Coucou chers amis coquins miraculeurs,
Comme il semblerait que mes OS classées M vous plaisent, j'ai décidé de créer une petite collection d'OS de ce style. Vous m'en direz des nouvelles. Bonne lecture et bisous miraculeux à tous.
Écrit par Etoile-Lead-Sama.
Beta: JuliaFC, AgresteBug, Malauu-Ladynoir, Rosehealer02 et LadyJoyNoir. Merci les amies
La magnifique couverture est une œuvre de Rose Manley, rosehealer02 sur Deviantart.
Avertissement: Cette histoire est basée sur des personnages et des situations créés et possédés par Thomas Astruc, TS1 Bouygues, Disney Channel, Zagtoon, Toei Animation. La chanson est le titre Longtemps du chanteur Amir. Aucun argent n'est fait et aucune violation de droit d'auteur ou de marque n'est prévue.
Attention contenu explicite pour adulte
TIRE UNE CARTE
Marinette était assise sur son lit et regardait, pour la dixième fois minimum, le jeu de cartes que lui avait offert Alya pour ses vingt ans. Ce n'était pas un jeu de cartes classique. C'était plutôt le genre de jeu de cartes que tu utilisais quand tu étais en couple…et avec lequel tu jouais en général dans un lieu privé.
La jeune femme se décida finalement à rompre la protection en plastique pour en libérer les petits pièces de bristol, tout en commençant à rougir en apercevant le dessin sur la première qu'elle libéra: une femme allongée sur le sol, avec la tête d'un homme entre ses cuisses.
Elle tint fermement le petit paquet entre ses doigts, le cœur battant à tout rompre dans sa poitrine puis, finalement, sa curiosité fut plus forte que sa pudeur et elle examina les cartes, les unes après les autres. Certaines étaient très sages mais d'autres étaient si explicites qu'elle devint plus rouge qu'un feu de signalisation.
Pour être parfaitement honnête avec elle-même, Marinette ne rougissait pas vraiment à cause des images qu'elle voyait: elle n'était plus innocente des choses qui se passaient entre les hommes et les femmes depuis plusieurs années… Elle en avait même expérimenté certaines avec son petit-ami, Adrien… Non, en réalité, elle rougissait parce qu'elle avait très envie de jouer à ce jeu avec Adrien… mais elle savait qu'elle n'aurait jamais le courage pour le lui proposer.
Marinette soupirait, son esprit carburant à toute allure pour trouver une solution à son problème, quand son regard tomba sur l'une photo de Ladybug et Chat Noir qui ornait le mur de sa chambre. Marinette n'oserait jamais proposer à Adrien de faire ce genre de jeu… mais Ladybug trouverait certainement le courage de le soumettre à Chat Noir…
Un large sourire étira ses lèvres lorsqu'elle songea que leur anniversaire de rencontre approchait: cette année, Chaton ne serait pas le seul à lui préparer une surprise…
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Chat Noir termina d'allumer la dernière bougie à la senteur de rose puis recula pour admirer le résultat de son œuvre. Au sommet de l'Opéra Garnier, lieu où Ladybug et lui s'étaient finalement révélés leurs identités, il avait installé une couverture et des coussins pour créer un nid douillet où ils pourraient s'installer. Il avait ensuite parsemé le sol de pétales de roses rouge et blanche avant de disposer les bougies tout autour, en un immense cœur lumineux et parfumé.
Le félin avait également ramené de quoi grignoter et une bouteille de champagne, qui attendait sagement dans un seau de glaçon. Pour parfaire le tout, il avait mis un fond de musique classique.
Les lieux avaient tout l'air d'être prêts pour un rendez-vous romantique et, dans un sens, pour lui, c'était le cas: c'était certes l'anniversaire de sa première rencontre avec Ladybug mais c'était également l'anniversaire du jour où ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre.
Chat Noir s'assit sur le bord de l'Opéra Garnier pour attendre sa partenaire et se plongea dans ses pensées. Il repensa à tout ce qui s'était passé ces cinq dernières années et combien ils avaient souffert, tous les deux, avant de trouver finalement le bonheur. Il se rappela sa souffrance quand il avait eu l'impression que Ladybug ne comptait plus sur lui et il se souvint de comment elle avait été démunie, fragile, lorsqu'elle avait perdu les miraculous dont elle était gardienne.
Ensemble, ils les avaient tous récupérés. Ensemble, ils avaient vaincu son père. Ensemble, ils avaient surmontés tous les obstacles…puis, finalement, il avait reçu une récompense inespérée dans le monde noir qu'était devenu sa vie: Ladybug s'était révélé à lui, autant par son identité que par les secrets qui étaient enfouis dans son coeur. L'intense bonheur de découvrir qui elle était et qu'elle l'aimait de tout son cœur avait balayé les heures sombres tel un ouragan, pour lui offrir un avenir plein de lumière et d'espoir.
Chat Noir soupira, légèrement nostalgique, quand son regard tomba dans la direction du manoir familial, lieu où, finalement, Marinette s'était donnée à lui. Depuis, on pouvait dire qu'ils étaient actifs dans ce domaine, étant aussi demandeurs l'un que l'autre. Mais, ils avaient beau le faire souvent, il se souviendrait toujours de la magie et de l'intensité de leur première fois…
Le son du yo-yo s'enroulant et se déroulant sortit le félin de ses pensées et l'excitation grandit dans son cœur alors qu'un large sourire étirait ses lèvres: sa Lady arrivait.
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Ladybug aperçut le cœur lumineux avant d'arriver sur le toit et son propre cœur palpita encore plus rapidement dans sa poitrine: son chaton amoureux avait, comme toujours, sorti le grand jeu pour elle. Comment ne pouvait-elle pas être complètement in love pour lui ? Il était tellement purrrfect pour elle. Elle songea alors au jeu de cartes pour couple qu'elle avait glissé dans son yo-yo avant de partir et sut qu'il méritait vraiment qu'elle prenne les devants, cette fois-ci.
Elle se posa sur le toit et fut accueilli par le plus grand bouquet de roses rouge et blanche qu'elle n'avait jamais vu. Il était si grand qu'il dissimulait à son regard le visage tant aimé de son chaton.
- Bon anniversaire, Lady de mon cœur, souffla la voix rauque et sexy de son petit-ami félin.
Le cœur de l'héroïne fondit: dieu qu'elle l'aimait. Elle saisit le bouquet à pleines mains et le posa délicatement sur le sol. L'instant suivant, elle entourait ses bras autour du cou de Chat Noir et plongeait son regard dans le sien.
- Bon anniversaire, mon Lovely Chaton, susurra-t-elle en retour.
Elle posa ensuite ses lèvres sur les siennes en soupirant de bonheur. C'était là qu'elle était le plus heureuse: dans ses bras, occupée à le dévorer de baisers.
Finalement, au bout de quelques minutes, Chat Noir la repoussa doucement pour l'attirer sur le cocon moelleux qu'il avait préparé pour eux deux.
- Le champagne va se réchauffer, si nous attendons trop longtemps, s'excusa-t-il quand il vit sa moue de déception.
Ladybug suivit docilement Chat Noir et s'installa dans les coussins tandis qu'il ouvrait la bouteille de champagne. Il souleva la cloche contenant les amuse-bouches et lui tendit un verre.
- A nous ! annonça-t-il en lui tendant son verre pour qu'elle trinque.
- A nous ! répéta-t-elle en enroulant son bras autour du sien pour boire la première gorgée de liquide pétillant.
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Chat Noir et Ladybug passèrent un long moment à évoquer des anecdotes du passé et le félin ne se lassait pas de la voir rougir ou glousser. Si ça ne tenait qu'à lui, il choisirait de passer sa vie, ici, sur le toit de l'Opéra Garnier, à ses côtés. Elle était si belle, ainsi, à la lueur des bougies et du clair de lune, que le félin se sentait comme envoûtée par une déesse. Il était prêt à faire tout et n'importe quoi pour elle, jusqu'à aller décrocher la lune si elle le lui demandait.
- Et si on jouait aux cartes ?
La question de Ladybug le prit tellement de coup qu'il faillit lâcher son verre. Elle s'ennuyait tellement qu'elle lui proposait de jouer aux cartes ? Blessé dans sa fierté, il allait le lui demander quand il remarqua qu'elle était légèrement rouge et qu'elle évitait quelque peu son regard. Sa curiosité fut immédiatement piquée à vif: elle n'agissait ainsi que lorsqu'elle était gênée par quelque chose concernant leur intimité.
Comme pour justifier sa demande, il l'observa ouvrir son yo-yo pour en sortir un jeu de cartes. Il rougit à son tour quand il reconnut la couverture de la petite boîte en carton: Nino lui avait montré son propre jeu de cartes il y a plusieurs semaines, alors qu'ils parlaient de leurs relations avec leurs petites amies respectives.
Le félin saisit le paquet de cartes et regarda Ladybug, à présent aussi rouge que son costume.
- Tu es certaine que… commença-t-il à lui demander, gentleman, tout en espérant au fond de lui qu'elle ne change pas d'avis.
- Oui.
Le ton de la voix de Ladybug était clair et ne laissait aucun doute sur le fait qu'elle voulait autant que lui jouer à ce jeu de cartes un peu spécial. Chat Noir se félicita mentalement d'avoir mis autant de coussins car, s'ils parvenaient au bout du jeu… ils en auraient certainement besoin…
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Ladybug tira une carte et la montra à Chat Noir en souriant doucement. On pouvait y voir un visage faire un bisous sur la joue d'un autre visage. Elle posa sa carte sur les cartes déjà tirées et se pencha pour embrasser la joue de son amoureux.
Elle sentit sous ses lèvres le mélange de texture composant la joue de Chat Noir: la douceur de sa peau et la légère piqure de sa barbe naissante. Elle y resta quelques secondes, puis se recula pour regarder son partenaire sourire.
Il prit une carte à son tour et lui montra un dessin de deux mains jointes. Il tendit alors sa main et lui caressa le bout des doigts avec les griffes de ses gants, avant de glisser lentement et sensuellement ses doigts contre les siens.
Les cartes étaient pour le moment très sages -trop sages- mais cela n'empêchait pas le cœur de Ladybug de battre à toute allure. Elle vivait intensément l'instant présent et chaque nouvelle carte tirée faisait monter à la fois son appréhension, car elle n'avait pas l'habitude de faire ce genre de jeu, et son excitation.
Elle piocha une nouvelle carte, se félicitant d'avoir pensé à classer le jeu de telle manière à monter crescendo dans les actions à faire. Actuellement, ils jouaient avec les cartes de couleurs bleues, les plus sages, celles qui lui rappelaient les premiers contacts qu'elle avait eu avec son petit ami, Chadrien.
Cette fois, sa carte lui indiquait de poser son front contre celui de son partenaire et elle s'exécuta volontiers. Elle sentit le parfum boisé de son shampoing et plongea son regard dans ses prunelles émeraudes, légèrement voilé par le désir qui grandissait entre eux.
Elle voulut se pencher pour l'embrasser mais, avant de pouvoir terminer son geste, elle sentit son partenaire reculer la tête, une étincelle espiègle jouant dans ses prunelles félines.
- La carte ne mentionne pas de baiser, ma Lady, la taquina-t-il.
Ladybug gémit de frustration et Chat Noir éclata de rire. Mon dieu qu'elle aimait son rire. Si franc, si clair, si joyeux. Elle avait tellement envie de se perdre sur ses lèvres quand il riait comme ça…
Elle jeta un regard noir à la pioche et décida qu'elle en avait assez de jouer soft: il était temps de passer à la vitesse supérieure. Elle prit alors le paquet de cartes et fit disparaitre toutes les cartes bleues pour passer aux cartes de couleur violette.
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Chat Noir tira la première carte et, quand il découvrit l'action qu'il devait faire, il ricana. Ce fut plus fort que lui.
- Je vais pouvoir réaliser ton souhait, Bug d'amour, susurra-t-il malicieusement en lui montrant la carte qu'il venait de saisir.
Puis il ne lui laissa pas le temps de dire quoique ce soit qu'il se penchait déjà vers elle pour l'embrasser. En réalité, s'il devait admettre la vérité, il était aussi impatient de lui donner ce baiser qu'elle l'était de le recevoir.
Il prit tout son temps pour l'embrasser. Il déposa doucement ses lèvres sur les siennes dans une caresse tout d'abord aérienne puis il les pressa tendrement. Lorsqu'elle laissa échapper un soupir de satisfaction, il en profita pour approfondir un peu le baiser en glissant sa langue gourmande et taquine le long de ses lèvres, avant de les mordiller doucement. Finalement, quand Ladybug glissa ses doigts dans ses cheveux en gémissant doucement, il plongea sa langue dans sa bouche pour aller danser un tendre et délicat ballet avec la sienne.
A bout de souffle, ils durent finalement s'éloigner l'un de l'autre, à regret. Chat Noir eut presque envie de lui proposer de laisser tomber le jeu de cartes pour qu'il puisse la dévorer comme il le voulait mais il y renonça bien vite: cela pimentait un peu les choses et aiguisait leur désir de ne pas pouvoir faire exactement ce qu'ils voulaient, quand ils le voulaient. Et puis, il voulait aussi savourer jusqu'au bout ce jeu que sa Lady avait proposé. C'était une occasion unique…
Ladybug mit quelques secondes à tirer la prochaine carte, à la grande satisfaction du félin: son baiser semblait l'avoir vraiment chamboulée. Elle ricana à son tour quand elle découvrit le dessin et l'anticipation de savoir ce qu'elle allait lui faire fit courir des frissons agréables le long de son corps, avant de s'arrêter dans son bras-ventre.
Elle devait le caresser. Il allait certainement mourir de bonheur avant la fin du jeu, à ce rythme là. Ou jouir. Ou les deux.
Il déglutit en observant Ladybug poser doucement sa carte avant de se pencher lentement vers lui, dans une attitude très féline et sexy qui donna des palpitations à son pénis. Elle fit glisser sensuellement sa main le long de sa jambe. Elle appuyait juste assez pour qu'il puisse sentir son contact à travers le tissu de son costume mais juste assez pour le laisser frustré. Sa main remonta à l'intérieur de sa cuisse puis, au moment d'arriver là où son sexe s'éveillait, elle contourna la zone pour arriver à ses abdominaux. Il laisse échapper un grognement de frustration qui provoqua un sourire narquois chez Ladybug.
- C'est encore trop tôt pour toucher la cible, chaton, le taquina-t-elle à son tour, d'une voix plus basse et sexy.
Chat Noir déglutit de nouveau: cette femme fera sa mort. Elle poursuivit ses lentes caresses le long de son torse, jusqu'à ses cheveux puis recula en laissant échapper un léger soupir qui indiqua au félin que, elle aussi, elle aurait bien fait plus.
Afin de ne pas perdre plus de temps entre maintenant et la fin du jeu, le félin s'empressa de tirer une nouvelle carte… pour pousser un soupir de frustration. Il devait mordiller l'oreille de Ladybug. Il adorait l'idée mais pas le fait de devoir se cantonner à son oreille… il voulait dévorer son oreille, ses lèvres, son cou, descendre jusqu'à ses seins…
- Ma Lady, souffla-t-il. Changeons encore de cartes.
Il lui lança son meilleur regard de chaton et, l'instant suivant, les cartes violettes laissèrent la place aux cartes de couleur rose.
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Ladybug avait aperçu, en caressant Chat Noir, sa virilité qui s'éveillait et cela l'avait elle-même émoustillée. Aussi, quand il l'avait suppliée de passer au stade suivant, elle n'avait pas hésité, désirant, elle-aussi, plus.
Chat Noir n'ayant pas effectué sa dernière action, elle le laissa piocher une nouvelle carte, attendant avec impatience de savoir ce qu'il allait devoir faire pour son plaisir. Le sourire qu'il fit en découvrant sa carte fit se recroqueviller ses orteils d'anticipation et, lorsqu'il posa sa carte sur le tas sans la lui montrer, elle ne songea même pas à protester: il était déjà en action.
Les mains du félin glissèrent le long de ses côtes avant de se positionner sur sa poitrine, dont les tétons étaient déjà durs. Il les malaxa doucement et, quand il les pinça légèrement, elle laissa échapper un petit gémissement. Il se pencha alors vers son oreille et, en continuant à caresser et pincer tendrement sa poitrine, il mordilla son oreille.
Elle aurait dû lui dire qu'il avait triché, qu'il n'aurait pas dû effectuer deux actions à la suite, mais c'était si bon qu'elle n'osa rien lui dire et profita seulement. Elle commençait à sentir que sa culotte en dentelle était humide de son désir et, quand elle sentit la respiration entrecoupée de Chat Noir dans son cou, elle gémit de plus belle.
Il finit par s'éloigner et elle manqua de son contact. C'était de la torture, de la douce et suave torture mais de la torture quand même.
Avant de tirer la prochaine carte, Ladybug prit quelques secondes de pause, pour faire redescendre un peu son excitation: elle n'avait pas envie que le jeu se termine déjà et voulait tester également les cartes rouges et noires.
Quand elle découvrit ce qu'elle devait faire, Ladybug ferma les yeux quelques instants pour se redonner contenance: le jeu ne l'aidait pas diminuer son excitation, bien au contraire. Elle déglutit et ouvrit de nouveau les yeux pour les plonger dans ceux, curieux et sombres de désir, de son partenaire.
Elle s'approcha de lui, se penchant comme pour l'embrasser et, au dernier moment, son souffle effleurant les lèvres de son partenaire, elle posa sa main sur le sexe de celui-ci. Il ferma brusquement les yeux en poussant un profond gémissement et elle se sentit soudainement extrêmement puissante et chanceuse. Elle était l'unique femme au monde à pouvoir lui faire ça et à pouvoir le voir comme ça.
Ladybug pouvait sentir le sexe de Chat Noir grossir et durcir sous la caresse de ses doigts et très vite, il posa sa main sur son poignet pour l'arrêter.
- Ma Lady, déclara-t-il d'une voix rauque et basse de désir. Si tu veux que nous allions jusqu'au bout du jeu, il vaut mieux que tu ne m'émoustilles pas trop.
Elle hésita vraiment. Elle avait très envie de continuer à le caresser et de le voir se perdre à son contact… mais elle avait aussi envie qu'il tire une certaine carte… et, pour cela, ils devaient encore augmenter l'intensité du jeu.
L'héroïne s'éloigna de Chat Noir, à grands regrets, et s'apprêta à retirer les cartes roses, quand il en piocha une nouvelle. Elle voulut protester mais quand elle vit le large sourire qui étira ses lèvres, elle s'abstint: la curiosité étant plus forte que son impérieux désir de passer à l'étape suivante.
Ladybug observa attentivement son partenaire poser sa carte sur le tas puis se pencher vers elle. Son cœur s'emballa d'anticipation et sa respiration devint encore plus erratique. Elle pouvait voir la lueur prédatrice dans son regard félin et elle s'humidifia les lèvres du bout de sa langue. Un léger ronronnement émana du félin, alors qui se penchait encore plus sur elle, la poussant à s'allonger sur les coussins. Le temps semblait avancer au ralenti, juste pour torturer plus encore l'héroïne.
Finalement, Chat Noir appuya sa dureté contre son sexe sensible et un courant d'énergie sexuelle brut la traversa, lui faisant lâcher malgré elle un profond gémissement. Elle sentit des tremblements et ne sut pas, tellement ils étaient intimement collés l'un à l'autre, si ça venait d'elle, de lui ou d'eux deux. Instinctivement, son corps nécessiteux bougea son bassin pour se frotter contre l'objet de son désir et de son besoin.
Quand elle entendit Chat Noir gémir et qu'elle sentit son sexe gonflé encore plus contre elle, Ladybug faillit perdre le contrôle, enrouler ses jambes autour de sa taille, et partir dans un rodéo enflammé. La seule chose qui la retint, ce fut quand Chat Noir posa ses mains sur ses hanches pour l'empêcher de bouger et qu'il posa son front contre le sien, les yeux fermés.
- Ne bouge pas, ma Lady, souffla-t-il d'une voix si rauque de désir que Ladybug se sentit fondre un peu plus. Si tu bouges, je ne pourrais plus me contenir et nous devrons arrêter le jeu.
Il ouvrit ses yeux et les plongea dans les siens.
- Tu veux finir la partie, n'est-ce pas ? s'enquit-il, ses yeux la suppliant presque de dire non.
Ses paroles permirent à Ladybug de retrouver un semblant de contrôle sur son désir dévorant et elle hocha la tête. Chat Noir soupira alors, mi-content, mi-déçu, et Ladybug put retirer les dernières cartes roses de la pioche.
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Chat Noir attendit patiemment que Ladybug lève les yeux de la carte rouge qu'elle venait de tirer. Il avait vu sa respiration se couper et ses joues prendre la teinte de son costume quand elle l'avait regardé puis, elle n'avait plus bougé. Son excitation, qui était à la limite de l'explosion, redescendit un peu et il posa doucement sa main sur celle de sa Lady.
- Si c'est trop pour toi, tu peux tirer une autre carte, ma Lady, déclara-t-il d'une voix douce.
Elle leva finalement les yeux et plongea son regard céruléen dans le sien. Il ne vit nul doute, nul peur, juste du désir pur et intense, qui contracta ses tripes avec une douce chaleur.
- Ce n'est pas ça, murmura-t-elle très bas, en rougissant d'autant plus. C'est juste que…
Ladybug détourna les yeux.
- C'est juste que j'avais besoin d'un peu de temps pour maîtriser mes pulsions, termina-t-elle.
Elle lui montra alors la carte qu'elle avait tiré et Chat Noir découvrit un tête de femme… qui se trouvait au niveau de l'aine d'un homme. Il sentit tout son sang se diriger vers son sexe et tout son désir, qui s'était atténué par l'inquiétude qu'il avait eu pour sa bien-aimée, revint comme un tsunami.
Sans un mot de plus, il regarda Ladybug poser sa carte et avant qu'elle ne le pousse à son tour dans les coussins. Elle prit sa cloche entre ses doigts et la fit glisser très lentement le long de la fermeture éclair, dévoilant progressivement sa peau aux yeux de sa partenaire. Elle ralentit encore plus quand elle atteint ses abdominaux, au point qu'un gémissement de protestation s'échappa de ses lèvres.
Finalement, elle libéra son sexe de la prison de spandex simili-cuir et du tissu de son caleçon puis elle s'arrêta à quelques millimètres de la tête de ce dernier. Ladybug plongea son regard fiévreux dans le sien et, sans rompre le contact visuel, taquina le bout de sa verge avec sa langue.
Le contact humide sur son sexe sensible envoya une vague de chaleur et de frissons de plaisir dans tout son corps et le félin laissa échapper un profond gémissement. De lui même, le désir et le plaisir ayant prit possession de lui,son corps donna un coup de rein en avant, enfonçant son sexe dans la bouche ouverte de Ladybug.
Il sentit sa verge coulisser doucement dans la chaleur et l'humidité de sa bouche, jusqu'à aller frapper le fond de sa gorge et la sensation le submergea. Il voulait plus. Il avait besoin de plus. Il allait exploser s'il n'avait plus.
Ladybug initia un mouvement de va-et-vient sur son sexe et ses pensées s'éparpillèrent. Il alla à la rencontre de sa bouche, de son humidité, de sa chaleur et ses mains glissèrent dans ses cheveux. Il voulait jouir. Il voulait jouir là, maintenant, dans sa merveilleuse bouche. La brûlure de son désir était si intense qu'il ne savait pas combien de temps il allait encore tenir, alors que son sexe se gonflait encore, prêt à lui apporter la délivrance qu'il recherchait tellement.
- Ma… Lady… parvint-t-il à souffler. Je… je vais jouir.
Ladybug retira sa bouche et le choc thermique entre la chaleur de sa bouche et la fraîcheur de la nuit manqua de peur de le faire jouir sur le visage de sa partenaire.
- Alors jouis, Chaton, souffla-t-elle avant de le reprendre dans sa bouche.
Chat Noir ne tint par plus longtemps: elle eut juste le temps de faire un aller dans le fond de sa gorge que la tension dans son sexe explosait et qu'il jouissait en gémissant bruyamment.
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Ladybug attendit que Chat Noir redescende du nuage provoquée par son coït avec un sourire satisfait. Elle n'avait pas eu le cœur -et l'envie- d'arrêter avant qu'il jouisse mais elle ne le regrettait pas : leurs ébats étaient rarement aussi intenses.
Quand Chat Noir se redressa, la fermeture éclair de son costume toujours complètement descendu, il souriait de toutes ses dents. Ses cheveux étaient encore plus en bataille que d'habitude et une lueur de promesse brillait dans ses yeux émeraudes: c'était maintenant son tour.
Sans la lâcher du regard, il tâtonna en direction du jeu de cartes et saisit celle qui se trouvait sur le dessus. Il y jeta un rapide coup d'œil et son regard s'assombrit de nouveau. Il l'observa comme un prédateur qui allait dévorer une proie et lui montra la carte. Ladybug rougit mais ne put retenir son petit cri d'excitation. C'était précisément la carte qu'elle voulait qu'il tire, celle qu'elle avait vu quand elle avait ouvert le paquet pour la première fois.
Elle s'allongea à son tour dans les coussins et une fermeture éclair apparut en haut de son costume, sous son menton. Chat Noir haussa alors un sourcil, la regardant d'un air amusé.
- Impatiente, Bug d'amour ? lui demanda-t-il d'une voix sexy.
Quelques minutes plus tôt, Ladybug n'aurait jamais osé lui dire la vérité mais, là, elle était tellement excitée et avait tellement envie qu'il fasse ce que la carte indiquait que ça effaçait ses inhibitions.
- Oui, Chaton, ronronna-t-elle d'une voix emplie de désir. Je suis impatiente.
Elle aperçut le sexe de son amoureux tressaillir à ses paroles et la pensée que le jeu ne serait pas terminé avec cette carte rouge lui traversa la tête.
- Dans ce cas, je ne vais pas te faire attendre plus longtemps.
Chat Noir avait à peine terminer de parler qu'il se penchait déjà vers sa gorge pour saisir la tirette coccinelle de sa fermeture éclair entre ses dents. Ladybug sentit son souffle et ses cheveux parcourir son corps quand il tira lentement vers le bas, pour ouvrir son costume. La sensation sur sa peau sensible lui donnait des vertiges et la faisait trembler légèrement.
Quand le nez de Chat Noir effleura son sexe à travers la dentelle de sa culotte, Ladybug laissa échapper un gémissement et elle mouilla un peu plus sa culotte. Elle avait un besoin viscéral qu'il la touche là, qu'il y mette sa bouche et vénère son bouton avec sa langue.
Le félin sembla avoir un peu pitié d'elle et, au lieu de descendre la fermeture éclair avec sa bouche jusqu'à sa cheville, il le fit avec sa main, pour pouvoir enfin glisser sa bouche là où elle le voulait.
Il avait à peine effleuré sa chatte de la pointe de sa langue qu'elle ressentait déjà la chaleur dans son bas ventre grandir exponentiellement et des courants d'énergie sexuelle la parcourir. Elle gémit et glissa ses mains dans ses cheveux.
- Oui, chaton… susurra-t-elle, perdue dans son plaisir. Comme ça.
Ladybug le sentit sourire avant qu'il ne se mette à suçoter son clitoris. Elle commença à trembler et à gémir sans interruption, sentant la libération s'approcher à toute vitesse. Il le taquina tendrement, doucement puis fit glisser sa langue le long de ses petites lèvres pour la pénétrer d'un mouvement vif. Elle se redressa sous le coup du plaisir et gémit de plus bel, tirant sur ses cheveux pour qu'il aille plus vite et plus fort.
Chat Noir la fit sienne avec sa langue comme son sexe l'aurait fait, dans des va-et-vient qui la laissèrent pantelante. Elle se sentait au bord de la perdition, ne ressentant plus que cette langue qui faisait croire la délectable tension qui ne cessait de grandir dans son sexe. Elle voulait.. elle voulait…
- Jouis pour moi, Bug d'amour, souffla érotiquement Chat Noir.
Était-ce ses mots, était-ce le fait qui titilla de nouveau son clitoris engorgé, Ladybug ne le sut pas. Tout ce qu'elle savait c'était que l'instant d'après, elle criait sous l'orgasme puissant qui l'ébranla toute entière.
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Chat Noir était de nouveau dur. Conduire Ladybug à l'orgasme, sentir le moment où elle était venue sur sa langue, sans oublier ses gémissements et ses tremblements, tout cela lui avait donné encore envie. Actuellement, il ne souhaitait qu'une seule chose, se glisser à l'intérieur d'elle pour qu'ils ne fassent qu'un et se perdent de nouveau dans la luxure et le plaisir orgasmique.
Il dévora sa partenaire du regard, tout occupée qu'elle était à s'étirer sensuellement sous ses yeux, ce qui eut pour effet de faire jaillir sa poitrine de sa combinaison. Chat Noir déglutit et sentit son sexe durcir encore plus, déjà plus que prêt à l'action.
- Hummm, on dirait que ton soldat est déjà au garde-à-vous, minauda Ladybug, en y jetant un regard appuyé.
Le félin gloussa doucement, bien que son sexe semblait apprécier le regard lubrique de sa bien-aimée.
- Toujours prêt à satisfaire sa Lady, ronronna-t-il en se penchant de nouveau vers elle, prêt à prouver ses dires par des actions.
Elle le repoussa en posant son doigt sur le bout de son nez et il poussa un gémissement de protestation.
- Les cartes, chaton, susurra-t-elle, espièglement. Le jeu n'est pas encore fini.
Chat Noir grommela et la dévora du regard quand elle se pencha pour saisir les quelques cartes restantes du paquet, en faisant passer à quelques centimètres de ses mains sa poitrine nue et pulpeuse. Elle en jeta quelques-unes, certainement les dernières rouges, puis reposa le paquet juste à côté des coussins. Elle prit la première, la détailla et sourit.
- Il semblerait que tu doives me laisser mener le début de cette danse, Lovely Chaton, ronronna-t-elle.
Ladybug lui montra la carte et sa virilité tressaillit d'anticipation: la femme dessinée sur la carte était assise en amazone sur un homme. Il comprit alors que les cartes noires comprenaient les différentes positions du Kama-Sutra. Les minutes qui allaient suivre promettaient d'être intenses et très satisfaisantes sexuellement parlant…
Chat Noir retomba dans les coussins quand sa partenaire le poussa, avant de venir s'installer sur ses hanches. Son intimité était juste au dessus de son sexe et il pouvait en ressentir la chaleur, ainsi que les quelques gouttes de son plaisir qui tombaient sur lui, mais ils n'étaient pas encore en contact. C'était délicieux. C'était vertigineux. Mais c'était une véritable torture.
- Bug…commença-t-il à protester avant que sa contestation soit noué dans le gémissement qu'il poussa quand elle baissa son bassin pour se frotter contre lui.
Sa chaleur, son humidité faisait de lent va-et-vient sur son sexe et il n'avait plus qu'une envie, qu'elle le prenne à l'intérieur d'elle-même.
- Tu me veux, Lovely Chaton ? susurra Ladybug d'une voix rauque.
Il sentait comment elle mouillait sur lui et la vision d'elle se faisant plaisir sur lui faisait perdre la tête à Chat Noir.
- Prend-moi, ma Lady, supplia-t-il. J'ai besoin d'être en toi.
L'instant suivant, ils gémissaient tous les deux alors qu'elle s'empalait sur son sexe turgescent. Elle fit quelques va-et-vient en le chevauchant et Chat Noir commença à voir des étoiles. Il empoigna ses hanches pour l'aider dans son mouvement, sentant la chaleur de l'orgasme approcher mais elle s'arrêta immédiatement de bouger.
- Tire une carte ! lui ordonna-t-elle d'une voix rendue grondante par le besoin.
Chat Noir obtempéra rapidement, souhaitant reprendre les va-et-vient de sa virilité dans son intimité chaude et humide au plus vite.
La carte suivante indiquait la position du lotus. Sans se séparer mais en se contorsionnant, Chat Noir se redressa pour s'asseoir alors que Ladybug enroulait les jambes autour de ses hanches. C'est comme ça qu'elle recommença à s'empaler en gémissant sur lui, devenant de plus en plus humide et gémissante sous ses mains. Il pouvait sentir la pointe de ses seins glisser sur son torse humide et émoustiller ses sens. Elle avait les yeux fermés et la tête légèrement penché en arrière comme pour savourer la sensation de son sexe en elle.
Chat Noir aimait la sensation de Ladybug qui prenait le contrôle et s'empalait sur son sexe mais son rythme et la force qu'elle y mettait ne lui convenait pas. Il voulait plus, il avait besoin de plus alors, à son tour, il interrompit Ladybug dans sa perdition.
- Tire une carte, Bug d'amour, grogna-t-il, en luttant contre lui-même pour ne pas l'allonger et directement la pilonner comme il le voulait.
Elle gémit du manque de mouvement et s'empressa, à son tour, de s'exécuter. Chat Noir poussa un rugissement de satisfaction quand il découvrit leur prochaine position: il avait à présent le privilège de pouvoir la prendre par derrière, alors qu'elle serait à quatre pattes devant lui.
Il se retira d'elle, manquant immédiatement de son antre humide et chaude qui lui procurait tellement de plaisir et ils s'installèrent comme l'avait indiqué la carte que Ladybug avait tiré. Quand il plongea de nouveau en elle, d'un puissant et rapide coup de rein, ils gémirent à l'unisson.
Chat Noir se laissa porter par son désir et imposa un rythme soutenu à la ébats. Il pouvait sentir son sexe durcir de plus en plus, approchant de la délivrance, mais aussi les paroi de l'intimité de Ladybug se resserrer sur lui. C'était intense. C'était divin. C'était le Paradis.
- Vas-y, Chaton, gémit Ladybug d'une voix suppliante. Je vais jouir.
Finalement, tout en continuant à lui donner d'intenses coups de reins, avant de perdre lui-même la tête, il tira une ultime carte. Il ne la montra pas à sa partenaire, déjà trop loin sur le chemin du plaisir, et la fit basculer en position de la levrette.
Il ne lui fallut donner que trois coups de reins supplémentaires avant que Ladybug ne jouisse et le resserrement de son intimité sur son sexe finit par faire exploser son propre plaisir.
Chat Noir s'allongea sur les coussins et prit Ladybug dans ses bras. Les endorphines de leur puissant orgasme firent immédiatement effet et ils s'endormirent ainsi.
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Marinette se réveilla dans son lit. Elle ne se souvenait plus de comment elle était rentrée, ni de comment elle s'était détransformée d'ailleurs. Elle se souvenait seulement de la nuit de folie qu'elle avait passé avec Chat Noir, sur le toit de l'Opéra Garnier.
Son corps se souvenait encore de tout l'amour que lui avait donné son petit ami et elle devait bien admettre que, finalement, Alya lui avait fait un excellent cadeau, contrairement à ce qu'elle pensait au départ. Bien sûr, elle ne le lui dirait jamais: si elle avait été jusqu'à lui révéler son identité de Ladybug, elle ne lui raconterait jamais en détail ce qui se passait dans son intimité avec Adrien ou Chat Noir…
Marinette soupira en regardant l'heure: elle devait se lever mais elle n'en avait pas envie, même s'il était déjà midi passé.
Finalement, elle fut obligée de sortir du lit quand la sonnerie de sa porte d'entrée résonna dans son appartement. Elle se demandait qui pouvait bien venir la voir quand elle se souvint qu'elle avait un déjeuner avec Adrien, ce jour-là.
Marinette se précipita vers la porte pour ouvrir et son cœur manqua un battement quand elle découvrit son petit ami, le sourire jusqu'aux lèvres, avec un énorme bouquet de fleurs.
- Bonjour, mon amour, la salua-t-il en déposant un tendre baiser sur ses lèvres. Bien dormi ?
Une étincelle espiègle et lubrique dansait dans son regard et Marinette rougit doucement.
- Très bien, admit-elle. Mais je serais bien restée au lit…
Elle ne termina pas sa phrase mais le désir qu'elle lut dans les yeux d'Adrien lui permit de savoir qu'il avait compris le double sens qu'elle souhaitait donner à cette phrase.
- Au diable le déjeuner, murmura-t-il alors, la voix soudainement devenue rauque. Ne préfères-tu pas jouer aux cartes ?
Un large sourire étira les lèvres de Marinette alors qu'elle saisissait la cravate d'Adrien d'une main pour le guider vers son lit. Il semblerait que, comme elle, il se soit découvert une nouvelle passion pour les cartes dans la nuit…
Ils s'embrassèrent comme s'ils ne s'étaient pas vu depuis des jours et la jeune femme songa que la seule chose qui pourrait encore améliorer sa journée déjà excellente, ce serait qu'il accepte d'emménager avec elle…
FIN
