre bien plus prévenant envers Ophir, allumait une lueur d'espoir au fond du cœur de l'héritier de la famille Black. Son père ainsi que peut-être d'autre Sang-pur si haut et important dans la société, n'étaient sans doute pas aussi froid qu'ils le prétendaient.
La porte du petit salon de son frère était légèrement entrouverte, laissant le curieux Gryffondor jeter un œil intrigué à travers la pièce.
Son petit frère était là, jouant du piano les yeux fermé, ses sourcils se fronçant de concentration alors que ses doigts frêle survolait les touches pour faire naître des sons mélodieux. Sa tête s'inclinait légèrement au rythme de la mélodie avec une grâce qui dévoilait clairement sa lignée. Son frère était beau, délicat, enchanteur. Et à n'en point douter, tel était aussi l'opinion de leur père.
Orion Black était adossé nonchalamment contre le sofa, toute son attention était tourné vers son plus jeune fils alors qu'une étincelle de fierté brillait dans son regard, ainsi qu'une chaleur et une douceur que jamais Sirius n'avait autant vu briller envers Regulus ou lui-même. Un soupçon de tristesse et de regret pouvait cependant s'observer dans son regard argenté si semblable à celui de son héritier. Nul doute qu'Orion était lasse de devoir caché jour après jour une merveille tel qu'Ophir. Non seulement celui-ci était beau, polit et bien éduqué, mais il possédait également le don du fourchelangue. Don que beaucoup de famille sorcière rêveraient d'acquérir au sein de leur famille.
Sirius savait que si son père passait le plus clair de son temps en dehors de la maison, c'était pour trouver un remède contre la cécité d'Ophir. Il multipliait les rendez-vous médicaux ainsi que ceux politiques. Il entretenait des correspondances acharné avec de nombreux potionniste, y compris Horace Slugorn l'actuel professeur de potion de Poudlard. Mais rien n'avait aboutit. Pour le moment son frère restait désespérément aveugle, et continuait à demeurer confiné au sein de leur maison, sans jamais avoir la chance de côtoyer d'autre personne que sa famille la plus proche.
Sirius serra une nouvelle fois les poings de rage devant cette injustice, et attendit que le morceau soit terminé avant de frapper à la porte. Seulement, les applaudissement de son père firent gelé sa main à quelques centimètres de la surface de bois polit.
Un sourire traversa le visage d'Ophir à l'entente de l'approbation de son père.
«Tu te débrouille de mieux en mieux fils» le complimenta Orion.
«Merci père» sourit le musicien avec bonheur «Je vais continuer à me perfectionner et un jour je pourrais jouer un morceau pour notre famille toute entière»
Le sourire de Lord Black se figea quelque peu, chose que heureusement le jeune Ophir ne pouvait pas voir. Il se leva lentement jusqu'à parvenir prêt du jeune garçon auquel il caressa le sommet de la tête «Et ce jour viendra mon fils» chuchota t-il en embrassant son front «Je t'en fais la promesse»
«Père» murmura Ophir avant que des larmes ne commencent à se former dans ses magnifiques yeux vert «Vous croyiez vraiment que ce jour finira par arriver?»
Sirius se figea tout comme son père à l'entente de ses douces paroles chuchoté presque craintivement. Jusqu'ici, jamais Ophir ne c'était vraiment plein de sa condition. Bien sur il avait toujours été plutôt triste à ce sujet surtout lorsqu'il ne pouvait pas participer au même jeu et à la même vie en générale que ses frères. En grandissant, bien qu'il demeure encore très jeune, il avait appris à masquer ses doutes, mais sans doute la gentillesse de leur père lui avait fait lâcher les larmes et la peur qui le tenaillait sans doute chaque soir dans son lit et chaque matin lorsqu'il se réveillait une fois de plus dans l'obscurité.
«Ophir» déclara Orion avec sérieux agrippant le menton de son fils pour que ses yeux vert puisse plonger dans les siens, si seulement ils auraient put «Je te promet que ce jour arrivera. Le monde sorcier ne c'est pas fait en un seul jour, les innovations prennent du temps. Mais à force de pouvoir et d'argent mais également de volonté et de talent de nouveau sort et de nouvelles potions sont créer régulièrement. Et un jour l'un d'entre eux sera assez puissant pour te guérir»
«Père» sanglota le garçon et cette fois il faisait belle et bien son age, celui d'un enfant encore trop jeune pour aller à Poudlard et qui ne supportait plus son rythme de vie «Puis-je aller à la fête s'il vous plaît?» continua t-il en agrippant les belles robes de son père «Je promet que je ne ferais rien pour vous embarrasser. Je me tiendrais prêt d'un mur ou même derrière une tapisserie pour que personne ne me remarque. Je promet de ne pas vous faire honte! S'il vous plaît père!»
Une légère humidité commença à prendre place dans les yeux de Lord Black, chose que Sirius eut du mal à discerner tant les siens avaient depuis longtemps refusé de retenir ses larmes.
Orion s'agenouilla devant son fils avant de conjurer un mouchoir de sa baguette, pour nettoyer doucement le visage d'Ophir.
«Mon beau joyau, écoute moi» commença t-il d'une voix ferme «Jamais tu ne ma fais honte et je t'interdit t'avoir ce genre de penser. Tu es mon fils et rien n'y personne ne peu changer cela. Et je te fais la promesse, qu'un jour tu pourra descendre avec nous et te mêler à la foule, tu pourra ensorceler nos invité avec t'es talents et je serait aussi fière à ce moment, que je ne le suis aujourd'hui. Crois-moi»
Quelques larmes silencieuses continuèrent à s'attarder sur les joues rougit de chagrin du jeune garçon, bien vite effacer par le mouchoir en soie de son père.
La voix de Walburga Black traversa le silence et la quiétude de ce moment. Elle avait utilisé un léger sonorus pour demander à son mari et Sirius de se dépêcher, elle ne pourrait retenir bien longtemps leur premier invités qui s'inquiétaient déjà de l'absence du chef de leur famille et de son héritier.
Orion se leva caressant une dernière fois le dos de son fils, avant de quitter la pièce, si soudainement que Sirius n'eut pas le temps de se cacher.
Le regard argenté de son père si semblable au sien se posa sur lui, ne lui laissant aucune échappatoire «Suis-moi Sirius» lui indiqua t-il avant de s'éloigner.
Laissé seul devant la porte du salon de son frère alors que celui-ci laissait courir doucement ses doigts sur les touches du piano pour ne pas laisser la tristesse le submerger, Sirius suivit son père à contrecœur, honteux de devoir laisser son frère seul, dans un tel état.
Les pas de son père le menèrent dans son bureau bien loin de la réception à laquelle ils devaient assister.
«Ferme la porte Sirius» demanda l'homme alors qu'il convoquait un elfe de maison «Tu vas prévenir Lady Black de mon retard, et l'informer que j'ai quelques mots à régler avec Sirius, nous descendrons bientôt» ordonna t-il à l'elfe.
«Bien maître» s'inclina celui-ci avant de disparaître avec un léger pop pour accomplir son devoir.
Sirius déglutit alors qu'il observait la stature droite de son père les mains derrière le dos, qui contemplait sans le voir le paysage derrière la grande fenêtre de la pièce.
«Tu as tout entendu n'est-ce pas Sirius?» interrogea Lord Black sans pour autant se retourner vers son héritier.
«Oui père» acquiesça celui-ci, il était impossible de nier l'évidence, surtout lorsqu'il avait été pris sur le fait.
«Et qu'en as tu pensé?» s'enquit le patriarche d'une voix toujours détaché.
«Père?» questionna le rouge et or, peu sur de lui.
«Parle donc Sirius» Orion se détourna enfin de la fenêtre pour plonger son regard dans celui du plus jeune avec le plus grand sérieux «Je suis curieux d'entendre tes réflexions à ce sujet»
«Puis-je parler sans contrainte père?» s'enquit l'héritier des Black avec détermination. Il allait enfin pouvoir parler librement à son père de ses doutes et de ses idées, quitte à froisser son aîné, il en avait assez de se retenir.
Le léger hochement de tête de son père fut tout ce dont-il avait besoin pour laisser son tempérament s'exprimer et enfin dévoiler les pensées qui étaient les siennes et qu'il avait maintenu sous silence toutes ces années «Pourquoi père» commença t-il ardemment «Pourquoi ne voulez-vous pas présenter Ophir à notre famille et au reste de la communauté sorcière. Sa cécité est-elle un si grand obstacle pour vous que malgré toutes vos belles paroles vous n'osez pas le dévoiler à d'autre personne que nous? Ophir est mille fois plus méritant que toutes ces sorcières et sorciers qui se pavanent sous notre nez dans l'espoir d'obtenir votre attention! C'est injuste! N'avez-vous pas vu à quel point Ophir souffre de sa condition! Si vous étiez plus ouvert d'esprit vous accepteriez Ophir tel qu'il est au lieu de le cacher loin de la foule comme un vulgaire cracmol!»
Les poings serrés le long de son corps tremblant de rage contenu, le souffle court à cause de l'émotion présente dans ses paroles, Sirius attendit dans un silence tendu que la gifle de son père traverser l'air pour lui claquer la joue. Il savait qu'il l'avait sans doute mérité. Après tout, son père avait été le seul ici hormis ses deux autres fils à sincèrement s'intéresser à la guérison d'Ophir.
Cependant la gifle ne vint pas, à la place Sirius put contempler la stature rigide son père s'affaisser légèrement comme s'il lui avait porté un coup physique.
«Je peux compter sur un Gryffondor pour ne pas mâcher ses mots, et se laisser emporter par la situation» déclara t-il enfin.
«Qu'est-ce que ma maison vient faire dans cette conversation!» s'énerva aussitôt Sirius que le sujet touchait particulièrement au vu du nombre de fois où il avait été abordé depuis son retour de vacance «Nous parlons d'Ophir ici et non pas de ma répartition-»
«Et c'est bien de cela dont-il s'agit» le coupa son père d'une voix ferme faisant aussitôt taire son fils. Bien que régulièrement absent au profit de sa femme auquel Sirius n'hésitait désormais plus à répondre. Son père conservait encore un certain poids et une certaine obéissance parmi ses enfants «Tu es encore trop jeune et pas assez conscient que tout ceci est intimement impliqué l'un avec l'autre. J'avais prévu d'avoir cette discussion avec toi lorsque tu serait plus âgé et aurait commencer à m'accompagner au Ministère pour prendre peu à peu tes fonctions d'héritier, mais au vu de ton tempérament et de l'époque dans laquelle nous vivons, j'ai l'impression de ne guère avoir le choix»
Sirius resta silencieux, attendant avec angoisse que lui soit dévoiler le sujet qui maintenait son père si stoïque et rigide d'ordinaire, dans un tel état.
«Nous allons donc commencer par le début» déclara t-il comme un professeur débutant une leçon «Que se passerait-il à ton avis si je présentait Ophir aujourd'hui à notre famille et nos connaissances les plus proches, et plus tard au reste de la communauté sorcière?»
«Ophir serait enfin libéré de la solitude et nous serons enfin tous réunis pour l'aider à faire face à son handicape!» répondit aussitôt Sirius. Il savait que ce qui pesait tant sur les épaules de son jeune frère n'était pas tant sa cécité que la solitude «Il pourrait ensuite aller à Poudlard et se faire des amis, père»
«Et penses-tu réellement que notre famille l'accepteras comme il est actuellement?» continua l'homme.
«C'est votre fils» Sirius se pinça les lèvres «Avec votre protection»
«C'est mon fils» confirma Orion d'une voix froide «Et jamais il ne ma fait honte» une sensation de froid comme si des millier d'aiguilles glacé parcouraient son corps traversa Sirius en réponse à ses paroles «Il fait également partit de la ligné principale de notre famille. Et Sirius, toi qui est habitué à nos rassemblement et qui connaît pertinemment les préjugés de notre famille, crois-tu vraiment qu'ils l'accueilleront à bras ouvert parce qu'il est mon fils? Non bien sur, il feront des courbettes et des sourires en publique et le dénigreront en privé comme n'importe quel Sang-pur dans notre société. Et que crois-tu qu'il arrivera lorsque ses paroles parviendrons aux oreilles d'Ophir qui a rêver toute sa vie de se faire accepter par le reste de notre famille?»
Sirius serra de nouveau les poings, bien sur il avait déjà lui-même pensé à ce scénario, et était déjà parvenus à cette conclusion, ce qui n'avait fait qu'exacerbé d'autant plus sa rancœur vis à vis de sa famille, si pur.
«Ce n'est pas juste» cracha t-il les dents serré, et le corps bouillonnant de rage «Tout ceci est injuste! Pourquoi notre société doit-elle rejeter ce qu'elle considère indigne! Ophir mérite d'être reconnu, il mérite d'être à nos côté. Moi je n'ai pas honte de lui, alors pourquoi les autres...»
Orion observa son fils se stopper, à court de mot, comprenant sans mal la colère qui le tenaillait. Lui-même ne pouvait parfois retenir sa colère silencieuse lorsqu'il rendait visite à Ophir. Son beau joyau, pourquoi devait-il en être ainsi?
«Tu comprend donc à présent pourquoi il est important de garder Ophir ainsi jusqu'à sa guérison. Non pas par honte, mais pour sa propre sécurité. Le monde sorcier est loin d'être tolérant. Et jamais Ophir ne devra souffrir de cette intolérance. Ce qui m'amène à présent à ta répartition»
«Père!» s'égosilla Sirius. Il en avait assez de cette discussion. Son père l'avait déjà convoqué dans son bureau pour parler longuement de sa répartition à Gryffondor, il en avait assez.
«Il suffit Sirius!» trancha son père avec colère «Tu dois arrêté de faire l'enfant, et réfléchir plus intelligemment!»
«Cela vous déplaît-il tant que cela que je ne soit pas répartit dans la même maison que nos ancêtres!» continua le plus jeune «Qui à t-il de mal avec Gryffondor! C'est une maison trop basse dans vos principes pour répondre aux exigences de notre famille!»
«Petit imbécile» souffla Orion ce qui fit facilement taire toute futur objections de ses lèvres pour le laisser choquer. Jamais son père ne lui avait parler ainsi, jamais «Sais-tu ce qui se passe actuellement dans le monde sorcier? Une guerre se prépare»
Un bruit indigne s'échappa des lèvres de l'héritier Black à ses paroles.
«Un sorcier réunis de plus en plus de partisan fidèle à sa cause pour renverser le pouvoir actuelle et enfin abolir les lois restreignant notre liberté depuis tant d'année au profit des née-moldus» son père s'était soudainement replacé devant la fenêtre tournant de nouveau le dos à son fils choqué «Ses idées sont séduisantes, et contrairement aux nombreuses discussion de salon entre Sang-pur, ce sorcier à le pouvoir de faire la différence, et quelques familles l'on déjà rejoint»
«Père vous ne voulez pas dire que...?» chuchota Sirius avec effroi.
«Je ne compte pas le rejoindre malgré la pertinence de ses idées» réfuta Orion «Me lancer dans un conflit d'une tel ampleur n'est pas dans mes projets, mais les temps change c'est indéniable. Et une guerre fait des victimes et qui viendrait par le suite soutenir notre famille à mon décès?»
De nouveau leur regard s'affrontèrent, et Orion ferma les yeux à la vue de son fils de onze ans entrant tout juste dans sa première année à Poudlard, devant aussi tôt être confronté à de tel difficultés.
«Tu es mon héritier Sirius» déclara t-il «Et à ma mort tu hériteras du titre de Lord ainsi que du poids de devoir gérer l'avenir de notre famille entière. Crois-tu réellement qu'il te sera facile de changer les mœurs qui te dérange, lorsque notre famille ne voit actuellement en toi qu'un jeune garçon mal élevé répartit à Gryffondor et dédaigneux de nos coutumes? Qui pourra protéger Ophir lorsque je serais partit et que tu n'auras pas le pouvoir et l'influence de le protéger?»
Le corps de Sirius, déjà figé depuis un long moment à présent à mesure que les paroles de son père résonnaient dans son esprit, s'engourdit peu à peu comme si un froid immense avait pris possession de lui. Comment pourrait-il faire face à cela? Il n'avait que onze ans par Merlin, il était bien trop jeune pour penser à de tel choses. Et une guerre! Quoi? Non ce ne pouvait pas-.
La main de son père se posa soudainement sur son épaule lui faisant relever la tête qu'il avait inconsciemment baisser. Bien sur. Il respira soudain chassant doucement la sensation de panique qui avait peu à peu emprisonner ses sens. Son père était là.
«Ne te tracasse pas avec tout cela pour le moment Sirius. Tu es encore jeune» déclara Lord Black «Il était cependant important que tu prennes conscience de tout cela maintenant. Prend ton temps pour assimiler tout cela. Nous en reparlerons plus tard. A présent nous allons nous rendre à réception avant que ta mère ne nous lance un maléfice cuisant»
Et c'est avec sa main toujours fermement posé sur son épaule que Lord Black apparut enfin avec son fils et héritier ce soir là, faisant efficacement taire pour le moment les quelques rumeurs qui avaient circulées sur son fils rebelle. Oui Sirius avait encore un peu de temps, le temps peut-être de commencé à se réveiller et d'assumer son rôle pour le bien de leur famille.
La réception se passa dans un flou total pour Sirius. Il se tenait comme de coutume au côtés de son père alors que Regulus se tenait auprès de leur mère. Le jeune héritier avait perdu le compte du nombre de personnes venu les saluer pour les entraîner dans une discussion acharné. Les paroles de son père résonnaient clairement dans son esprit, le faisant tressaillir d'effroi.
Ce soir là dans le grand lit de sa chambre spacieuse, il put à loisir se laisser aller à réfléchir plus intensément à cette discussion qui avait changé toute ses perceptions.
Une guerre. Son père avait parlé d'une guerre. Sirius se mordit la lèvre à cela. Il fallait bien l'avouer il avait peur. Non en vérité il était littéralement terrifié. Dans l'état actuel des choses, si ce que son père disait était vrai alors c'était une époque bien sombre qui s'annonçait dans un proche avenir. Sirius n'avait pour le moment aucune idée de ce pour quoi une guerre pourrait belle et bien éclater dans le monde sorcier. Et pour le moment il s'en fichait éperdument. Tout ce qu'il voyait c'était après. Lorsqu'il devrait reprendre les rênes de leur famille.
Le jeune Gryffondor n'avait jamais caché le dégoût que lui inspirait sa soit disant famille surtout par rapport à son frère Ophir. Cette rancœur n'avait fait que grandir au files des années jusqu'à ce que Sirius devienne de plus en plus éloigné du noble héritier de Sang-pur qu'il était sensé devenir. Il était fortement convaincus qu'il devait vivre sa vie librement au dépit de toute les règles et qu'un beau jour, convaincus par son comportement exécrable, ses parents auraient finalement choisis le parfait Regulus pour le remplacer à la tête de leur famille. Mais Regulus en aurait-il seulement le courage?
Son jeune frère, bien qu'étant le parfait exemple de Sang-pur n'avait clairement pas les épaules assez solide pour géré une telle tache. Mais ce n'était pas tout, les paroles que son père avait prononcées avait changé quelque chose en lui.
Crois-tu réellement qu'il te sera facile de changer les mœurs qui te dérange, lorsque notre famille ne voit actuellement en toi qu'un jeune garçon mal élevé répartit à Gryffondor et dédaigneux de nos coutumes?
Ces mots plus que d'autres l'avait heurté. En tant que Lord il aurait le pouvoir d'agir à sa guise. En témoigne les conflits exacerbé entre son père et différents membre de leur famille quant à soi-disant mauvaise gestion de la fortune familiale. Les autres membres de la famille n'approuvaient clairement pas la petite manie d'Orion de financer aussi intensément Saint-Mangouste ou d'autre guérisseur spécialisé. Ils ne cessaient de harceler Lord Black à ce sujet pour le contraindre à arrêter de jeter ainsi leur argent par la fenêtre. Seulement ils n'avaient pas leur mot à dire. En tant que Lord et patriarche de leur famille, son père avait tout les droit sur leur fortunes. Il devait bien sur allouer chaque mois aux membres de leur famille une somme bien définit provenant du coffre familial. Mais rien de plus. Les oncles et tantes de Sirius comptaient bien sur sur cette entrée d'argent quotidienne, mais devaient également travaillé de leur côté pour assurer le confort de leur famille malgré leur demande incessante pour obtenir bien plus d'argent.
Sirius se pinça les lèvres. Il n'avait vraiment pas hâte de devenir Lord. Avoir à faire avec ses rapaces continuellement sans jamais laisser échapper un mot plus haut que l'autre serait certainement un défi quotidien et permanent. Tout comme l'étiquette et le maintien en société qui l'étouffait déjà actuellement. Cependant, il ne devait pas seulement penser à lui, mais aussi au reste de sa famille. En particulier Ophir, si par malheur un remède n'était toujours pas trouver avant le décès de son père, alors qu'adviendrait-il de son jeune frère? Le restant des Black ne lui faisaient clairement pas confiance et l'observaient avec jalousie pour sa position d'héritier.
Mais Sirius ne se laisserais pas faire. Il allait protéger sa famille contre ses vautours. Il allait assumer ses responsabilités. Cela ne l'empêcherait pas de vivre sa vie étudiante comme il l'entendait, seulement il allait devoir se montrer un peu plus discret qu'il ne le pensait.
L'héritier des Black bailla soudainement de fatigue. Il se tourna dans son lit pour sombrer dans un sommeil agité. Oui cette discussion changerait certainement son opinion et ses préjugés sur bien des choses, mais jusqu'à quel point?
Le 25 décembre la famille Black fut convié à assister au grand bal annuel donné cette année au Manoir Malfoy. C'était un grand honneur, et cela ne ferait que renforcer l'alliance entre ses deux puissante famille avant que Narcissa ne puisse épouser l'héritier Malfoy à la fin de ses études.
Sirius fit particulièrement attention à son image ce soir là, et même Regulus lui jeta un regard sceptique et confus lorsque son aîné ne se plaignit pas de devoir assister à une tel réception.
Les deux garçons Black prirent le temps tout comme leur père de faire leur au revoir au plus jeune enfant de la famille avant de partir au Manoir Malfoy.
Le Manoir était exquis et magnifique. La neige enchanté et les glaçons éternelle venait sublimer la salle de bal paré de couleurs blanche et dorée, tandis qu'une douce musique jouait en arrière fond alors que les participants se mêlaient les uns au autres pour discuter vivement.
Sirius se présenta poliment et fit des compliments approprié à toutes les sorcières venu le rencontrer au côté de leur mari. Il admira la position stoïque de son père, un verre à moitié remplit à la main qui semblait dégager une aura de confiance et d'autorité absolu. Sirius s'intéressa à la discussion avec Abraxas Malfoy au côtés de son héritier Lucius qui avait Narcissa à son bras. Cet arrangement semblait finalement très bien convenir au deux fiancé ainsi qu'à leur famille respectives.
Son père libéra Sirius peu avant le repas pour qu'il puisse rejoindre des sorciers de son age. Il tomba sur son frère en compagnie de Lucius, Narcissa et Bellatrix. Sirius grimaça en apercevant cette dernière, mais se ressaisit en avançant dignement pour présenter ses respects à l'héritier Lestrange présent au côtés de sa futur épouse. Il était important des à présent de maintenir de bonne entente avec leur futur belle famille.
Regulus l'observa une nouvelle fois de son regard scrutateur, d'autant plus lorsque son aîné du faire face aux railleries de sa cousine. Heureusement l'héritier Lestrange semblait bien moins railleur que sa futur épouse et reconnu le geste comme il se devait avant d'entamer une conversation avec Lucius et Sirius sur la politique actuelle. Bien entendu le jeune Gryffondor participa peu à la conversation et préféra laisser son jeune frère intervenir ici et là, étant lui même plutôt dépassé par tout cela.
Il salua avec soulagement l'annonce du dîner et passa le reste de la réception au côté de son père clairement plus rassuré d'être à ses côtés plutôt que de devoir affronté le jugement des autre héritiers clairement plus âgé que lui.
Ce n'est quand allant se coucher cette nuit qu'il réalisa qu'il n'avait pas croiser James de toute la soirée. Ses parents n'avaient certainement pas put se rendre à la réception et pour autant, Sirius ne sans était pas réellement souciés. Mais bientôt cependant Sirius retournerait à Poudlard.
Quelques jour avant son départ, il se leva tôt pour accompagner son père à Saint-Mangouste. En tant que bienfaiteur très généreux de cette institution Lord Black rendait fréquemment visite au guérisseur pour observer les avancées médical auquel son investissement généreux avait réussi à contribuer.
Sirius plissa le nez en sortant de la cheminette à l'odeur de médicament qui emplissait l'endroit et à en croire le visage de son père lui aussi n'était pas vraiment ravit d'être là, dans cette immonde endroit remplit de Sang-de-bourbe dirait sa mère.
Ils furent bien sur accueillis par l'un des guérisseur en chef les plus renommé qui s'empressa de les mener au bureau du directeur non sans les remercier abondamment pour les nombreux dons de leur famille.
Sirius fut soulagé en entrant dans le bureau du responsable de l'établissement pour enfin se débarrasser du sorcier pathétique et nerveux qui les avaient accueillis. L'homme n'avais cessé de transpirer et n'avait même pas put regarder Orion dans les yeux. Il n'avait eu de cesse de se tordre les mains d'anxiété. Son attitude avait clairement irrité Lord Black qui jugeait de son regard argenté le pathétique sorcier jusqu'à ce qu'il prenne congé. Probablement un sang-mêlée. Après tout le directeur ne serait pas assez fou pour envoyer un Sang-de-bourbe les accueillir.
«Ah Lord Black!» s'exclama le directeur moustachu avec bien plus de retenu que son collègue. Il se leva se son siège mais ne tendit pas sa main, ce qui aurait put passer pour une insulte auprès de son généreux bienfaiteur «J'ose espéré que vos fêtes de fin d'année se sont bien passé?»
«A merveille» répondit Orion en s'installant sans attendre dans un grand fauteuil tout en croisant élégamment les jambes «J'ai amené avec moi mon héritier pour observer cette entrevue»
«Oh! Oui bien sur!» répondit le guérisseur en jetant un regard à Sirius qui s'était assis au côtés de son père «Votre héritier est le bienvenu Lord Black, bien entendu!»
«Je suis venu consulté un rapport concernant mes investissement auprès de cette institution» reprit Orion imperturbable «Lors de notre dernière discussion vous m'avez fait par de plusieurs avancées que vous aviez qualifié de prometteuse»
«Oui, oui» répondit l'homme d'un ton plutôt jovial alors qu'il était très clair au yeux de Sirius qu'il tentait de maintenir cette façade de peur de perdre le soutient financier de la famille Black «Bien sur grâce à vos dons très généreux nous avons put ouvrir un nouveau service pour les accidents magiques, le premier devenait rapidement très surchargé. Nous avons put également travailler plus étroitement avec des chercheurs et quelques potionniste sur certaines potions très avantageuse...»
Et la réunion se poursuivit ainsi un long moment. L'homme parla et parla encore. Des soins donnés aux enfants, aux nouveaux aménagement médicaux, ainsi que sur quelques potions en cours pouvant traité certain cas grave. Mais dans tout ce babillage, aucune mention de potion ou de sortilège luttant contre la cécité ne fut mentionner au grand regret de Sirius.
Il savait bien sur que cela ne se ferait pas du jour au lendemain, mais lui ne pouvait que constater jour après jour l'état de son frère Ophir, et la solitude le ronger de plus en plus.
Les deux Black prirent enfin congé, non sans que son père ne prenne possession des différents brevet concernant tel où tel potions en phase de test. Il récupérerait ainsi la moitié de la somme perçus par l'inventeur de la nouvelle potion. Les papiers seraient envoyés à Gringott's des leurs retour. Ce qui ne chassa pas le sentiment d'amertume écrasant qui empoisonnait Sirius. Et cela devait bien sur être encore plus douloureux pour son père de devoir faire face à un nouvel échec.
«Ne pouvons nous vraiment rien faire de plus, père?» s'enquit finalement le Gryffondor ayant suivit l'homme dans son bureau.
«Notre meilleur espoir réside dans les maître de potions où les créateur de sort» répondit finalement Lord Black, plongé dans la rédaction d'une lettre pour la banque des sorciers «Malheureusement les maître de potions sont rare et les créateur de sort ne sont guère plus nombreux qu'eux. Saint-Mangouste travaille en étroite collaboration avec certain d'entre eux mais pas les plus talentueux. C'est pour cela que je concentre mes investissement sur plusieurs sorciers plus prometteur que l'établissement de Saint-Mangouste» expliqua son père «Bien sur notre meilleur espoir réside à Poudlard. Je suis déjà entré en contact avec les professeurs de potions et de sortilèges sans pour autant parvenir pour le moment à un résultats satisfaisant. Ils m'ont tout deux donné une liste d'anciens élèves démontrant quelques capacité plus élevé que la moyenne que j'ai contacté immédiatement sans grande avancé de leur part»
Sirius resta silencieux face à la quantité de recherche et d'investissement de la part de son père dans sa lutte pour la guérison de son fils.
«Maintenant Sirius» reprit Lord Black en dardant son regard argenté vers son héritier «Pendant ta scolarité à Poudlard je ne serait donc que trop te conseiller de rester très vigilent envers tes camarades qui manifesteraient un talent inhabituel pour les potions où les enchantements qui sait ils seront peut-être les maîtres de leur catégorie un jour prochain. Il serait bon également que tu garde avec eux un comportement courtois et que, si tu le juge approprié, leur face une offre de soutient de la part de notre famille»
Les yeux de Sirius s'écarquillèrent à l'entente de ses paroles «Vous me laisseriez réellement prendre la responsabilité d'une telle démarche père?» s'enquit-il.
«Oui Sirius» acquiesça l'homme «Il est tant pour toi de me démontrer à moi ainsi qu'au reste de notre famille que tu es pleinement capable de t'investir pour le bien de notre maison»
«Bien père» répondit le plus jeune avant de prendre congé, seulement pour se heurter à Regulus en sortant du bureau.
Une réplique commençait à fleurir sur le visage de Sirius avant qui ne se ressaisisse, et ne dépasse son jeune frère pour regagner sa chambre.
Dans son dos, jamais le regard brûlant de Regulus ne s'estompa pourtant. Alors que le second enfant de la famille Black observait son aîné partir avec la plus grande attention.
Fin du chapitre 02
Chapitre publié le 21/02/2022
Hey merci à vous d'avoir lut. Et voilà un second chapitre, de quinze pages comme le premier. Et que dire si ce n'est que j'adore ce chapitre j'étaie vraiment à fond surtout la discussion entre Sirius et son père. Un fait que je me reproche à moi-même dans mon écriture est de ne pas décrire assez bien les émotions à mon goût. Cependant j'ai passé un long moment sur cette scène pour la rendre mémorable et je me suis prise dedans! C'est pour cela que pour le moment ce chapitre est mon préféré, affaire à suivre... J'ai appréciée également ne pas m'en tenir trop à Ophir, et écrire sur sa famille, surtout que pour le moment il n'y aurait rien de vraiment intéressant à développer sur lui. Les sentiments et les attentes de chacun sont assez détaillés je trouve, même si assez difficile à écrire surtout durant cette période de temps troubler. Tellement de possibilité pour la suite, si vous avez des idées n'hésitez pas à me les soumettre cela pourrait m'amuser. Et encore pardon pour les fautes je n'ais plus de correcteur automatique je fais donc comme je peux... J'ai hâte d'entendre vos commentaire et vous dit à une prochaine pour la suite^^!
