Bonjour,
On se retrouve aujourd'hui avec un nouvel OS. J'espère qu'il va vous plaire.
Bonne Lecture
Sarah : Merci pour ta review. Oui, c'était ça la fin qu'on aurai voulu
Hélène se réveilla doucement dans des draps encore chaud, mais la place à côté d'elle était vide, il n'était déjà plus à ses côtés. Elle soupira et remonta le drap sur son corps nu, se cachant un peu. Pourtant bien vite elle sentit la douce odeur de café et de pancakes qui émanait de la cuisine, la poussant à quitter le confort du lit dans lequel elle était.
Elle enfila la chemise qui traînait sur le sol, là où elle l'avait balancée la veille et quitta la chambre. En arrivant dans la cuisine elle eut une vue très agréable, Balthazar, vêtu seulement d'un jogging en train de préparer le petit déjeuner. Elle s'appuya contre la porte et l'observa d'un regard appréciateur, un brin de malice dans les yeux.
"Je sens ton regard sur moi Hélène" commenta Balthazar en se retournant pour la regarder.
"Bonjour" elle sourit, s'avançant vers lui pour l'embrasser délicatement.
"Bonjour, Belle au Bois Dormant" sourit le légiste en remettant une mèche de cheveux blonds derrière l'oreille de sa compagne "Bien dormit ?"
"Très bien, mais il me manquait quelque chose au réveil" elle le regarda avec tendresse "Tu n'étais pas avec moi" elle fit la moue.
"Je te préparais un petit déjeuner royal"
Il la relâcha doucement avant d'aller lui chercher un mug de café, préparé comme elle l'aimait, et surtout avec amour et lui donna. Immédiatement elle en bu une gorgée, profitant du précieux liquide qui terminait de la réveiller. Alors qu'elle buvait de nouveau, il posa devant elle une assiette de pancakes avec des fruits de saison, tout pour lui plaire.
Ils prirent ensemble leur petit déjeuner et se préparèrent avant de partir au travail, chacun de leur côté. C'était comme cela depuis plusieurs mois maintenant, depuis qu'ils avaient, après une soirée un peu trop arrosée, succombé à la tentation. De cette nuit s'en était suivi une discussion très sérieuse dont la finalité donnait aujourd'hui la relation amoureuse qu'ils entretenaient, le tout, dans le plus grand secret.
En effet personne n'était au courant, et cela relevait presque du miracle avec toutes les gaffes qu'ils avaient failli faire, toutes les fois où cela aurait pu leur échapper. Et ce n'était pas faute de travailler avec des personnes observatrices, pourtant, ils semblaient très doués pour la discrétion jusque là, et ils comptaient bien garder le secret encore un moment, parce qu' ils adoraient ça et que cette histoire n'appartenait qu'à eux.
On les appela pour un nouveau cadavre et ils agissaient comme à leur habitude. Balthazar faisait des jeux de mots parfois douteux, il taquinait Hélène qui elle lui faisait ses habituelles réflexions, le tout en roulant parfois des yeux. Aux yeux des personnes qui les entouraient, rien n'avait changé, surtout qu'au travail, ils avaient gardé le vouvoiement, ce que l'un comme l'autre, trouvait sexy.
Lors de l'autopsie, comme souvent, Balthazar se mettait trop proche d'Hélène, et comme d'habitude, elle ne disait rien, leur couverture était parfaite, même si parfois, le légiste faisait discrètement des petits gestes, qui pourraient trahir leur secret, comme laisser sa main frôler légèrement les fesses de sa partenaire, qui ne disait rien, le laissant faire, car malgré la possibilité de se faire prendre, elle adorait quand il faisait ça.
"Balthazar j'attends le rapport pour le milieu de l'après midi" ordonna presque Hélène à la fin de l'autopsie.
"Bien, Capitaine, je viendrais vous l'apporter moi même" sourit le brun.
"Je compte sur vous, j'aimerais ne pas avoir à vous le réclamer pendant deux heures, comme la dernière fois" rappela t'elle
"C'était pas de ma faute…" Commença Balthazar.
"Je veux pas savoir, je veux juste le rapport pour 15h sur mon bureau." coupa Hélène "Est-ce-que c'est clair ?" demanda-t-elle le fixant droit dans les yeux.
"Parfaitement clair, Chef"
Hélène roula des yeux avant de partir de l'IML, suivi par Delgado pour qui tout était normal. Une fois la belle blonde hors de sa vue, Balthazar donna les consignes à ses jeunes assistants avant de partir dans son bureau pour taper son rapport. Une fois seul, il ne pu empêcher un énorme sourire de couvrir ses lèvres alors qu'il envoyait un texto à Hélène.
Raph' : "J'adore quand tu es autoritaire comme ça. C'est sexy"
En voyant le message, Hélène avait envie de sourire comme une idiote, seulement avec Jérôme à côté elle ne pouvait pas, alors elle resta de marbre tapant sa réponse sur le clavier de son téléphone.
Hélène : "Et moi j'adore quand tu laisses ta main frôler mes fesses sans que personne ne le voit. Mais je garde notre couverture intacte en étant toujours autoritaire avec toi. De plus, j'attends vraiment ce rapport pour 15h, Raphaël"
Balthazar ne put s'empêcher de sourire, ce petit message pourrait bien avoir raison de sa concentration, mais Hélène comptait sur lui pour avoir le rapport à l'heure dite, alors elle l'aurait… La dernière fois, elle l'avait vraiment réclamé pendant deux heures, et elle lui avait même tiré les oreilles, lui rappelant qui commandait sur les enquêtes. C'est donc directement qu'il commença à taper son rapport, l'image d'une Hélène souriante et satisfaite d'avoir son rapport en temps en en heure dans le coin de sa tête.
Il n'était même pas 15h quand Balthazar débarqua à la DPJ, tout sourire, le rapport d'autopsie à la main. Il se dirigea directement vers le bureau d'Hélène qui était très concentrée sur ce qu'elle faisait. Comme à son habitude, il entra sans frapper, faisant sursauter Hélène.
"Le rapport que vous m'avez demandé, Capitaine" il sourit en posant le dossier sur le bureau d'Hélène. "En temps et en heure et même avec …" il regarda sa montre "Douze minutes d'avance"
"Je serais vous je fanfaronnait pas trop Balthazar" elle sourit "J'espère au moins qu'il est complet" dit-t-elle en prenant le dossier pour le feuilleter.
"Oui il est complet, Madame" il s'assit en face d'elle.
"D'ailleurs, on vous a jamais appris à frapper avant de rentrer dans une pièce ?" demanda la blonde taquine.
"Je connais la patronne, elle va me pardonner" il sourit.
"Ne commence pas, on est à la DPJ ici, et on est pas seul" sermonna la flic gentiment "Mais la patronne, comme tu dis, apprécierait fortement si tu frappais avant d'entrer, ça lui éviterait une possible crise cardiaque" elle reposa le dossier sur le bureau.
"Ok je note, pour la prochaine fois" il se leva et se pencha vers elle "Cela serait bien dommage que tu fasses une crise cardiaque" il sourit "Et puis je tiens bien trop à toi"
Il se pencha pour l'embrasser délicatement, et malgré le danger, les persiennes étant baissées, Hélène se laissa faire, mais mit bien vite fin à l'échange, n'importe qui pouvait entrer à n'importe quel moment dans son bureau, et elle tenait à sa vie privée… Comment allaient réagir certains de ses hommes s' ils apprenaient qu'elle avait une relation avec son légiste.
"Je vais y aller, j'aime pas laisser les enfants seuls trop longtemps" il sourit "De plus je te prépare une petite surprise pour ce soir"
"C'est quoi comme surprise ?" demanda-t-elle curieuse, tout en lui faisant les yeux doux.
"Si je te le dis, ça sera plus une surprise" lui répondit Balthazar gentiment "Et pas la peine de me faire les yeux de chaton, je ne lâcherais rien. Même pas un petit indice."
"T'es dur en affaire" elle fit la moue "Mais j'adore quand tu me prépare des petites choses comme ça" elle sourit, un sourire qui semblait ne pas vouloir quitter son visage.
"Je sais, mais c'est pour la bonne cause" il se pencha pour l'embrasser très brièvement sur les lèvres avant de se diriger vers la porte "À plus tard, Capitaine, on se tient au courant pour l'affaire" dit-t-il tout haut pour qu'on l'entende.
"Balthazar la porte" râla Hélène, alors qu'il partait une nouvelle fois sans la fermer. Décidément il y a des choses qui ne changeaient vraiment pas…
Hélène étudiait tranquillement le rapport d'autopsie dans son bureau, lisant les conclusions de Balthazar. La victime avait été tuée d'un coup direct et précis derrière la tête, rien qu'il ne lui avait pas dit durant l'autopsie… En revanche, elle avait des informations sur le dernier repas de la victime, une pizza et un verre de vin rouge, rien de bien intéressant en réalité.
Elle continuait de feuilleter les pages quand elle tomba sur un petit post-it avec un petit mot doux, signé de la main de son compagnon. "J'espère que ce rapport vous apportera tous les éléments, mon Capitaine. J'ai hâte de te voir ce soir, nue, dans mon lit" Hélène ne put empêcher un immense sourire de venir prendre place sur son visage, il n'arrêtait jamais, mais elle adorait ça.
"Et bien vu ton sourire on dirait qu'il y a des choses intéressantes dans ce rapport" commenta Delgado appuyé à l'entrée du bureau.
"Jérôme tu m'as fais peur" sursauta Hélène en refermant le dossier.
"Alors ?" demanda Jérôme.
"Alors quoi ?" elle haussa un sourcil ne comprenant pas où il voulait en venir.
"Bah le rapport Hélène, tu étais en train de le lire" il sourit venant se mettre en face d'elle "Quelque chose d'intéressant pour l'enquête ?"
"Ah euh, bah écoute pas grand chose de plus que ce qu'on a eu à l'autopsie… Rien de louche…" elle ouvrit de nouveau le dossier "Ah si tiens, notre victime était sous traitement pour… des problèmes de tension, selon le rapport de Balthazar"
"Alors pourquoi tu souris comme ça ?" demanda-t-il curieux.
Hélène posa le dossier devant elle ne comprenant pas trop où son Lieutenant et ami voulait en venir, elle croisa alors les bras sur sa poitrine attendant qu'il développe sa pensée. Elle le regarda en silence mais il ne disait toujours rien, ce qui commençait à énerver un peu Hélène.
"Bon Jérôme, tu vas me dire ce qui se passe ?" s'agace la blonde.
"Nooooon" commença Jérôme en la regardant, comme si il venait d'avoir un éclair de génie "Est-ce-que vous avez couché ensemble ?" demanda-t-il tout sourire.
"Moins fort" gronda Hélène en rougissant un peu "Tout le monde va t'entendre"
"Non, c'est pas vrai" il se mit à rire "T'as vraiment couché avec lui ?" demanda-t-il.
"Ta gueule" grogna Hélène "Sérieusement fermes là" bougonna la flic.
"J'y crois pas, t'as couché avec lui" commenta Jérôme tout sourire, au plus grand dam d'Hélène qui ne savait plus où se mettre..
Si elle voulait nier, c'était impossible, déjà elle était aussi rouge qu'une tomate, et en plus, elle lui avait dit de se la fermer, sans vraiment détourner le sujet, et puis de toute façon Jérôme allait savoir qu'elle mentait… Alors elle ne disait rien attendant que son lieutenant oublie et change de sujet… Malheureusement pour elle, il n'en n'avait pas la moindre attention.
"Tu ne nies pas ?" demanda-t-il et Hélène rougit de plus en plus "Et en plus tu rougis" commenta Delgado "Bon alors tu vas me parler où il faut que je te tire les vers du nez"
"Déjà tu vas commencer par parler moins fort" lui répliqua la blonde en se levant pour aller fermer la porte "J'ai pas envie que toutes la DPJ sache et deuxièmement…" elle se stoppa faisant mine de réfléchir "Tu ne fais AUCUN COMMENTAIRE. C'est clair ?"
"Oh putain, t'as vraiment couché avec lui ?" sourit Jérôme comme un idiot.
"Oui…" murmura Hélène avec un petit sourire.
"Bon tu me racontes ?" demanda-t-il en s'installant plus confortablement dans son siège.
"Tu vas pas me lâcher ?" elle le vit faire non de la tête "T'es chiant putain, ce que t'es chiant" dit-t-elle tout en souriant comme une idiote.
"En même temps t'as vu ton sourire ?" demanda-t-il "Il est tellement grand que c'est impossible de ne pas le remarquer" il sourit "T'as l'air tellement heureuse" constata Jérôme.
"Rah mais c'est pas possible" râla Hélène contre elle-même tentant d'effacer son sourire en vint, il restait placarder sur son visage rien qu'en pensant à son légiste… "Bon je vais te raconter, mais tu gardes ça pour toi"
Elle regarda Delgado tellement sérieuse qu'il savait que si jamais il disait quelque chose sur ce qu'elle allait lui raconter, il était un homme mort. Hélène était son amie, et heureusement, parce que sinon elle pourrait clairement le faire flipper, et bien flipper, parce que quand Hélène s'énervait il ne valait mieux pas être sur son chemin.
"Bon alors" demanda Delgado "Depuis quand ?"
"Tu te souviens de la soirée chez lui ?" demanda Hélène "Tu sais celle où on à jouer à des jeux de société, et pas mal bu" elle le regarda cherchant si il voyait de quoi elle parlait, en même temps, c'était la dernière soirée qu'ils avaient fait tous ensemble, le couple ayant eu peur de se trahir après ça "La dernière qu'on est faite ?" continua Hélène voyant qu'il ne semblait pas se souvenir.
"Ah la soirée où Eddy était tellement arraché qu'on a dû le mettre de force dans un taxi ? Celle où toi et Balthazar avaient été très mauvais perdants ?"
"Oui celle-là." Elle le vit faire un signe de tête, lui montrant qu'il s'en souvenait. "Bah après je suis restée pour l'aider à ranger, on était pas si bourrés que ça, sauf qu'on a bu un autre verre - soit disant le dernier - puis encore un autre et bah je vais pas te faire un dessin je pense que tu fais le lien tout seul"
"Et vous avez agi en adultes responsables, sans fuir après ça ?" commenta le flic, connaissant la tendance qu'avait ses amis et collègues à fuir leurs sentiments depuis quelque temps déjà et cette fameuse conversation qui pourrait tout changer.
"Mais je t'emmerde" Hélène froissa un papier qu'elle lui lança ensuite à la figure alors qu'il riait "On a décidé de discuter et voilà, on est ensemble" elle haussa les épaules.
"Et bien j'aurais jamais cru voir ce jour venir" il continua de rire "Enfin bref, je suis très content pour vous, vous méritez" il sourit "En revanche j'en reviens toujours pas que vous ayez garder ça secret depuis cinq mois sans vous faire griller, sans vous trahir"
"On a été suffisamment malin et on voulait vraiment le garder pour nous" elle sourit "Pourtant on à mit le secret en danger plusieurs fois, avec des petits gestes, mais vous n'avez rien vu"
Hélène commença à rire, il est vrai que durant ces cinq mois ils avaient parfois joué avec le feu, en ayant des petits gestes affectueux envers l'autre, ou une discrète main aux fesses, quand c'était pas un rapide baiser alors que n'importe qui pouvait les surprendre. Elle qui pensait qu'elle allait plus tenir que Balthazar c'était bien faite avoir, juste par le sourire qui prenait place sur ses lèvres quand il lui faisait passer des petits messages discrètement…
C'était idiot mais elle ne pouvait, la plus part du temps, s'empêcher de sourire devant son comportement avec elle. Mais finalement, une part d'elle se sentait soulagé d'avoir dit son secret, elle allait pouvoir avoir plus de petits gestes avec lui, et ne plus se cacher, enfin si lui voulait aussi montrer au grand jour son amour pour elle.
"Bon je te laisse travailler, je suppose que tu vas aller le retrouver ce soir" sourit Jérôme en se dirigeant vers la porte.
"Tu supposes très bien" sourit la blonde "Merci Jérôme, et je compte sur toi pour garder le secret"
"Je serais une tombe, promis" dit- t'il en sortant du bureau de sa supérieure, sans fermer la porte.
"LA PORTE JEROME !" cria Hélène avant de voir son ami revenir doucement pour la fermer. De ce côté-là, il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre, mais c'est pour cela qu'elle les aimait, Jérôme en amitié, bien sûr.
Le soir venu, Hélène rentra chez le légiste, et quand elle arriva elle fut accueillie par une bonne odeur de cuisine, une nouvelle fois, son compagnon lui avait préparé un repas, en même temps, la belle flic ne cuisinait pas souvent, ses capacités en cuisine étant très limité elle préférait le laisser faire.
Elle essaye de ne pas faire de bruit, mais alors qu'elle retirait son arme de sa ceinture pour la ranger elle sentit deux bras musclés s'enrouler autour de sa taille et des lèvres se poser délicatement dans son cou. Elle soupira doucement, en fermant les yeux.
"Bonsoir Raphaël" sourit Hélène en se tournant dans ses bras.
"Bonsoir Hélène" il sourit en retour avant de l'embrasser délicatement sur les lèvres. "Tu as passé une bonne journée ?" demanda-t-il.
"Oui, malgré le fait que le légiste avec qui je travaille passe son temps à me distraire" elle se mit à rire.
"A te distraire ? Vraiment ?" il haussa un sourcil.
"Oui, vraiment" confirma la blonde "Je passe mon temps avec un sourire idiot sur le visage quand je lis tes petits mots" elle caressa distraitement les cheveux dans son cou "Du coup Delgado ce demande ce qu'il se passe"
"Et ?" demanda le légiste "On est grillé c'est ça ?"
"Oui, mais il y a que lui qui le sait… Désolée…" s'excusa-t-elle.
"Non c'est pas grave mon amour" il l'embrassa "Je plaide coupable de t'avoir distrait" il caressa ses hanches, remontant doucement le haut qu'elle portait pour poser ses mains sur la peau d'Hélène "Je suppose que si il parle tu lui arraches les yeux avant de lui faire manger ?" plaisanta t'il.
"Hey" elle frappa son torse "Je te permet pas de dire ça" elle rigola à son tour "Mais c'est pas faux, si il vend la mèche il aura affaire à moi" confirma-t-elle.
"Du coup, maintenant que ton lieutenant est au courant, je peux le dire à Eddy et Fatim ?" demanda-t-il curieux.
"Si tu estimes qu'ils sont capables de garder le secret, oui. Sinon je leur coupe la langue moi même" il se pencha pour l'embrasser, montrant son accord "Bon cette surprise" demanda-t-elle curieuse.
Ah il savait que cela allait revenir à la charge, mais il ne dit rien, se contentant de la conduire dans la salle de bain, là où, il avait fait couler un bon bain pour elle et où elle allait pouvoir profiter pour se détendre. Il lui proposa également un massage après le bon repas qu'il avait prévu, tout pour la détendre et qu'elle profite.
Hélène ne savait pas ce qu'elle avait fait pour mériter tout cela, un homme qui prenne soin d'elle comme ça, mais elle adorait. Il faisait attention à elle, multipliait les petites attentions et faisait en sorte qu'elle soit heureuse, et comblée, et elle l'était, vraiment. Elle profita de ses attention, s'endormant sur son épaule pendant le film qu'ils avaient choisi ce soir-là, cette journée l'avait un peu épuisée. Doucement comme une princesse, il la porta jusque dans leur lit, avant de s'installer avec elle, la serrant dans ses bras, finalement c'était pas si mal, de savoir que quelqu'un d'autre savait pour eux, parce qu'il allait pouvoir être plus libre dans les petits gestes qu'il avait avec elle, sans devoir se cacher et ça allait également lui faire du bien de montrer au grand jour son amour pour elle.
Et voilà.
On se retrouve la semaine prochaine pour un nouvel OS.
Kiss
