James et Sirius ne faisaient que de se regarder nerveusement. Plus le temps passait, plus Harry disait des choses bizarres, plus les frères de cœurs s'inquiétaient sous les yeux perdus de Lily et Remus.

Alors quand Harry s'endormit et que James le coucha toujours si soucieux. James Potter redescendit s'assoir inquiet auprès de Sirius Black, tout aussi inquiet que lui, sous les yeux toujours si perdu de l'autre duo. Sirius expira bruyamment en tapant l'épaule de James avant de se lever et de servir quatre verres de Whisky-Pur-Feu.

Le loup-garou et la sorcière s'inquiétèrent, jamais Sirius ne servait de l'alcool à une autre personne que James et lui-même. Surtout il ne servirait jamais d'alcool à deux personnes : Liliana Evans-Potter et Remus Lupin ; la première dût à son d'égout pur et dure de ce type de boisson quant au deuxième c'était dû aux nombreuses fêtes à Poudlard, où James et Sirius perdaient, accompagnés d'autres gryffondors, lors de concours d'alcools face à Remus.

C'était donc inquiétant pour la sorcière et le troisième maraudeurs présents. Lily observe son verre et Sirius boire entier pour remplir de nouveau son verre plusieurs fois quasiment d'affilés. Au bout d'un moment, Remus se leva et stoppa la consommation d'alcool de Sirius.

-Que se passe-t-il ? demanda Lily
-Dans les familles de sorciers de sang-pur, il y a ce qu'on appelle «le don familiale», a commencé James, ce don peut-être une facilité dans un domaine comme le vol sur balai dans la famille Benerjee ou voir une véritable capacité innée dans un domaine comme les potions pour les Prince ou la magie noire pour les Black.
-Les Lestrange et Potter en ont-ils ? Demanda Remus
-En générale, c'est un don voir des deux pour une famille ce qui est le cas de la famille Lestrange avec un don mais nous, les Potter, nous en avons plusieurs même si notre arrière-grand-père Abraham disait souvent : «Le véritable don de notre famille est que nous sommes une éponge à don», répondit James en vidant son verre le regard fixé sur la fenêtre éclairer par le premier croissant de lune.

Lily et Remus attendaient patiemment que James sorte de ses pensées mais ce fut Sirius qui se raclait la gorge qui les interpela.

-En effet, beaucoup des autres familles de sang-purs pensent que les Potter sont des voleurs de dons ou des collectionneurs, continue Sirius alors que James hochait de la tête aux dires du parrain de son fils. Les Potter ont accès à beaucoup de dons mais soit ils ne les utilisent jamais soit les dons ne se sont jamais apparus. Les Potter ont surtout un énorme instinct comme don. C'est prouvé par ma personne, vu toute les pressions justes de James et son père.
- Et les Lestrange, quel est le don ? Demanda Lily avec une certaine appréhension
-La légilimencie constantes des souvenirs et pensées sans que personne se rende compte, répondit James. Même les plus grands Occlumens sans rendre pas compter et ne pourraient bloquer ce don.
-Harry à ce don.
-Malheureusement. Le pire c'est que je ne peux pas contacter Rabastan et Rodolfus.
-Pourquoi ?
-Même si lors de ma dernière rencontre avec Rabastan, ça c'est relativement bien passé mais je ne testerai pas, éluda James
- Comment ça James ? Demanda à son tour Sirius accompagné par le froncement de sourcils interrogatives du loup-garou
- Il est perdu, il va faire un test de fertilité de ce que j'ai compris. Je préfère le laisser tranquille, explique le porteur.

Les quatre amis restèrent à se fixer dans un silence légèrement soucieux mais quand James raconta sa discussion avec le Lestrange, il se fit moins soucieux et un peu soulagé. Rabastan prendra sa responsabilité dès que les tests seront finalisés, il pourra aider Harrigan à transmettre les secrets des Lestrange.

Harry pourra enfin avoir ses deux parents auprès de lui.

Harry connaitra son oncle et son père. Tous savaient que James deviendra la mère une fois que les Lestrange reconnaîtront l'enfant comme le fils du plus jeune jumeau et héritier de son oncle.

James s'endormit avec l'idée de son fils ayant Rabastan et Rodolfus comme famille, certes pas les meilleurs qu'on pourrait avoir, mais une famille complète.