LE CHANT DE LA PLANÈTE
LIVRE I : ORIGINES
CHAPITRE XIX
Dégradation
Era 1975
" Partout où l'homme a dégradé la femme,
il s'est dégradé lui-même."
Charles Fourier
NDA : Il y aura peut-être encore des risques de confusion de l'âge du Président Shinra (Anton) vis à vis du Remake (mort à 67 ans, pour rappel). Si vous constatez une erreur, merci de me le signaler^^.
Bonne lecture :) !
Ah, et je cherche une bêta-lectrice et/ou correctrice.
Une semaine s'était écoulée depuis la mort de Grimoire. Lucrécia avait été mise à pied, le temps de l'enquête sur les circonstances du drame qui s'était produit dans le laboratoire. Seule dans sa petite maison dans la ville de Nibelheim, elle déprimait et se repassait sans cesse l'incident, avant de fondre en larmes pendant des heures. Hojo, exaspéré par ses pleurs, restait très souvent au Manoir.
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Verdot et Gast avaient décidé de s'occuper de cette affaire. Pour le moment, aucune personne n'était autorisée à pénétrer dans les lieux hormis eux. Ils avaient bien vu les archives de la vidéo-surveillance qui leur avaient montré l'accident mortel, mais comme ils n'avaient pas tous les éléments en main, ils s'étaient rendus dans la pièce. Alors qu'il fouillait l'ordinateur du vampire, le Turk tomba sur une lettre en cours de rédaction pour Vincent. Son cœur se serra de peine.
« Le pauvre … Comment je vais lui annoncer ça, moi ?
– Tout va bien ? » s'enquit Gast, inquiet devant son air sombre.
« Pas vraiment... Vous savez comment dire à l'un de vos proches que son parent est mort ?
– … Oh ... » grimaça le directeur, compatissant. « C'est vrai que vous êtes ami avec le jeune Vincent...
– Oui.
– Convoquez-le dans votre bureau et rassurez-le immédiatement sur le fait qu'il n'est pas en danger de perdre son poste. Puis dites-lui que son père est mort pendant l'étude d'une substance inconnue qui l'a attaqué. Taisez l'implication de Lucrécia, par contre. Ne dites pas son nom.
– Pourquoi ? »
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Le biologiste soupira.
« Elle est déjà assez sur la sellette comme ça. Elle s'en veut énormément. Dites juste à Vincent que c'est son assistant qui nous a alerté.
– Vous rendez-vous compte de ce que vous osez me demander ?! » souffla le Turk, estomaqué. « De mentir à mon propre frère de cœur ?!
– Je ne vous demande pas de mentir, mais de ne pas mentionner une identité.
– Pourquoi protégez-vous autant cette inconsciente ?! D'après ce qu'on a vu sur les enregistrements et les résidus sur la cuve, elle n'aurait pas respecté le protocole B3 sur la sécurité du sas ! Elle a oublié de jeter le sort Barrière aussi bien sur celle-ci que sur eux quand elle a vu que cette … chose commençait à s'énerver ! » éructa l'enquêteur, outré. « Elle mériterait que son nom soit dans tous les journaux pour avoir tué un homme de cette trempe, même si ce n'était qu'un accident ! »
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Gast grimaça comme s'il avait mordu dans un fruit particulièrement amer. Oui, Verdot n'avait pas tort, là... Il regrettait profondément de devoir jouer l'avocat du diable, mais Hojo refuserait que sa fiancée, aussi horripilante soit-elle en ce moment (selon lui), soit exclue du futur Projet Jenova S. Il avait des plans, ce qui inquiétait le directeur du département scientifique qui voulait surveiller ça de près. Si c'était possible, il pourrait peut-être le renvoyer... ou, dans le pire des cas … demander au Turk un … « service ». Même si pour cela, il devait se mettre le Président à dos.
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Anton avait remplacé son père depuis peu. Herbert, du haut de ses 53 balais, voyait son état de plus en plus empirer. Du coup, son fils aîné, à 32 ans, assurait l'intérim. Mais il était clair que son père ne pourrait plus revenir sur le trône du clan déchu. Aux dernières nouvelles, il reconnaissait sa famille et ses collaborateurs une fois sur deux. Pas vraiment le top pour gérer une entreprise en plein essor…
« Mon assistant, même s'il est furieux contre elle en ce moment, tient à ce qu'elle reste.
– Hmf. Forcément. Le type le plus doué de vos blouses blanches vous tape dans l'oeil, et vous cédez à tous ses caprices ! » asséna-t-il, sarcastique.
« Je place une confiance totale en Hojo pour s'assurer qu'elle ne reproduise plus ce genre d'erreurs dramatiques.
– Assurez-vous plutôt qu'elle n'en fasse plus aucune qui mette en danger les gens. Sinon, protégée ou pas, je vous jure que je la tuerai. » menaça le Turk.
« Comme vous voudrez. » abdiqua le biologiste, néanmoins inquiet.
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Il n'aimait pas ce genre de discours, surtout qu'il en savait Verdot parfaitement capable…
" Verdot… Je sais que je t'en demande beaucoup, mais… Lucrécia va faire partie du Projet Jenova, dans la section S. Tu sais que je me méfie d'Hojo. Je veux surveiller la situation de près avec lui. Entre Hollander, Hojo, et Takako, c'est le deuxième qui m'inquiète.
– Takako est partie s'enterrer au Wutaï pour le projet A.
– Je sais. Mais le pays l'empêchera d'aller trop loin. Même si elle est dans une zone officiellement déserte et officieusement sous notre contrôle, elle ne pourra pas faire de vagues sans prévenir Kisaragi de son retour. Je compte sur ça pour contrôler ses faits et gestes.
– Et Hollander ?
– Sa femme le contrôle très bien sur sa jalousie vis à vis d'Hojo. De plus, le fait qu'elle soit enceinte de son fils l'empêchera d'en faire trop dans l'espoir de lui nuire. Les résultats du premier enfant, Genesis, semblent prometteurs, et il en sera de même pour le second, je pense, maintenant que le corps de Gillian a assimilé les cellules de l'Ancienne. Hojo, par contre, est imprévisible. Je te rappelle qu'il a imité ma signature…
– J'en reviens pas que ce connard n'ait pas été viré pour ça…
– Le Projet Jenova est très important pour les Shinra. Nous n'avons pas le choix que de garder les… brebis galeuses. Mais les garder ne veut pas dire ignorer le problème.
– Comment tu vas faire ?
– Je veux que tu m'assignes Valentine sur le projet S.
–... Pardon ?! Mais… tu…
– Je te laisse sans voix ? Toi ?" s'amusa le scientifique.
" – C'est surtout que j'essaie de piger… Tu me dis de ne rien dire au sujet de la mort de Grimoire à mon petit frère de cœur et tu veux le foutre en surveillance d'une blouse blanche suffisamment maboule pour tenter de te piquer ta place ET de l'assistante responsable de la mort de son paternel ?! T'es déjà rond à 10h00 du mat' ?!
– Verdot… Tu sais très bien que je ne bois pas." soupira Gast.
" – Pardon… Mais ce que tu me demandes, c'est énorme, putain !
– Tu m'as bien dit que Vincent était prometteur, non ?
– Ouais, mais…
– Et que tu veux un sous-directeur des Turks efficace.
– Ouais, mais…
– C'est l'occasion de le tester. Je veux qu'il me fasse des rapports réguliers sur Hojo et qu'il puisse obtenir la vérité de la bouche de Lucrécia. C'est à elle de le lui dire au sujet de Grimoire.
– … Oh. Tu la testes ainsi ?
– Oui. Si elle arrive à le lui dire le temps de son service, eh bien… ce sera sa rédemption. Et après le Projet S, je la prendrai à mon service. Hojo semble vouloir la tenir sous son joug, et je ne sais pas pourquoi. L'enquête de Vincent, si elle aboutit à quelque chose, l'expliquera sûrement.
– Je vois. Mais tu sais, Innyatima m'a demandé elle aussi d'enquêter. Sur Grimoire, si ça peut te rassurer, elle n'est pas au courant du Projet Jenova. Le minuscule article dans le journal ne l'a pas convaincue que c'était un accident.
– Les vampires n'ont jamais eu la réputation d'être des idiots, malheureusement… Surtout que dans son cas, Grimoire l'a intégrée à son clan, et je sais que ce peuple a la réputation non usurpée d'être capable de tout mettre à feu et à sang -surtout à sang- pour laver un honneur bafoué ou obtenir la vérité de quelque manière que ce soit. Alors imagine pour un membre du clan, et pire, le fils du précédent patriarche…
– Oui, et si tu peux m'épargner ça…
– Je suis désolé, mais ça dépendra de Lucrécia.
– En gros, si elle dit à Vincent la vérité, j'ai le droit de le dire à Inny ?
– Oui.
– Ça promet… Espérons que ça ne prendra pas trop de temps.
– Je l'espère aussi. Rien n'est pire qu'un collaborateur empli de remords. Ça peut mener à une sévère dépression, et nul ne sait comment un scientifique va réagir face à ça… Si elle le lui avoue, ça évitera sûrement des décisions désastreuses.
– Je ne garantis pas la réaction de Valentine… mais si ça peut vous rassurer, il ne la tuera sans doute pas. Et il n'est pas du genre à brutaliser une femme, au contraire. Il les défend, peut-être trop pour son propre bien. J'ai peur qu'un jour, il tombe sur une femme qui sera beaucoup moins scrupuleuse que celles qu'il a protégé… et qui pourrait lui briser le coeur.
– Que de négativité, Verdot… mais Lucrécia n'est pas du genre à utiliser un homme de cette manière.
– Tu m'excuseras, mais avec son fiancé, je préfère me méfier. On ne sait jamais comment on peut agir pour l'être aimé, et ça peut mener à des situations catastrophiques… qui feraient sûrement la joie des psychologues les plus chevronnés, remarque.
– Je comprends. Je reste cependant persuadé qu'elle n'est pas ce type de femme.
– Puisse les Divins de Gaïa t'entendre, Farémis… Puissent les Divins de Gaïa t'entendre…"
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Le directeur scientifique rit avec légèreté, tandis qu'il observait quelques documents.
" – Je croyais qu'un Turk n'est pas censé dépendre des dieux ?
– Ouais, parce qu'on bosse pour les Shinra, pour rappel. Eux préfèrent qu'on prie plutôt Bahamut et ses frères, mais on ne prie pour personne, en réalité.
– Par curiosité mal placée… pourquoi ?
– T'imagines l'après-vie pour nous suivant les invocations ?" rétorqua Verdot avec une grimace douloureuse.
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Ah. Oui. Effectivement…
" – Mais du coup, si tu ne pries personne, tu te retrouveras quand même chez l'une d'elles, non ?
- Honnêtement, j'ai jamais testé ce genre de truc, et je ne garde aucun souvenir de mes précédentes incarnations, sinon, je ne te raconte pas toutes les bibliothèques qu'il faudrait remplir. Faudrait voir Minerva pour ça, et ce n'est pas le genre de déesse qu'on peut trouver au coin d'une rue à nous faire joyeusement coucou en hurlant son nom. Ou à avoir un panneau clignotant au-dessus d'elle signalant " Salut, je suis la Déesse-mère de Gaïa !". Surtout que si elle surveille l'évolution des humains, quelque chose me dit qu'elle chercherait plutôt à nous punir.
– Ce n'est pas faux.
– Alors quant à savoir s'il y a un lieu de souffrances si le karma est mauvais ou pas, honnêtement, aucune idée. Mais ça doit peut-être être possible grâce à la Rivière de la Mort."
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Le regard de Gast s'assombrit.
La Rivière de la Mort…
La Rivière de la Vie, appelée aussi Lifestream, était une rivière spirituelle qui contenait toutes les consciences des êtres vivants. D'une couleur plus ou moins turquoise, elle était dominante sur Gaïa.
Cependant…
Lorsque le Fléau des Cieux, la Calamité, s'était abattu sur la Planète, la maladie qu'elle avait apportée avait réussi à garder une certaine conscience dans l'au-delà, étrangement. Chaque Cetra transformé en monstre, et par conséquent, mort de cette maladie, se retrouvait là-bas. Et la Calamité avait réussi à faire en sorte de créer et de contrôler cette Rivière de la Mort, appelée Deathstream dans le jargon scientifique (oui, ils étaient originaux… chut.).
De nouveaux monstres en faisaient surface, et, tout comme les êtres vivants, ils naissaient. Ils vivaient. Ils mangeaient. Ils buvaient. Ils aimaient. Ils haïssaient. Ils prolongeaient leur héritage. Ils vieillissaient. Puis ils mourraient. Avant de revenir à nouveau, en une boucle aussi immuable que celle du Lifestream.
Le Deathstream, comparé à son opposé, était d'une couleur plutôt sombre, mélange curieux entre le noir et une teinte plutôt violine. Cependant, il avait la sinistre réputation d'être incroyablement toxique et dangereux à manipuler. La mort de Grimoire l'avait prouvée. Après tout…
Chaos en était l'incarnation la plus redoutable de cette rivière corrompue. Il s'exprimait en une langue ancienne et inconnue de Gaïa, mais semblait comprendre le gaïan, selon les rares textes encore disponibles de l'époque des Cetras. La théorie la plus dominante chez les scientifiques disait qu'il venait du même monde de la Calamité et qu'il en était son héraut… mais ça ne collait pas par rapport aux quelques écrits qu'il avait étudié sur la Guerre contre elle.
Il était dit que Chaos était un lâche. Que bien que conscient d'avoir la puissance nécessaire pour ne serait-ce que la bloquer, il avait refusé d'agir, terrifié par la haine qu'elle semblait lui porter.
Gast ne pouvait pas vraiment l'en blâmer. De ce qu'il avait lu, le Fléau avait des compétences psychiques redoutables. Il/Elle (ou Iel ?) était capable d'utiliser des pouvoirs élémentaires d'une puissance inégalée, et de les manipuler à loisir selon ses souhaits, qui plus est. Elle pouvait manipuler les esprits de ceux qu'elle contaminait, figer des adversaires ou les ralentir, et si besoin était, elle pouvait absorber la force vitale d'une personne contaminée par la maladie pour se refaire une santé. Les guerriers de Minerva avaient d'ailleurs mit beaucoup de temps à la vaincre à cause de ça.
Mais la capacité la plus effrayante de cette catastrophe ambulante était sa propension à se transformer en une autre personne. Et selon les textes, elle avait un certain plaisir pervers à se métamorphoser en un individu défunt.
Gast n'osait même pas imaginer sa propre réaction s'il revoyait sa petite soeur, Koldra, de nouveau en vie et en pleine forme…
Elle avait succombé à une maladie orpheline étant très jeune, à ses quatre ans. Malheureusement, malgré toutes ses recherches, il n'avait jamais pu trouver de remède à la leucodystrophie [1]. C'était une maladie dégénérative qui touchait la myéline, une membrane qui entoure normalement les neurones. Cette maladie entraînait une mauvaise formation de cette membrane, voire même un mauvais maintient, ce qui conduisait hélas, à terme, à une sclérose cérébrale (une démyélinisation de son petit nom).
A sa mort, la maladie venait tout juste d'être découverte. Quand il fut employé par la Shinra, Gast avait tout fait pour étudier toutes les affections et troubles, qu'ils soient connus ou rares. A présent, il avait quelques pistes prometteuses pour un éventuel traitement, mais il manquait encore certaines choses pour le commercialiser. Bien entendu, il aurait aimé qu'il y en ait un pour sa sœur, à l'époque, mais maintenant, il avait bon espoir de sauver de futures petites vies.
" – Farémis ?
– Hm ? Oh, excuse-moi, j'étais perdu dans mes pensées… Où en étions-nous ?
– On en était à parler du Deathstream et de questions philosophiques de la vie après la mort.
– … On est parti assez loin de la base de notre enquête et de sa conclusion." grimaça-t-il. " C'était un tragique accident dû à l'empressement…
– … d'une écervelée.
– Verdot…
– D'accord, je me tais. Mais je n'en pense pas moins.
– … de la jeunesse plutôt que d'une écervelée. Ça rendra mieux dans le rapport.
– Peut-être. Et pour la sanction ?
– Elle sera juste une assistante de niveau 1 dans mon équipe.
– … Ce ne sont pas ceux chargés du nettoyage et du classement ?
– Plutôt du classement, ceux du nettoyage sont les apprentis scientifiques, ce qu'elle n'est plus. Et d'autres tâches ingrates comme préparer les salles de réunion, par exemple.
– Je vois…
– Je lui rendrai ses grades au fur et à mesure de son évolution dans le Projet Jenova-S.
– C'est ton truc, je te fais confiance… Je vais m'occuper de Valentine.
– Merci, Verdot.
– De rien. Mais tu me devras un " Côte du Chartreux" de 1965 [2].
– … Tu es conscient que ce vin est ultra rare ?
– C'est le prix pour taire la vérité, Gast.
– Très bien. Je t'en procurerai.
– C'est un plaisir de faire des affaires avec toi !" ricana son ami.
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Farémis secoua la tête, amusé.
" Couillon.
– Je t'aime aussi."
[1] " Malheureusement, malgré toutes ses recherches, il n'avait jamais pu trouver de remède à la leucodystrophie" :
Je prends bien en compte l'évolution de la science entre l'époque de Gast (quand il découvre Jenova en era 1967 et celle du chapitre actuel, donc 1976) et celle d'FFVII, qui a eut une avancée fulgurante. Il faut toujours plusieurs années, voire même des décennies (dans le cas des virus qui peuvent avoir des déclinaisons, comme notre " bien-aimé" Covid-19), pour trouver un traitement qui, soit guérit la maladie, soit, à défaut, la soigne au mieux. D'où le fait qu'il parle de pistes prometteuses dans ce chapitre.
Je vous rassure, la leucodystrophie, chez nous, peut être détectée et traitée. Selon wiki, 3 enfants sur 4 (cette maladie semble aimer les petits…) peuvent en être soignés, mais les dégâts sont définitifs :/.
[2] " Côte du Chartreux" : HONTEUSE référence (ou hommage, à vous de voir) à Banal Fantasy XD… Encore merci, Durendal, pour avoir créé cette saga, les années passent, mais je me marre toujours autant dessus^^!