La dépression. Cinquième étape du deuil.

Le Paradis est… toujours le même. Assez impersonnel, mais personne ne vient m'ennuyer. Enfin, techniquement, ils m'ennuient, mais ils ne viennent pas me poser des questions tous les quatre matins. Quoiqu'il n'y ait pas vraiment de matin ici. Ni même de journée en réalité.

Tu me manques, Rampa. J'essaye de bouger les choses, mais… j'ai l'impression que rien ne change. Tu avais peut-être raison… Peut-être que tout ça ne sert à rien. Mais il faut que je fasse quelque chose, pour moi comme pour toi.