Eléa cette peste !

A son réveil Eléa avait un de ces mal de crâne mais son réveil fut encore plus traumatisant : Marley à ses pieds, Kanon et Saga de chaque côté. Elle se frottât les yeux et découvrit qu'elle était dans le lit de Kanon. Elle regardât et vit qu'elle portait une tunique d'entrainement, elle gissat hors du lit laissant le trio infernal dormant. Elle marchat sur la pointe des pieds pour se rafraichir dans sa salle de bains et s'habiller pour avoir une discussion avec un certain archer.

Arrivée au neuvième temple, elle ouvrit la porte de la cuisine et la ce fut un coup de massue, Shura massant les épaules de Aiolos, rien que ça !

Aiolos : Eléa, tu as bien dormi ?

Shura faisait la tête en voyant la jeune femme.

Eléa : Oui , désolée de vous déranger, je vais repasser dans 100 ans

Aiolos : Eléa, tu es malade ?

Eléa : Juste un petit problème mais rien de grave.

Aiolos : Assied toi, je vais te servir du café.

Eléa : Non merci je vais travailler, enfin faire le bureau de Saga, il me l'as demandé

Aiolos : Tu n'as pas le temps cinq minutes

Eléa : Je file, désolée de vous avoir déranger

Eléa en sortant respira profondément, décidément qu'est-ce que Shura faisai du matin chez Aiolos, et là bam, « oh non ils se sont remis ensemble, et Aiolos me prend pour une cruche ».

Eléa en rentrant dans le bureau de Saga tomba nez à nez avec Rhadamanthe qui avait le piège à souris mais à cahque main, en effet, ce dernier à voulu prendre un croissant et des pièges à souris sont apparus.

Eléa : Bon sang Kiki quel peste

Rhadamanthe : C'est pas Kiki il n'a pas un cosmos si puissant et je sais c'est qui

Eléa : Ben dis toujours Einstein

Rhadamanthe : C'est le vieux bouc

Eléa : Le bonnet de nuit de Jamir ? Sérieusement ?

Rhadamanthe fixant Eléa : J'ai une tête à plaisanter ?

Eléa : Oh qu'est-ce que Lord Winley est soupe au lait, pete un coup Rhada

Rhadamanthe : Tu viens de dire quoi ?

Eléa : Je ne sais pas pourquoi j'ai dit cela.

D'un geste la gouvernante prit une assiette et l'envoyât sur le juge qui l'évitât mais Kanon lui reçut l'objet ainsi que le morceau de tarte brésilienne en plein visage.

Kanon : Eléa tu es une peste !