Harry et Severus firent l'amour en plongeant, tous les deux, dans une grande frénésie de douceur. Peau contre peau, il gémissait, et murmurait le nom de l'autre. Ce fut une passion profonde. Un acte d'amour approprié pour montrer avec orgueil ce qu'était vraiment la plus grande passion du monde. Harry se baissa sur l'immense tige en érection en laissant échapper un crie silencieux, les joues pourpres, les yeux plissés.

L'intrusion était vachement douloureuse, il voulait continuer mais c'était impossible à ce stade il avait bien trop mal. Son corps refusait de bouger à cause de la tension et la douleur. Il se sentait déchirer en deux morceaux, il avait mal, prenant son courage entre ses mains. Il bougea le bassin descendant la tige rigide de nerf vers le haut et vers le bas. La douleur était toujours présente, Harry avait toujours aussi mal.

"S'il te plaît fait en sorte que la douleur disparaît je ne pense pas que je pourrai supporter plus." Et pendant ce temps-là, Severus de son côté regarda son compagnon avec inquiétude et admiration. Le jeune puceau avait eu le courage de donner sa virginité ; Severus se sentait honorer de prendre ses pieds avec un beau puceau. Il admira le visage de Harry, trempé de sueur, les joues rouges et les yeux fermés. Il ne pouvait plus s'empêcher de revendiquer ce corps souple. Sa bite pénétra les entrailles de l'autre, ses mouvements frénétiques étaient brutaux, et rapides.

Harry posa ses mains sur le torse de Severus pour se stabiliser et trouver de l'équilibre, il mordit sa lèvre pour éviter de crier de douleur. C'était sa première fois, il se sentait stupide pour être imprudent comme il venait de le faire. Les coups de butoir étaient intenables, mais il tenait le coup, il ne voulait pas paraître si faible aux yeux de son futur compagnon. Rebondissant sur le membre bien dure, il ferma les yeux en prenant une grande inspiration, il ne succomberait pas à la douleur il se jura aussitôt ; Harry glissa ses mains dans la chevelure noir et se pencha.

"Severus..."

"Hum...Severus, soit doux j'ai si mal."

"Chut, la douleur va bientôt disparaître."

"J'ai si mal tellement mal." Miaula avec impuissance le plus jeune en fermant les yeux, alors qu'il n'arriva plus à se tenir droit, et qu'il finissait par s'allonger sur le corps de Severus.

"Mon amour accroche toi."

"Severus... ça fait mal !" Harry pleura, les larmes coulaient impunément sur ses joues, ses mains tiraient sur les cheveux de Severus. Ce dernier bougea ses hanches, navigant son membre d'un coin à un autre, cherchant ce point de nerf en particulier quand soudain, Harry se redressa en criant de joie jouissant sur le ventre de l'autre.

"Qu'est-ce que c'est ?" Clignant des yeux il regarda l'autre homme, réalisant avec effroi ce qu'il allait bientôt se dérouler, fugace, il se dégagea aussi vite qu'il le put, malheureusement, il fallait s'attendre à ça. Severus posa rapidement ses mains sur les hanches de Harry, empêchant toute tentative de s'enfuir, il le ramena vers lui brusquement broyant son membre dans cette caverne humide délicieux.

Harry ouvrit la bouche sous le choc et se tint droit sans bouger de peur de faire un faux pas. Il était épuisé, il n'arrivait pas à se tenir debout. Ses pensées étaient devenues incohérentes et dissous.

"Severus... Je n'en peux plus."

"C'est toi qui avais eu l'idée."

"Je suis fatigué ça ne peut pas attendre un peu ?"

"D'accord, mais tu m'en dois une la prochaine fois."

Ils se séparèrent, ils s'habillèrent lentement. Severus tenait Harry près de lui, alors que le plus jeune traînait ses pieds et chancelait comme un canard sans aucun contrôle. Severus le plaça sur le sol près du feu de camp, avant de s'adosser et de s'endormir aussi en souhaitant par inadvertance que son excitation.

Le couple ne vit pas que le chef de la famille Weasley les avait observés depuis le début. Ce dernier avait des doutes sur les comportements de Severus il savait bien que l'homme cachait beaucoup de chose mais il voyait bien que ce n'était pas essentiel en ce moment. Le plus important pour un père était le bonheur de ses enfants, sa femme avait constamment dit de ne pas se mêler de la vie de Harry et de ses autres petits. Mais il n'arrivait pas à abolir cet instinct protecteur qui submergeait à l'intérieur de sa subconscience.

L'un de ses petits venaient d'entrer dans un nouveau monde totalement nouveau pour lui, serait-il aussi fort pour se défendre ? Serait-il suffisamment puissant pour vaincre le pire et trouver le bon dans chaque situation. Il ne voulait pas que Harry souffre ou qu'il choisit la mauvaise personne.

La chose la plus horrible quand tu menas ta vie avec une autre personne était le fait que l'on découvrit toujours ses mauvais côtés quand ce n'était guère le bon moment. Arthur ne voulait que le bien-être de ses petits mais parfois il allait un peu trop loin.

Ce fut tôt le matin qu'il décida d'entrer en action. Il conduisit Severus derrière une colline qu'il avait aperçu la nuit précédente.

"J'avais hâte de te parler."

"Je..."

"Je vais t'expliquer une chose je sais bien que Harry n'est pas mon gosse biologique. Mais je ne le mets pas de côté pour autant. Je l'aime. Je me fiche de savoir qui tu es vraiment. Saches une chose, que depuis qu'il était petit je protège ce gamin comme s'il était le mien... et cette fois-ci les rôles ont changés. Maintenant sa protection est devenue ta responsabilité. Ne te plante pas. Sinon, je peux t'assurer que je ferai ta vie un enfer. Tu comprends."

"Tu n'as pas besoin de me dire une chose pareille, Arthur je sais ce que je dois faire pas comme certain que je connais."

"Fait gaffe à ce que tu dis tu pourrais le regretter."

"Nous sommes des adultes, essayons de se comporter dignement et non comme des primates. Je ne veux pas des ennuis. Je veux juste son attention et son amour. Je ne veux pas devenir un problème."

"Je t'ai à l'œil. Je ne te quitte pas des yeux."

De son côté, Sirius se ruait vers la sortie principale, se cachant dans l'ombre et les recoins les plus inappropriés pour sa grande taille. Il se camoufla en utilisant la décoration qui l'entourait. Il ne faisait aucun doute qu'il essayait de s'enfuir le plus vite possible. La sueur coulait le long de ses épaules. Il transpirait abondamment à cause de l'excès d'effort.

"Là ! Plus un geste tu es encerclé !" Hurla un gardien de nuit, faisant un signe à son collègue pour faire un cercle autour du bandit.

"Tu ne peux plus t'enfuir maintenant."

"Si j'étais toi je ramènerais la pierre philosophale à sa place mon gars."

"Oui je peux t'assurer. Tu ne veux pas passer ta vie en taule."

"Nous voulons que la pierre." Dit l'un des deux gardes qui s'approcha rapidement de Sirius.

"Non je garde cette pierre près de moi j'ai promis à mon neveu que je lui donnerai cette pierre. Si je dois perdre un doigt dans le processus je le ferai sans hésiter." Sirius releva la tête les yeux qui s'enflammèrent de détermination. Il fonça dans le tas, il plaqua la tête d'un gardien dans le sol, écrasant sa tête en utilisant tout son poids. Il balança son pied dans la tête de l'autre gardien, et frappant par derrière pour miser son dos.

Il profita de ce moment pour prendre la poudre d'escampette. Il monta dans sa voiture et la démarra rapidement en souriant sadiquement, il ne fallait pas perdre trop de temps. Il serra dans son poing la pierre qu'il plaça dans une boite avant d'éloigner sa voiture du musée. En sortant par la voie principale les policiers l'attendirent déjà de pieds fermes ; Sirius grogna de mécontentement, ne s'attendant visiblement pas à ça.

Il tourna le volant rapidement pour prendre une autre voie renversant quelque passant qui avaient eu la malchance de le croiser. Il pensa qu'il serait judicieux d'appuyer le bouton rouge d'urgence mais ça ne le mettrait encore plus dans une pire situation il devait s'en sortir d'une autre manière. Prenant la route vers le périphérique, il croisa un barrage, des policiers sortirent de leur voiture et le visaient avec leur arme. Sirius craignit qu'une balle ne touche un seul pneu. Il tourna rapidement la voiture dans une autre direction pour éviter ce problème difficile.

Il misa le tout pour le tout vers le grand portail qui coupait la grande ville, en plongeant sous le portail, un marré d'eau déchaîné dévalait la cote prenant au piège les policiers qui ne purent s'en échapper ! Riant de façon macabre, le criminel continuait son chemin vers la destination désigné sur le bout de papier.

La famille Weasley avait toujours connu la modestie et la pauvreté. Les membres de cette famille était familier à la vie simplifiée. Ils travaillèrent avec ce qu'ils eussent, c'étaient toujours sentis chanceux d'avoir une maison et tout le nécessaire. Ils n'eurent pas les yeux plus gros que le ventre, ils se contentèrent de ce qu'ils eurent sans se plaindre de quoi que ce soit. Donc ce fut une réaction assez normale de leur part d'être sans voix lorsqu'ils s'arrêtèrent devant un gargantuesque manoir, qui ressemblait remarquablement au manoir hanté du roi Boo dans Mario Bros.

Arthur avait la bouche grande ouverte au point qu'une mouche pouvait s'y loger et pendre un œuf. Les frères jumeaux avaient les yeux grands ouvertes que leurs globes oculaires pourraient sortir de leur tête avant de sourire vicieusement. Ron avait le regard le plus comique entre tous, il était sans voix, sa bouche grande ouverte comme son père sauf qu'il laissait échapper de la salive sur son menton. Harry n'était choqué mais il garda son calme il savait que le mari de son futur compagnon était extrêmement riche mais il ne s'attendit pas à ce genre de chose.

"Je vous accueille chez moi, c'est ma demeure bienvenue au manoir Jedusor."

Severus monta les escaliers, mais il s'arrêta quand il ne vit personne marcher derrière lui. "Venez donc ne rester pas à l'extérieur vous êtes mes invités je ne veux pas faire pression mais le voyageur fut si long mes amis je pense que vous méritez tous un peu de repos."

"Ah ! C'est ce que l'on appelle un accueille de trois étoiles. " Ron sourit et sourit Severus, il fut d'ailleurs le premier à sortir de sa transe et de poursuivre l'autre homme. Les autres le suivirent par la suite. Harry regarda autour de lui, la maison était éléphantesque, et éblouissante. Et pourtant il manquait quelque chose. Arthur et sa femme regardèrent la structure architecturale avec épanouissement.

Comme vous le saurez probablement déjà la famille Weasley ne connaissait pas le luxe d'un délicieux foyer de cette ampleur. Les jumeaux, la première chose, qui les vinrent à l'esprit fut de prendre un immense sac en plastique pour emballer les objets qui les tapaient à l'œil !

"Déposez mon vase tout de suite ou je vous pourchasse en justice pour vol à l'étalage !" Déclara un homme qui se trouvait à un niveau supérieur. Ce fut Tom Jedusor, bien courroucé il était de bonne humeur en voyant son mari saint et sauf. Mais son regard se refroidit lorsqu'il atteignit Harry Potter qui dandinait sur place comme un collégien timide devant son béguin.

"Je vous souhaite la bienvenue dans ma volumique demeure. Je ne m'attendais pas à autant d'invités en si peu de temps." Il se glissa majestueusement vers Severus berçant son regard sur cette peau délicate.

"Tu m'as manqué mon amour. Je pensais que je succomberai à la folie. J'imaginai des scénarios inconvenables. Je décimerai le monde juste pour te retrouver."

"Hum... Je ne suis pas ici pour me faire malmener mon cher époux je suis ici pour que tu rembourses ta dette et que tu honores ta parole. Tu as promis d'aider ce jeune homme."

"Oui mon amour et je le ferai."