Kanon était couché dans son lit, il dormait depuis plus de 8h, il se réveillât soudain sentant une présence. Dans la pénombre il put distinguer une silhouette portant une armure sombre. Un spectre se tenait dans sa chambre et pas n'importe lequel ! La wyvern l'observait et se demandait ce qu'il avait de plus que lui ! N'importe quoi, on osait mettre le chevalier des gémeaux sur un pied d'étale et le dénigrer lui qui a appris les manières les plus distinguées !
Soudain le spectre se mit à hurler car il venait d'avancer, il avait marché sur un piège à ours qui se trouvait au pied du lit de Kanon. Eléa riait comme une hyène dans son lit car le piège avait fonctionné et ce crétin gémellaire a eu la monnaie de sa pièce. Non mais devoir dire à la wyverne que Kanon était meilleur que lui, ça lui a fait mal de le dire, elle n'en pensait pas un mot sur le moment. En allumant dans sa chambre, elle se précipitât dans la chambre pour voir Rhadamanthe collé au mur de la chambre et le pied gauche dans le piège.
Kanon : Tu voulais chasser un ours ?
Eléa : Oui mais pas la truffe qui l'a déclenché, il n'a pas de bol lui avec les pièges !
Rhadamanthe : Rigole et ironise bien.
Eléa : Je peux te poser une question la wyvern ?
Rhadamanthe : C'est Monsieur le juge, je vois que la politesse n'est pas votre tasse de thé. Pour finir je pense que point de vue éducation, vous êtes peine perdue !
Eléa : En parlant de thé, pourquoi vous rester pas dans votre salon de constipés et nous laisser en paix ? Ma question, vous pourriez nous donnez le motif de votre visité très désagréable?
Kanon : Calme toi
Rhadamanthe : Car j'ai d'autres occupations en temps normal que de m'intéresser à deux nigauds.
Eléa : Tu ne sais pas l'envoyer ou il pourrait nous laisser des vacances mon petit Kanon d'amour
Kanon : Les cochons vont voler, tu vois comment tu m'appelles ?
Eléa : Oui mon petit cœur
Kanon : Bon ce n'est pas pour toi mais je n'ai pas envie de le voir
Kanon ouvrit un golden triangle, à la fermeture Rhadamanthe avait disparu mais ils étaient tous les deux transporte dans un jardin inconnu et abandonné. En rentrant dans une vaste demeure, Eléa eut un flash, elle connaissait cette demeure.
Kanon : Eléa j'ai peur. Tu as vu le hall d'entrée ? La baraque me fout la frousse. T'es sûr que le monstre du Loch Ness ne va pas se pointer ?
Eléa : Kanon mets la en veilleuse.
Eléa poussant la porte qui mène au salon, en entrant dans la pièce Kanon vit la superbe cheminée.
Kanon : Oh je caille et si on faisait un feu ?
Eléa : Bien dis pour une fois tu réfléchis, le bois se trouve dans le cabanon au début des jardins à côté du salon d'Aphrodite.
Kanon : Tu connais l'endroit ?
Eléa : Oh que oui, regarde mieux
Kanon : Ah ah ah une photo du poilu des enfers et à côté il y a sa bobonne
Eléa fusillant Kanon du regard : tu sais quoi en plus de devoir te racheter un cerveau et des neurones de rechange, pense à acheter des lunettes à triple vision car tu vieillis mon vieux
Kanon découvrant la photo de mariage de l'hôte des lieux: Pour se faire sauter par l'autre faut avoir des goûts de chiotte en matière de mec !
Eléa : Mais oui mais oui
Kanon regardante plus près la photo de mariage de Rhadamanthe, reconnut Eléa. Il fut choqué de voir un portrait ainsi. Puis il prit en main la photo.
Kanon : Eléa, j'ai retrouvé la belle et la bête
Eléa : Et moi j'ai trouvé le clochard non les deux clochards au 3ème
Kanon : Euh il y a eu des enfants ?
Eléa : Oui , lui au moins il ignorait comment éviter de se reproduire l'affreux jojo.
Kanon : Oh touché on dirait
Eléa : Bon vu que c'est inoccupé depuis un bon moment, faudrait aller faire les courses, tandis que je m'occupe de faire le ménage et rafraîchir tout
Kanon : Je vais ou
Eléa : Tu sors tout droit et à 5500 m tu tournes à droite et va arriver sur une rue commerçante. Prend des légumes, pomme de terre, viande au minimum
Kanon : Tu sais ou le poilu cache ses sous ?
Eléa : Oh ben oui dans son caleçon, non mais tu crois qu'il va laisser de l'argent dans un bâtiment vide ?
Kanon : Bon ben l'espoir fait vivre, j'ai deux trois euros donc ça ira pour faire les courses
Eléa : Kanon réfléchis un peu, si on est chez Rhadamanthe tu crois que les euros vont te servir ?
Kanon : Ben euh c'est quoi l'argent utilisé aux enfers ?
Eléa : Des hadèsos
Kanon : Bizarre le nom
Eléa : On est en Angleterre, donc tu vas utiliser ta master card car ce n'est pas l'euro qui a cours comme argent.
Kanon : Elle est conjointe avec Saga , donc si je l'utilise il va nous retrouver !
Eléa : Enfin il percute
Kanon : Dis que je suis bête ?
Eléa : ça ne m'a pas effleuré l'esprit un seul instant
Kanon : Bon je me casse, je reviens vite
Eléa : Oui oui, prends ton temps. J'ai besoin de vacance !
A peine Kanon sortit qu'Eléa s'étira les bras vers le haut puis regardant le grand escalier du hall d'entrée. Elle levât les yeux et dans un sourire.
Eléa : Je vois que je ne suis pas seule, qui êtes-vous ?
L'ombre s'avançât vers la rampe de l'escalier sur le pallier, c'était Rhadamanthe. Il avait retiré le gilet de son costume, et sa chemise était ouverte de quelques boutons et il ne portait pas de cravate. Il était habillé de manière relax ce qu'il ne faisait jamais. Il avait ses deux mains dans les poches et regardait Eléa.
Eléa : Tiens qui voilà ! un des affreux jojos des Enfers
Rhadamanthe : Je vois que le gros rat t'a laissé seul. Pas trop perdue ? Ah oui depuis ton départ j'ai demandé que tout reste vide mais entretenu, je vois que le blocage de ta vie antérieure a sauté. Au fait il y a toujours de un peu d'argent pour les courses à l'endroit habituel, je suis étonné que tu n'ais pas été.
Eléa : Je n'aime pas rentré dans le mausolée
Rhadamanthe : C'est mon bureau, tu te gênais pas avant
Eléa : Le temps d'avant c'était le temps d'avant. Vu que tu es relax, je suppose que tu es là depuis un moment ?
Rhadamanthe : Nous sommes arrivé en même temps, d'ailleurs j'ai déjà fait un feu dans mon bureau, tu peux monter venir te réchauffer, j'ai demandé à ce que du personnel revienne, Veronica va tout coordonner et pitié évite que le sagouin ne se fasse remarquer. J'ai demandé que les chambres soient préparées aussi. Je ne suis pas mauvais joueur.
Rhadamanthe se retira dans son bureau, en entrant Eléa put voir le feu allumé dans la cheminée. Rhadamanthe assis à son bureau retira ses lunettes et se dirigeât pour mettre deux buches supplémentaires. Il faisait agréable dans la pièce, Eléa prit place dans un des fauteuils près de la cheminée, sur le dos se trouvait un grand châle en laine.
Rhadamanthe : Je l'ai fait lavé et déposer pour toi avoir plus chaud. Tu le mettais sans cesse.
Eléa : Comme toit avec tes costumes avec gilet et haut de forme. Aucun changement, toujours habillé de la même manière
Rhadamanthe : Toi tu as bien changé, je reconnais ton sens de suivre la mode, avant toujours en robe ou jupe, te voici en pantalon de toile
Eléa : On appelle cela un jeans. Tu vas manger avec nous je suppose ?
Rhadamanthe : J'ai fait revenir la cuisinière ainsi tu verras avec elle pour le menu, je te préviens que le sagouin n'a pas intérêt à se faire remarquer. Autrement ça va être la guerre.
Rhadamanthe s'était servi un verre de whisky, ce breuvage dont Eléa détestait l'odeur mais elle était certaine qu'il serait au goût de Kanon de même que ces choses horribles que le 1er juge fume, un cigare cubain. Puis elle vit Rhadamanthe verser quelque chose, elle sut qu'était le contenu quand ce dernier s'est retourné et déposa une tasse devant elle.
Eléa : Merci
Rhadamanthe : Normal, au fait je susi pas aussi vache que toi je n'ai pas mis de laxatif. Après chaque absence de plus d'un jour tu en mettais dans mon thé mais ce n'est pas le genre de la maison vois-tu.
Eléa : Euh
Rhadamanthe : Tu vois je le savais et j'ai jamais rien dit ni réagit, grande différence entre nous.
Le juge fut surpris de voir Eléa somnoler dans le fauteuil. IL prit le châle et le déposât pour lui recouvrir le corps et pris une couverture pour le reste du corps, il surélevât les pieds avec la repose pied.
Rhadamanthe : Eléa, je vois que bien installée et un bon feu te fait toujours dormir. Espérons que l'hippopotame ne va pas croire que je l'ai assommé et puis flûte
Kanon rentrait tranquillement vers le château avec un sac rempli de courses et dedans il avait pris un chaton abandonné qu'il avait trouvé. Mais il était loin de se douter de la pagaille qu'il allait avoir à son retour. Et oui Kanon dans son élan de générosité n'a pas très bien regardé le chaton qui était noir et blanc avec une queue bien touffue.
