Merlin pressait le corps d'Arthur contre le sien. Ses lèvres sur les siennes. Le roi, au bout d'une longue minute, réussit à se dégager de son emprise.
-Es-tu fou ? lui cracha-t'il au visage tout en le regardant d'un œil mauvais.
-Non, au contraire. Je suis le plus lucide ici. Ma destinée est de vous protéger et vous faire devenir le plus grand roi que ce royaume n'ai jamais connu et ne connaîtra jamais. Si vous mourrez demain, Morgane aura gagné et jamais Camelot ne connaîtra un temps d'acceptation et de paix.
Arthur qui s'était éloignée jusqu'au milieu de la pièce, recula encore d'un pas en voyant le regard déterminé et le visage froid du habituellement si guilleret Merlin. Il ne le reconnaissait pas à cet instant mais l'avait il un jour véritablement connu ? Il était un magicien. Un être fourbe et déloyal. Peut être pas mauvais de façon profonde, mais assurément une personne dans laquelle il ne pouvait placer sa confiance.
-Vous reculez à mesure que j'avance ? Vous avez si peur de moi ?
Comme réponse, Arthur lui envoya un regard des plus noir.
-Je me fiche que vous ayez peur ou que vous me haïssez. Je ne m'arrêterai pas.
-Tu répètes ça mais qui essaie tu de convaincre alors que tu ne cesse de pleurer depuis tout à l'heure ?
-C'est que... Pour vous je suis certainement mort à vos yeux depuis l'instant où j'ai révélé ma vraie nature, mais pour moi, vous demeurez mon ami. Et vous faire du mal, même pour sauver votre vie est si douloureux.
-Alors ne le fait pas. Renonce à ton dessin.
-Je ne peux.. Sanglota Merlin. Sinon vous mourrez.
-Il... Il doit y avoir un autre moyen.
-Il n'y en a pas. Et je le regrette.
Comme Merlin avait avancé, Arthur se retrouvait acculé contre la cheminée. Privé de point de fuite, il se saisit de l'épée d'ornement avec laquelle Merlin s'était blessé la veille et la brandit contre son serviteur. Il n'aurait jamais penser avoir à faire ça de toute sa vie. Pourtant, s'étant fait trahir à plusieurs reprises, il n'accordait pas sa confiance à n'importe qui. Mais se méfier de Merlin, ça il ne l'aurait jamais cru. Il était bien trop naïf.
-Ne t'approche pas.
Merlin sourit faiblement face à cette veine tentative. D'un léger mouvement de tête, il désarma sans effort le plus grand guerrier de Camelot. Arthur sentit ensuite une force invisible le pousser jusqu'au lit sur lequel il tomba. Merlin debout près de celui-ci le surplombait. Lui se sentait comme incapable de bouger. Merlin posa un genoux contre le matelas et se plaçant sur lui, il tandis ses bras de chaque côté de sa tête. Arthur déglutit difficilement. Il ne voulait pas, il n'était pas prêt à faire face à ça. Il ne se connaissait pas assez. Est ce que ça n'allait pas faire s'effondrer toutes les croyances sur lesquelles il avait été élevé ? Son souffle fut coupé bien avant que les lèvres de Merlin ne soient sur les siennes et bien qu'il ne le veuille pas, la chose en lui en avait terriblement besoin car jamais il n'avait trouvé baiser si doux et plus appétissant que celui- ci. Pas même avec Guenièvre. Il avait le goût de tout ce qu'il aimait et de ce fait, il ne souhaitait pas plus que cela qu'il s'arrête. Après cette texture infâme qui avait pris possession de son palais deux jours plus tôt, que les lèvres de son serviteur soit si sucrées, oui, ça lui donnait envie de les goûter plus amplement. Lorsqu'il sentit qu'il allait se détacher de lui, Arthur passa une main dans la nuque de Merlin et l'approcha un peu plus vers lui, intensifiant ce baiser. Se faisant leurs langue se rencontrèrent. Merlin, surpris, ouvrit les yeux une seconde, juste le temps d'observer les paupières closes de son roi d'où s'échappait une larme traîtresse. Acceptance sinistre sur son sort. Sa gorge se nouait mais il ne devait pas se laisser aller à l'émotion. Il devait sauver Arthur. Merlin fit glisser une de ses mains sous la chemise d'Arthur, parcourant son torse maigre, montant jusqu'à l'orée de sa gorge tremblante. Puis, redescendant en douceur, du bout des doigts sur sa cage thoracique et sur son ventre creux jusqu'à sa ceinture qu'il entreprit de défaire. Cette ceinture à laquelle, la veille au soir, il avait rajouté des trous. Les mains d'Arthur se positionnairent sur son torse à plat, pour le stopper sans violence. Merlin obeit à l'ordre silencieux.
-Si... tu demeure mon ami malgré tes gestes comme tu le dis... Pourquoi n'acceptes- tu pas mon choix de partir avec honneur ? P... Pourquoi tu ne m'apprécie pas assez pour ça ?
Merlin enfouit sa tête près du cou d'Arthur car il avait terriblement peur qu'en le voyant, sa détermination ne faiblisse. Sa respiration vibra près de son oreille.
-Je ne peux pas Arthur ... Un monde sans vous ... Je ne peux le concevoir. Je vous apprecie bien trop pour vous laisser mourir pour une chose aussi petite qu'un prétendu déshonneur là où si j'étais une femme on ne trouverai rien à redire.
Arthur resta coit et la main de Merlin continua sa lente descente. Elle rencontra vite une chose à laquelle le sorcier ne s'attendait pas. Arthur était dur. Et rien que face à cette réalité, le cœur de Merlin s'emballa à tout rompre. Il posa ses lèvres de nombreuses fois dans son cou. Arthur avait plaqué ses mains sur son visage et il ne savait si c'était pour ne pas assister à cette situation ou bien qu'il avait honte de comment son corps réagissait à leurs baisers. Merlin, profitant du faits qu'Arthur ne le regarde pas, lui ota son pantalon et descendit ses lèvres à la hauteur de son sexe tendu. Arthur révulsa la tête en arrière dans un mouvement de surprise lorsqu'il sentit la chaleur humide de la bouche de Merlin l'envelopper.
-M..Mais.. Que fais-tu ? Demanda t'il tout en appuyant un peu sur sa tête pour lui faire cesser tout mouvement.
-Taisez vous messire. Ordonna Merlin avant de revenir faire courir le bout de sa langue sur son frein rendu humide.
-Ce ... N'est pas nécessaire pour me nourrir ça.. si ?
Merlin fusilla son roi du regard et défit le foulard qu'il portait au cou. Avec un malin plaisir, il faut bien l'avouer, depuis le temps qu'il en rêvait, il fourra le bout de tissu coloré dans sa bouche jusqu'à ce qu'il ne puisse plus parler et d'un sort informulé il immobilisa ses main au dessus de sa tête, le laissant totalement à sa merci. Merlin pû recommencer son œuvre en toute tranquillité et il s'y appliqua. Il voulait lui donner un maximum de plaisir pour la suite. Pour qu'il soit détendu et qu'il n'est pas trop mal... Il révulsait l'idée de lui faire mal. Pas lors d'un acte que l'on faisait idéalement par amour. Que lui faisait par amour. Pour sauver sa vie il sacrifierait cent fois la sienne sans une once d'hésitation et puisqu'il n'arrivait pas à donner de noms à tant de dévouement il le nommait amitié. Mais il savait que ça allait bien au-delà de ça et ce, depuis le début. à mesure qu'il le prenait de plus en plus profondément dans sa gorge, les gémissements étouffés d'Arthur se faisaient de plus en plus entendre. Son dos se cambrait même lorsque Merlin faisait courir sa langue habile lors de ses remontés. Petit à petit, il durcit le rythme. Et sans qu'il s'en doute une seconde, il sentit sa bouche se remplir. Arthur tremblait en tous sens. Les yeux honteux roulés sur le côté pour ne pas croiser ceux de son serviteur.
Merlin se releva et reposa un genoux sur le matelas. Il saisit une jambe d'Arthur et vient caler sa cheville tout contre son épaule pour avoir un accès à ce qui l'intéressait vraiment. Un moyen de nourrir son roi. Il en avait parlé avec Gaius juste avant de revenir dans cette chambre, le premier repas d'un succube ne pouvait se faire sans aller au bout. Merlin lécha ses doigts, se servant de ce qu'il avait encore dans la bouche pour les lubrifier abondamment et avala le reste sous l'œil totalement choqué d'Arthur. Il apposa son index tout contre lui. Mais avant de s'enfoncer il se pencha un peu sur Arthur et enleva ce qui lui entravait la langue.
-Dites-le moi si ça vous fait mal. Arthur se contenta d'hocher la tête. Merlin lui embrassa le front dans un geste presque solennel. La première phalange entra et les dents du prince se serrèrent. Merlin se dit que jamais il n'avouerait si cela était trop douloureux, car la pire des choses pour lui était de paraître faible.
Merlin murmura une formule dans une langue archaïque près de son oreille. Cette langue, symbole de magie, le terrifiait plus que tout car c'était la même qu'il avait entendu de la voix de Morgane lorsqu'il s'était fait mordre. Pourtant, il se sentait se détendre, tous ses muscles, autrefois noueux, semblaient se délier. La peur le quitta une seconde. Et le doigt pris place en entier. Les yeux d'Arthur s'écarquillèrent à cette sensation et sa jambes droite trembla sans qu'il n'y puisse rien. Merlin sorti à demi son doigt et le remettant, tapa au même endroit délicieux qui fit une nouvelles fois frémir la jambe d'Arthur.
-Qu... Qu'est ce qui m'arrive ...
-Je vous ai momentanément débarrassé de la peur et de la honte. Et débarrasser de ses choses plus qu'inutile, votre corps reconnaît ce qui peut vous faire du bien.
-Ça ? Du bien ? Jamais.
-Et pourtant...
Merlin réitéra ses mouvements, les enchainant et leur donnant du rythme. Au bout de longues minutes il rajouta son majeur et repris de plus belle. Sous lui, la vue était magnifique car son roi se tortillait, haletant. Sa virilité ayant repris volume. Cette dernière bavait copieusement sur son ventre creux au fil des mouvements de ses hanches. Merlin avait les yeux brumeux. Et bien qu'il réussissait assez bien à se tenir en dehors de l'influence de la succube en lui, la vue d'Arthur prenant du plaisir, que ce soit tout à l'heure par sa bouche ou maintenant par ses doigts, ça lui faisait doucement perdre l'esprit. Mais il n'oubliait pas pourquoi il faisait ça. Alors bien qu'il redoute ce moment plus que tout, Merlin défit enfin sa ceinture et baissa ses bas. Délivrant son sexe gonflé d'ardeur. Il lècha copieusement sa main et lubrifa sa queue. Il se rapprocha ensuite d'Arthur, lui faisant lever la jambe plus haut encore.
-Attends ... Ton sort de tout à l'heure. Refais-le, il ne marche plus.
Merlin fit briller ses yeux mais il défit seulement le sortilège qui lui tenait les bras inerte.
-Je ne peux, j'ai fait disparaître une partie de la honte car elle n'est pas rationnel, mais que vous ayez peur en cet instant, c'est on ne peut plus logique. Je ne peux rien faire contre ça. Si je le pouvais je le ferais pour nous deux.
-Parce que tu as peur? Merlin prit l'une des main d'Arthur et la posa sur sa poitrine où son cœur battait à tout rompre.
-Terrifié.
'Merlin ... Je ... Je ne veux pas mourir. Les yeux d'Arthur se chargèrent de larmes.
Une boule se forma dans la gorge de Merlin. Et sa lèvre inférieure trembla.
-Je ne le veux pas non plus... Plus que ma propre vie m'importe la votre.
Une larme roula sur la joue pâle du jeune roi que Merlin vient embrasser. Il couvrit sa joue de baisers jusqu'à ce que ce soit Arthur qui cherche ses lèvres. Quand il les eut trouvé, Merlin se pencha un peu plus sur lui. Remplaçant petit à petit l'espace qu'avait précédemment occupé ses doigts.
Arthur planta ses ongles dans les avant-bras de Merlin, les serrant trop fort. Essayant de supporter comme il le pouvait, cette dérangeante intrusion.
-Messire vous êtes trop serré ... Détendez vous...
-Comment le pourrais-je dans cette situation ?
-Concentrez vous sur ma main...
Merlin vint saisir la virilité de son roi et commença de long vas et viens. Il captura également ses lèvres. Lui donnant le baisers le plus passionné et fougueux possible pour le distraire de ce qu'il se passait plus bas. Et lentement, il réussit, à force de légé aller retour, à s'enfoncer jusqu'à la garde. Merlin soupira d'aise. Arthur lui, serrait les dents.
-C...Comment tu peux prendre plaisir à ça !
Le réprimanda Arthur, dégoûté.
-Je ne m'excuserai pas de ça.
Arthur le dévisagea. Il n'avait même pas nier.
-Je vais commencer à bouger maintenant. Le roi hocha doucement la tête et Merlin entreprit de très légers mouvements de bassins. Il essayait de retrouver cet endroit qu'il touchait avec ces doigts et qui semblait provoquer tellement d'émoi.
Sous lui Arthur n'était que tremblements. Sa mâchoire était serrée car douleur et plaisir commençaient à se lier et se confondre dans son esprit et il ne voulait laisser entendre ni l'un ni l'autre. La chaleur ardente aux creux de ses reins faisait qu'il avait chaud partout. Sa peau semblait bouillonner. Son esprit était brumeux et il devait grandement résister pour ne pas soulever ses hanches et approfondir les mouvements de Merlin. Il en voulait plus. Il avait faim. C'était tellement embarrassant. Jamais il ne pourrait l'avouer mais la chaleur était presque agréable maintenant et il ne voulait pas que ça s'arrête. Sans vraiment s'en apercevoir il avait planté sa lèvre avec l'une de ses canines et ses yeux étaient rivés sur leur partie basse. Il regardait Merlin rentrer en lui, priant intérieurement pour qu'il cesse d'être aussi soucieux de son bien être et qu'il y aille un peu plus fort. Il ne la rentrait qu'à demi et avec une lenteur affligeante. Plus ... Il lui fallait plus, c'était vital à présent. Sa gorge était nouée d'oser penser des choses aussi honteuses. Son éducation princière se révoltait en lui et tout le reste de son âme lui criait de laisser toutes fierté de côté et de supplier Merlin de le baiser plus fort. Alors qu'il menait ce combat intérieur ses hanches bougèrent d'elles même accompagnant le mouvement avec bien plus de profondeur. Merlin se stoppa et le regarda étonné. En voyant les yeux vitreux de plaisir de son prince, un petit sourire naquit au coin de ses lèvres.
-Vous n'avez plus mal ? Je peux y aller un peu plus fort ?
Arthur rougit furieusement.
-Fais ce que tu veux. Répondit-il séchement en détournant les yeux.
-Mais vous, c'est ce que vous voulez ?
-A quel point tu es cruel pour jouer avec moi comme ça ... Tu connais déjà la réponse non?
Un immense sourire niais, qui lui sont si caractéristique, barra tout le visage de Merlin.
-Je veux vous l'entendre dire, pour être sûr.
-Fais juste ce qu'il faut pour qu'on en finisse vite dans ce cas.
Merlin perdit son sourire.
-Bien, comme vous voudrez.
Merlin saisit les hanches d'Arthur le rapprochant du bord du lit et de lui par la même occasion. Plongeant au plus profond de lui. Sans attendre il donna de puissant coup de reins, si bien que son bassin claqua contre les fesses d'Arthur qui jusque là avait sû rester presque silencieux. Mais face à ce véritable assaut il cria. Rien à voir avec de la douleur ou de la surprise. Un débordement de plaisir seulement. Un bruit qui choqua même celui qui l'avait émis. Mais Merlin, un peu trop heureux de faire ravaler son arrogance et sa froideur à son maître, accéléra et la force et la vitesse des ses vas et viens si bien qu'Arthur n'était que cris, gémissements et halètements. Il avait beau avoir plaqué sa main contre sa bouche, ça ne changeait rien. Merlin se dit qu'il aurait sûrement à effacer la mémoire de tous ceux qui seraient passé trop près de cette chambre. Le dos d'Arthur décolla du matelas et ses yeux roulèrent. Sa voix s'éteignit malgré sa bouche grande ouverte, et alors que son membre avait été délaissé depuis longtemps, en sortit ce liquide laiteux qui vint tacher son ventre déjà mouillé par l'excitation. Ce spectacle rendit fou le jeune magicien. Observer le visage d'Arthur en pleine jouissance avait été trop pour lui et alors qu'il avait fait preuve jusque-là de tant de maîtrise, il se déchaîna.
-aaa.. Attends Merlin ! C'est trop ...
-Endurez le...
Arthur serra les doigt sur les draps au-dessus de sa tête, les lèvres pincées.
Merlin ne comprenait rien, il n'avait jamais pris un tel plaisir de toute sa vie, d'autant plus maintenant qu'Arthur avait joui grâce à lui alors pourquoi il ne venait pas. La chaleur de son roi. C'était beaucoup trop bon. Il ne voulait pas que ça s'arrête mais Arthur devait vraiment être nourri alors il cessa de penser à lui et se concentra vivement sur son propre plaisir.
À force d'aller et retour le sexe du roi avait une nouvelle fois repris de l'empleur, comme si il était inépuisable. Il agrippa les bras de Merlin et y planta ses ongles. C'était trop. ça ne faisait pas mal mais c'était trop. Trop de sensations. Il ne savait pas comment gérer ça. Il avait réellement l'impression qu'il pourrait mourir de trop de plaisir. Il sentait déjà son esprit le quitter. Il peinait à penser. Sa vision était trouble. Si on lui avait demandé son nom à cet instant, il n'était pas sûr de pouvoir répondre correctement.
-Merlin... Implora t'il. Moins fort ... Il sentait jusqu'à son ventre être secoué par la puissance des coups.
Merlin avait le souffle court. Il était à bout de force. Il se sentait enfin venir. Maintenant il ne devait pas tout rater. Il devait réussir comme lorsqu'il s'était entraîné le matin même. Il se pencha sur Arthur, leurs torse se frôlant. L'un de ses main resta sur ses hanches tandis que de l'autre, il entrelaça leurs doigts les serrant fort. Ses mouvements se firent moins durs mais plus profonds encore. Entre deux gémissements, il prononça une formule et ses yeux brillèrent. Et alors que ses jambes tremblaient, Arthur se sentit être inondé. Sa respiration se coupa. Il sentait le liquide chaud l'envahir, encore et encore, pendant de longues secondes. Il y en avait tellement. Arthur se sentait totalement rempli. Une sensation vraiment étrange. Mais absolument pas dérangeante, ni dégoûtante comme il l'aurait imaginé. C'est comme s' il récupérait une partie de lui. Parce que pour la première fois depuis deux jours, il n'avait plus faim.
