Guess who's back?

Vous m'avez manqué bande de moules, ça fait un bail.

J'ai relu Prière de rendre l'âme à qui elle appartient, ça m'a projetée dix ans en arrière, ce fandom c'est à nouveau ma vie maintenant, même si je suis triste qu'il soit un peu beaucoup mort.

Pour fêter ça je devais ressortir un Pauvre Angeal, et au cas où vous auriez pas remarqué, on est en octobre, alors j'en suis revenue à mes premiers amours: l'horreur et l'humour (rpz 13B).

Bref, je vous laisse avec ce petit bout d'histoire, j'en n'ai pas encore tout à fait fini avec ces trois-là, soyez-en sûrs.

Enjoy.


"Faites rouler la bonbonne"


« Bien reçu Général, je note le succès de la mission. Écoutez, il y a une tempête qui se dirige droit sur vous, l'hélicoptère n'arrivera jamais jusqu'à la Tour. Le mieux serait que vous trouviez un abri pour la nuit, je vois sur mon radar qu'il y a une maison à trois kilomètres au nord-est de votre position. Essayez de- rendre- ce sera sur vous dans- ... - à vous. »

Debout dans déjà bien quarante centimètres de neige, à quelques pas de ses deux frères d'armes penchés sur leur monstrueuse victime de la soirée, Sephiroth tenta de secouer le talkie-walkie qui le reliait au pilote de l'hélicoptère de la Shinra, posé plusieurs dizaines de kilomètres en contrebas de la montagne qu'ils avaient gravi plus tôt dans l'après-midi.

-Je ne vous entends pas bien, Soldat. Répétez.

Le talkie-walkie revint à la vie quelques secondes, uniquement pour crachoter au-dessus de la voix inaudible du pilote, puis s'éteint.

Sephiroth soupira et se retourna vers ses deux amis en agitant l'appareil au loin :

-Bon, bah c'est mort, cria-il, fataliste.

-Comment ça ?

-Tu te rappelles le boitier de simulation que tu as détruit l'autre jour, Gen ?

-Oui ?

-Eh bien c'est mort comme ça.

Angeal soupira et pinça l'arête de son nez :

-C'est pas grave. On n'a qu'à redescendre le flan de la montagne par là et on finira par tomber sur l'hélicoptère.

Genesis, dépité, essayait de dégager un rocher plat de la neige qui le recouvrait en espérant pouvoir s'asseoir dessus quand les mots de son ami l'interrompirent.

-Tu veux dire qu'on ne s'assoit même pas cinq minutes ?

-La nuit va tomber, Gen.

-Et avec elle une tempête, annonça Sephiroth, qui avait enfin réussi à rejoindre Genesis et Angeal, laissant derrière lui deux profondes tranchées créées par ses jambes dans la neige. Le pilote a juste eu le temps de me dire qu'il y avait une maison à trois kilomètres par là -il tendit vaguement le bras qui tenait l'appareil inerte en direction du nord-est- et qu'on devrait y rechercher un abri pour la nuit. Il avait l'air de penser que ce serait assez violent.

La tête de Genesis roula douloureusement en arrière tendit qu'il soupirait tout son soûl à la face du ciel dangereusement grisâtre.

-Manquait plus que ça…

-Bon, s'exclama Angeal en claquant ses mains l'une contre l'autre. Il vaut mieux qu'on se mette en route dans ce cas. Ce sera déjà un exploit de parcourir ces trois kilomètres rapidement avec toute cette neige.

Sephiroth acquiesça et extirpa de la neige le maigre sac à dos qu'ils transportaient pour commencer à suivre son ami en direction du nord-est, trainant derrière eux un Genesis dont la tête n'était toujours pas revenue en position normale.

Après une petite heure de marche laborieuse dans la neige, le sixième sens d'Angeal s'alarma tout à coup. Un ennemi ? Un monstre ? Une faille dans la roche ? Nenni !

-Genesis, je te jure que si tu penses à lancer la boule de neige que tu tiens dans ta main en direction d'une de nos têtes, je me sers de toi comme d'une pelle pour nous dégager un chemin jusqu'à ce qu'on arrive dans cette foutue maison.

Derrière lui retentit un « Mais comment tu sais ?! » rageur, suivi, après quelques secondes, d'un bruit sourd de chute d'une boule de neige sur le sol et d'un triste « On peut même pas s'amuser… ».

Le ricanement qu'il pensa discret de Sephiroth faillit bien mettre le feu aux poudres et démarrer une bataille de neige aussi longue et malvenue qu'épuisante moralement pour Angeal, mais Genesis, plus frigorifié qu'il ne voulait bien l'admettre, laissa brutalement tomber son bazooka de neige pour s'exclamer :

-Regardez ! Voilà la maison !

C'était à dire vrai plutôt une grande cabane qu'une maison, mais les trois héros de la Shinra se jetèrent à l'intérieur quand même, toute considération oubliée concernant les mesures de sécurité lors de l'invasion d'un lieu inconnu, mais heureusement pour eux, leur abri pour la nuit n'était pas encore squatté.

Angeal poussa brutalement la porte de bois contre son chambranle et la bloqua comme il put du vent qui forcissait déjà au dehors avec une planche qui trainait là. A quelques pas derrière lui, Genesis ôtait ses lourdes bottes trempées de neige fondue.

-Je déteste la neige.

-C'est bizarre ça Genesis, tu ne nous l'avais pas déjà dit une fois en lisant l'attribution de la mission ?

-Et une fois dans l'hélicoptère ? renchérit Angeal en l'imitant tout de même et en retroussant même le bas détrempé de son pantalon d'uniforme.

-Et aussi en bas de la montagne, non ?

Sephiroth posa son menton dans sa main, faisant mine de réfléchir.

-Sans oublier que tu nous l'as également dit quand on a dû commencer à marcher dans un peu plus de deux centimètres de neige.

-Et aussi lorsqu'il a fallu se battre contre ce monstre.

-Et encore maintenant, finit Angeal.

Genesis les regardait l'un après l'autre, pas le moins du monde impressionné, et trouva même le culot d'ajouter :

-C'est parce que je hais la neige.

Angeal leva les yeux au ciel et Sephiroth crut bon de ne rien ajouter, préférant s'intéresser d'un peu plus près à leur abri après avoir sorti du sac à dos de l'eau et quelques biscuits secs.

Ça ressemblait à une cabane de garde forestier, mais en version abandonnée depuis des lustres. Il restait un peu de vaisselle dans une étagère à côté d'une ancienne cuisinière à gaz, dont la bonbonne traînait sur le sol, presque sous les pieds d'une table à manger que ne décorait plus qu'une seule chaise en osier usé, une autre gisait en morceaux dans un coin de la pièce. De l'autre côté, sous la seule fenêtre de la pièce, barricadée de planches, se trouvait un canapé en velours autrefois vert bouteille, mais aujourd'hui rendu sale par la poussière et l'humidité, percé par deux gros ressors rouillés. Une petite table était dressée à sa droite, couverte par quelques livres gondolés et illisibles, mais ce ne fut pas ce qui intéressa Sephiroth.

Il se dirigea plutôt vers la cheminée qui ornait le dernier mur, face à la porte, et inspecta le petit bois entassé là. Bien sûr, il était humide et moisi, mais à peine en avait-il pris un bout en main que Genesis le poussait sur le côté, déjà armé de sa materia préférée, et allumait d'un sort un feu de cheminée. Il ne fit étrangement aucune remarque, mais il s'installa en tailleur devant le feu, et bien vite Sephiroth l'imita. Angeal resta à la seule fenêtre de la maison, observant par une fente entre les planches de bois le temps tourner à la tempête au dehors.

Il s'y était assoupi depuis une bonne demi-heure, assis sur le dossier du canapé, lorsque cela se produisit pour la première fois. Il ouvrit les yeux brutalement, pas très sûr de ce qui l'avait éveillé, avant de se tourner vers ses amis. Sephiroth s'était également redressé sur un coude, les yeux rivés sur la cuisine, dos à Angeal. Au milieu du vacarme encore grandissant du vent à l'extérieur, leur parvenait un tout petit son de roulement chaotique.

-Qu'est-ce que… ? commença Angeal, mais Sephiroth pointa le sol du doigt pour toute réponse.

La bonbonne de gaz roulait doucement sur les planches inégales du plancher, probablement depuis sa position sous la table, pour aller finir sa course en se cognant dans un bruit sourd et métallique au coin de la vieille cuisinière. Genesis hurla en se réveillant, ses deux mains cherchant déjà sa rapière à tâtons sur le sol :

-C'était quoi ?!

-C'était rien, Gen, rassura Angeal. Juste la vieille bonbonne qui fait des siennes.

Il s'étira, le corps tout engourdi de la position inconfortable dans laquelle il avait été forcé de dormir, avant de jeter un œil dehors.

-La vache ! C'est sacrément tombé depuis qu'on est entrés ici !

-Fais voir ?

Genesis se jeta sur le canapé, son réveil brutal déjà bien oublié, dans le but de regarder à son tour la tempête au dehors.

La nuit était tombée, aussi fut-il déçu de ne pouvoir presque rien deviner à la lumière de la lune, mais il pointa du doigt le bord de la fenêtre.

-La neige monte jusque-là maintenant ! On est enneigés !

- « Enneigés » ? l'interrogea Angeal.

-Ouais, c'est comme emmurés, mais avec de la neige.

-Bah voyons, raya Sephiroth, qui s'était réinstallé devant le feu.

Le roux ne prêta pas du tout attention à lui, ce dont Angeal fut infiniment reconnaissant. Il ne savait pas trop comment il devait gérer un conflit, enfermés dans une cabane glauque par la neige, donc au plus tard ses deux compères s'y mettraient, mieux Angeal se porterait.

Avec un peu de chance, se dit-il, peut-être qu'ils allaient s'endormir devant le feu et le laisser tranquille pour la nuit, mais ça, c'était avec de la chance, et au vu des différents événements qui jalonnaient sa vie de Soldat, Angeal ne considérait pas être quelqu'un de chanceux.

Alors qu'ils regardaient tous les deux vers l'extérieur, il fit soudainement très sombre dans la pièce.

-Mais…

La voix de Sephiroth fut bien vite couverte par celle, froide et cassante, de Genesis :

-Ça t'amuse d'éteindre mes feux ?

-J'ai rien éteint du tout !

-Ah oui ? Alors qui l'a fait ?

-J'en sais rien, moi, le vent sûrement !

-Le vent ?! C'était un sort, Sephiroth, tu veux que je te réexplique ton cours de materias élémentaires que tu es censé maitriser depuis que tu es rentré dans le Soldat ?

-Gen, je te jure que je n'ai rien éteint.

Genesis parut douter un instant de la parole de son ami, et Angeal se leva déjà du canapé pour intervenir, quand le roux abandonna, et jeta tout simplement un autre sort pour allumer un autre feu… qui fut lui aussi soufflé.

-Nom d'un chien, Sephiroth ! explosa Genesis.

-Mais je ne fais rien !

-Ok, du calme, coupa Angeal. C'est pas Seph, Gen, tu le vois bien.

-Oui mais si ce n'est ni moi, ni le vent, commença l'argenté. Alors c'est qui ?

Un long silence suivit ses paroles, et comme Angeal allait pour hausser ses épaules et signifier qu'il n'en avait vraiment rien à faire tant que ses deux amis restaient tranquilles, Genesis le coupa dans son élan :

-Les gars. La bonbonne.

Angeal leva les yeux au ciel mais fut forcé de les poser sur le sol tant il fut choqué d'entendre les mots « Oh putain. » sortir de la bouche de Sephiroth, et ce choc fut léger comparé à celui qu'il ressentit lorsqu'il repéra enfin la bonbonne de gaz. Sous la table.

Angeal n'eut pas conscience d'avoir reculé avant que son dos ne heurte le mur du fond.

-Oh putain, fit-il à son tour.

-Ok Genesis, c'est pas drôle, je te dis que je n'ai pas touché à ton feu, ce n'est pas la peine de nous faire peur en retour.

-Mais j'ai rien fait ! s'égosilla le roux, toujours à genoux sur l'accoudoir du canapé. Je n'ai même pas bougé de là !

Angeal se força à se secouer lorsque la voix du roux monta dangereusement dans les aigus énervés.

-Ce n'est que le vent. Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, on est dans une cabane tout ce qu'il y a de plus précaire et il y a une tempête dehors. C'est le vent.

Il ignora les regards dubitatifs de ses compagnons et se décolla du mur. Genesis essaya encore une fois d'allumer un feu et y parvint cette fois. Ils s'installèrent tous les trois en arc de cercle devant l'âtre et attendirent que le temps passe, seulement il ne s'écoula qu'une poignée de secondes avant que le silence ne soit brisé par Genesis :

-Est-ce qu'il y a quelqu'un ici avec nous ?

-Oh bordel, Genesis…

Sephiroth laissa sa main tomber relativement violemment sur son visage.

-Il m'épuise, soupira-t-il.

-S'il y a quelqu'un avec nous, faites rouler la bonbonne, continua cérémonieusement le roux.

-Le. Vent, s'obstina Angeal.

-Allez-y, faites rouler la bonbonne.

-C'est officiel, je déteste le mot bonbonne à partir de maintenant, trancha le brun en croisant les bras sur son torse imposant.

-Et moi c'est Genesis que je déteste.

Mais le roux ne faisait définitivement plus attention à eux, comme ça arrivait déjà beaucoup trop souvent au goût d'Angeal, et faisait le tour de la cabane en lançant des « Tournez les pages de ce livre », « Déplacez cette planche », et autre « Soulevez la chaise ». Quand il en arriva à « Allumez le gaz de la cuisinière », Angeal jugea tout de même bon d'intervenir à nouveau :

-Tu vois bien que personne ne te réponds, Gen, viens t'asseoir !

Le roux jeta un dernier coup d'œil circulaire à la pièce avant de s'asseoir à nouveau en soupirant de bonheur :

-Me voilà rassuré !

Une des assiettes, bien posée sur sa pile dans l'étagère, tomba sur le sol dans un fracas épouvantable. Genesis blanchit.

-J'ai failli m'évanouir, ajouta-t-il avec aplomb.

-Il faut qu'on s'en aille, acquiesça Sephiroth d'une voix blanche.

-Pour aller où ? s'exclama Angeal. On est enneigés !

-Arrêtez de dire ça, ça veut rien dire ! s'indigna l'argenté.

-Bien sûr que si ! commença Genesis. Ca veut dire que-

-C'est bon, si tu le redis encore une fois je crois que je te tue, conclut l'argenté.

Genesis se renfrogna tout en fixant l'assiette brisée sur le sol, puis il ouvrit la bouche :

-Faites rouler la-

-Je te jure que si tu finis cette phrase, commença Angeal, menaçant.

-C'est ça, menacez-moi tous les deux, moi au moins j'essaye de résoudre le problème !

-Tu ne résous rien tu provoques ce… cette… ce truc !

Genesis pointa sur lui un doigt accusateur :

-Donc tu admets qu'il y a quelque chose et que ce n'est pas dû au vent !

Angeal s'allongea à même le sol. A côté de lui, Sephiroth tenta encore de menacer le roux pour qu'il se taise, puis il abandonna et s'allongea à côté de son ami.

-C'est la première fois que je te vois abandonner avec lui, fit remarquer le brun, faisant se hausser les épaules de l'autre.

-Je suis épuisé, dit-il seulement, et Angeal acquiesça.

Lorsqu'il se réveilla à nouveau, Sephiroth dormait à poings fermés à ses côtés, et Genesis, assis à sa gauche, sa rapière entre les mains, montait la garde les yeux fixés sur la bonbonne.

-Tu peux te rendormir tranquille, Angeal. Je surveille.

Le brun ne se le fit pas dire deux fois.


-Debout là-dedans ! retentit une fois insupportable dans son rêve. Le soleil brille et la neige a bien fondu ! On va pouvoir atteindre l'hélicoptère et décoller !

Angeal papillonna des paupières, soudainement aveuglé par la lumière qui entrait dans la cabane. Genesis avait ouvert en grand la porte d'entrée et il portait déjà sur son épaule le sac à dos qu'ils transportaient. Tourné vers eux, le roux leur faisait des grands signes pour qu'ils bougent, et Sephiroth s'était déjà redressé pour enfiler ses bottes.

En grognant, Angeal réussit à faire de même, puis il regarda autour de lui en se relevant.

-Tu n'as pas dormi, Gen ?

-Vous allez rire, dit Genesis, toujours à moitié dedans et à moitié dehors, les deux yeux violemment cernés, mais j'ai préféré monter la garde.

-Tu vas nous faire croire que tu as passé toute la nuit à attendre qu'un esprit se manifeste au lieu de dormir ? Tu n'as pas eu idée de te reposer comme nous ?

-Oh, vous vous réveilliez de temps en temps, je ne suis pas sûr que vous soyez plus reposés que moi ! assura le roux. Maintenant est-ce qu'on peut partir ?

Le bruit d'un hélicoptère arrivant au loin l'interrompit, et ils sortirent tous les trois. Le pilote posa l'engin dans la neige meuble devant la cabane, puis sauta à terre.

-Général, Commandants, vous allez bien ? s'enquit-il immédiatement après un salut peu conventionnel devant des supérieurs hiérarchiques.

-La nuit a été agitée, dit vaguement Sephiroth, de toute façon pas très au fait lui-même de tout ce qu'il s'était passé durant leur courte nuit dans la cabane.

-C'est étrange tout ça, enchaina le pilote comme si le Général n'avait jamais pris la parole. On a décollé dès qu'on a pu puisque nous n'avions aucune nouvelle d'aucun de vous trois.

-Vous nous aviez parlé d'une maison à trois kilomètres au nord-est, c'est là que nous sommes allés, expliqua Sephiroth pendant que Genesis lançait le sac à dos dans l'hélicoptère.

-Oui mais il est justement là le problème, Général. J'étais en route pour cette maison lorsque j'ai survolé celle-ci -il désigna la cabane d'un geste du menton. Ce n'était pas celle-là que j'avais sur mes radars. Je me demande d'où elle sort…

-Pitié, on peut décoller ? coupa Genesis.

Il avait les yeux fixés sur l'entrée de la maison, toujours ouverte, et ses deux amis ne purent s'empêcher de suivre son regard.

Là, dans l'encadrement de la porte, avait roulé la bonbonne de gaz.

-Oui, on décolle ! s'exclama Sephiroth.

Le pilote ouvrit la bouche pour répliquer mais le Général le coupa :

-Pas de discussion, Soldat, on est partis, allez, monte Angeal, on s'en va.

Genesis les attendait déjà, bien calé et sanglé sur son siège, le visage livide :

-Plus jamais de mission dans la neige, furent les seuls mots qu'il prononça, et les deux autres ne purent qu'acquiescer.


Boom, done.

J'espère que vous avez apprécié cet OS autant que j'ai apprécié renouer avec ces trois-là, en tout cas faites-le-moi savoir.

J'aimerais dire que je réinvestis le fandom, mais ce serait surestimer mon assiduité, je préfère donc vous dire à la prochaine!