p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0cm; line-height: normal;"span style="font-size: 12.0pt; font-family: 'Times New Roman',serif; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-font-kerning: 0pt; mso-ligatures: none; mso-fareast-language: FR;"One shot avec ce qu'on pourrait appeler du BDSM non sexuel, donc même si je ne devrais pas avoir à le dire s'il vous plaît ne faîtes pas ça chez vous! br /C'est de là que viens le rating -18 ans, même s'il n'y a rien d'explicite br /(Aucun lien avec le film pour ce qui est du titre, mais vous allez rapidement voir le rapport) br /Et aussi merci à ma beta artfuldodger !br /Bref, après tout ceci, j'espère que vous apprécierez :)/span/p
p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0cm; line-height: normal;"span style="font-size: 12.0pt; font-family: 'Times New Roman',serif; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-font-kerning: 0pt; mso-ligatures: none; mso-fareast-language: FR;" -/span/p
p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0cm; line-height: normal;" /p
p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0cm; line-height: normal;" /p
p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0cm; line-height: normal;"span style="font-size: 12.0pt; font-family: 'Times New Roman',serif; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-font-kerning: 0pt; mso-ligatures: none; mso-fareast-language: FR;"Elle se levait à n'importe quelle heure, mangeait comme quatre, réclamait à corps et à cri la présence de Narcissa, plus rarement celle de son mari ou de son beau-frère. Elle tuait un rat des champs ou deux, riait aux éclats, tournait sur elle-même dans le jardin. Elle mortifiait sa sœur, d'autant plus qu'on ne pouvait rien dire à La Plus Loyale d'Entre Tous. Elle se recouchait, pour mieux réveiller la maison à trois heures du matin avec un boucan d'enfer, en coursant les elfes de maison dans tout le manoir. Puis, essoufflée, elle s'endormait en plein milieu du salon. br /br /Narcissa l'avait trouvé avachie sur un fauteuil. Elle n'avait pas pris place dedans, elle avait posé la tête sur le siège comme s'il s'agissait d'un coussin. Son corps avait une position cassée, un bras sous son front et l'autre pendant à un angle bizarre. br /Et elle s'était rasé les cheveux. br /Sa crinière traînait par terre, petit mouton enragé, éparpillé à plusieurs endroits du tapis. Après des semaines de soins, de crèmes et d'onguent pour combler les rides et les crevasses, elle avait obtenu de bons résultats. Les cheveux, en revanche, avait résisté à tout traitement. Leur nature bouclé les rendaient indémêlables. Bellatrix avait adopté la méthode radicale pour en finir avec cette grosse boule de /br /Narcissa se rapprocha d'ellebr /« Bella… Bella.. réveille-toi s'il te plaît »br /« ... »br /« Allez, tu vas te faire un torticolis là »br /« Un quoi ? »br /« Mal au cou. Au moins, dors vraiment sur le fauteuil. Si tu veux, je t'aide à t'asseoir correctement dessus. »br /« Non.. bien ici »br /Narcissa se dit qu'il fallait choisir ses batailles, et qu'après tout, tant pis pour elle si elle avait le cou bloqué pendant trois jours. Ça lui apprendrait à dormir n'importe où ! Elle lui poserait plus de questions pour ses cheveux plus tard. Le choix était à la fois rationnel et alarmant : Bellatrix avait toujours été si fière de ses cheveux. Etait-ce un renouveau ? Ou une forme d'auto-destruction ? br /br /« Rod ! Rod ! Vient s'il te plaît ! »br /Un silhouette hagarde, squelettique, arriva deux minutes plus tard. br /« J'ai eu ton patronus… qu'est-ce qu'elle a ? »br /Son ton mou ne lui permettait pas de deviner s'il avait trop bu, mal dormi ou s'il se pensait dans un rêve. Si fougueux avant son arrestation, il était devenu très placide, au point où Narcissa se demandait s'il survivrait à la prochaine /« Elle va se casser le cou, et surtout tu as vu ses cheveux ! »br /Il sourit, comme un imbé /« Moi aussi ça m'arrive de dormir comme ça, Narcissa… je suis plus discret qu'elle. »br /Elle le foudroya du regard, lui et ses attitudes qui encourageaient Bella à ne pas prendre assez soin d' /« Regarde l'artiste » fit-il dans un petit rire hystérique, instable, qui exaspéra Narcissa. « Qu'est-ce que tu t'imagines, Narcissa ? Que j'avais un lit à Azkaban ? Qu'une si vielle habitude disparaît aisément ?» br /Narcissa eut honte d'elle-même. Cependant, imprévisible comme il était, elle ignorait s'il fallait lui faire confiance pour quoique ce soit. Jamais il ne ferait volontairement de mal à sa chère femme, mais un accident était vite arrivé. Elle ne pouvait pas non plus l'envoyer promener. On n'envoie pas sur les roses quelqu'un qui a passé une vie dans une prison dégueulasse. Et qui comprend mieux qu'elle, dorlotée depuis toujours, comment fonctionne un cerveau maltraité. br /br /« Bella ? Je peux ? »br /« Mmmh… Rod ? »br /« Oui c'est moi. »br /Il approcha son torse de la tête de sa femme, pour qu'elle se déplace du siège vers lui. br /br /br /Quand elle entre en contact avec lui, elle s'agite ; les yeux fermés, son visage se crispe. Ses lèvres s'entre-ouvrent, comme pour crier, mais elle n'y parvient pas. Il la maintient contre lui, jusqu'à ce qu'elle sente qu'il ne va pas lui faire de mal. br /Puis, il place ses mains autour de ses joues, les enrobant d'une chaleur réconfortante. Quand elle a mis tout son poids sur sa poitrine, il l'allonge pour qu'elle finisse la tête sur ses genoux. br /Il dépose sa cape sur elle. br /Il chuchote « Ça va aller Bella… bientôt tu pourras retourner au combat… ah ce que tu vas les épater ! Dumbledore va en faire une crise cardiaque. Bientôt tu pourras revenir auprès de notre Maître. » br /Narcissa eut un petit soubresaut de gêne lors de ses derniers mots. Elle n'avait jamais su comment Rodolphus tolérait, ou non, sa relation avec leur Maître. C'était typiquement le genre de conversations épineuses que son éducation de femme Sang-Pur lui avait appris à éviter, avec grâce s'il vous plaît. Visiblement, il n'était pas dérangé. Ou était-ce seulement pour l'apaiser ? La rumeur courrait que Rodolphus préférait les hommes.. Ça, ou il n'était vraiment pas possessif. br /br /Bellatrix avait été très humiliée le jour de son retour auprès de Lui. Magnifique, puissant, dans son corps surhumain, alors qu'elle s'effondrait à chaque pas, sale, tremblotante de froid. Elle avait bégayé en prononçant son nom -honte absolue. Elle en avait pleuré plusieurs fois devant Narcissa. « Je ne veux pas qu'il me voit comme ça, tu comprends ? » br /br /Les premières journées, c'était cinq bains d'affilées pour faire partir la crasse. Elle regardait l'eau grisâtre partir de la baignoire avec une sorte de satisfaction perverse, comme celle de faire éclater un bouton d'acné. br /Pas assez pour elle. Narcissa priait pour qu'elle ne regrette pas ce qu'elle avait fait à ses cheveux tant aimés, et qu'elle n'ait pas une énième crise de larme au réveil. br /br /« Alors, ma Bella, pourquoi tu leur as fait ça ? »br /« Moches…trop moches... » br /Sa voix se perdit dans un soupir. Elle avait un sourire de bienheureuse. On aurait dit que cette coupe avait eu un effet cathartique. Ses lèvres se tordaient toutes seules, dans un murmure, un sourire indistincts, comme si elle parlait à un ami d'enfance. br /« D'accord. Ta sœur est là, tu lui donnes la main ? »br /Belltrix haussa les épaules mais la donna quand même à une sœur vaguement offensée. Avec cette nouvelle Bella, elle ne savait jamais à quoi s'attendre. br /Elle la prit à deux mains, la caressant. Elle se fit amener un onguent par un elfe de maison, et lui prodigua un massage des mains, en espérant que ce geste la ramènerait sur terre. br /« Jamais, jamais elle n'a eu les cheveux aussi courts… même quand elle a été enfermée il ne les lui ont pas coupé, alors que j'avais peur qu'ils ne s'en servent pour l'humilier… je suis sûre qu'avec encore quelques produits... »br /Rodolphus eut un signe de la main, qui l'arrêta aussitôt. br /Il chuchotabr /« Oui, dans trois mois… elle veut Le revoir au plus vite. Elle n'en peut plus d'attendre. Elle veut des résultats. C'est un résultat, termina-t-il en pointant les chutes sur le tapis. »br /« Si elle regrette après coup, je lui donnerai des potions pour faire repousser plus vite… ou une perruque… ou n'importe quoi d'autres qui lui permette de se sentir prête à se montrer à nouveau à Lui. »br /« C'est déjà ce que tu fais, Cissa »br /« Ah ? »br /« Tu la pomponnes, tu lui tiens la main. Tu ne peux rien faire d'autre. »br /Narcissa se sent apaisée, subitement. Cela fait deux mois que ses efforts ne sont pas reconnus, à peine remarqués. Elle est la sœur de la foldingue, donc automatiquement c'est à elle de tout faire, n'est-ce pas ? br /Elle s'est mise à toucher le crâne de sa sœur. br /br /Elle n'a jamais touché des cheveux aussi courts, presque des poils de brosse, à la fois rugueux à la pointe et doux sur la tige. Elle a plus l'impression de caresser un toutou. Peut-être qu'elle a raison : ils repousseront plus sains, de vraies boucles, pas un /br /D'un seul coup, Bellatrix se relève, alertée par un bruit souterrain. Sa tête s'agite, en proie à un trouble /« Bella ? Qu-est-ce qui t'arrive ? Tu as soif ? Faim ? J'appelle l'elfe si tu... »br /« Non. »br /Elle découvre sa manche, et avant que Narcissa ait pu l'en empêcher, elle appuie sur sa Marque. br /« Mais tu es devenue folle ! »br /Narcissa n'a plus peur de dire le mot. Elle le crache avec une satisfaction proportionnelle au temps qu'elle a dû attendre pour le prononcer. Ça fait des mois qu'elle se retient. Ne pas rendre sa sœur dingue de rage. Ne pas lancer le mot fatal. Ne pas la provoquer. La défendre dès qu'elle entend quelqu'un la qualifier de cette manière. Ne pas la renforcer dans ces comportements de démente. Mais trop c'est trop. br /Pour la première fois depuis qu'elle a rejoint l'univers des mangemorts, elle craint réellement pour sa sécurité physique. N'ayant pas elle-même pris la Marque, elle ne risque a priori rien si elle ne fait pas montre de trahison – ce qui ne risque pas d'arriver. Aujourd'hui, elle est en présence de deux cinglés, techniquement. Elle aurait dû se montrer plus précautionneuse. Cette histoire va lui retomber dessus. Déranger le Maître pour… pour quoi d'ailleurs ?br /« Tu n'as pas honte de Le déranger juste parce que ça t'amuse ? »br /« Je ne le dérange pas ... »br /« Comment en es-tu si sûre ? »br /Bellatrix se relève comme elle le peut, s'assoit décemment. br /Narcissa panique d'autant plus. br /« Enfin, il y a bien un moyen de revenir en arrière ! Rod ! Fais quelque chose ! »br /« Je ne peux rien faire Narcissa, Il va arriver. »br /Il a l'air si calme. Est-ce parce qu'il sait la punition inévitable ? Narcissa frémit. Ça lui apprendra à s'occuper de sa famille, tiens ! Si elle se prend un endoloris, elle le lui fera payer plus tard. br /br /br /Il les observe depuis tout à l'heure. Il scrutait déjà quand Bellatrix s'est rasé la tête. Il réfléchissait depuis quelque temps à lui planter une ide saugrenue en tête, pour qu'elle cesse de tourner en rond. Pas de magie de l'esprit, ce serait trop dangereux, quelque chose d'autre. Il n'en a pas eu besoin, la lionne a trouvé toute seule le moyen de sortir de sa cage. br /Il est fasciné par Narcissa, dont les émotions se lisent comme un livre ouvert. En cet instant, elle tuerait pour sa sœur autant qu'elle la tuerait. br /Rodolphus… un des plus fidèles. Un des meilleurs. Il sait qu'il ne devrait pas être jaloux . Jamais Rodoplus ne sera attiré par sa femme, aussi belle soit-elle. Il sait que la nuit, ils dorment ensemble, comme des enfants qui se blottissent l'un contre l'autre après un cauchemar, Nagini le lui a dit. Il sait que les baisers et les caresses de Rod sont aussi chastes que ceux de Narcissa. Il se trouve ridicule, à perdre son temps à les épier. À surveiller Bella, qui se perd progressivement s'il n'est pas là pour lui donner des ordres ou pour la prendre contre un mur. Mais elle veut être présentable avant de se montrer à nouveau à lui. Un vrai cercle vicieux. br /Alors il peut observer comment font les autres, les faibles, les mortels. Quels petits gestes bizarres et sentimentaux ils mettent en place pour se consoler, ou se donner l'illusion d'une maîtrise de leur destin. Il apprend dans l'ombre, depuis des /Il pourrait les rejoindre, et s'abaisser à caresser les cheveux de Bellatrix, enfin ce qu'il en reste. Mais il est Lord Voldemort, pas un vulgaire Tom Riddle. br /Il en veut à Bellatrix de l'avoir appelé. Elle a tout gâché. Narcissa est tendue, Rodolphus a réglé son conflit intérieur en partant dans les /Il s'ennuie quelques minutes, le temps que son arrivée soit crédible. br /br /Quand il s'avance, ils sont déjà à terre, et se contentent d'incliner la tête en avant, yeux rivés au /« Tous. Dehors. Sauf Bellatrix. »br /Narcissa se retient de soupirer à grandes difficultés. Rodolphus, lui, ne cache pas sa déception de devoir s'extirper de la présence du Maître. br /Bella regarde le sol, parfaitement calme. Elle n'a rien prémédité, il a bien vu avec quelle spontanéité elle a tout coupé.br /« Bellatrix »br /« Maître ! Je suis si honorée de... »br /« Pourquoi m'as tu appelé ? »br /« Je suis prête »br /« A quoi ? »br /« A vous servir »br /Il s'assure qu'elle a bien les yeux fermés, d'un doigt léger sur la paupière. Elle sourit légèrement. Elle ne se serait pas permis de le regarder avant son /br /C'est le paradoxe du maître en légilimencie. Bellatrix a été une élève modèle de l'occlumencie ; encore après Azkaban, il lui serait impossible de savoir à quoi elle pense sans la briser irrémédiablement. La protection de son esprit s'est muée en seconde nature. Il ne peut plus l'observer qu'au naturel, avec l'abandon caractéristique de celui qui se croit tranquille. Il sent sens comme un explorateur des temps anciens, les jumelles en moins. br /br /Il mimique les gestes de Rodolphus. Il passe son doigts sur sa joue, en prenant soin de ne pas appuyer sur ses cicatrices. Il déteste l'idée d'avoir à apprendre quelque chose d'un disciple. Cependant, il ne peut pas perdre Bellatrix. Il doit récompenser la loyauté de ses fidèles, sinon il est clair que les défections vont se faire nombreuses. Elle est efficace, sa plus grande guerrière ;et, à l'époque où la folie des Blacks était encore contenue en elle, assez divertissante. br /br /Il lui faut aussi quelqu'un pour discuter ou partager son lit quand il s'ennuie, un problème qui s'est accentué avec ce nouveau corps : il a moins besoin de dormir ou de manger, ce qui libère de très longues heures dans la journée. Aucune des jeunettes qui lui tournent maladroitement autour dans les soirées Sang-Purs ne l'intéressent, il ne se souvient même pas de leurs noms. Il ne veut rien de moins que la dévotion totale, et aucune niaise de dix-neuf ans ne pourra la lui donner. br /Elle tenait à ses cheveux comme à la prunelle de ses yeux, et elle les a rasé pour le revoir plus vite. Cela mérite une petite indulgence. br /br /Il se met à son niveau. L'absence de cheveux le trouble. La dernière fois qu'il l'a touchée, il y a tant d'année, il avait pris plaisir à les tirer un peu trop fort pendant leurs ébats, et elle en avait redemandé. À présent, elle lui ressemble un peu. Il chasse cette pensée. br /br /Il a un meilleur accès à sa nuque. Il effleure chaque parcelle de la peau de son cou, à découvert. Elle se retient de frémir. Il sait qu'elle aime plus que tout être le centre de ses attentions, qu'à ce moment il pourrait la dénuder d'un sort, la prendre sur ce tapis, à un mètre de ses débris de chevelure, et qu'elle le remercierait. br /br /Il lutte contre ce qui lui reste d'instinct animal. Il ne doit pas la laisser croire qu'il est à son service. Il l'aidera à retrouver la santé, mais pas au prix de son statut. Il ne peut s'adonner au plaisir sans raison particulière. Il ne s'ennuie pas assez pour ça, elle n'a rien accompli de particulier. Il l'encourage simplement, crée un stimulus pour qu'elle continue dans cette voie. br /br /br /Il se relève. Vue d'en haut, elle paraît si fragile, avec son corps encore /« Eh bien, Bellatrix, je vois que la santé te revient… la prochaine fois, nous nous reverrons »br /Dès qu'elle se croit seule, elle fait disparaître ses cheveux d'un coup de baguette, et se cale à la fenêtre pour sentir les rayons du printemps sur sa peau. Elle respire à fond, un sourire sincère au lèvre. Au soleil, sa peau scintille, petite serpente qui se réveille. Il voudrait la rejoindre. Il se détourne fermement d'elle. Il a à faire. Il aura tout le temps demain de la regarder./span/p
p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0cm; line-height: normal;"span style="font-size: 12.0pt; font-family: 'Times New Roman',serif; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-font-kerning: 0pt; mso-ligatures: none; mso-fareast-language: FR;" /span/p
p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0cm; line-height: normal;"span style="font-size: 12.0pt; font-family: 'Times New Roman',serif; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-font-kerning: 0pt; mso-ligatures: none; mso-fareast-language: FR;"-/span/p
p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0cm; line-height: normal;"span style="font-size: 12.0pt; font-family: 'Times New Roman',serif; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-font-kerning: 0pt; mso-ligatures: none; mso-fareast-language: FR;"Note:/span/p
p class="MsoNormal" style="margin-bottom: 0cm; line-height: normal;"span style="font-size: 12.0pt; font-family: 'Times New Roman',serif; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-font-kerning: 0pt; mso-ligatures: none; mso-fareast-language: FR;"Si vous avez aimé (ou pas, mais alors restons constructifs ^^) n'hésitez pas à me laisser un commentaire, ça réchauffe toujours mon petit coeur :)/span/p
p class="MsoNormal" /p