Disclaimer : MILLE excuses pour ce gros ratage ! J'ai effectivement 2 jours de retard tout simplement car... j'ai oublié. Ma semaine ne s'est pas déroulée comme prévue donc ça m'était complètement sorti de la tête. Prenez ça comme une volonté de faire durer le suspense eheh ! J'espère que tout le monde va bien et que vous êtes en bonne santé ! On se retrouve aujourd'hui pour le 18ème et dernier chapitre de cette fanfiction que j'ai eu ÉNORMÉMENT de plaisir à écrire ! Je vous remercie chaleureusement de tous vos retours et bienvenue à toustes les lecteurices ! Des bisous

Rappel du dernier chapitre :

- Fais attention à toi, et pense à la crème pour ta cicatrice.

- J'y penserai…

Harry plongea dans les froideurs des cachots le rouge aux joues. En effet, il avait failli laisser s'échapper un "je t'aime".

Tout pour t'avoir près de moi

Jeudi 18 janvier, 22h30 (18ème journée)

22 heures 30. Harry avait passé une partie de la soirée sur un devoir de métamorphose puis avait joué à des jeux de cartes avec ses amis. Il était grand temps de descendre dans la chambre d'ami pour s'y reposer.

Lorsqu'il arriva dans la chambre d'ami, une note l'attendait sur son lit. Ma porte s'ouvrira pour toi. Si tu le souhaites… S. Était-ce une métaphore ? Severus l'invitait-il à prendre possession de son cul ? Impossible. La porte ? Mais de quoi ? Il avait déjà passé la porte de la chambre d'ami. De ses appartements privés alors ?

Son cœur rata un battement. Il rebroussa chemin et se posta devant la porte des appartements de son professeur. Il hésita. Il aurait l'air bien bête si elle refusait de s'ouvrir. Bon, au moins Severus ne serait pas là pour le voir. Il s'avança, abaissa la poignée et : surprise ! Comme promis, la porte s'ouvrit sur les appartements de son prof, qu'il commençait à bien connaître.

Enfin… Il connaissait surtout le salon, la cuisine et les toilettes. Le reste lui était inconnu. Il se demanda s'il devait dormir sur le canapé ou le lit. Face à la porte de la chambre de son professeur, y entrer lui sembla tout à coup un acte très intime. Pénétrer dans son lit, encore plus !

Il soupira. Severus l'y avait invité. Oui, mais et si c'était une farce ? De Lucius par exemple ! Non, il ne fallait pas céder à la paranoïa. C'était Severus et personne d'autres qui l'avait invité à partager son lit.

Il pénètra dans le sanctuaire du potionniste. La pièce se trouva être bien plus sombre que le salon. Le parquet était vieux et sombre et les murs aux couleurs de sa maison : un vert sapin. De grands rideaux bleu minéral fermaient les grandes fenêtres (probablement les seules de tout le cachot) donnant sur les douves et la forêt interdite.

Comme pour le salon, les meubles étaient anciens et probablement d'origine, mais bien conservés. D'un coup de baguette magique, il actionna les lumières tamisées. Il se déshabilla et se coula sous les épaisses couvertures. Juste avant de sombrer dans un sommeil profond, il ne put s'empêcher de penser à la vie folle qu'il menait. Il estimait avoir beaucoup de chances d'avoir Severus comme amant. Une alchimie évidente les liait. Il se sentait bien lorsque son professeur le regardait, lui parlait, lorsqu'il pouvait sentir son odeur, le toucher. Il aimait savoir que son professeur était une grande partie de son bonheur maintenant et savoir qu'il était une grande partie du bonheur de son professeur.

Enfin, là, dans le lit de Severus, il se sentait apaisé. Il n'attendait plus que le maître des cachots.

Évidemment, il s'endormit avant que son professeur ne rentre.

Vendredi 19 janvier, 00h30 (19ème journée)

Lorsque Severus rentra de sa réunion, il était tellement exténué qu'il en avait oublié la venue d'Harry. Potentielle venue. En effet, rien n'obligeait le jeune homme à accéder à sa requête.

Il sauta dans la douche, se brossa les dents et se dévêtit avant de rentrer doucement dans la chambre. Dans le vieux lit à baldaquin, une forme ressortait. Soulagé de voir son amant dans son lit, il se hâta de le rejoindre.

Malgré ses précautions, Harry se réveilla légèrement lorsqu'il souleva la couette pour s'y glisser. Il gémit. Severus lui fit un petit bisou sur l'épaule. Immédiatement, Harry releva la tête, bien qu'il resta encore dans les vapes, pour tenter d'analyser la situation. Lorsqu'il comprit qui était revenu auprès de lui, il eut un léger sourire et se blottit contre le corps du maître des cachots.

- Tu m'as manqué.

- Tu m'as beaucoup manqué aussi, Harry.

Pour rien au monde Severus n'aurait échangé sa place. C'était peut-être ça que Severus avait attendu toute sa vie. Ce sentiment d'être tout pour quelqu'un et que quelqu'un soit tout pour lui. S'ensuivit un million de baisers sur le front du plus jeune jusqu'à ce qu'il s'endorme.

Vendredi 19 janvier, 9h00 (19ème journée)

- Putain Harry, ta bouche me fait tellement bander !

C'était vendredi, il était 9 heures et Severus était encore au lit. Normal, c'était le 19 janvier et c'était deuil national. Bien que la situation le pèse, il était au lit avec un beau jeune homme qui le suçait. D'ailleurs il n'était pas au lit mais bien dans son lit ce qui le rendait encore plus heureux. Depuis quand n'avait-il pas accueilli un homme qu'il aimait dans son appartement, dans son lit.

Il avait dormi d'un sommeil profond et avait été réveillé suite à un rêve érotique qui, il le découvrit en se réveillant totalement, avait été causé par le jeune Potter. Celui-ci lui léchait les tétons en attendant son réveil. Dès qu'il ouvrit un œil, Harry se mit à onduler son bassin contre le sien, leur deux sexes se frôlant à chaque aller et retour.

- Tu n'avais pas menti, tu voulais vraiment ma queue dès ce matin.

- Sache le Severus, je ne mens jamais lorsqu'il s'agit de sexe.

Sans plus attendre, le survivant s'était glissé sous la couette pour empoigner son sexe, le caressant activement. Bientôt, sa bouche avait remplacé ses doigts. Il n'était plus question de prendre son temps. Il attendait depuis trop longtemps. En bref, il voulait enfin être possédé.

Il s'était donc enfin emparé du membre turgescent de son professeur et après s'être humecté les lèvres, avait avalé son gland. Doucement d'abord, il avait fait glisser la queue le long de sa langue puis dans sa gorge jusqu'à atteindre la base. Le nez dans les poils de Severus, il avait inspiré du mieux qu'il avait pu et tout en malaxant les bourses, était reparti dans le sens inverse. Le potionniste avait alors passé une main dans ses cheveux, l'incitant à continuer ses caresses buccales. Il l'avait encouragé de petits mots d'amour qu'Harry avait partiellement entendu comme "Tu es tellement beau." ou "J'ai envie de te baiser jusqu'à ce que tu en oublies ton nom.".

Harry avait continué de monter et descendre sur son sexe bien dressé, s'attardant parfois sur le gland. Severus haletait fortement et il savair qu'ils passeraient bientôt aux choses sérieuses.

- Putain Harry, ta bouche me fait tellement bander !

À 9 heures, ils en étaient donc là.

Soudain, comme il l'avait prédit, Severus tira sur sa tignasse pour l'éloigner de sa queue.

- Il me semble que ta queue me demande ailleurs depuis un moment ?

- Oh Severus… tellement longtemps.

Avec un rire, Severus se redressa et Harry se mit automatiquement à quatre pattes. Le potionniste invoqua le lubrifiant et il put correctement préparer Harry. En insérant un doigt puis deux, il put constater que son élève était à nouveau aussi étroit qu'auparavant, malgré l'œuf qui l'avait ramoné toute la journée de la veille.

- Oh… tu es tellement serré.

Le gryffondor ne répondit rien. À vrai dire, il avait encore la prostate très sensible et chaque mouvement le faisait grandement gémir. Plus Severus faisait d'allers et retours, plus il écartait les jambes inconsciemment. Lorsqu'il fut à quatre doigts, le professeur pensa à sa promesse de fister son élève puis se reprit. Viendrait un autre moment plus approprié. Aujourd'hui c'était une baise basique, rien d'autre.

- Harry, que préfères-tu ?

- Prends-moi !

Son ton était suppliant. Merde alors. Harry devenait bestial. Severus se racla la gorge.

- Je veux dire : comment veux-tu que je te prenne ?

- Par le cul !

Bon clairement, Harry n'était pas en capacité de faire fonctionner ses neurones. Il allait donc faire à sa convenance. Severus se coucha sur le dos et fit signe à son amant de s'empaler sur son sexe. Ainsi installé, Harry pourrait aller à son rythme… pour commencer.

Tout en tremblant d'impatience, le gryffondor se positionna au-dessus de sa bite. Severus se lubrifia une dernière fois et Harry put faire céder sa barrière anale. Avec un soupir, il atteint la base et attendit quelques secondes. Il en profita pour découvrir le corps du professeur et surtout pour prendre ses lèvres. Les deux hommes gémissaient, mélangeant leur souffle et leur plaisir à mesure que le baiser devenait plus ardent.

Le plus jeune se mit à onduler légèrement sur la queue de Severus. Dès qu'il se fut habitué à la grosseur de son amant, il accéléra la cadence, recherchant le plus de plaisir possible.

Severus posa ses mains sur ses hanches afin d'accompagner le mouvement. Il restait concentrer car voir son amant s'empaler sur son sexe était une vraie torture. Son visage était habité par le plaisir. Il se touchait les tétons et criait son plaisir lorsque les couilles du professeur claquaient contre son fessier.

Le potionniste se concentrait sur le sexe d'Harry qui tapait à chaque rebond sur son bas ventre. Qu'il était sexy.

- Plus, plus… supplia Harry.

Il rejeta sa tête en arrière tandis qu'il s'appuyait sur ses pieds, et non plus sur ses genoux, pour lui permettre d'aller plus vite. Du liquide pré-séminal coulait goutte à goutte sur le torse du maître des cachots et celui-ci estima donc qu'il était temps de passer aux choses sérieuses.

D'un mouvement, il força Harry à se retirer. Celui-ci, frustré, jura.

- Putain Severus, t'as interet à me défoncer comme il faut !

Sans rien répondre, Snape lui attrapa les cheveux pour l'obliger à se relever et le plaqua contre le mur. D'instinct, l'élève se cambra, exposant son trou déjà bien maltraité.

- Tu mouilles tellement.

Sans plus de cérémonie, le professeur inséra sa queue dans son élève, lui arrachant un cri de plaisir. Plutôt que de le tenir par les hanches, il choisit de s'accrocher à ses épaules, lui permettant d'aller encore plus profondément dans ses mouvements de bassin. Il s'acharna alors tout simplement sur son trou. Rien de ce que Potter aurait pu dire n'aurait pu l'arrêter. Il était comme possédé. Cette peau si douce, couverte de grain de beauté fascinant. Cette odeur lancinante, l'odeur de sexe qui le collait. La voix d'Harry le suppliait de continuer, d'y aller plus fort. Severus eut le vague souvenir de traiter son élève de tous les noms. Sa propre voix s'était transformée en un grognement bestial. Harry Potter était sa chose, son défouloir, son vide couilles.

Le torse d'Harry frottait contre le mur, lui arrachant des gémissements sensuels. Il aimait la violence de l'acte, l'impression d'être possédé. Il ne tenta même pas de se toucher, il était trop concentré sur la sensation de cette grosse queue tapant au fond de ses entrailles pour y penser. Aujourd'hui, tout ce qui comptait, c'était cette Severus et son trou. Le reste n'était que superflu. Il était devenu une vraie chienne en chaleur.

Il savait qu'il finirait par jouir. Par vague de plaisir, son corps lui disait qu'il n'allait pas tarder à décharger. Severus lui fourra deux doigts dans la bouche. Sans même y réfléchir, il les lécha longuement, jouant avec, les suçant à tour de rôle. Il aurait tellement aimé que son amant se dédouble. Mais ça, même la magie n'y pouvait rien, n'est-ce pas ?

- Voyons voir si ton trou est assez ouvert pour accueillir mon foutre.

Harry gémit. Il aurait dû trouver tout ça dégradant mais il aimait entendre Severus lui parler ainsi. Les doigts disparurent de sa bouche et il sentit immédiatement une pression supplémentaire au niveau de son trou. Par Merlin, Severus tentait d'y ajouter ses doigts ? Il tenta de se détendre au maximum mais son trou resta serré.

Au bout de quelques instants, il sentit néanmoins deux doigts s'ajouter à sa queue déjà conséquente. Bien que l'entrée ait été difficile, une fois à l'intérieur, les deux chairs se fondirent parfaitement ensemble. Severus continuait à s'enfoncer en lui aussi facilement qu'avant, le collant au mur à chaque aller et retour. S'en était trop pour Harry.

- Severus, je veux jouir, s'il te plait, s'il te plait, s'il te plait.

- Jouis, maintenant.

Harry se contracta sur la bite de Severus, qui dut se retenir pour ne pas se laisser entraîner. Il juta de longs jets de sperme sur le matelas dans un long gémissement qui ressemblait presque à un sanglot. Lorsqu'il s'affaissa sur le lit, Severus continua néanmoins à le pilonner sans états d'âme. La jouissance montait en lui. Il entendait Harry lui dire à quel point c'était bon, qu'il en voulait plus, qu'il aimait sa queue profondément.

Soudain, n'en pouvant plus, il s'enfonça jusqu'à la garde et tira les cheveux d'Harry. Tout en jouissant, il grogna :

- Un accouplement comme ça ou rien.

Il fit encore deux trois poussés, histoire de s'assurer qu'aucune goutte de son sperme ne soit perdue, et se retira avant de s'écrouler aux côtés de son amant.

Ils se regardèrent un moment sans parler. Il n'y avait rien à dire. Ils avaient fait monter la tension sexuelle au maximum, ils avaient appris à se connaître jusqu'à ce qu'ils n'en puissent plus. Et le sexe avait excedé leurs attentes. Bref, un pur moment de félicité.

Severus porta une de ses mains à la joue du gryffondor qu'il caressa lentement.

- Tu es tellement beau.

Le jeune homme rougit. Severus lui avait dit tout ça pendant leur coucherie, mais l'entendre maintenant, alors que toute leur excitation était redescendue, rendait tout ça très vrai, très intime. Il savait que son professeur ne mentait pas, qu'il le disait car il le pensait. Il sourit et l'attira dans un baiser. Cette fois-ci tendre, presque amoureux.

Vendredi 19 janvier, 17h45 (19ème journée)

À cette heure, tous les élèves qui étaient restés à Poudlard pendant la journée nationale se pressaient vers la grande salle dans le calme. Harry se freya un chemin à travers la foule compacte pour rejoindre ses amis.

- Hey ! s'exclama Hermione. Tu nous a manqué aujourd'hui ! Qu'est-ce que tu fabriquais encore ?

Il n'y avait aucune trace d'énervement dans sa voix, simplement de la curiosité.

- J'étais chez Snape.

- Décidément, il faudra que tu nous expliques un jour !

Harry rit. Si lui-même réussissait à comprendre ce qu'il ressentait, peut-être qu'il pourrait ensuite en parler aux autres.

La journée avait été un délice. Après leur partie de jambe en l'air, ils étaient clairement éteints de fatigue. Bien qu'ils aient très envie de recommencer, ils se contraignirent à sortir du lit pour préparer une sorte de brunch en parlant de la vie et surtout de la journée à venir. Aucun n'évoqua le lien qui semblait les unir, cette chaleur qui les habitait tous deux lorsqu'ils se regardaient ou se parlaient.

Étant donné qu'ils s'étaient levés tard, le temps qui leur restait était finalement assez maigre. L'après-midi fut consacré à leurs travaux personnels. Snape avait tenté de convaincre Harry de retourner travailler dans son dortoir ou à la bibliothèque avec ses camarades mais celui-ci avait refusé. Sa place était ici. Il s'y sentait plus à l'aise avec Severus à ses côtés.

Chacun avait donc travaillé de son côté tout en échangeant de temps à autre une parole d'encouragement, une blague ou simplement une information. Lorsqu'Harry en eut marre, c'est-à-dire au bout de 45 minutes, il alla s'asseoir sur les genoux du plus âgé dans le but de l'embêter. Contrairement à ce qu'il avait pensé, Severus l'accueillit avec bonne grâce. Le survivant fourra son minois dans le cou du potionniste, inspirant son odeur musquée. Le professeur continua à annoter les devoirs qu'il avait devant lui, soupirant et raturant à n'en plus finir. Finalement, il posa son stylo et sa main le long de son dos, le caressant affectueusement.

- Harry, je me demandais… Je… tu…

- Wow, le grand Severus Snape aurait donc réussi à perdre la parole.

- Tais-toi Potter, je réfléchis. Dis-moi, tu… veux retourner dormir dans le dortoir des gryffondors ?

- C'est une question ?

- Tu n'as pas entendu l'intonation de fin de phrase peut-être ?

- Ok, ok… et bien… je peux.

- Non la question c'est : l'appartement te sera toujours ouvert donc si tu veux rester, tu peux.

- Donc ce n'est pas une question.

- Par Merlin, Har…

- Oui, oui ! Tu es sur ?

Severus lui fit une dizaine de bisous dans le cou tout en serrant un peu plus Harry contre lui.

- Tout pour t'avoir près de moi.

Le cœur du gryffondor rata un battement. C'était donc ça le dévouement. L'amour peut-être ?

Lorsque 17 heures 30 sonna, ils avaient dû se séparer. Fini les câlins et les bisous, il fallait refaire surface et faire acte de présence. Ils se dirigèrent vers la grande salle. Harry observa la foule et repéra ses amis. Il lâcha la main de Severus qu'il tenait discrètement et partit les rejoindre avec un dernier regard. Le jeune homme crut y déceler une étincelle de bonheur.

Il avait déjà hâte de le retrouver.


Et voilaaaaaa ! Comme je suis heureuse de vous avoir présenté mon travail et de voir que vous a avez été si à être aussi enthousiastes que moi ! Je sais que le ship n'est clairement pas un des préférés de la communauté mais j'espère y avoir fait honneur !

Je ne suis pas sûre que je reviendrai sur fanfiction de si tôt ! Pour tout vous dire, j'avais débuté cette fanfiction en 2020 et je l'ai reprise en janvier 2023 pour la finir en aout de la même année. Donc si le génie de la créativité m'a frappé, pas sur qu'il le fasse deux fois dans la même année !

Je vous souhaite une belle continuation ! Et peut-être à dans 2/3 ans pour les plus ré ! Prenez soin de vous !

Bigabeille