Une fois Myou parti, son frère s'assit en face de moi et croisa les doigts face a lui.

-Maintenant que nous sommes seul, explique moi ce que tu compte faire quant au Yakuza me demanda-t-il.

-Eh bien, en fait justement j'ai un problème. Car je voudrais les quitter avant d'aller plus loin avec Myou. Mais il veuille que j'aille à Osaga dans deux mois pour effectuer une mission et si je refuse les personnes aux quels je tiens seront tuer. Dont votre sœur et vous Monsieur, qui m'avez si gentiment accueillit chez vous malgré ce que je suis. Lui expliquai-je espèrent qu'il soit compréhensible encore une fois et qu'il puisse m'aider.

-Je suppose que cela explique que les verrous de la porte d'entrée soit exploser. Me dit-il. Je comprend ton dilemme. Je voudrais t'aider, mais j'ai réussi aucune solution pour toi l'instant. Mais si tu peux me le permettre, je demanderai conseil à un ami qui je suis sûr pourrai te trouver une échappatoire.

-Vous comprenais pas, ils ont des indiques dans la police. Vous croyez comment qu'ils vous intercepter les trafics des autres mais pas eux ?

-Ne t'inquiète pas c'est un ami de confiance et de plus il ne travail pas dans la police. De plus, il déteste les Yakuza, donc il ne risque pas de le repérer à ton chef. Me rassura-t-il avec un grand sourire ce qui faisait briller ces yeux d'une lueur d'espoir. Après je compte sur toi pour veillé sur ma précieuse petite sœur quand j'ai pas l'œil sur elle.

Cette requette m'étonna, car si elle était en danger c'était bien par ma faute. Mais je sais au fond de moi que même si il ne me l'avais pas demander j'aurais veiller sur elle même une fois le danger écarté je continuerait a veiller sur elle.

-Si j'étais toi je me dépêcherais de m'habiller pour avoir le temps de manger avant de partir. Me conseilla Drake avec moquerie.

Je me levais pour aller dans le salon récupérer mes affaires pour m'habiller dans la salle de bain. Quand soudain m'interpella avant que je ne passe le pas de la porte de la cuisine.

-Au fait, si j'étais toi je prendrais soin de ma moto. Car elle est rester coucher sur le trottoir toute la nuit. Je l'est remit sur sa béquille.

Je souris et partit pour de bon m'habiller pour les cours.