Disclaimer : Coucou ! J'espère que tout le monde va bien sauf l'équipe de qui ne donne absolument aucune nouvelle sur les raisons des bugs des statistiques du site depuis 10 jours ahah ! Enfin, je fais avec ! J'aime toujours autant lire vos reviews ! Belle journée et bonne lecture de cet avant dernier chapitre !
Rappel du chapitre précédent :
- Et comment je suis censée faire avec mon érection toute la journée ?
Severus sourit et invoqua une petite boîte.
- Puisque tu en parles, que ton trou va bien et que je ne suis pas un monstre, que dis-tu d'un petit jeu ?
Le paradis et l'enfer sur terre
Jeudi 18 janvier, 7h45 (18ème journée)
- Je suis partant, évidemment !
- Cet œuf s'insère dans le rectum et il permet de stimuler la prostate… à tout moment.
Harry avait déjà vu ce genre d'objets sans jamais pouvoir en utiliser. Il était ravie de pouvoir tester ça aujourd'hui. Sans que son professeur ne lui demande quoi que ce soit, il se mit à quatre pattes, exposant bien son derrière.
Avec un peu de lubrifiant, Severus prépara son trou à recevoir l'œuf vibrant. Harry souffla. Les doigts de son professeur étaient divins, s'insérant peu à peu dans ses entrailles. Une fois deux doigts à l'intérieur, ils firent de légers mouvements de haut en bas ce qui déclencha une vague de gémissement chez Harry.
- A ce compte là… ahh… je vais jouir avannnnt… oh… !
Les doigts sortirent, laissant un vide en lui. Ce vide fut immédiatement rempli par l'œuf, plus épais. Après une dernière tape sur les fesses, le plus âgé invita le jeune homme à se lever.
- Tu arrives à marcher ?
- Oui, ce n'est pas un œuf qui va me rendre handicapé !
- On verra ça la prochaine fois !
- Ce soir par exemple ?
- Non, malheureusement ce soir je suis occupée, des affaires urgentes à régler avec le directeur. Je rentrerai tard.
Harry cacha mal sa déception. Il pensait qu'ils pourraient enfin se retrouver le soir chez lui, boire un coup, baiser, enfin !
- Je comprends… N'empêche que… Ta queue dans mon cul se fait désirer.
- Je sais, Harry. Moi aussi, j'y pense à chaque seconde de la journée.
Avec un dernier baiser, Harry vérifia que personne ne se trouvait dans les couloirs et sortit de la chambre d'ami. L'œuf encore en repos au fond de lui, il était prêt pour cette journée de cours.
Jeudi 18 janvier, 12h00 (18ème journée)
La matinée se passa sans encombre. De 8 heures à 9 heures, les gryffondors et les poufsouffles eurent un cours théorique de Sortilèges et Enchantements, le but étant de les préparer à l'épreuve écrite de fin d'année. Ils purent ensuite bénéficier d'une pause, puis de 9 heures 30 à 11 heures 30, ils étudièrent les runes anciennes avec la professeur Bathsheda Babbling. Les deux heures passèrent étonnamment vite et Harry oublia vite l'objet de plaisir coincé dans son fond. Severus n'avait pour le moment pas décidé de l'activer ce qui étonna le jeune homme.
Au moment du repas, à midi, il prit place comme à son habitude à la table des gryffondors.
Dumbledore se leva, réclamant le silence à l'assemblée. Sa voix était grave.
- Chers et chères élèves de Poudlard. Comme vous le savez, le 19 janvier, demain, représente la date de la grande bataille de Poudlard. Comme partout en Grande Bretagne, cette journée symbolise la fin de l'ère de Voldemort, une ère sombre de violence et d'oppression. De fait, le 19 janvier symbolise aussi une journée de recueillement. Inscrite depuis la fin de l'année dernière en tant que fête nationale, vous serez donc dispensés de cours et donc libres de vos mouvements. Vous pourrez vous recueillir dans la chapelle tout au long de la journée, utiliser des portoloins et de la poudre de cheminée pour rejoindre vos familles. Vous pourrez également vous rapprocher de professeurs si vous souhaitez discuter de 11 heures à midi puis de 13 heures à 14 heures. À 18 heures aura lieu la réunion officielle à laquelle je vous convie et pendant laquelle nous observerons une minute de silence. Il est important de se remémorer le passé, de ne pas oublier tous les acteurs et actrices de cette bataille qui aujourd'hui nous permettent de vivre libres. Je vous souhaite un bon appétit.
Un lourd silence était tombé sur la grande salle. Tout le monde gardait en tête les nombreuses victimes qu'avait fait la guerre. À la rentrée, beaucoup d'élèves s'étaient effondrés en réalisant que leurs camarades décédés ne finiraient pas l'année à leur côté. Le début d'année avait été catastrophique. Heureusement, petit-à-petit, le moral était revenu.
Les plats ne tardèrent pas à arriver. Les élèves poussèrent un soupir de soulagement à l'apparition du ragoût de bœuf sur la table, bienvenue en cette froide journée, leur permettant de passer à autre chose. Petit-à-petit, les conversations reprirent et enfin, le brouhaha habituel revint.
Soudain, Harry sursauta et se tourna vivement vers la table des professeurs. Severus y était et le regardait fixement. Il avait activé l'œuf qui vibrait désormais doucement. La vibration et la présence de l'objet ne le dérangeaient pas tant que ça. Le problème survint lorsqu'il se rendit compte que l'œuf pouvait légèrement bouger. Ainsi, de temps à autres, l'oeuf effleurait sa prostate, ce qui lui envoyait des décharges dans tout le corps et faisait sentir son sexe à l'écart. Clairement, le deuil du 19 janvier avait à peine effleurer le cerveau de Snape.
Il détourna son regard de celui moqueur de son amant et se mit à manger. Tout le repas se déroula ainsi, l'œuf bougeait doucement en lui, vibrant et stimulant légèrement sa prostate. Rien d'insurmontable même si tout cela l'excitait au plus au point. Savoir que son professeur discutait avec ses collègues, mangeait et vaquait à ses occupations alors qu'il pensait probablement à le prendre nu sur la table le remplissait d'une joie perverse.
Lorsque le dessert fut avalé, et Merlin savait qu'Harry aurait préféré avoir un autre dessert dans sa bouche que de la tarte aux prunes, il se leva dans l'idée de suivre ses camarades. L'œuf se mit alors à vibrer bien plus intensément, les mouvements se firent plus rapides. Il s'assit immédiatement, tentant de cacher son trouble en faisant croire à une crampe. Il fit signe à ses amis de continuer sans lui, il les rejoindrait.
Assis, seul à la table des gryffondors, il tenta de reprendre sa respiration. Il s'était habitué à la lenteur de l'objet. Son sexe était contracté au fond de son pantalon et il savait que s'il baissait son pantalon, son caleçon serait trempé de liquide pré-éjaculatoire.
Severus passa à côté de lui dans un mouvement de cape.
- Allons Potter, dépêchez-vous. Il ne faudrait pas que vous arriviez en retard à mon cours.
Le salaud ! Harry avait complètement oublié ce cours. Par Merlin, Severus allait lui mettre la misère.
Il suivit son professeur docilement, l'œuf toujours en lui, faisant monter sa température corporelle.
Jeudi 18 janvier, 13h30 (18ème journée)
Tous les élèves se dépéchèrent de s'installer, ne souhaitant pas s'attirer les foudres du professeur dès les premières minutes. Au grand bonheur d'Harry, l'œuf avait totalement cessé de vibrer.
- Bien, aujourd'hui, l'exercice sera ardu, j'attends de vous une concentration ultime ainsi qu'une connaissance évidente de tous vos cours suivis lors de ces sept années. Vous réaliserez en deux heures une potion qui se compose en réalité de deux potions.
Ron coula un regard en biais vers son meilleur ami. Aucun mot ne fut nécessaire : ils étaient dans la merde.
- Je ne suis évidemment pas un monstre, vous aurez le droit de vous entraider par deux ou trois, de consulter votre manuel et de me poser des questions. Ceci n'est pas évalué, à moins que vous ne considériez votre propre critique comme une évaluation. Weasley, moins cinq points pour votre maison, je vous vois lever les yeux au ciel. Par Merlin, vous n'apprendrez donc jamais ?
Ron se tassa sur son siège tandis que le rouge lui montait aux joues.
Le professeur Snape leur montra méthodiquement le déroulé de la préparation. Maintenant que Snape le lachait un peu, Harry se rendait compte de l'importance des potions et surtout de la beauté des gestes. Quand Severus remuait, c'était gracieux et aérien. Quand les élèves le faisaient, ils étaient empotés et malhabiles. Pas simple.
Lorsqu'il eut fini la potion, il fit passer à chaque table un échantillon de celle-ci, leur permettant d'observer de plus près les couleurs et la texture. Il se mit d'accord avec Ron et Hermione pour qu'il soit celui qui irait chercher les ingrédients. En allant dans la réserve, il remarqua que l'œuf s'était remis à vibrer. Dans l'arrière-classe, un mouvement inattendu le fit prendre une pause. Quoi que fasse l'œuf dans son rectum, il n'allait pas tenir les deux heures.
Son cœur accéléra à mesure que l'œuf effleurait sa prostate.
- Harry, tout va bien ?
C'était Parvati. Pourquoi s'inquiétait-elle ? Merde, il s'était aggripé à une étagère pour ne pas tomber. Il tenta de faire bonne figure.
- Oui, j'ai pas beaucoup mangé à midi. Ça va passer, t'inquiète.
Avec un dernier regard étonné, elle tourna les talons le laissant seul dans la pièce. Quoi, tout le monde avait déjà récupéré les ingrédients ? Il devait se dépêcher ou Snape lui ferait regretter.
- Potter ! Puis-je savoir ce qui vous fait traîner si longtemps ?
Harry sursauta. Il se retourna et vit le sourire moqueur de son professeur.
- À vrai dire professeur, j'espérais que vous pourriez m'aider…
Le plus âgé se rapprocha de lui. Malgré la porte entrouverte et la proximité d'avec les autres élèves, Severus osa mettre une légère tape sur ses fesses, arrachant un cri étouffé à l'étudiant. Le survivant ne le savait pas tant capable de désinhibition.
- Si je le pouvais, je te prendrai ici.
- Severus ! Je te rappelle que mes copains sont dans la salle d'à côté !
- Depuis quand ça te dérange ? Ce n'est pas moi qui me suis pris un sextoy en laissant la porte de ma chambre déverrouillée en criant tout mon plaisir.
- Je vais finir par croire que ça t'aurait plu de me voir me faire enculer par un autre.
- J'aime cette idée autant que je la déteste.
- T'as qu'à proposer à Lucius, il devrait être partant.
Severus devint tout à coup sérieux. Visiblement, il n'aimait pas rigoler sur le fait de partager son partenaire.
- Personne d'autre n'aura ton cul.
À ces mots, l'œuf se remit à vibrer de plus bel. Harry, surpris, tomba à genoux. Le potionniste s'accroupit à côté de lui et passa une main dans ses cheveux pour relever son visage vers lui.
- Ecoute moi bien. Ton trou m'appartient. Je vais tellement te baiser que tu te sentiras souiller. Je vais tellement ouvrir ton petit trou de salope qu'il faudra trois queues comme la mienne pour te satisfaire. Je vais te forcer à boire mon sperme chaque jour pour remplacer ton lait du matin. À chaque fois que tu seras sur le point de jouir, je serrerai tellement tes couilles que tu en crieras de frustration. Je veux que tu comprennes, Harry, que chaque matin, c'est avec ma queue dans ton cul que tu te réveilleras. Personne n'aura le droit de souiller ton cul tant que je suis là. Compris ?
Harry haletait. Il aurait pu être gêné à l'idée que ses camarades entendent la tirade de son professeur mais son esprit était embrouillé par les pensées salaces que Snape lui avait mises en tête.
- Compris ?
- O… Oui.
- Bien. Si tu as besoin de te masturber, les toilettes sont au bout du couloir.
- Att.. Attend Severus.
- Oui ?
- Et si j'ai besoin que ce soit toi qui me fasse gicler ?
La voix du gryffondor était clairement suppliante. Le professeur, toujours accroupi, sembla réfléchir.
- Alors retiens-toi pendant le reste du cours.
Harry gémit. Que ne faisait-il pas pour Severus.
Jeudi 18 janvier, 15h30 (18ème journée)
La suite du cours se passa calmement. Chacun se concentrait sur les étapes de l'élaboration de la potion. Ce ne fut pas chose aisée pour le trio de gryffondors car, bien qu'Hermione géra la situation, Ron n'avait jamais été très serein autour d'une marmite et Harry… Eh bien Harry semblait groggy pour nul ne savait quelle raison.
En réalité, le survivant tentait de faire face aux vagues de plaisir qui l'envahissaient sans trahir son secret. Heureusement pour lui, son rôle d'éplucheur et de découpeur d'ingrédients lui permettait de rester assis sans qu'on l'embête trop. Si cette attribution de rôle avait été accueillie avec bonheur, il regrettait désormais cette décision. En effet, son fessier était devenu trop sensible et pour atténuer la douleur, il se retrouvait obligé d'onduler légèrement sur la chaise. Ce mouvement avait cependant pour effet de faire bouger en lui l'œuf, amplifiant la vibration. En bref, c'était le paradis et l'enfer sur terre.
De temps en temps, Snape passait vers leur groupe, observait leurs faits et gestes, posait des questions et conseillait en retour. Il n'adressa pas un regard à son protégé mais Harry savait, par l'accentuation de la vibration, que Severus ne pensait qu'à lui.
À la fin du cours, Harry s'excusa auprès de ses amis. Il les rejoindrait plus tard car il devait passer à la bibliothèque. Le jeune homme savait pertinemment qu'Hermione n'y serait pas à cause de son club de lecture. Sans poser plus de questions, Ron et Hermione sortirent dans le couloir, parlant avec animation de la potion qu'ils étaient heureux d'avoir réussi.
Dès que Severus eut fermé la porte, Harry lança un sort de silence. Il ne voulait pas perdre de temps.
- Severus, plus jamais, pitié. Je ne suis même pas sur d'arriver à jouir tellement ma bite me fait mal.
- Montre-moi donc.
Le gryffondor ne se le fit pas dire deux fois. En deux temps trois mouvements, il fit tomber sa cape ainsi que son pantalon et son caleçon. Debout, tremblant dans la fraicheur du cachot, il exposait fièrement son sexe dressé. Le potionniste s'approcha de lui.
- Je vois que l'oeuf a fait son effet, regarde, tu mets ton foutre partout.
- Severus, touche-moi.
- Tu m'as attendu.
Sa phrase sonnait presque comme une question, comme si, encore au fond de lui, il n'avait pas encore assimilé la soumission du jeune homme. Comme si le fait qu'Harry refuse de jouir sans lui ne pouvait pas réellement arriver. Severus appuya légèrement sur ses omoplates pour l'inciter à se pencher sur un pupitre.
Harry frissonna, il était cul nul dans une salle de cours pendant que son prof inspectait son trou. Ses jambes se mirent à trembler lorsque Severus posa sa main sur l'un de ses lobes de chair. Rapidement, deux de ses doigts vinrent le fouiller, tentant de récupérer l'œuf. À chaque tentative, ses doigts effleuraient sa prostate ultra sensible. Harry était cambré au maximum lorsque son professeur reprit la parole.
- Hm, ton trou tout chaud est bien ouvert. Cela a dû être un calvaire de ne pas pouvoir te toucher alors que tu étais autant en chaleur, non ?
- Professeur…
- Je t'ai vu te frotter à ta chaise. Tu ne pouvais vraiment pas t'en empêcher hein ?
- Non… j'en avais… tr… trop besoin.
- Et regarde toi maintenant, ta bite en veut tellement qu'elle goutte par terre.
- Putain professeur, prend-moi.
- Tu es vraiment une sacrée salope. Quelques heures sans sexe et tu supplies sans honte.
- Tu aimes ça ! répliqua le jeune homme
- Oh que oui. Je peux presque voir ton sang pulser dans ta queue.
Il s'accroupit au niveau de la queue d'Harry et y déposa un léger bisou, semblable à une caresse. Le dos de son élève s'arqua. Plus. Il en voulait plus. Severus, avec bonheur, passa sa langue sur le gland du gryffondor. Celui-ci n'en pouvait plus de gémir et chacun de ses sons se répercutaient dans la bite du potionniste. Après avoir joué quelques secondes avec le gland, il se redressa, arrachant un cri de frustration au plus jeune.
- Maintenant Harry, je veux récupérer mon jouet.
- Je… je t'en prie !
- …
- Sérieusement, tu veux que… je pousse ? C'est impossible, ça ne sortira jamais !
- Tss tss Harry. Crois en toi autant que je crois en toi s'il te plait. Je te sais capable de beaucoup de choses avec ton petit trou.
Harry rougit. Il se concentra pour expulser l'œuf vibrant de ses entrailles. À mesure que l'œuf bougeait en lui, la vibration s'accentuait. Severus passait nonchalamment une main sur sa queue ce qui le faisait gigoter sur le bureau. Cette main, cette peau si douce, tout ça le rendait fou. Lorsque l'œuf arriva au niveau de la prostate, c'est-à-dire au niveau du trou, cela fut plus difficile de le faire bouger. C'est ce moment-là que choisit Severus pour s'accroupir à nouveau et lui sucer le gland.
- Putain… Severus, je suis tellement dur… je vais jouir…
Harry, inconsciemment, réalisait de petits mouvements de bassin pour aller plus loin dans la bouche de son maître. Mais celui-ci continuait de ne lécher avidement que le bout de sa queue. Il cessa un instant pour lui dire :
- Tu ferais mieux de demander si tu veux jouir. Ce serait dommage d'être privé de jouissance après tout ce temps.
- Oh… Severus, j'en peux plus… putain… S'il te plait… c'est trop… l'œuf, ta bouche, ta voix, ta main, tes doigts… S'il te plait, je n'en peux plus. Laisse moi jouir dans ta bouche !
De toute façon, Severus savait qu'Harry était trop en chaleur pour se retenir. S'il avait arrêté la fellation, le jeune homme aurait trouvé le moyen de se branler contre le sol.
- Jouis Harry, tu l'as mérité.
Il reprit donc sa micro fellation, stimulant le gland avec sa salive. Les coups de bassin d'Harry l'excitait beaucoup. Le voir si soumis à son plaisir lui donnait envie de le baiser sans autre précaution qu'un peu de salive sur son trou. L'œuf passa en dernière vitesse, finissant de chauffer son trou.
Lorsqu'Harry jouit, son corps entier trembla. Son bassin se contracta une dizaine de fois alors que la langue de son professeur était toujours autour de son gland. Severus avala la semence avec plaisir et se redressa rapidement. Il n'avait pas l'habitude d'avaler le sperme de ses conquêtes mais à la vue de la belle queue de son élève, il n'avait pu s'en empêcher. Elle était gonflée, rouge, coulante, il fallait qu'il goutte Harry. Et maintenant, il en voulait encore.
Il caressa le trou du gyffondor qui se rappela vaguement qu'il n'avait pas encore expulsé l'œuf. Avec un dernier effort, l'objet de plaisir sortit et Severus le recueillit.
Le maître des cachots s'assit à côté d'Harry, toujours couché sur le ventre sur le bureau. Il inspirait de grandes goulées d'air, tentant de calmer son rythme cardiaque affolant.
- Severus… tu vas me tuer.
- Attends un peu que je t'encule.
- Putain… Demain.
- Quoi demain ?
- Demain, quoi qu'il arrive : ta bite + mon cul.
Le professeur pouffa légèrement. Il caressa gentiment le dos de son élève. Harry finit par se lever, tremblant de froid. Après un sort de nettoyage et un habillage express, il se sentit prêt à repartir dans les couloirs pour rejoindre ses amis. Son professeur l'attira à lui dans un baiser. Le survivant ne put s'empêcher de remarquer que celui-ci fut bien plus doux et brûlant que ceux qu'ils faisaient habituellement, plus érotiques et sexuels. Ce glissement naturel fut accueilli des deux côtés avec tendresse. Bien qu'aucun des deux ne posa de mots dessus, il était clair qu'entre eux deux s'installait une relation sentimentale forte.
En dehors du sexe, les deux hommes étaient attentionnés l'un envers l'autre, souhaitaient passer du temps ensemble, se caliner. Si Severus avait été d'abord choqué, il se laissait désormais aller à ses sentiments tout comme Harry qui avait arrêté de se poser des questions depuis longtemps.
- Fais attention à toi, et pense à la crème pour ta cicatrice.
- J'y penserai…
Harry plongea dans les froideurs des cachots le rouge aux joues. En effet, il avait failli laisser s'échapper un "je t'aime".
Et voilaaaa ! Je suis super contente de ce chapitre particulièrement ! J'espère qu'il vous a plu autant qu'à moi à l'écrire !
Dernier chapitre (oui, déjà, le temps passe vite), mardi !
Titre du prochain chapitre : Tout pour t'avoir près de moi
